Chapitre 21: drapeau blanc
Je l'observe, je n'arrivais vraiment pas y croire. Elle m'aime. Moi ?
Moi ? Une partie de moi le savait. Mais lorsqu'elle le dit, c'est encore plus poignant.
J'étais tétanisé, purée, je donnerais ma vie pour cette femme. J'étais encore sous le choc.
Amira : dit quelque chose, je t'en supplie. Je... n'ai jamais fait ça... je n'ai jamais aimé le quelqu'un...
Elle baisse les yeux et se dirige vers la porte. Je pense qu'elle voulait fuir cette situation. Elle remarque que c'est fermé.
Elle revient s'asseoir. En jurant.
Putain, elle m'aime. Je tue des gens, je ne suis pas la loi. Mais elle m'aime moi.
Je me rappelle la phrase qu'elle m'avait dite un jour.
~ Mon univers n'est pas le mien si tu n'es pas là.~
Je la vis venir vers moi, elle me prend par le menton pour que je la fixe.
Amira : et puis merde, tu prends trop de temps.
Elle écrase ses lèvres contre les miennes. Putain. Une année. Il a fallu une année pour qu'on revive ça.
Je la serre contre moi. Et taquine sa langue, elle entre, ouvre les lèvres pour que j'aie plus d'accès à elle. J'aspire sa lèvre inférieure. Elle gémit tendrement contre mes lèvres.
Sa langue allait et venait dans ma bouche. Je grogne contre elle. Mes mains descendirent sur ses fesses, oh mon Dieu, quelle femme ! Je les presse tendrement contre moi pour
lui faire sentir mon érection contre
Son ventre. Je ne savais plus où j'étais. Je grogne à nouveau contre sa bouche, je n'arrêtais pas de m'embrasser, je sentais ses mains sous ma chemise.
Je la porte et les mets sur le bureau alors qu'elle me déboutonne les boutons de ma chemise. Même si j'essayais de me frayer un chemin sous sa robe. Lorsque ma main caresse sa fente, je me rends compte qu'elle n'avait pas de culotte.
Je ne pouvais plus me calmer. Je la pénètre tendrement de mes doigts. Putain, elle est tellement mouillée, je ne pouvais plus respirer normalement. Ma queue ne tenait plus dans ce pantalon, il voulait juste s'évader entre ses cuisses.
Je ressortais mes doigts et entrer de nouveau en elle en la caressant tendrement. C'était vraiment simple, mes doigts se mouvaient en elle. Alors que nos lèvres continuaient de s'aimer. Je ne voulais plus arrêter ce baiser.
Elle souffle contre mes lèvres.
Amira : je t'en supplie prend moi maintenant.
Quand elle me supplie comme ça, quand je vois à quel point elle me veut. J'ai gagné au loto. Son sexe était si gonflé si remplie Putain.
Je n'avais même pas la patience de faire les préliminaires. Depuis qu'elle m'a dit qu'elle m'aime, je ne voyais qu'une chose me perdre en elle encore et encore jusqu'à ce qu'on est plus d'air. Je soulève sa robe jusqu'à sa taille et elle me retire rapidement ma ceinture et ouvre ma braguette.
Je baisse mon pantalon. Et les yeux dans les yeux. Je la pénètre tendrement sur ce bureau. Oh mon Dieu.
Elle crie contre mes lèvres. Je n'arrivais pas à y croire. Putain, c'est même mieux qu'avant. Je ne ressens ce déferlement de sensations que quand je lui fais l'amour. Je n'ai cette envie que lorsque je suis en elle. Toutes les terminaisons nerveuses de ma queue étaient en ébullition. Je voyais son vagin se resserrer autour de moi. Je n'avais plus d'air.
C'est elle qui me fait cet effet-là ?
C'est elle qui me rend comme ça...
Elle était tellement serrée. Mais putain comment c'est possible ?
Moi : attend bébé ? Tu ne couchais pas avec ton gars là où quoi ?
Elle : je ne l'ai... Ah... Rafa... jamais fait avec lui.
Moi : pourquoi ?
Je continuais à la prendre si profondément, alors qu'elle n'arrivait même pas à aligner une phrase correcte.
Elle : c'est toi... toi... que je voulais. ! Oh purée.
Je lui donne un gros coup de rein qui la fait basculer sur la table. Je tiens ses hanches contre les miennes et commence à onduler en elle. C'est si bon d'être en elle. J'allais et venais en elle alors que ses soupirs emplissaient toute la pièce.
Elle me repousse lentement.
Amira : attend... Oh putain, RAFA!!
Elle se relève les jambes tremblantes et se retourne, elle soulève sa robe et m'offre ses fesses. Le visage contre le bureau.
Putains. Et vous voulez que je n'aime pas cette fille.
Je la pénètre à nouveau. Et commence à lui donner des coups de reins sans ménagement. C'était trop fort, la façon dont elle m'acceptait, la façon dont je me voyais entrer et sortir en elle. La manière dont ses hanches me donnait tout.
Ses gémissements. Sa manière de dire mon prénom à chaque fois qu'elle gémit.
Je lui donne une grosse claque contre les fesses. Même ce bruit-là m'avait manqué. Je passe mes mains sous son ventre et atteins son clitoris. Je commence à la caresser sans pouvoir m'arrêter. Elle jouit en explosant autour de moi.
Je la rejoins et jouis profondément en elle. Nos deux corps en sueur. Et nos respirations étaient la seule chose que nous entendions dans cette chambre.
Moi : je t'aime Amira.
Le lui embrasse le dos et me retire lentement d'elle. Avant de la retourner pour qu'elle me regarde. Sans m'y attendre, elle me serre contre elle en passant ses bras autour de mon dos.
Elle : je t'aime Rafael.
Je la porte et la dépose dans le lit. Elle, je la serrais si fort. Je pense que je ne pourrais jamais me lasser d'elle de ce parfum. De ce regard
Amira : mes parents vont me tuer.
Moi : tu veux les appeler.
Amira : oui. Il faut vraiment que je leur parles.
Point de vue D'Amira.
Je lui ai dit que je l'aimais. Et on a fait l'amour. Je n'arrivais pas à y croire. Sauf que là, je suis très mal barré. Ma mère va me tuer.
Il me donne mon téléphone, et me serre contre lui.
Je compose le numéro de ma mère, elle décroche après deux sonneries.
Maman : coucou mon ange.
Moi : coucou maman, comment tu vas ?
Maman : tu me manques mon bébé, je vais bien et toi.
J'entends la voix de ma nana en bas.
Mamie : ç'a été le red?
Moi : pas mal, on a rencontré des problèmes, mais tout s'est bien passé je voudrais vous parler, il est le papa?
Papa : je suis là bébé, tu vas bien ?
Moi : ça va, je suis amoureuse papa.
Mamie fit un petit rire dans le téléphone.
Mamie : c'est ton brésilien ?
Maman : non, je pense pas qu'elle soit assez folle.
Mamie : Putain tait toi Isabelle et laisse la vivre c'est ton mafieux là.
Maman : Amira, on te parle là ?
Moi : euh oui.
Maman : mais t'es folle, tu veux foutre en l'air ta vie ?
Moi : maman ?
Papa : il te rend heureuse ?
Moi : oui.
Papa : tu n'auras pas de problème ?
Moi : non si vous ne dites rien
Mamie : tu as 26 and Amira, tu es adulte, tu aimes qui tu veux et toi Isabelle, tu dois l'accepter, si le gouverneur te fait chier, j'ai des dossiers qui pourrait tous les faire démissionner de leur poste.
Maman : on avait dit qu'on utiliserait jamais ses dossiers.
Mamie : tu l'as dit pas moi. Je suis déjà tombé amoureuse d'un bandit et c'est de là que tu es née. Si ma petite fille aime cet homme, laisse-la. L'empêché ne fera que l'éloigner de toi Isabelle.
Maman : c'est non Amira, tu quittes ce mec, MAIS TU ES FOLLE OU QUOI ?
Moi : comment sa mamie ? Grand-père était à l'armée aussi, c'est ce que tu m'as dit maman.
Mamie : en plus tu lui as menti Isabelle. Il faut qu'on se voie.
Maman : tu quittes ce mec Amira... et toi Omar Ly, tu acceptes ça.
Papa : mais tu ne comprends pas qu'elle ne va pas le quitter, accepte le maintenant si tu veux avoir une chance d'avoir ta fille de ton côté. Moi, je m'en fiche s'il la rend heureuse ça me va. Il ne te fait pas de mal Amira ?
Moi : non.
Papa : je n'aurai pas pensé que tu tomberais amoureuse de lui. Mais si c'est le cas est-ce que si on te demandait de le quitter, tu le ferais?
Moi : non. Je l'aime papa. Et c'est lui que j'ai choisi.
Papa : j'aimerais lui parler.
Mamie : dis-lui de trouver du temps, j'ai des choses à lui dire avant que vous ne me pondiez des bébés.
Moi : quel bébé? Je suis même pas prête à avoir des enfants.
Maman : non, mais vous trouvez ça drôle. Amira, si tu ne quittes pas cet homme, je te renie.
Je me lève du lit et roule la couverture sur moi. Et je me dirige vers les toilettes.
Moi : maman, tu es sérieuse ? Il t'a fait quoi ?
Si tu commences à me menacer, ça ne va pas marcher.
Maman : c'est tout ce que j'ai à te dire. Si tu restes avec cet homme... il n'y a plus rien, oublie-moi.
Papa : Amira, laisse lui du temps.
Mamie : je t'appellera demain sur une ligne sécurisé ok ?
Moi : d'accord. Maman je t'aime, je ne veux pas de dispute ou je ne sais quoi entre nous.
Maman : il va me la prendre. Et CETTE CONNE PARLE D'AMOUR ?
J'entends des sanglots.
Papa : je vais lui parler.
Mamie : ton grand-père faisait partie de la mafia italienne. J'avais eu une pause, j'étais en vacances, je l'ai rencontré, je l'ai aimé, et ta maman est née. J'étais en même temps à l'armée. Quelque temps plus tard, il est mort dans un accident de voiture. Je ne m'en suis pas remis. Donc, elle m'en veut, de lui avoir donné un père qui est dans l'autre camp. Amira la vie est trop courte, si tu aimes ce mec, tu peux faire les deux. Vis en privée avec lui. Aimez-vous. Au travail sois excellente. Et quand tu seras déployée, bon bah aime l'encore et encore. Et tu auras toujours mon soutien. Si le gouverneur s'en mêle parle lui de clarisse, il la bouclera très vite. Ne te laisse pas abattre. Et ta maman laisse lui du temps. Elle pensait toujours que tu serais une fille parfaite sauf que tu suis malheureusement mes pas. Je t'aime.
Moi : merci mamie. S'il te plaît prend soin d'elle. Je l'aime. C'est toute ma vie. C'est... c'est ma maman... elle m'a sorti de toutes mes bêtises. Elle m'a sauvée la vie... je ne veux pas qu'elle me laisse tomber. Il ne veut pas me prendre à elle. Elle restera toujours mon numéro un.
Mamie : je sais bébé, mais elle est compliquée et tu le sais.
Moi : oui. Bon, je vais attendre demain pour rappeler. Je t'aime.
Mamie : moi aussi. Plus que tout au monde.
Je sors des toilettes toujours aussi perturbées.
Rafa: tu vas bien ?
Je le rejoins dans le lit et je m'assieds sur ses jambes en le serrant contre moi.
Rafa: il y a un opéra demain soir à milan, invite ta famille et on dînera tous ensemble.
Moi : ma mère ne viendra pas. Et mon père aussi même s'il a été plus tôt compréhensif. Ma grand-mère viendra. Il faut que j'appelle Isham.
Je compose son numéro.
Rafa: je ne veux pas être la raison pour laquelle tu perds tes parents. Je sais ce que c'est d'en avoir. Et ce que c'est de les aimer.
Moi : elle va comprendre afin, j'espère. Je ne te quitterai pas Rafael. Quoiqu'il se passe, je ne te quitterai pas.
Isham décroche juste quelques minutes plus tard.
Isham: putain, tu connais les heures je dormais Amira.
Moi : euh, je lui ai dit.
Isham: lui dire quoi ?
Moi : le truc des trois mots bizarre là, ce qu'on se dit quand on aime quelqu'un.
Rafa m'embrasse le dos.
Isham: ATTEND QUOI ? TOI, DIRE À UNE PERSONNE QUE TU L'AIMES MAIS JE RÊVE ?
Moi : tu ne rêves pas. Je veux être avec lui.
Isham: Amira, je ne sais pas, il y a un gros conflit d'intérêt là ? Ta famille, notre boulot, le gouverneur Barnet, le gouvernement même, le secrétaire d'État j'espère qu'il ne m'entend pas citer le nom de tous ceux pour qui on travaille.
Moi : non jamais, je ferai ça.
Isham: Putain Amira s'ils savent, je serai convoqué, tu veux perdre ton boulot, et tout ça.
Moi : non-purée, ils n'ont pas besoin de savoir.
Isham: tu oublies que nous n'avons pas de vie, soit on bosse, soit on est infiltrée dans d'autres missions, on n'a pas la même vie Amira.
Moi : je sais. Je veux juste pas qu'on l'apprenne, si ça se sait je te couvrirai. Je dirai que tu n'étais au courant de rien.
Isham: trouvez-vous un endroit, Pas Washington. Il y a trop de caméras, trop de menteurs. Et Amira s'il te rend bien, je suis ravi pour toi, mais s'il te pose des questions, tu fermes ta bouche, je suis claire.
Moi : très claire. Je n'ai même pas le droit d'en parler avec ma mère toi aussi. Je l'ai dit à ma mère pour Rafa.
Isham: Isabelle va te déshérite ça c'est sûre.
Moi : je sais. Mais je n'ai pas besoin de son argent avec tout ce qu'on a fait, j'ai assez de sou.
Isham: tu l'aimes vraiment ?
Moi : oui.
Isham: et Abdel tu ne peux pas quitter Abdel, tu le sais et je le sais.
Moi : je ne peux pas, à cause des infos qu'il nous donne. Je ferai semblant, je sais faire semblant, toute ma vie, j'ai fait semblant.
Isham: ok. Passe-moi ton mec là.
Moi : pourquoi ?
Isham: pssse le moi, je veux qu'il se rende compte du sacrifice que tu es en train de faire. Et qu'il ne se pointe pas à Washington. Qu'il ne te fasse pas suivre, nous sommes déjà sous surveillance, qu'il ne t'appelle que sur les lignes sécurisées et le reste, c'est entre mec. Passe le lui téléphone.
Je me retourne pour donner le téléphone à Rafa. Il me fait un sourire en coin. Mais comment il fait pour être tout le temps serin comme ça. Il se lève et entre dans le dressing.
Il sort une dizaine de minutes plus tard. Putain voir Rafael nue, c'est meilleur qu'une carbonara et pourtant sait que j'aime la carbonara.
Pourquoi je suis sans vergogne, je pense au sexe avec tous mes problèmes.
Moi : nana à quelque chose qui peut faire qu'on ne me fasse pas démissionner s'ils l'apprennent. Clarisse, tu es au courant.
Isham: j'étais là-bas, mais c'est secret défense même pour toi. Et toi la mission Gérard, tu étais là-bas.
Moi : oui, mais c'est secret défense même pour toi.
Isham: je sais, bon, c'est réglé, je te couvre. Profite et repose-toi. Je passerai te chercher. Je veux le rencontrer.
Moi : ok, profite toi aussi, Isham, tu m'en veux ?
Isham: non, j'en veux au destin de te mettre dans une telle situation. Mais je suis heureux quand tu les Amira. Et là, tu es heureuse, et moi ça, ça me rend bien, tu es ma famille, ne l'oublie pas.
Moi : je t'aime.
Point de vue de Rafa.
Je ne pensais pas que cette relation causerait tous ses problèmes. Surtout après avoir discuté avec Isham.
Elle était perturbée, ça se voyait à des kilomètres. Je la serre dans mes bras.
Amira : ma mère va sûrement reprendre son appartement à Washington même si je le paye aujourd'hui. Elle ne t'aime pas beaucoup.
Moi : je sais. Je suis désolé de te mettre dans une telle situation.
Amira : t'inquiète mamie et Isham me suffisent pour régler tout ça. Elle, je voudrais savoir un truc, ton argent, tu ne l'utilises comment. Tu le convertis comment.
Moi : j'achète des parts, je viens d'acquérir 40 % du capital d'une entreprise au États-Unis. Je ne te donnerai pas le nom. Et par la suite, je réinvestis. Et j'ai ma propre entreprise, c'est sectorisé dans l'informatique, c'est pour analyser les données fédérales, les votes et autres. Un peu comme l'hôpital, ce sont des couvertures.
Amira : c'est super bien ça, donc tu es un homme d'affaires. Je n'arrive pas à croire que tu m'aimes. Je n'y arrive pas, après tout ce que je t'ai fait.
C'est normal, que ce soit elle qui allume toute mon âme.
En fait, je lui ai dit que je l'aimais et j'ai toujours peur de lui redire. Car certes, elle pense que c'est moi qui la ferai souffrir, si elle m'aime un peu trop. Mais aujourd'hui si elle me quittait ou si elle me trahissait à nouveau. Je ne pense pas avoir assez de force pour y faire face.
Je suis devenu, un foutu sentimental.
Pourtant, ne pas me consacrer à l'amour était mon mantra. Mais elle, je l'aime tellement que putain même quand je la regarde, j'ai l'impression que mon cœur va lâcher. Est-ce que elle m'aime comme ça ? Je ne sais pas.
Moi : ce que tu m'as fait et ce que je t'ai fait, c'est fini, on passe à autre chose. Je veux rencontrer ta mamie demain à l'opéra, donne lui rendez-vous.
Elle : je ne suis jamais parti à l'opéra.
Moi : ce sera une première pour toi. J'ai envie de te refaire l'amour là. Mais j'ai un truc en tête. Tu peux attendre jusqu'à demain soir.
Amira : je n'en sais rien.
Moi : purée, je t'ai vraiment perverti.
Amira : il faut que je te parle de mon mec là.
Son mec, mais elle veut absolument que je me dispute avec elle. Suite à mon silence, elle continue.
Amira : euh, je ne peux pas quitter Abdel. Il y aura rien, mais je ne peux pas le quitter en ce moment. Il me fournit des informations en béton et je ne peux vraiment pas faire ça.
NON, MAIS JE RÊVE!!!
Amira : Rafa ?
Moi : il n'y a pas de Rafa qui tienne, mais t'es folle. Je refuse de te partager avec quelqu'un.
Amira : je ne vais pas le quitter, il y aura plus rien entre nous. Mais j'ai besoin de certaine info, il n'y a que lui qui puisse me les donner. Je ne m'entends pas bien avec les autres.
Moi : NON, tu ne retournes plus avec lui sinon je te jure que...
Amira : SINON QUOI ? TU VAS ME FAIRE QUOI ? DIS-MOI?
Putain en plus, elle se permet de crier.
Moi : je retourne avec l'autre conne de Carla.
Amira : ta blondinette là si tu ne veux pas la voir à la morgue approche-toi d'elle seulement, tu verras ?
Moi : JE VERRAI QUOI ? TU NE VAS RIEN FAIRE.
Elle : c'est parce que tu sais que je suis amoureuse de toi que tu parles comme ça là ?
Elle essaye de retourner la situation, putain, je la connais si bien maintenant. Et elle évite toujours de dire, je t'aime.
Moi : et toi, c'est parce que tu sais que je t'aime que tu te comportes comme une peste.
Elle : je ne blague pas, je te jure. Je ne veux plus jamais te revoir avec elle.
Moi : tu quittes l'autre là.
Elle : Rafa ce n'est pas pareil. Il me donne des infos, j'organise les attaques grâce à ses infos.
Moi : mets un truc, tu es toute nue bordel.
Elle : toi-même bordel, et je te rappelle que tu m'as déshabillé et que toi-même, tu es nu.
Elle s'assoit dans le lit et mettant la couverture sur elle.
Elle va vraiment me faire perdre la tête cette Sorcière.
Je m'approche d'elle et la tire vers le bout du lit.
Amira : qu'est-ce que tu fais ?
Moi : tu m'as donné faim.
J'écarte ses cuisses.
Amira : on vient de se disputer et tu me distrais avec... Oh RAFAEL.
Ses jambes se resserrent autour de mes épaules alors que ma langue là caressait.
Je passe ma langue en elle, elle gémit. Je m'en foutais que les autres nous entendent ce sont eux qui nous ont enfermé ici. .
Je l'aspirai avec conviction. Je montais et descendait. Ses cris résonnaient dans toute la chambre. Je la goûtais encore et encore et elle mouillait davantage.
Je continue à la caresser, ma langue en elle. De mes doigts, j'écarte encore plus sa fente. Un de mes doigts caresse son clitoris, moi, je la suce au fond en lui empoignant bien les fesses.
Je sens ses jambes tremblantes sur mon épaule, jusqu'à ce qu'elle commence à jouir encore en encore, j'enlève ma langue et commence à frotter les doigts là contre son clitoris, elle se tord encore plus contre moi et sans même la laisser respirer, je m'enfouis en elle. Putain, je suis accro.
Elle était si chaude, et si prête. Je commence à bouger en elle alors qu'elle me griffe le dos. Je continuais de la prendre tellement fort, si profondément. Je ne voulais plus m'arrêter. Je la sentais venir après plusieurs coups de rein, elle jouit en hurlant mon prénom même si je continuais de me délecter d'elle. Je la rejoins avant de m'écrouler contre elle. Je pourrais faire ça toute ma vie.
Amira : tu m'as vraiment manqué.
Je lui fais un smack.
Point de vue d'Amira
Moi : prend deux trois truc et change-toi dans le dressing tu as quelques habits la ba. On prend une douche et je demande à ce qu'on prépare l'avion.
Moi : donc tu étais sérieux avec l'opéra ?
Rafa: oui, je le suis.
Une heure plus tard, il appelle abdou, qui vient ouvrir la porte. Omar éclate de rire dès qu'il nous voit.
James : heureusement qu'il y a la musique du bal sinon on croirait qu'il y avait un deuxième bal là-haut.
Rafa : vous êtes nul, on part pour milan qui veut venir à l'opéra ?
Abdou: moi, je viendrai.
Omar : je gère la maison.
Rafa: ok, on rentre le soir même.
Abdou: cette fois-ci si tu le trahis je te jure que c'est moi-même qui m'occuperai de toi.
Il avance pour descendre les escaliers.
Rafa: c'est vraiment une soirée de mise en garde.
Moi : tu as mon passeport.
Rafa: je n'ai jamais compris pourquoi tu avais un passeport diplomatique.
Moi : il y a des choses que tu n'as pas besoin de savoir.
J'ai dormi pendant tout le vol. On a fait une petite escale avant de reprendre. Et j'étais toujours dans les bras de mon bébé.
Guys c'est mon bébé, il est à moi!!
On arrive à milan vers 16 heures, épuisée. Et nous devions repartir vers minuit.
Nous sommes arrivés à l'hôtel et nous devions nous préparer c'était trop rapide, l'opéra débutait à 20 heures et ma grand-mère nous attendait dans le restaurant de l'hôtel.
Moi : tu veux bien ne pas répondre à toutes ses questions. Elle peut porter un micro ou ma mère peut avoir glissé un micro dans son sac.
Je reçois un message de ma mère au même moment.
Maman~ tu me rends mon chien aussi. Évite de passer à la maison après votre opéra, je ne veux pas te voir~
Ok. Ce n'est pas son chien déjà et je ne risque pas de lui donner Thor.
Moi~ on doit parler, je serai à Washington dans deux semaines, on doit vraiment parler. Je t'aime, ne l'oublie pas~
Je sors de l'ascenseur et trouve ma nana dans une magnifique robe noire. Ses cheveux blonds attachés en chignons, et un rouge vif sur ses lèvres.
Rafa: elle est belle ta grand-mère.
Moi : belle et très dure dans ses mots.
Je m'approche d'elle dans ma robe rouge dos nu.
Elle me serre tendrement dans ses bras.
Moi : micro ?
Elle : non, et toi ?
Moi : non. Arme ?
Elle : juste un gun dans mon sac. Et toi.
Moi : dans mon port jarretelle. Tu m'as manqué.
Elle : toi aussi.
Elle rigole et on arrête notre câlin.
Rafa s'approche nous Et lui tend la main. Ma grand-mère lui tend sa joue pour qu'il lui fasse la bise. Ok jusque-là tout va bien.
Moi : mamie, oui, c'est Rafael, voici, Gabriella Mansouri.
Rafa: je suis ravi de faire votre connaissance.
Mamie : moi de même, elle avait raison, vous êtes très beau.
Rafa lui propose son bras et on se dirige vers l'opéra.
Mamie : don Rafael, vous faites quoi dans la vie ?
Rafa: je fais un peu de tout, je suis entrepreneur.
Mamie : oui, un grand entrepreneur.
Rafa: un très grand entrepreneur.
Mamie : on sait tous les deux ce que vous faites, la seule chose que j'ai à vous dire c'est que vous lui faites une seule chose, vous la mêlez à une seule chose en rapport avec votre travail. Je vous traquerai et j'enverrai votre dossier à toutes les personnes que je connais et ça ne sera pas joli à voir.
Rafa: j'aime votre petite fille, je ne l'ai jamais mêlé à quoi que ce soit et elle le sait bien, je ne lui fais pas de mal, je veux son bonheur et je vous remercie d'être venue. Et le jour où je lui ferai du mal, vous pouvez envoyer des gens à mes trousses.
Mamie lui fait un petit sourire.
Mamie : et vos parents ?
Rafa: ils sont morts.
Mamie : je suis désolée, je sais à quel point les parents sont essentiels.
Rafa: ce n'est pas grave.
Mamie : il faut patienter avant d'aller à la maison, tu vas où cette fois-ci alors.
Moi : Bagdad.
Mamie : tu penses pouvoir supporter ?
Moi : j'y arriverai, il y a quelques problèmes apparents, mais on débute dans deux semaines et demie donc ça va.
Mamie : vous pouvez attendre les départ et arrivées à chaque fois.
Rafa: je l'attendrai je ne compte pas la perdre madame mansouri.
Mamie : appelle-moi Gabrielle.
On arrive devant le grand opéra.
Après avoir réglé quelques détails, on nous montre notre siège. On avait une vue magnifique sur toute la salle.
Mamie : je voudrais savoir ce que vous voulez vraiment de cette relation.
Rafa serre tendrement mes doigts et regarde ma mamie.
Rafa: je veux épouser votre petite fille.
J'étais tellement sous le choc que je n'arrivais même pas à respirer. QUOI ?
Mamie : vous savez que vous ne pouvez pas faire de mariage civil ?
Rafa: un mariage religieux.
Mamie : Amira, j'aime cet homme.
Moi : tu désires te marier avec moi.
Je ne pense même pas au mariage, du moins pas encore, ou plus tôt pas depuis aujourd'hui.
Rafa: oui.
On s'installe alors que rafa et ma mamie étaient en pleine discussion avant le début de l'opéra. Les voir rires et discuter me rendait réellement heureuse. Elle souriait et rafa lui expliquait certaines parties de la scène. C'était ma première fois à l'opéra, et j'ai adoré.
En rentrant mamie a fait deux câlins à Rafa et elle m'a serré très fort dans ses bras.
Mamie : bonne chance pour Bagdad, je t'aime et cet homme-là, il meurt d'amour pour toi.
Une demi-heure plus tard, nous étions en route pour l'aéroport.
Rafa: je suis heureux. Je me sens réellement super bien. J'adore ta grand-mère.
Moi : merci, c'est un ange, elle est géniale.
Rafa: j'espère bientôt voir ta mère et ton papa.
Moi : espérons déjà que ma mère change d'avis. Je vis un message que je n'avais pas vu.
Maman~ on se voit à Washington ~
Moi : Elle risque de réellement me faire la misère avec cette histoire.
Rafa: j'espère aussi.
Moi : je te remercie pour ma grand-mère réellement. Ça me fait super plaisir.
Rafa: c'est normal. J'ai une surprise pour toi.
Moi : comment ça ?
Rafa: tu te rappelles notre nuit de débauche ?
Moi : oui. Attend, tu veux me faire quoi ?
Rafa: des choses...
Moi : des choses comme quoi ?
Rafa: des choses que je n'ai pas envie de te dire, mais que je veux que tu vives.
Moi : euh dis-moi, tu me fais peur là...
Rafa: j'aime quand tu es stressé.
Il caresse ma cuisse.
Moi : Rafa le chauffeur.
Rafa: il a des bouchons d'oreilles, il n'entend rien de ce qu'on se dit.
Il remonte sa main et la pose là dans le creux de mon dos.
Rafa: tais-toi et vis dangereusement.
Moi : vivre dangereusement ? Rafa, tu vas me faire quoi ?
Rafa: je vais te faire l'amour comme jamais, je ne l'ai fait.
Moi : ce qu'on a fait hier ?
Rafa: c'était de l'entraînement, là, on va au combat, Amira, je veux que chaque partie de ton corps me réclame, je veux que tu te remplisses, et je veux te remplir. Je désire te montrer ce que je peux te faire quand je suis amoureux de toi.
Il avait tout chuchoté dans mon oreille avant de me lécher celle-ci.
Rafa: vis dangereusement.
Moi : Rafa.
Il passe sa main dans ma robe et me caresse les seins déjà très sensibles eh !
Rafa: laisse-moi faire payer à ton corps toutes tes bêtises.
Il me fait un doux smack.
Rafa: donne-toi à moi Amira.
Moi : je suis à toi Rafa.
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