Chapitre 24: decision
Retour sur le jour du procès.
Après le verdict, je m'étais rapproché de Isham pour lui expliquer que j'avais besoin de garantie.
Moi : comment le gouverneur a appris pour moi et Rafael, tu lui as dit, où le procureur la fait ?
Isham: non.
Moi : j'ai besoin de Robert.
Isham: tu appelles Robert que pour des missions clandestines.
Moi : je sais, j'ai besoin de lui.
Isham: d'accord, tu veux entrer dans les détails, ou bien ?
Moi : je compte faire suivre le gouverneur.
Isham: PARDON ?
Moi : lui et Maé, elle pense que je vais la croire avec son histoire de viol. Son explication n'est pas crédible et je mens beaucoup mieux qu'elle.
Isham: tu es sûre?
Moi : oui, elle a un homme dans sa vie. Et si c'est elle qui a informé le gouverneur de ma sauterie avec Rafa, c'est elle la maîtresse du gouverneur. Afin, je crois bien.
Isham: tu en es sûre.
Moi : j'ai une très bonne intuition.
Isham: ok. Don Robert.
Moi : appelle-le dès qu'on quitte cet endroit.
Lorsque rafael m'a tiré dessus, j'ai dû attendre de guérir avant de m'en occuper.
Robert avait confié la mission à un de ses hommes. Et par la suite, il me faisait des comptes rendus. Ainsi hier lorsque Abdel m'a appelé, il m'a envoyé le dossier que Robert lui avait envoyé en une année. C'était un dossier en béton. J'étais sous le choc. Ils y avaient pleins de vidéos de Mae et du gouverneur, des enregistrements audio et autres. À la fin, je ne voulais pas trop faire de bruit. Mais la femme du gouverneur, Barnet, est la chef de staff du président, elle est sa main comme dans les royaumes.
Et ça, c'était un truc que je ne pouvais pas laisser passé. La mission clarisse étant, (SD) secret défense, je ne pouvais pas y toucher. Mais ça là, j'allais bien l'utiliser. Je l'ai sauvegardé sur ma carte et j'ai envoyé une copie à Isham et à ma grand-mère. Et j'ai piégé le gouverneur comme ça. Il a fallu une année quand même.
L'essentiel même étant que j'ai réussi. Quand j'ai un truc dans la tête, je ne respire qu'une fois l'avoir faite.
Je n'avais personne aujourd'hui en train de viser Maé, mais me connaissant bien, j'en étais capable. J'aurais voulu tuer ce cher Barnet, je n'aurai même pas besoin de quelqu'un. Donc j'ai bluffé et ils ont eu peur, j'ai menti en lui disant qu'une arme était pointée sur elle alors que non.
Mais bon autant le laisser vivre, qu'il me regarde dans les yeux sachant que je sais. C'est mon petit plaisir personnel.
Et je continue avec Rafa pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, ils n'y peuvent absolument rien du tout.
Je me masse les tempes. Rafa dormait toujours. Je lui fais un petit bisou.
Moi : salut toi.
Il se réveille lentement, il devait être huit heures, j'étais une vraie lève tôt.
Moi : tu te sens mieux ?
Rafa: oui. Vient là.
Je m'approche de lui et il me serre tendrement contre lui. Nous étions nus comme des vers, et je sentais son érection dure comme un roc contre mes fesses.
Moi : là, c'est sûre que tu es bien réveillé.
Il me fait un grand sourire.
Rafa: tu vas me manquer, tu repars bientôt.
Moi : oui. Tu dois rappeler ton médecin s'il te plaît, ça fait plusieurs jours maintenant.
Rafael : il passera vers 9 heures, on peut faire l'amour avant.
Moi : non après ma piqûre. Raconte-moi pour hier soir.
Rafa: il pensait qu'il pouvait venir ici et s'en prendre à toi et rentrer tranquillement. J'ai appelé tous les délinquants de la favéla, je les ai armés et payé et ils ont tous fait tuer toute son équipe. Eh bien par la suite, il restait lui et sa femme.
Moi : sérieux ?
Rafa: ils n'ont pas d'enfant de toute façon. Ça fait des années que sa femme veut le tuer, c'est elle qui à appelé abdou pour lui dire où était son mari. Eh bien une fois après avoir retrouvé ce con. Je l'ai attaché par les quatre membres et je lui ai passé la tronçonneuse. On ne touche ni à ma femme ni à mon territoire. Et maintenant, c'est sa femme qui va s'occuper des obsèques, pleurer un peu et enfin récupérer tout le business à milan.
Il m'a appelé sa femme, je n'ai pas rêvé non ?
Moi : waouh, c'était chaud alors.
Rafa: oui ça l'était. Et super excitant aussi. Il me tardait de l'éliminer ce petit con.
Moi : là, c'est bon, tu la fais. Tu as un mec qui me suis-je le sais, je ne sais juste pas, c'est qui ?
Rafa: je sais que tu es au courant. Je te connais beaucoup trop bien désormais.
Moi : dis-moi, c'est qui et je te laisse me toucher.
Rafa: pour que tu ne l'attaques jamais de la vie bébé.
Moi : je te jure que je ne vais rien lui faire.
Rafa: menteuse. Vient là s'il te plaît monte sur moi. Je veux un bon réveil.
Moi : non, dis-moi qui c'ai ?
Rafa: non, tu veux bien appeler ton père et me passer s'il te plaît.
Moi : il doit être nuit la ba ?
Rafa: non, il est 19 heures appelle-le.
Moi : ok.
Je compose le numéro de mon père qui décroche quelques instants plus tard.
Rafa en profite pour passer ses mains entre mes cuisses et découvrir que j'étais toujours aussi moite.
Rafa: et tu me dis que tu ne veux pas.
Moi : bonsoir papa.
Papa : bonsoir mon ange, tu vas bien ?
Moi : euh oui, je pense que je vais bien, tu me manques.
Papa : toi aussi, je suis désolé pour maman, mais tu n'aurais jamais dû lui parler comme ça Amy.
Moi : j'étais en colère.
Papa : je sais, elle t'aime et elle ne te veut aucun mal, tu sais.
Moi : oui, je sais, euh, tu m'avais dit vouloir parler à Rafael.
Papa : oui. Tu me le passes s'il te plaît.
Moi : d'accord. Euh papa,
Papa : oui mon bébé ?
Moi : je vous aime et ce n'est pas parce que je suis avec lui que je vais vous laisser tomber.
Papa : je sais faut juste plus de temps pour maman.
Moi : d'accord.
Je lui donne le téléphone et Rafa le mets en haut-parleur.
Rafa: bonjour monsieur Ly.
Papa : bonjour Rafael, comment ça va ?
Rafa: je vais bien je vous remercie et vous ?
Papa : ça va tant qu'Amira va bien.
Rafa: j'aurais voulu passer vous voir à milan, mais votre épouse ne voulait pas de moi et je ne voulais pas causer plus de problème que j'en ai fait.
Papa : je comprends, elle est toujours là ?
Moi : bien sûr.
Papa : tu me laisses lui parler s'il te plaît Amy.
Moi : euh d'accord.
Je mets sa chemise et son caleçon avant de descendre à la cuisine pour me nourrir.
Point de vue de Rafael.
Son père : quelles sont vos intentions envers ma fille.
Moi : monsieur, j'aime votre fille, je n'ai pas demandé à l'aimer, jamais, c'est venu comme ça. Je n'aurais pas dû, car elle perturbe mon monde à moi aussi.
Son père : j'aime ma fille.
Moi : je le sais.
Son père: ne l'a briser pas elle la été plusieurs fois je refuse que vous lui fassiez du mal.
Il voulait dire quoi par la ? Amira et ses secrets...
Moi : je ne lui en ferai pas.
Son père : elle est très dure avec elle-même, elle refuse l'amour des autres. Elle est comme ça, parfois, elle te dira des trucs qu'elle va regretter après.
Moi : je sais, j'en ai fait l'expérience.
Son père : c'est la première fois qu'elle tient tête à sa mère, elle fait tout ce qu'elle lui demande, même si c'est pour son bien, je veux qu'elle s'épanouisse, qu'elle soit heureuse.
Moi : je la rendrai heureuse Monsieur, j'accepterai votre fille comme elle est.
Ce qui signifie dans notre langage, on va se faire la guerre tout le temps.
Son père : merci. Et pour sa mère, je ferai en sorte qu'elle lui reparle. Elle ne le montre pas, mais elles souffrent toutes les deux de ne plus se parler.
Moi : je n'ai jamais voulu de cette situation, j'aime votre fille monsieur, et je ferai tout pour elle. Je voudrais l'épouser.
Son père : épouser Laila Amira Ly. Elle a dit quoi ?
Moi : je ne lui ai pas demandé.
Son père : bonne chance alors, elle déteste les mariages.
Moi : je sais, elle fuit toujours la conversation.
Son père : quand elle dira oui, je serai d'accord. Bonne chance avec Amira, vous en aurez besoin.
Moi : merci pour tout, ça m'a vraiment fait plaisir de vous parler.
Son père : moi aussi, prenez soin de ma princesse.
Moi : je n'y manquerai pas.
Il raccroche, son père est tellement calme et posé. Amira a pris son caractère de merde où ?
Je mets un peignoir et la rejoins en bas. Je la vis en train de préparer à manger pour Thor. Et se faire des toasts.
Moi : tu m'en fais ?
Elle : tu payes ?
Moi : s'il te plaît.
Elle : voilà qui est mieux. Mon père a dit quoi ?
Moi : rien qui ne t'intéresse.
Elle : tout m'intéresse.
Moi : oui, mais non.
Elle est trop futée, trop intelligente, elle sait trop de choses.
Thor savourait son repas lorsque je lui entoure la taille.
Moi : on vient de m'informer que le médecin était là.
Elle : d'accord.
Moi : je suis fâché.
Elle : pas de sexe tant que je n'ai pas ma piqure. Tu ne veux pas me ramener dans notre lieu de débauche ?
Moi : non. Tu as combien de près payer.
Elle : tu n'as vraiment pas fouillé mon sac putain.
Moi : je m'en fichais de ton sac, c'est toi que je voulais faire souffrir.
Elle, j'en ai cinq des prés payer c'est pour pas être sur écoute.
Son téléphone se mit à sonner. Elle me sert une assiette et fais la sienne avant de prendre son téléphone et sortir dans le jardin.
Moi : abdou active la caméra du jardin.
Abdou: elle l'est.
Point de vue d'Amira.
Amira : bonjour Abdel.
Abdel : coucou toi, je dois te parler, du dossier que Robert m'a montré. Tu m'as envoyée un scellé, tu veux que j'en fasse quoi ?
Moi : garde le bien. Je te dirai quand le sortir.
Abdel : d'accord. Tu me manques énormément Amira.
Moi : on se voit dans une semaine, vous aussi, vous me manquez.
Abdel : et Thor, il va bien.
Moi : oui tout va bien et toi, tu profites ?
Abdel : oui, je profite. Dernièrement les informations fusent de partout.
Moi : tu as établi le premier contact ?
Abdel : oui.
Moi : d'accord, fais attention à toi.
Abdel : on aime notre boulot.
Moi : exactement ça, c'est sûr.
Abdel : je t'embrasse Eagles.
Moi : prend soin de toi.
Abdel : Amira ?
Moi : oui ?
Amira : si tu aimes toujours ton brésilien, je comprendrai et j'attendrai.
Moi : on discutera à mon retour ça te va.
Abdel : d'accord.
Je raccroche et me retourne pour voir Rafael derrière moi.
Il ne parlait pas et je n'avais aucune envie de me disputer avec lui au sujet d'Abdel.
Je rejoins la cuisine et m'installe pour manger.
Rafa: on en parle.
Moi : pas envie. Tu vas me taper une crise de jalousie.
Rafa: JE DOIS FAIRE UNE CRISE DE JALOUSIE.
Moi : eh, tu ne me cries pas dessus, je ne suis pas ta fille compris ?
Je vis le médecin arrivé, je me calme et on le salua ensemble.
Rafa: tu veux une piqûre pour combien de temps ?
Moi : trois mois, je ne serai pas là pendant longtemps alors.
Rafa: il n'y a pas pour une seule semaine.
Le médecin nous regarde à tour de rôle.
Moi : trois mois, c'est mon corps.
Le médecin : quand devez-vous voir vos règles ?
Moi : dans deux semaines.
Lui : d'accord trois mois.
Il me fait la piqûre. Et rentrés juste quelques instants plus tard.
Je vis Abdou venir suivit de Clara. Elle n'a vraiment pas de vergogne.
Abdou: euh, elle ne m'a pas trop laissé le choix.
Moi : je vais lui donner le choix. Rafa si ta catin ne dégage pas tout de suite, je lui ferai sa fête.
Rafa: tu ne la touches pas.
Moi : pardon ?
Rafa: tu es en couple, toujours en couple avec ton mec, là, je n'ai aucune envie d'être avec une femme déjà en couple.
Moi : mais de quoi tu parles.
Rafa: s'il te manque tant que ça, pourquoi tu n'es pas restée avec lui.
Moi : Rafael... je refuse de me disputer avec toi, si elle ne part pas...
Rafa: Elle reste.
Moi : mais à quoi tu joues Rafael ?
Rafael : tu es en couple et j'ai mon plan cul qui est là.
Moi : non, mais tu m'as prise pour qui ? Tu as couché avec cette femme, moi jamais, je ne l'ai fait, jamais. Putain pourquoi tu veux me faire du mal.
Carla : Rafael, c'est quoi ce cirque ?
Moi : ce cirque, je vais t'en donner moi du cirque.
Rafa: Elle reste ici et tu ne la touches pas. Abdou, tu peux l'amener dans l'autre salon.
Abdou: À quoi tu joues Rafa ?
Rafa: à rien.
Abdou: ok.
J'étais sous le choc tout ça parce que j'ai parlé à Abdel, je vais lui dire que c'est fini le jour même du regroupement.
Moi : Rafael, tu te fous de ma gueule. Thor, lève-toi ont sen va.
Il m'attrape le bras et je le bouscule violemment.
Moi : je ne suis pas ta pute ou je ne sais quoi, je ne reste pas ici si elle est là. Tu as dit quoi à mon père, je vais la rendre heureuse et le bla bla. Imbécile.
Rafael : non mais tu crois que ça fait quoi quand tu lui parles à l'autre là et qu'il croit qu'il peut avoir une chance avec toi ou je ne sais quoi.
Moi : je vais le quitter le jour du rassemblement. Tu n'as pas confiance en moi.
Rafael : tu m'as trahis, comment veux-tu que j'ai confiance en toi.
Moi : quand tu me baises partout dans la maison là, tu as bien confiance en moi. NE ME TOUCHE PAS.
Rafael : Amira, tu n'es pas à moi. Tu es engagé avec quelqu'un d'autre.
Moi : c'est éphémère. Je vais le quitter, mais il y a quoi encore ?
Rafa: tu ne sais pas ce que tu veux, tu ne me dis pas ce que tu veux, on est quoi nous deux.
Moi : t'es mon petit ami, mais plus maintenant après ce que tu viens de faire là.
Rafa: tu as deux petits amis alors.
Moi : JE N'AIME PAS ABDEL CEST TOI QUE J'AIME.
Rafael : et moi aussi, je n'aime pas Clara, mais moi au moins, je ne lui promets rien. Tu veux quoi de nous deux. Je t'ai dit que je voulais t'épouser, tu n'as rien dit. Tu veux au moins avoir des enfants avec moi ? C'est toi Amira, toi qui n'es pas fixé.
Moi : je ne veux pas d'enfant, pas présentement, mais purée, tu me vois avec un enfant en train de faire le travail que je fais. Peut-être dans deux trois ans. Et Rafael le mariage et moi, c'est deux affaires complètement différentes, on peut attendre.
Rafa: je n'ai aucune garantie avec toi. Tu ne sais pas où tu vas. Tu es juste sur ton boulot, ton boulot et je ne sais quoi, je ne serai pas le mec qui va rester là à attendre que tu rentres sans rien avoir comme garantie et si tu ne quittes pas ce mec, je te jure que c'est fini.
Moi : mais attend, tu crois quoi ? RAFA JE SUIS EN TRAIN DE ME BATTRE POUR QUE MA FAMILLE T'ACCEPTES, JE ME BATS POUR ÊTRE AVEC TOI. SI TU NE PEUX PAS ATTENDRE QUITTE-MOI.
Rafa: je te quitte.
Moi : ça fait trois fois, trois putain de fois que tu me quittes, une fois à Dakar, et deux fois ici entre hier et aujourd'hui. J'en ai marre, je m'en vais.
J'arrive vers les escaliers.
Moi : tu sais, c'est quoi ? C'est parce que je t'ai dit que je t'aimais que tu me fais du mal comme ça. Je ne suis pas prête, j'y vais doucement, et tu me quittes pour des débilités. Je n'aurais jamais dû te dire que j'étais amoureuse de toi, car vous utiliser ça toujours contre nous. Tu...
J'éclate en sanglot et m'assois sur les escaliers. Je ne veux pas partir. Je ne le comprends pas. Je ne suis pas prête, je ne peux pas avoir un enfant maintenant, je ne souhaite pas me marier en ce moment. En plus il y a trop de choses à régler avant de faire ça. Il ne se rend pas compte des risques que je prends. Il y a des formalités, son nom de famille ne peut pas être sur mes papiers, c'est trop délicat. Il faut que je règle tout avant.
Et il y a cette salope juste à côté et ça me rend malade de savoir qu'il a couché avec elle.
Je ne sais pas pourquoi il est jaloux comme ça. Putain, je ne ressens rien pour Abdel. Je suis avec lui pour des informations. Il a les meilleurs dossiers et c'est avec son aide que je fais bien mon travail.
Je monte les escaliers et entre dans notre chambre. Je retire tous mes habits du dressing. Et range mes valises. J'enlève sa chemise et son boxeur. Je prendrai une chambre d'hôtel. Et je me doucherai là ba. Je mets un jean t-shirt et récupère ma valise et mon coffre qui contient mon arme. Je les dépose devant la porte de la chambre.
J'entre dans le dressing et prends un de ses chemises pour garder ça avec Mali. Je me retourne et tombe nez à nez avec lui.
Rafa: je suis désolé.
Moi : non. Thor lève-toi, on s'en va, rend moi mon passeport tout de suite.
Rafa: Amira, j'étais jaloux. Je suis désolé.
Moi : je refuse tes excuses, rend moi mon passeport.
Rafa: Amira, cette situation me rend malade.
Moi : dégage de mon chemin Rafael.
Rafa s'approche de moi pour me prendre le bras, je le pousse très fort.
Moi : ne me touche pas, je te dis. Trois fois. Tu m'as traité comme une moins que rien devant cette salope en plus. Ne me touchés plus jamais.
Il s'approche de moi et me prend la main.
Moi : je te déteste, ne me touche pas.
Rafa: je t'aime.
Moi : non.
Rafa: pardonne-moi ma jalousie s'il te plaît. Je sais que c'est trop rapide pour toi, mariage et enfants, mais Amira, je me suis déjà imaginé ma vie avec toi. Je sais ce que je veux avec toi.
Moi : je vais rentrer ce soir, je vais me chercher un billet pour moi et Thor.
Rafa: Amira s'il te plaît.
Moi : je... tu fais exprès de me faire du mal. Et moi conne que je suis, je suis toujours ici.
Rafa: bébé, je n'aurai pas dû me comporter comme ça. Je ne veux pas que tu partes.
Il m'attire contre lui. Qu'est-ce qui m'arrive.
Point de vue de Rafael.
Je pense que je lui ai vraiment fait du mal. Ses larmes coulaient toujours, je ne suis pas quelqu'un pour elle. Cette jalousie me rend complètement malade.
Je n'aurais jamais dû lui parler comme ça devant Carla. En plus je suis trop bête en plus avec ce que son père m'a dit, j'aurai dû comprendre ça. Mais j'étais tellement jaloux que je n'ai pas pensé à ce que j'étais en train de lui dire.
Elle : tu n'as pas le droit de me faire du mal et de me laisser comme ça. Tu me quittes tout le temps. Cette fois-ci c'est moi qui pars j'en ai complètement marre. C'est pour ça que je ne voulais pas te parler de mes sentiments. Je n'aime pas Abdel, et tu le sais très bien.
Moi : je sais. Je suis un idiot. Un gros con.
Elle s'avance pour sortir, mais je lui tire le bras.
Moi : pardonne-moi.
Je rapproche mon visage près du sien et frôle ses lèvres avec les miennes. Cette tension sexuelle entre nous s'amplifie à chaque fois.
Moi : excuse-moi bébé. Pardonne-moi je déteste savoir que quelqu'un d'autre est attaché à toi.
Elle : c'est toi que j'ai choisis, ma mère me renier c'est toi que j'ai choisis, j'ai menacé mon gouverneur pour avoir cette relation avec toi. Et toi tu me dis je te quitte comme ça, mais attend, je suis trop gentille depuis tout à l'heure.
Oh putain, on va se disputer encore.
Elle : MAIS TU TE PRENDS POUR QUI ?
Je disais quoi ?
Elle : NON MAIS DEPUIS QUAND JE SUIS UNE CHOCHOTTE AVEC TOI, TU ME QUITTES C'EST TON FOUTU PROBLÈME. TU SAIS COMBIEN D'HOMMES CRAQUENT POUR MOI, JE SORS ET JE FAIS CRAQUER TOUS LES MECS DE TON QUARTIER EUX , N'OSERONT MÊME PAS ME QUITTER.
Elle avance devant moi. Je ne pouvais pas la laisser partir.
Je l'attire à moi et écrase mes lèvres contre les siennes. Putain c'est la relation la plus torride et la plus bizarre de toute ma vie.
Elle ne répondait pas à mon baiser, elle veut vraiment me faire payer.
Moi : tu ne bouges pas d'ici.
Elle : essaye de m'en empêcher pour voir.
Je la porte et la plaque contre le mur.
Moi : tu restes ici.
Je l'embrasse à nouveau cette fois-ci, elle répond à mon baiser, j'en profite pour lui enlever ce t-shirt. Elle tire rapidement sur mon peignoir. Et me repousse avant de se mettre à genoux devant moi. Putain.
Elle sourit et me prend dans sa bouche, ses yeux dans mes yeux. Je n'arrivais plus à parler.
J'empoigne ses cheveux dans ma main.
Elle me prend en gorge profonde et cette fois-ci c'est moi qui hurle. Putain comment elle fait ça. Elle continuait de me pomper en remontant, elle commence à caresser mes bourses. Je commence à plus donner des coups de reins dans la bouche, c'est si bon.
Elle s'arrête et se relève.
Moi : tu joues à quoi là?
Amira : je vais descendre fracasser la gueule de ton ex là, cherche un moyen de te faire pardonner, rend moi heureuse et bats-toi pour moi. Et Rafa, si tu me refais ça à nouveau ou me quittes à nouveau. Je te jure que tu ne me reverras plus.
Elle remet son t-shirt et s'approche de mes lèvres pour me mordre tendrement la lèvre inférieure. Putain, elle me rend complètement malade.
Amira : je suis plus toxique que toi, arrête de me chercher. Ce n'est pas parce que je t'aime que je te permettrai de me faire du mal.
Bisous.
Je pensais à créé un compte insta pour les livres pour qu'on discute la ba directement.
Et en passant, il reste deux chapitres pour la partie 2 et ensuite, ça sera la dernière partie du livre. Le tome trois d'addiction: Terre est devenue glace.
Je vous fais pleins de bisous ❤️
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