Chapitre 22: haute tension
Il me fait un grand sourire.
Rafa: bien sûre que tu es à moi.
On arrive à l'aéroport après avoir montré nos papiers et tout le bla bla. Je m'installe dans le jet avec lui et abdou.
Rafa: je te conseille de dormir avant Rio.
J'avais compris où il voulait en venir.
Moi : je n'ai pas pris de pilule, euh, je ne me suis pas protégé.
Il me fait un petit sourire.
Rafa: je sais, si tu es enceinte moi ça m'arrange.
Moi : moi ça ne m'arrange pas du tout, ma mère va me tuer et mon équipe aussi. Mais je ne pense pas l'être. J'ovule dans une semaine d'après mon application.
Rafa: ça va alors que je n'ai aucune envie de porter un foutu préservatif. Je vais appeler le médecin, il viendra en même temps dès qu'on sera à Rio.
Moi : ok.
L'avion décolle quelques instants plus tard.
Moi : je vais me coucher.
Je rentre dans la petite chambre et je me couche, j'étais épuisé vraiment.
Point de vue de Rafa.
Abdou: putain, tu es réellement accro.
Moi : je sais. Une fois à Rio, je l'amène à la soirée rouge.
Abdou explose de rire.
Abdou: attends-vous vous arrêtez par moment ?
Moi : je n'ai aucune envie de m'arrêter, je veux tout le temps lui faire l'amour. Chaque instant. Putain, tu peux réellement pas comprendre. Tu la vois comme ça, c'est pas une sainte. Mais pas du tout, j'ai perverti cette femme sur tous les sens des termes.
Abdou: j'ai rencontré quelqu'un, il y a deux mois, c'est la fille dont je t'avais parlé.
Moi : oui du coup vous deux ?
Abdou: elle ne sait pas ce que je fais. Et elle est trop jalouse, ça m'énerve.
Moi : je te conseille absolument d'être honnête si tu l'aimes bien.
Abdou: je l'aime bien, je verrai de toute façon d'ici à deux à trois mois si elle est fiable. D'ailleurs, elle va bientôt repartir, tu vas faire quoi ?
Moi : on bossera, c'est tout.
Abdou: tu vas l'attendre ?
Moi : oui, je l'attendrais peu importe le temps que ça prendra.
Abdou: Waouh tu es extrêmement amoureux. Je ne pourrais jamais me mettre avec quelqu'un qui fait un peu ce qu'on fait, car elle n'aura jamais de temps.
Moi : je sais bien. Elle est spéciale. Sa grand-mère me valide, mais sa mère me déteste.
Abdou: la mamie a l'air super gentille, la maman par contre, elle ne va pas te laisser sa fille aussi facilement.
Moi : je sais bien. Mais elle devra, car je ne compte pas laisser sa fille. Elle a fait un truc hier, ça m'a marqué.
Purée quand elle s'est retournée et qu'elle m'a montrée son dos et s'est couché sur la table pour que je voie tout son cul devant moi. J'ai la banane rien qu'en y repensant. Cette fille me rend complètement dingue. Elle fait de moi ce qu'elle veut. La voir luisante, ma queue recouverte par mouille. Oh merde. Je suis vraiment foutue. Je ne vais pas tenir, elle part pour six mois.
Abdou me fixait avec un grand sourire.
Abdou: tu te remémorais vos parties de jambes en l'aire, RAFA, merde, tu es réellement dans la merde.
Je pince les lèvres avec un petit sourire.
Moi : je sais bien.
Abdou: Omar m'a dit qu'il ressent la même chose avec sa femme. C'est pour cela qu'il est toujours en retard. Mais il faut que vous vous ouvriez l'un à l'autre. Il y a pleins de côté sombre que tu ne lui dis pas. Et elle a l'air de vivre bien pire. La première fois que j'ai tué quelqu'un je n'ai pas dormi. Tu sais toi, tu tues pas des enfants, mais l'armée ça bombarde des villages, ça brise des familles. Et si c'est elle qui prend les décisions comme le dit Baker, ça doit peser lourd sur sa conscience.
Moi : je sais, elle est super sensible et dure à la fois, je vais essayer de lui parler. Même pour assumer qu'elle était amoureuse de moi, elle était en train de pleurer tellement ça lui coûtait de le dire. Elle m'a révélé si je te révélai ça tu auras dû pouvoir sur moi. Tu pourras faire de moi ce que tu voudras, tu me feras souffrir. Mais elle ne se rend pas compte que c'est elle qui fait de moi ce qu'elle veut.
Abdou: ça je suis bien d'accord, tu étais malade après le procès. Tu étais une vraie loque humaine. Tu n'arrêtais pas de faire du sport, tu tuais les gens comme des mouches. Jusqu'à ce que tu la revoie à Washington et qu'elle te tire dessus, je pensais même que tu avais réalisé que tu l'aimais, mais non sombre idiot toujours pas. Jusqu'à ce que tu la voie avec ce type. Ce soir-là, tu t'es enfermé sur toi-même, j'ai compris. Que tant qu'elle ne te revenait pas, ça n'irait pas mieux. Tu vois que tu n'es pas le seul psy du groupe.
J'éclate de rire.
Moi : j'aurais voulu que mes parents là rencontrent. Mon père serait sceptique à cause de son boulot, mais ma mère l'adorerait.
Abdou: ils me manquent aussi. Bon, j'ai des nouvelles de Fara, il pensait que tu voulais prendre des territoires alors que tu étais là juste pour l'opéra. Donc c'est réglé, et euh Clara a dû refaire son nez à nos frais bien sûr et elle demande après toi. Alors ?
Moi : Clara, tu la renvoies chez elle et tu la fais taire, je n'ai aucune envie que l'autre folle là, là tabasse à nouveau. Et Fara, qu'il ne me tente pas, car lui prendre son commerce ici sera pour moi très simple. Tu reparles à Tyrique, je veux un entraînement complet pour tous les mecs et demandes leurs s'ils ont des copines je n'en sais rien moi. Si oui et qu'ils veulent déménager, je leur donnerai à tous un appartement.
Abdou: ok, je ferai ça. Je vais dormir Rafa, je suis épuisé.
Moi : moi, moi aussi, je rejoins mon coussin.
Abdou: Imbécile.
J'entre dans la petite chambre et la retrouve endormie comme un bébé. Je me couche à côté d'elle et là regarde dormir.
Elle est si calme comme ça alors que c'est la pire peste qu'on est vu.
Je prend ses bras et les mets autour de moi afin de me coucher contre son ventre.
On arrive à Rio vers 17 heures. J'étais remise et en forme et Amira avait dévoré son petit déjeuner.
Abdou: je vais y aller. La voiture vous déposera directement à la soirée rouge. Je vais aller la voir (sa copine)
Moi : d'accord à toute mec.
Amira : qu'est-ce que c'est que la soirée rouge ?
Elle avait du chocolat sur ses lèvres. Je la caresse avec mon doigt et récupère le chocolat sur ses lèvres et je lèche mon doigt.
Amira : ce que tu me fais là, c'est une torture.
Moi : tu la veux ou ces doigts.
Amira : entre mes cuisses.
J'ouvre la bouche sans faire exprès, elle n'avait aucun filtre.
Moi : non.
Amira : je vis dangereusement.
Rafa: tes seins ont grossi, j'aime bien quand c'est gonflé.
Moi : il n'y a pas que mes seins qui sont gonflés.
J'éclate de rire.
Moi : ah oui ?
Elle prend ma main sous la table et les mets entre ses cuisses en plein dans un restaurant.
Elle : ça aussi, c'est gonflé, tu veux que je te supplie, je te supplie quand tu veux. Mais je t'en prie quittons ce restaurant, je n'ai pas faim de nourriture.
Moi : l'addition s'il vous plaît. Elle remet ses chaussures sous la table et se relève pour me fixer.
Amira : en sortant, tu devras te coller à moi, tu as la banane.
Elle éclate de rire.
Amira : à croire que je ne suis pas là seule de nous deux qui se trouve dans le pétrin. Tu veux que je t'aide?
Elle me caresse à travers mon pantalon. Le serveur arrive et nous regarde, mais on s'en fichait. Personne ne voyait ce qu'elle me faisait sous la table. Je vais mourir jeune avec cette fille. Et c'est moi qui l'ai rendu comme ça.
Elle se lève et se met en face de moi. J'entoure mes bras autour de sa taille et on sort du restaurant pour rejoindre la voiture.
Elle s'installe sur mes cuisses alors Richard mon chauffeur nous conduisaient.
Amira : tu es bien calme.
Moi : je t'avais dit que je te ferais payer tes bêtises, celle-ci en fera partie.
Amira : je sais monsieur Diagne.
Putain, elle est trop sexy, trop belle et elle m'appelle monsieur. Ma queue ne tenait plus dans mon pantalon.
Je la retourne pour qu'elle soit assise de sorte qu'on soit face à face, ses jambes de par et d'autre de moi. Elle s'installe sur mon érection, je vais la tuer aujourd'hui.
Elle se frotte tendrement contre moi. Je vais vraiment la tuer.
Moi : je vais tellement te baiser que tu ne pourras même plus quitter le lit.
Elle s'approche de mon oreille et la mordille.
Moi : Amira...
Amira : Elle, je veux que tu me prennes sans relâche, je veux sentir ta queue au plus profond de mon âme, je veux sentir ta bite tressautait en moi quand je me ressers autour de toi. Je désire te voir Rafa, je souhaite que tu me donnes tout, punis moi comme tu le voudras.
Je n'arrivais plus à parler, elle l'avait dit si doucement. Elle redescend de mes cuisses et je remarque la moiteur de ses cuisses.
Moi : Richard, on arrive dans combien de temps.
Richard : dans deux minutes.
Moi : toi si je ne te tue pas aujourd'hui, je ne m'appelle pas Rafael.
Je ne sais vraiment pas ce qui lui arrive dernièrement, elle semble très audacieuse. Mais elle est tellement sexy.
On arrive dans le parking et je l'aide à descendre de la voiture. Avant d'entrer dans l'ascenseur. La tension sexuelle entre nous était si intense que nous n'arrivions plus à nous contenir. L'ascenseur s'arrête au dernier étage et la même scène se présente devant moi. Certains étaient nus dans les canapés, d'autres étaient en train de s'embrasser. Je la porte pour qu'elle enroule ses jambes autour de ma taille avant d'écraser mes lèvres contre les siennes, lorsque sa langue chaude entre en contact avec la mienne, je voulais juste déchirer cette robe, mais je la jalouse trop, je ne veux que personne ne voit ce qui me rend aussi fou de désir.
J'ouvre la porte de notre chambre et ferme derrière elle. Le cuir rouge était intact, me rappelant la première nuit que nous avions eue ici.
Elle aspire ma lèvre inférieure et la relâche en me fixant, c'est bon, on a perdu Amira.
Elle observe la chambre.
Amira : il y a un truc qui a changé ici.
Je me mets dans un coin de la chambre.
Amira : je ne sais pas. Il y a un truc bizarre.
Moi : déshabille-toi.
Amira : tu sais quoi, on peut rentrer à la maison. Je faisais que blaguer dans la voiture.
Elle veut fuir, mais fuir pour aller où dites-moi.
Moi : dans la voiture ? Au restaurant ? Tout ça c'étaient des blagues.
Elle : euh oui.
Moi : déshabille-toi Amira Ly.
Elle : tu sais moi, je t'aime.
Moi : je sais que tu m'aimes.
Elle: euh, mais là, j'ai peur de toi. Tes yeux ne sont plus les mêmes.
Point de vue d'Amira.
C'est moi qui jouais à miss sexy, il va me déboîter aujourd'hui. Je ne regardais plus son pantalon, c'était trop gros. Il fallait que je m'enfuie d'ici.
Il s'approche de moi et me tire pour que je sois collé à lui.
Moi : Rafael.
Il ne me laisse même pas finir et déchire ma robe.
Rafa: je t'ai demandé de te déshabiller, ce n'était pas claire, je pense.
Je n'arrivais même plus à parler. Il retire mon string et le jette dans un côté de la chambre maintenant, je veux savoir, je vais rentrer comment.
Il soulève mes bras. Je ne protestais plus.
Il les attache vers les sangles du lit, j'arrivais à me retourner, mais à ne tirer dessus, là, j'étais bien bloqué.
Rafa: arrête de bouger.
Il me porte , il tire sur les sangles du lit et attache mes jambes de part et d'autres en m'obligeant à les écarter. J'avais les mains attaché les fesses en l'air et les jambes retenus par des sangles.
Il enlève sa chemise et reste en pantalon. Il est trop sexy.
Rafa: ouh, qu'est-ce que je vois là.
Il se met entre mes cuisses.
Rafa: mademoiselle Ly... à qui appartient cette moiteur ?
C'était tellement érotique que je ne voulais même pas plus parler. Il passe sa main dans ma fente et me caresse délicatement, me faisant gémir. Sentir ses doigts froids contre mon clitoris était aussi délicieux que je ne l'avais espéré toute la journée. Il insère deux doigts en moi me faisant gémir encore plus fort, il commence à me caresser de haut en bas.
Il déboutonne son pantalon. Et s'approche de moi alors que j'avais les fesses a l'air, rien à quoi m'accrocher. Il me pénètre durement. Oh merde.
Il était si gros et si long que je n'arrivais plus à respirer.
Il commence à bouger lentement en moi, tandis que je commençais à prendre mon pied, il se retire de moi. Frustrée, j'étais frustré.
Rafa: c'est de ça dont je parlais lorsque je t'ai dit que je voulais m'enduire de ta moiteur. Tu ne parles plus ?
Je n'arrivais plus à formuler un seul mot qui est cet homme ? Ce n'est pas mon Rafa qui a pitié de moi en tout cas. Comment il peut me faire ça. Je me sens complètement désorientée. Il s'approche de mon visage et m'embrasse délicatement sans jamais me laisser le temps de savourer.
Il ouvre un tiroir et sort une boîte avant de sortir un vibro télécommandée merde.
Il l'insère en moi. Et clique sur un bouton, je ne réalise que lorsque je sens mon vagin se contracter dans un déferlement de sensation je n'arrivais plus retenir mes cris. J'avais les fesses en feu. Et plus j'essayais de me débattre, plus, il me martelait le cul.
Mais lorsque je sens sa langue contre mon clitoris, plus rien n'existait. Il me léchait de haut en bas en me goûtant encore et encore, sa langue était tellement chaude et le vibro caressait encore mes lèvres intimes.
Il enlève le vibro et le remplace par ses doigts, j'essayais de serrer les jambes.
Moi : ARRÊTE ! Rafa... oh purée... je ne te provoque... Plus...
Il continue de me lécher encore et encore. Sa langue se referme sur mon bouton d'amour que je ne voyais pas, mais je suis sûre qu'il gonfle encore, encore et encore. Lorsqu'il me suce. J'hurle dans les draps en essayant de me calmer, mais j'avais tout le corps qui tremblait d'excitation.
Je n'en pouvais plus, c'était une torture. J'avais mal aux cuisses, mal aux fesses. Et j'avais l'entrejambe en feu.
Je sentais la délivrance arriver lorsque sa bouche quitte mes cuisses.
Moi : ARRÊTE DE ME FAIRE ÇA.
Il rigole et me regarde amoureusement.
Moi : DÉTACHE-MOI.
Rafa: non. Laisse-moi me réchauffer un peu.
Il se remet entre mes cuisses, je ne pouvais même pas lui empêcher,
Il me pénètre à nouveau, si intensément que je jouis sans plus me retenir. Il soulève mes hanches et me prend encore plus profondément. Il commence à onduler les hanches pour aller à ma rencontre me laissant sans souffle. Sa main empoigne mon sein gauche et la titille.
Je vais vraiment m'évanouir. Il me remplit encore et encore alors que je n'arrivais même plus à bouger.
Rafa: putain, j'adore voir comment tu te resserres autour de moi.
Entendre sa voix rauque ne me ne m'aidait pas calmer l'incendie entre mes cuisses. Il prenait trop son temps, c'était une torture. Il entrait si lentement et ressortait si lentement en moi. Je regarde le plafond et vis que le miroir de verre était toujours là.
Je gémis lorsque je le vis la lui et sa longue queue entrer et sortir en moi. Je n'en revenais pas. Sa façon de remuer les hanches. On dirait que j'avais été créé pour lui, que j'étais fait pour lui.
Il se retire doucement et s'approche de mes lèvres. Je n'arrivais plus à me calmer. Lorsque je resserre mes lèvres autour de lui et que je le goûte, j'étais sur une autre planète. Il entre et ressortait de mes lèvres contre, je n'arrivais plus à me retenir. C'était tellement bon. Je le prends encore et creuse les joues afin de le sentir encore plus profondément. Il empoigne mes cheveux. Et commence à me baiser la bouche, il y allait vraiment vite, c'était si bon.
Je n'avais même pas le temps de respirer qu'il redescend et me pénètre à nouveau. C'était frustrant autant pour moi que pour lui.
Il commence à me donner les coups de boutoir, le plaisir marque ses traits ses épaules, son visage, je sens ses doigts me caresser causant ainsi ma perte, il me pénètre encore plus profondément me faisant hurler dans les draps. Je ne sentais plus mon corps, tout c'était concentré entre mes cuisses. Cette image de Rafa en train de me faire l'amour, me coupe le souffle.
Je l'ai attendu toute la journée, je rêvais de ce moment-là. Il me prenait sans retenue.
Il enlève les sangles de mes jambes et elle se resserre rapidement autour de lui.
Rafa: oh merde t'es tellement bonne.
Moi : Rafael...
La sensation lorsqu'il gonfle en moi, la manière dont il me remplie.Je hurle dans ses oreilles en gémissant de plus belle, je me cambre et lui donne tout. Je jouis en tremblant de la tête au pied.
Rafa: putain Amy...
C'est la première fois qu'il m'appelait comme ça. Mon cœur explosait autour de lui. Il jouit et je le sens jusqu'au plus profond de mon cœur, il avait atteint mon poing G. Je n'arrivais plus à respirer, il était toujours aussi chaudement dure en moi.
Je réalise qu'il n'en a pas fini avec moi. Il enlève les liens sur mes poignets. Et me porte comme ça. Je n'arrivais pas à être debout.
Il me plaque durement contre le mur, j'étais une vraie marionnette, il me prenait tellement fort que je le ressentais dans toutes les profondeurs de mon corps.
Il m'amène devant le miroir et me fait descendre avant de s'installer sur une chaise en face du miroir. Sa bouche se referme sur mon téton, ses lèvres roses et son beau visage prenaient tout de moi. Sa bouche remonte dans mon cou, il m'embrasse encore, et s'attarde sur mon oreille.
Moi : Rafael...
Il m'attire vers lui à nouveau et s'enfonce à nouveau en moi.
Moi : Rafael...
Rafa: tu me rends complètement fou. Il commence à bouger à nouveau en moi en resserrant mes fesses pour que je le laisse entrer encore plus profondément en moi.
Ses mains titillant mes seins et sa bouche embrassant la mienne, je jouis à nouveau. Il me suit quelques instants plus tard. Il me porte et on se couche comme ça sur le lit alors que je n'arrivais plus à déplacer et je savais que ce n'était pas fini.
Il me serre contre lui en respirant contre moi. Il me fixe dans les yeux, et me fait un doux smack.
Moi : plus jamais je ne te provoque.
Il éclate de rire.
Rafa: putain, tu m'as chauffé durant toute la journée.
Moi : tuaimes ça non ?
Rafa: j'adore ça.
Il me serre dans ses bras.
Rafa: on parle toujours de mon travail, jamais dû tiens.
Moi : honnêtement ce n'est pas si génial parfois, je prends des décisions qui font beaucoup de mal. Et le ministère de la Défense nous dit vous vous êtes battu pour votre pays alors que j'ai demandé à ce qu'on largue une bombe dans un village, j'ai fait tuer des gosses qui n'ont rien demandé. De temps en temps, tu as juste envie de déposer ton arme et leurs dire, je me retire.
Rafa: mais tu aimes ton boulot ?
Moi : oui, j'adore mon boulot.
Rafa: je ne vais pas te juger, je ne suis pas un saint et tu le sais. Arrives-tu à dormir?
Moi : au début non, à chaque fois que je rentre de mission, j'ai besoin d'une semaine, c'est ma semaine de torture mentale. Je culpabilise, je pleure, je me bats avec moi-même et après ses quelques jours, c'est fini, je passe et je dors comme un bébé. Ce n'est pas simple de rentrer et de voir ça, ce qu'on voit, c'est pire que ton boulot, je te jure. Tu en es traumatisé de temps en temps.
Rafa: mais cette fois-ci, tu n'as pas eu ta semaine. Parce que je t'ai encore kidnappé.
Moi : je m'en foutais, en plus, tu me manquais.
Rafa: après Mon procès, tu as dit avoir des problèmes ?
Moi : j'ai été sermonné comme jamais, je ne l'ai été de toute ma vie, j'ai eu honte, vraiment honte. D'ailleurs, j'ai arrêté avec cette division après toi. La CIA ce n'est pas un cadeau. Bon arrêtons de parler de mon boulot. Imagine, on vit ensemble ?
Rafa: si on décide de vivre à deux, je prends un appartement ou un truc dans le genre et je ne sais pas moi, on doit s'organiser.
Moi : règle numéro un, je ne fais pas 50/50 côté responsabilité financière jamais. Tu t'occupes de moi. Je t'aime, mais mon argent, c'est le mien, on ne combine pas. Je veux bien vivre avec toi, mais je ne suis là que très rarement. Et toi, tu voyages tout le temps donc bébé, c'est compliqué, autant attendre d'ici à quelques années avant de chercher un appartement pour nous deux ou une maison.
Rafa: il faut qu'on se retrouve pourquoi pas l'appartement en Barbade ?
Moi : c'est très bien. Parfois, je reviens d'un voyage de six mois et j'ai une seule journée de libre.
Rafa: une seule journée où je serai là.
Moi : d'accord. Je suis désolé de te faire vivre ça.
Rafa: on a deux boulots complexe, je comprends.
Moi : tu me rends heureuse Rafa,
Il me fait un petit sourire et enfouit sa tête dans mon cou.
Rafa: je ne suis heureux qu'avec toi.
Il m'approche de lui afin de resserrer sa prise.
Mon téléphone se mit à sonner. Je descends rapidement du lit et vit que c'était Abdel. Oh putain.
Je décroche et m'assois dans un coin du lit.
Moi: coucou toi.
Abdel : bonjour bébé. Tu vas bien ?
Moi : je vais bien et toi ?
Abdel : je vais bien. Je pars la semaine prochaine, d'ailleurs, on se verra le jour du regroupement.
Moi : où vas-tu ?
Abdel : j'ai quelques dommages collatéraux à régler.
Il doit aller éliminer une cible.
Moi : d'accord, et le Mexique ?
Abdel : finalement ce n'est plus moi, je n'ai pas une ligne sécurisée, je t'expliquerais. Il va y avoir des soucis à Bagdad.
Moi : je sais, je vais même éviter d'y penser.
Abdel : en tout cas, c'est très stressant. Je vais te transférer un dossier, étudie le pour moi et donne-moi les zones d'hombres.
Moi : d'accord envoie sur mon mail.
Abdel : je t'embrasse bisous bébé.
Moi : bisous.
Je me retourne pour voir un Rafa prêt à me sauter dessus.
Moi : écoutes...
Rafa: tu quittes ce type ou c'est fini nous deux.
Moi : Rafael, il me donne pleins d'information.
Il se relève et s'habille sans même un regard.
Rafa: habille-toi, on rentre.
Moi : Rafa, je t'en prie. Et puis je n'ai pas d'habits, tu as déchiré ma robe.
Il enlève sa chemise et me la donne, je remets mes sous-vêtement et porte sa chemise.
Rafa: tu pourrais faire vite. Et tu quittes ce mec, je ne suis pas ton petit con avec qui tu fais ce que tu veux, tu quittes ce mec.
Moi : Rafa...
Rafa: NON, TU QUITTES CE MEC OU C'EST FINIS.
Moi : je le quitte, arrête de faire cette tête, c'est toi que je veux.
Mom téléphone se mit à sonner à nouveau.
Moi : coucou Isham.
Isham: on a un problème.
Moi : Quel problème ?
Isham: ta mère est à Washington.
Moi : ok, elle est là ba pourquoi ?
Isham: elle a demandé rendez-vous avec le colonel.
Moi : putain pourquoi ?
Isham: je pense que ta mère vient d'informer le gouvernement de ta relation avec Rafael.
Moi : OH MERDE.
Bisous ❤️
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