Message important Avant le chapitre❤️
Coucou les filles, j'espère que vous allez bien ? Dernièrement, j'ai reçu beaucoup de messages en privée, certains critiquant Amira, d'autres me demandant comment je pouvais faire aimer un bandit avec un agent. Déjà premièrement je vous remercie de lire mes livres, ça me touche beaucoup. Mais s'il vous plaît, respectez les personnages. Tout le monde ne plaît pas à tout le monde. Mais de là à me dire comment je dois écrire mon livre, ça n'a plus de sens.
J'aime ce livre, à la base, il ne figurerait plus sur Wattpad d'ici à quelque temps pour des projets personnel. Je le partage avec vous et je l'écris temps avec vous. Amira Elle est le rôle que je lui ai donné et Rafa est le personnage que je lui ai donné. Moi, je l'ai aimes bien tous les deux. Chacun a un trait toxique, un mauvais côté et un bon côté. Rafa, il a grandi dans ça, il ne connaît que ce milieu. Et Amira, elle a eu une enfance très difficile. Donc aujourd'hui faire bien son travail et rendre ces parents fiers c'est sa priorité.
Et puis je comprends que la trahison d'Amira fait mal, mais les hommes aussi trahisse. Et ils le font en beauté. Ainsi cette fois-ci c'est tant tôt Amira qui a les cartes et tant tôt Rafa. Voilà bisous. Et vous ne pensiez pas que Rafa s'il savait dès le début, il n'allait pas la tuer. Il n'avait pas de sentiment à ce moment-là.
C'est une fiction Guys. On aime qui on veut. Mais juste, essayez de comprendre le personnage. Et j'espère ne plus recevoir de message privé me disant, tu dois écrire comme cela, ou comme cela, je fais de mon mieux et je m'améliore d'année en année. Mais c'est moi qui suis censée raconter une histoire. Je respecte tout le monde, je vous considère comme une deuxième famille, c'est frustrant parfois tous ses messages. Et je vous remercie tout le temps pour votre amour. Car écrire m'aide vraiment à évacuer et à voir la vie d'une façon différente. Alors, on garde le sourire, et on profite tous ensemble.
Bonne journée mes chéries.
Je vous fais pleins de bisous, j'espère que le chapitre vous plaira.
Point de vue de Rafael.
Je n'allais jamais lui dire.
Amira avait besoin de comprendre que ce qu'elle m'avait fait, c'était incorrect, même si c'était son travail. Elle adore son travail, elle ne trahit jamais son équipe d'après ce que baker m'a dit.
Mais on a eu à vivre une histoire, aussi courte fut-Elle, c'était une relation passionnée et j'ai toujours été sincère avec elle.
Lorsqu'elle a témoigné contre moi, elle aurait pu éviter de parler de tout ce qu'on a vécu. L'amener au Brésil représentait une chose très importante pour moi.
Lui, montrer là ou je vivais, ce que je faisais, ce que j'aimais.
Je n'ai jamais été aussi intime avec une femme dans ma vie, avec elle, je l'ai été. J'ai aimé chaque seconde de ma vie à ses côtés.
Mais je ne comprenais pas cet amour, cette haine et cette obsession en une seule personne. Et oui cette conne, on ne peut jamais savoir ce qu'elle ressent. Elle est aussi dure qu'une pierre.
Elle était toujours assise sur le sol en son chien dans ses bras.
Moi : il faut qu'on discute.
Amira : il est quelle heure.
Moi : 4/5 heures, je n'en sais rien, il faut qu'on discute et il faut que je soigne ton nez.
Amira : ça va cela ne fais pas trop mal.
Moi : on doit discuter dans deux heures un monsieur viendra avec une machine, un détecteur de mensonges. Car je ne crois plus rien de tout ce que tu peux me dire.
Amira : quand il viendra, je devrais faire quoi ?
Moi : répondre à mes questions.
Amira : et si je ne réponds pas.
Moi : c'est simple, je m'en chargerai moi-même et tu verras si tu vas répondre ou non.
Amira : d'accord.
Moi : je vais me coucher. Je vais me reposer, on se revoit vers 7 ou 8 heures. Tu veux rester avec lui ?
Amira : oui.
Je me dirige vers la sortie.
Amira : merci Rafa.
Moi : pour toi, c'est Rafael.
Je l'entends respirer derrière moi.
Amira : merci pour tout Rafael.
Je sors de là et me dirige vers la chambre. Cette même chambre dans laquelle je lui ai fait l'amour plusieurs fois. Putain c'est une torture de l'avoir juste à côté et de ne pas pouvoir la toucher. Elle me manque terriblement.
C'est trop simple de lui pardonner de revenir dans sa vie comme si de rien ne s'était passé.
Je comprends pourquoi Graham était amoureux d'elle. Je pense vraiment que peu de personne peuvent la côtoyer sans être amoureux.
Je me couche dans le lit et essaye de m'endormir.
Flashback.
Amira : c'est notre dernier jour au Brésil, tu veux faire quoi ?
Moi : on peut aller dans le centre-ville sinon on reste enfermé dans cette chambre.
Amira : je ne reste pas enfermer ici. On pue le sexe à des kilomètres. Je n'en peux plus, j'ai mal aux fesses.
J'éclate de rire et embrasse son nez.
Moi : tu me manques tout le temps.
Amira : je refuse de t'écouter avant-hier, tu m'as dit ça, je t'ai laissé faire de moi tout ce que tu voulais.
Je rigole et l'entraîne dans les toilettes.
On ressort avant de s'habiller.
Moi : mets des lunettes il y a du soleil aujourd'hui. Tu ne te maquilles pas ?
Amira : je n'ai pas envie. Il se passe quoi, je ne suis pas jolie ?
Purée, elle est tellement belle. Et je la préfère largement sans.
Moi : je préfère même que tu n'en mettes pas, tu es magnifique.
Elle me fait un petit sourire.
Elle avait mis une robe évasée rose assez courte avec des baskets et ses cheveux étaient rattachés en haut.
Amira : arrête de me regarder, on doit y aller.
Moi : tu as mis une culotte ?
Amira : euh oui, il faut.
Moi : tu as mis quoi ?
Amira : euh Rafa ça ne te concerne pas, on y va.
Je soulève sa robe. Pour voir qu'elle avait une culotte en dentelle.
Moi : putain Amira.
Amira : Mais je n'ai rien fait je ne mets plus de boxeur. Tu déchires tout ce que je mets limites, il ne me restait que ceux en dentelles.
Je l'attire vers moi et écrase mes lèvres contre les siennes. En passant ma main entre ses cuisses. Elle mord ma lèvre inférieure me faisant grogner contre ses lèvres. Je mets mes mains à l'intérieur de sa culotte et là caresse. J'ai tout le temps envie d'elle.
Amira : non, non. On doit sortir. Ahhh.
Moi : c'est toi qui gémis là.
Amira : arrête Rafa. Oh mon Dieu!!
Moi : oh mon Dieu ? Ou oh Rafa.
Elle se détache de mes bras en respirant très fort. Je passe mes doigts entre mes lèvres, en souriant dans un coin.
Amira : tu arrêtes tout de suite.
Elle part dans les toilettes et je vais me laver les mains.
Amira : tu ne touches plus mes fesses. Tu es vraiment un obsédé.
Moi : bon, on y va.
Je lui prends la main et elle entrelace nos doigts ensemble, pour qu'on aille manger.
Nous marchions dans la ville en rigolant et en discutant de temps en temps, je lui volais des baisers. Et j'essayais de la toucher à chaque fois que j'en avais l'occasion.
On vit une sorte de salle de danse ouverte sur l'extérieur.
Moi : vient danser avec moi.
Elle : je danse mal.
Moi : tu crois que je ne t'avais pas vu dans cette boîte de nuit.
Elle rigole. Je lui prends le bras et l'entraîne à l'intérieur. Il n'y avait que des vieux.
Je la retourne pour coller nos deux corps ensemble. Elle dansait si bien. Nos hanches s'entrechoquent. Je la fais tourner sur elle. Avant qu'elle n'entoure ses bras autour de mon cou.
On dansait si tendrement l'un contre l'autre.
Sans que je m'y attende, elle écrase ses lèvres contre les miennes. Sa langue entre en contact avec la mienne. Elle suçote la mienne. Je pourrais lui faire l'amour là maintenant.
Moi : on s'en va.
Amira : oui.
On se dirige vers toilettes. Heureusement pour nous elles étaient vides.
Je ferme la porte et la plaque contre le mur. Je lui retire sa culotte et baisse rapidement mon pantalon. Quand je me retrouve en elle. Plus rien n'existait, il n'y avait qu'elle pour moi. Que nous deux.
Elle m'embrasse à nouveau pour qu'on n'entendent pas nos gémissements. Alors que je me perdais en elle. Ses jambes se resserrent autour de moi.
Je pense lui avoir fait l'amour partout dans cette ville, hôtel, boîte de nuit, toilettes, la voiture. Je ne sais plus où.
Quelques instants plus tard, elle jouit en mettant sa main sur sa bouche pour qu'on ne l'entende pas.
Je jouis et me déverse tendrement en elle.
Fin flashback.
Putain tout ce temps, je ne me suis pas rendu compte. Je ne lui parlais pas comme à n'importe qui. C'est la seule femme avec qui je voulais me disputer, me battre et celle qui me faisait aimer chaque partie de moi-même.
Putain, je suis vraiment accro. Je suis terriblement amoureux d'elle.
Elle me rend complètement fou. La voir pleurer ma encore plus énerver, car je voulais tellement la serrer contre moi.
Je regarde l'écran et la voit en train de dormir, Thor dormais à côté d'elle.
Je ne sais plus depuis combien de temps, je ne dormais pas. Je regarde ma montre et vis qu'il était déjà sept heures.
Je rabats la couverture sur moi.
Je commence à la voir se retourner dans le lit. Encore et encore, elle se réveille en sursaut, tout en sueur en essayant de prendre sa respiration. Elle n'arrivait plus à respirer normalement. Je quitte ma chambre pied nu et descend rapidement les escaliers avant d'ouvrir la porte de la cave. Je me dirige vers elle, et là vis essayer de respirer.
Moi : calme-toi. Eh regarde-moi.
Elle n'arrivait pas à parler. Je me mets derrière elle et colle son corps contre ma poitrine.
Moi : respire, Amira. Écoute le son de ma voix.
Elle respire tout doucement.
Moi : c'est ça, suis le son de ma voix. Respire bébé, allez. Désolé respire Amira.
Elle reprend une respiration normale après plusieurs minutes.
Moi : ça va mieux ?
Amira : oui ça va. Merci, désolé de t'avoir dérangée. Je... j'ai fait un cauchemar.
Moi : ça va. Ce n'est rien. Repose-toi.
Je ne voulais pas lui demander de quoi elle avait rêvé. Rien que l'avoir ici me tourmente assez comme ça. Si elle a des soucis avec quelqu'un ou si on lui a fait du mal. Je risque de m'en mêler et d'aller déchiqueter cette personne.
Je m'avance pour sortir. Lorsque je sens sa main sur mon bras.
Moi : tu fais quoi là?
Amira : je suis désolé. Je ne pense pas tout ce que je t'ai dit aujourd'hui, tu n'es pas une sale merde ou toutes les conneries que je t'ai dites. Je te demande pardon pour t'avoir trahie et pour m'être joué de toi.
Moi : Robert sera bientôt là, essaye de prendre une douche. James t'amènera des habits propres et à manger. Et ne me touche plus.
Je sors de cette foutue cave pour rejoindre ma chambre. Abdou me rejoint dans ma chambre et s'allonge à côté de moi.
Abdou: tu ne vas pas bien aujourd'hui, c'est parce que tu as tué David ?
Moi : je n'en ai rien à foutre de David, de toute façon, il savait dans quoi il s'embarquait en essayant de couper la Cam.
Abdou: c'est elle ?
Moi : oui. Putain, je suis mal. Je n'arrive pas à y croire.
Abdou: ah, tu sais maintenant ?
Moi : oui.
Abdou: tu es le seul qui ne le voyait pas.
Moi : je sais. Je la déteste.
Abdou: une partie la déteste et l'autre partie meurt d'amour pour elle.
Moi : putain, c'est une sorcière.
Abdou: le pire, c'est qu'elle est forte, elle tire super bien, elle se bat super bien, elle n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, elle est provocatrice.
Moi : elle est putain de sexy, et elle regroupe tout ce que je veux chez une femme sauf son foutu boulot.
Abdou: Elisa ta dit de ne plus coucher avec un agent fédéral. Vous êtes des obsédés, je pense que, elle aussi, est amoureuse de toi.
Moi : Elle n'aime personne. Je ne compte pas le faire même si j'en ai envie.
Abdou: tu es bien plus calme, tu ne découpes pas tout le monde quand elle est là.
J'éclate de rire en enfonçant ma tête dans le coussin.
Abdou: allez je te donne les nouvelles. On a reçu la nouvelle cargaison de Colombie. Tu avais raison pour la cam, elle marche beaucoup mieux et elle est excellente.
Moi : nous sommes les seuls vendeurs de drogue qui n'en consomment pas. J'ai réparti l'argent de l'anciennes cargaisons.
Abdou: je sais bien, tu m'avais dit et pour les armes aussi, c'est bon. J'ai armé nos hommes aussi. Donc là, on a assez de stock. Les livreurs ont fait leurs livraisons, ils ont fini il y a une heure. Et enfin Roberto est là, et Carla également.
Moi : elle fout quoi ici en plus aussi tôt ?
Abdou: je n'en sais rien. Tes relations sexuelles ça, c'est ton problème.
Moi : Merde. Elle est chiante.
Point de vue d'Amira.
Je ne pense pas avoir eu honte comme ça depuis très longtemps, de toute ma vie, je n'avais été si honteuse.
Jamais je n'aurait pensé qu'il viendrait dans mon lit et m'aiderait à essayer de reprendre ma respiration , il n'a pas tuer mon chien.
Je l'ai trahi et pour la première fois, je regrette sincèrement. J'ai tourné le dos à notre relation. Je me suis concentré sur moi.
Je suis très individualiste, on me le dit tout le temps. Mais j'ai été une grosse peste surtout avec Rafa.
Mon sens du devoir l'emporter sur mon attachement pour lui.
Je ne le déteste pas, je ne pourrais jamais lui en vouloir, sauf pour l'électrocution. Mais bon comme quoi, je ne suis pas blanche comme neige.
Il n'a pas envie de me voir ni de me parler. Donc comment lui demander pardon. J'aime mon travail et j'avais un objectif précis. Mais je n'ai jamais pensé à mon travail quand j'étais dans l'intimité avec lui.
Putain, je regrette ce que j'ai fait et comment je l'ai fait, mais ce n'est pas la première fois. Je regrette de lui avoir fait du mal. On me dit tout le temps que je suis une peste je fais tomber les hommes amoureux de moi et je les enfonce plus bas que terre.
Mais j'adore mon travail, quand j'ai fait ça à Graham. J'étais super heureuse. Je lui ai fait vivre l'enfer. Et il était tellement accro qu'à la fin, il me parlait d'amour et de, je ne sais quoi. Ce connard.
James me ramène à manger et un nouveau t-shirt. Je reconnais rapidement les écritures sur le t-shirt.
US NAVY. Faisant référence aux marines. C'est vraiment de la provocation.
James : tu as 20 minutes.
Je prends une douche rapidement. Et me change avant de sortir avec Thor. Je vois Rosa assise dans la cuisine.
Elle me regarde super mal. Honnêtement si c'est elle je m'en tape le cul. Si c'était Nana, je serais gêné. Mais je n'ai aucun compte à leur rendre. Et puis quoi, je dois m'excuser auprès de tout le monde ou quoi ? Je ne leur doit absolument rien. Je regrette d'avoir fait du mal à Rafa. Mais pour moi le boulot, c'est le boulot. Il n'y a pas d'état d'âme. Je suis James en montant les escaliers, je passe devant sa chambre.
Je me rappelle toutes les bêtises qu'on a faites dans cette chambre.
Thor se colle à moi, me réveillant de mes songes.
J'entre dans son bureau et vois un monsieur installer dans le canapé d'en face avec un ordinateur. Et Rafa dans un coin. Le soleil entrait à travers la fenêtre. Ses yeux étaient magnifiques. Il avait un pantalon de costume assez ample avec un débardeur. Laissant entrevoir beaucoup de ses tatouages. Ses cheveux étaient en bataille, et son teint clair était encore plus beau sous cette lumière. Il ne me regardait pas.
Je m'installe en face de lui. Purée, il est tellement beau.
Rafa: Robert, on peut commencer.
James sort et Abdou rentre et s'installe dans le bureau.
Robert prend les plaquettes et les colle à mes bras.
Rafa: il y a-t-il encore des dossiers sur moi en court.
Moi : oui. J'ai demandé à ce qu'on rouvre un dossier sur toi, hier après que tu m'aies électrocuté.
Rafa regarde Robert qui hoche la tête.
Rafa: appelle ton ami et annule ça.
Il compose un numéro et le mets en haut-parleur.
J'entends la voix de mon meilleur ami en bas.
Isham: putain Eagles, tu ne dors pas ou quoi ?
Moi : annule la mission ?
Isham: attends-vous avez recouché ensemble ?
Abdou éclate de rire. Tchip.
Moi : non, ça ne risque pas d'arriver. Et non, juste annule, je vais régler ça toute seule.
Isham: d'accord, je veux être sûre avant, il te laissera venir lors du regroupement ?
Moi : je n'en sais rien.
Rafa: elle sera là, je n'ai pas besoin de la garder très longtemps.
Isham: euh Amira, c'est à lui que je parle là ?
Moi : oui.
Isham: tu le crois ?
Moi : oui. Annule tout et profite de tes vacances.
Isham: ok, si...
Moi : je sais. Tout ira bien. Dit à Abdel que je n'ai plus de réseau, trouve une excuse.
Isham: en revenant, tu seras toujours en couple avec Abdel ou avec Rafa?
Moi : il t'entend bébé. Et oui je serai avec Abdel.
Isham: ce n'est pas ce que tu veux, mais bon. Ravie de vous avoir parlé euh Rafael. S'il vous plaît ne lui faites pas de mal, nous avons besoin d'elle.
Rafa: elle reviendra.
Il raccroche le téléphone. En me regardant super mal. Quoi ? Je suis en couple, il veut que je lui dise quoi ?
Rafa: Quand cette mission à commencer?
Moi : il y a trois ans.
Rafa: raconte.
Je lui raconte toute l'histoire. De mon retour à Dakar à sa rencontre.
Abdou: putain, tu es forte, tu as même fait semblant d'avoir peur en appelant la police pour faire croire qu'on voulait tuer quelqu'un.
Rafa: ou encore quand elle m'a dit ne me tue pas, j'ai une famille et bla bla bla.
Moi : je faisais mon travail. J'ai fait bien pire aux autres. J'avais une attirance pour toi donc j'ai mal fait mon travail. Je n'étais pas censé coucher avec toi.
Rafa: sauf que tu l'as fait des centaines de fois.
Moi : oui, je l'ai fait et cela m'a amené de gros problèmes.
Rafa: après le procès as-tu été viré ?
Moi : non. Je ne voulais juste plus interagir avec d'autres hommes, mentir, entrer dans leurs vies ou tout ce qui va avec.
Rafa: Robert.
Robert : c'est vrai.
Rafa: pendant notre relation avais-tu des sentiments pour moi ?
Moi : oui.
Rafa: aimes-tu l'homme avec qui tu es ?
Moi : je l'aime bien, mais je ne suis pas amoureuse et cela ne te concerne pas.
Rafa: Robert ?
Robert : c'est juste.
Rafa: il existe des copies ou quoi que ce soit se rapportant à moi ou à mon travail.
Moi : non. Rien. Ils m'ont demandé de fermer les dossiers.
Rafa: tu as eu des problèmes après ce procès ?
Moi : oui. J'ai eu des problèmes. J'ai été mis au pied pendant un mois. Et je demande des autorisations avant de faire quoi que ce soit maintenant.
Abdou: c'est pas mal Rafa, son travail lui fait déjà vivre un enfer.
Moi : je ne vis pas un enfer, je dirige des hommes super intelligents, qui se battent à mes côtés, ils ne souffrent pas. J'adore mon boulot et je ne le changerai pour rien.
Rafa: es-tu tombée amoureuse de moi ?
J'étais sous le choc.
Moi : je ne répondrai pas à cette question.
Il me fait un petit sourire.
Rafa: as-tu vraiment été violer ?
Moi : oui, je t'ai dit que je ne t'avais pas menti sur ça.
Rafa: je ne crois plus rien de ce que tu dis. Hier ce que tu m'as dit quand je sortais de la cave, c'est vrai ?
Moi : je suis désolé. Je sais que ça ne suffit pas. Mais je le pense. Je suis réellement désolé. Je te demande pardon.
Rafa: Robert ?
Robert : c'est exact.
Rafa: vous pouvez nous laisser ?
Abdou: Robert, vient.
Ils sortent, Thor les suit, me laissant avec lui.
Quelques instants, je vois une fille entrer dans le bureau. Elle avait l'air d'une Mexicaine.
Elle : bébé, je t'attends depuis tout à l'heure.
Bébé ? Ok. Chut Amira, tu es en couple et tu n'as rien à dire.
Rafa: tu peux m'attendre dans ma chambre, j'arrive.
Sa chambre...
Elle s'approche de lui et lui fais un smack. Rafa prolonge leur baisser en y mettant la langue. Ok.
Je me sentais bizarre et la colère qui montait en moi ne calmais rien.
Rafa: je te rejoins bientôt.
Elle sort en se dandinant les fesses. Eh...
Rafa: pourquoi tu n'as pas répondu à cette question.
Moi : je n'ai aucune envie de parler d'amour avec toi. Tu ne sais pas ce que c'est.
Il s'approche de moi. Nous étions tellement proches que j'en avais le souffle coupé.
Rafa: il sait ?
Moi : qui ça ?
Rafa: ton mec là, il sait ? Que quand tu le regardes, c'est moi que tu vois.
Il s'approche encore plus de moi. Je n'arrivais plus à respirer. Mon corps se tendait sous lui et je n'arrivais plus affronter son regard.
Rafa: il sait ? Que quand tu l'embrasses, c'est moi que tu vois ?
Il caresse mon bras. Putain.
Rafa: il sait que quand il te touche, c'est moi que tu vois, que lorsque il passe ses mains entre tes cuisses, il faut que tu penses à moi pour être humide, il le sait ?
Ses lèvres étaient à cinq centimètres des miennes.
Rafa: il sait ? Que lorsque tu pleures, c'est pour moi que tu le fais? Il sait que la nuit, c'est moi que tu as envie d'appeler ? Il sait que c'est avec moi que tu as envie de te battre ? Il sait que ce qui se trouve devant lui ne lui appartient pas ? Je ne sais pas ce que c'est l'amour, mais toi, tu sais ce que c'est quand je te fais l'amour.
Il se décolle de moi. Alors que je n'avais plus d'air.
Rafa: respire. Et réponds à ses questions, tu connaîtras la réponse de ce que tu refuses d'entendre, car moi, je le sais déjà.
Il voulut sortir du bureau. Je lui tire le bras. Il me porte et j'enroule mes jambes autour lui. Il me plaque durement contre le mur. C'était si rapide.
Moi : et toi, elle sait ? Ta copine là que quand tu la baises, c'est moi que tu vois?
Je me frotte tendrement à lui. Putain. Je vais m'évanouir.
Son érection grandissait entre mes cuisses.
Moi : elle sait ? Que quand tu jouis, tu ferme les yeux pour me revoir moi ? Elle le sait ça. Ne joue pas à ce jeu avec moi.
Il me porte jusqu'aux bureaux et enlève les boutons de mon short. Et passe sa main entre mes cuisses, oh mon Dieu. Lorsque ses doigts s'enfoncent en moi, je crie sans le faire exprès. Il m'a tellement manqué.
Il tournoie les doigts.
Lui : et toi, il sait ça, que c'est moi qui te fais ça, que c'est moi qui te fais ressentir ça. Il le sait ? Toi, ne joue pas à ce jeu avec moi. Car tout ce que tu vois la (en faisant allusion à mon corps)
Rafa: j'en fais ce que je veux, quand je le veux.
Il enlève sa main et sort du bureau. Oh seigneur.
Je me relève rapidement, je ferme mes boutons avant de m'asseoir dans le canapé en me tenant la tête. Je me retourne. Pour voir Thor entrer dans le bureau étant sorti avec Abdou.
Oh merde, je dois vraiment m'en aller d'ici.
Bisous Guys.
Donnez moi vos avis sur le chapitre. Je vous embrasse❤️
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