Chapitre 11: une nuit de débauche

Âme sensible s'abstenir. Chapitre sans tabou, je vous préviens.

Point de vue de Rafa.

Je n'arrivais pas à réaliser qu'elle allait partir, je me posais mille questions.

Pourquoi cette fille perturbe mon univers à ce point.

Pourquoi c'est elle ?
Pourquoi je n'ai pas rencontré quelqu'un qui pourrait accepter mon monde.

La première fois que je lui ai fait l'amour, j'ai su que si je ne la laissais pas partir, je ne me ferais plus jamais et je ne lui permettrai plus de rencontrer quelqu'un.

Je suis égoïste je sais, j'en ai conscience. Mais Amira est entré dans ma vie en un regard dans mon hôpital. Elle m'a parlé et la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est comment ramener cette femme à moi.

Je ne suis pas amoureux, je pense que je l'apprécie. Mais je ne suis pas amoureux. J'aime être avec elle.

Elle avance devant moi. Sa main chaude ne quittait pas la mienne. Il fallait que je me reprenne.

Elle : euh donc demain, je recevrai mes affaires.

Moi : oui.

Elle : euh comment pars-je ?

Moi : le bateau n'attend que toi.

Elle : tu as pris quand cette décision.

Moi : il y a une heure.

Elle : je ne comprends pas tes décisions.

Moi : si tu veux être tranquille, ne t'approche pas des hommes comme moi, car nous faisons plus de mal qu'il n'en faut.

Elle : tu ne m'as jamais fait de mal.

Moi : je le ferai si tu restes, je t'en ai déjà fait verbalement.

Elle : tu vas faire quoi maintenant.

Point de vue d'Amira.

Rafa: je déménagerai dans quatre mois. Je retourne définitivement au Brésil et je serai à Dakar qu'une semaine par mois, mes activités se sont déjà développées ici, et personne n'ose m'affronter. Donc je vais voir du côté de mon pays natal si tout est ok, je suis un caméléon, je suis intransigeant, détestable, j'ai des manies et une façon de vivre très perverse. Toi, tu es croyante et je t'ai fait dévier, je t'ai fait l'amour sans être mariée à toi, je t'ai fait des choses qu'on ne fait pas à des novices, et je n'ai pas envie de te pourrir. Monte dans ce bateau.

Il me tend la main pour m'aider à monter.

Je monte sur le bateau. Il s'approche d'un monsieur et va lui parler. Quelques minutes plus tard, le monsieur hoche la tête.

Rafa: c'est bon fait moi un câlin.

Je le serre dans mes bras. Il me serre encore plus fort.

Rafa: désolé d'avoir interféré dans ta vie. De t'avoir kidnappé.

Moi : je ne regrette rien.

Je m'installe et il s'en va. Sans se retourner, je ne comprenais rien, pourquoi comme ça, et pourquoi maintenant. À ce moment-là, j'étais la vraie définition de madame super perdue. Le bateau traversait la nuit noire.

On N'Arrive pas au port, mais sur une autre côte.

Moi : où sommes-nous ?

Le monsieur : a un bel Air. Vous vous ferez escorter. Le bateau reste ici si vous avez besoin de quoi que ce soit.

Lorsque je touche le sol, tous les sentiments que j'ai essayés de refouler reviennent à la surface. Je voulais juste m'évanouir. Et ne plus avoir ce sentiment, on ne peut pas s'attacher comme ça à un homme en moins de trois mois non dites-moi s'il vous plaît !

Je fus escorté par deux hommes jusqu'à une jolie maison, elle était magnifique.

James : il a demandé à ce que les documents soient à votre nom. Tout vous appartient. Il y a une voiture dans le garage pour vos déplacements. On vous suivra de temps en temps pour que vous ne soyez pas suivis ou traqué c'est tout. Et vous ne vous ferez pas arrêter par la police, jamais. Ils ont été prévenu. Madame, excusez-moi de vous demander ça, mais pourquoi l'avez-vous quitté ?

Moi : il m'a quitté.

James : mais il vous à laisser le choix. Il laisse le choix à tout le monde.

Moi : je... je... je ne sais pas.

James : il est comme une drogue, une fois qu'on a goûté à sa vie ou qu'on a apprise à le connaître, on veut juste se ranger de son côté. C'est vraiment quelqu'un de bien, hors quand il est en colère. Mais ça se voyait qu'il tenait à vous.

Moi : merci de me dire ça, car c'est totalement vrai.

James : il nous a dit que si vous rencontrez quelqu'un, on devait juste voir si c'était quelqu'un de bien cet ne jamais intervenir.

Moi : il a dit ça.

James : il m'a fait savoir que vous deviez refaire votre vie. Je reste avec vous jusqu'à ce qu'on aille au Brésil et après, nous ne nous reverrons plus jamais.

Moi : vous allez disparaître ?

James : c'est Rafael qui trouve les gens, pas le contraire. Si vous alliez au Brésil, cherchez ou vous voulez. Vous ne le trouverez pas, c'est lui qui trouve les gens.

Moi : j'ai des sentiments pour lui.

James : ça se voit. Je vous l'ai dit, une bonne drogue.

Moi : merci infiniment James.

James : je vous en prie. Les gars en position.

J'entre dans la maison. Tout était en blanc, c'était magnifique. Je monte les escaliers et découvre trois chambres. Un grand lit. Je m'assois par terre.

Pourquoi c'est moi qui me suis attaché. Je ne le verrai plus jamais.

J'explose en sanglot.

J'avais retenu mes larmes pendant tout ce temps. Je pleure en me mettant en boule dans ce lit.

Je ne me réveillerai plus à côté de lui.

Je ne le verrai plus.

Il n'y aura plus de câlins.

Il ne me serra plus contre lui.

Il ne me parlera plus portugais, putain comment il est sexy lorsqu'il parle.

Cet homme m'avait eu, et je l'avais dans la peau, à tél point que j'en avais mal au ventre.

Je vais faire quoi maintenant.

Je n'oserai même pas fréquenter un homme, il va le tuer et je le sais.

Mes amies ne comprendraient jamais ça, car Maé s'est engagée. Elle ne va jamais me croire si je lui raconte cette histoire.

Je ne sais pas quoi faire tout simplement.

Pourquoi il m'a laissé partir c'est trop bête, Rafa est trop intelligent pour me laisser partir comme ça, il y a anguille sous roche. En tout cas moi, je n'y crois pas personnellement.

Je sais ce que je veux, je veux être avec lui. Je n'ai pas envie de me poser mille questions. On verra après pour la suite. Je veux qu'il vienne me récupérer. Qu'il vienne me chercher.

Je souhaite cette relation toxique.

Nous les femmes, on n'aime pas les hommes gentils dites-moi pourquoi ?

Je vais regarder la penderie et vois qu'il n'y a que quelques habits, une mini jupe en cuir, deux trois chemises et trois pantalons.

Quant a-t-il eu le temps de mettre ça ici ?

Je prends une douche et rapide. Et me couche demain, il verra.

Je me réveille vers midi et touche le lit pour me rendre compte que c'est vrai, il n'est pas là.

Je n'avais même pas utilisé ce foutu téléphone et je ne suis pas sortie de la journée.

James allait me cherchait à manger et revenait voir si jamais, j'avais besoin de quelques choses. Mes affaires étaient arrivées vers 16 heures.

Il n'a pas appelé. Pas une seule fois.

Moi : James, il ne m'a pas demandé ?

James : je suis désolée.

Moi : je vais en boîte ce soir James.

James me regarde choquer.

James : je ne peux pas faire ça.

Moi : on le fera. Il vous a dit de faire ce que je vous demande non ? On va en boîte aujourd'hui.

James : vous jouez avec le feu, il a eu une sale journée.

Moi : c'est son problème.

James : vous savez ce que je risque en faisant cela ?

Moi : je le sais. Mais il ne fera rien.

Je me change le soir. Et mets une robe noir que je n'avais jamais (mise) et que je voulais porter un jour pour Rafa.


Je descends les escaliers, James me regarde choquer. Je laisse tout ce qu'il m'a donné à l'intérieur.

Moi : je connais une boîte, c'est vogue, on est vendredi, c'est ouvert.

James : vous voulez que je me fasse découper.

Moi : il ne te fera rien.

J'entre dans la voiture et on arrive des trentaines de minutes plus tard. La boîte était pleine à craquer. Avec James nous n'avons même pas fait la queue.

Il y avait une ambiance géniale.

Ça faisait super longtemps que je n'avais pas dansé.

Je commence à bouger en suivant la musique, il y avait un coupé à côté de moi. La fille me tire vers elle pour qu'on danse tous ensemble.

Eh bien il y a des couples qui partagent.

James me fusillait du regard et n'arrêtait pas de contrôler sa montre.

J'avais des palpitations, il arrive. Et ça, c'est ce tout ce que je voulais.

Je continue à danser avec le couple, je me reprends un mojito que je n'ai pas payé bien sûre. La fille s'appelle Yasmine et le monsieur Aly. Ils sont trop beaux ensemble et je leur ai dit que je n'appelai nana. Je ne voulais pas donner mon vrai prénom.

James ne me quittait pas des yeux, une heure après, nous étions en train de discuter tous ensemble, lorsqu'on met une nouvelle chanson, je me lève pour aller sur la piste.

Je dj mets sur pause la musique. Je vois un monsieur lui parler.

Dj: excusez-moi les gars il y a un problème technique, nous vous demanderons de sortir juste pour 20 minutes s'il vous plaît.

Les gens se plaignaient, mais ils finissent tous par sortir.

James me bloque au milieu de la piste. Nous arrivons rapidement entourée de garde du corps. Je ne voulais pas sourire, mais j'en crevais d'envie.

Je vis Abdou venir vers moi après qu'il ait vérifié si tout était sécurisé.

Abdou: vous deux, vous me rendez la vie impossible.

Je lui fais un petit sourire.

Moi : tu as passé de bonnes vacances?

Abdou: il est là.

Il parle dans son micro, certains gardes sortent et je les vis tenir la porte extérieure.

où est-il ?

J'avais envie de lui sauter dessus.

Où est-il?

Moi : il n'est pas venu n'est-ce pas James ?

*** : Arrête de faire chier mes gardes.

Je me sentis propulsé, j'étais sous le choc. Il me porte sur son épaule comme un sac à patate.

Rafa, son parfum.

Il me donne une tape sur les fesses. J'allais faire une bêtise.

Moi : tu es venu me chercher.

Nous arrivons devant le bâtiment extérieur. Et on marche quelques minutes. J'étais toujours sur son épaule. Il y avait un terrain vide juste à côté et plusieurs voitures.

Il n'a pas osé.

L'hélicoptère était sur ce fameux terrain. Il me fait descendre et quelques minutes plus tard, nous montons à l'intérieur, il ne me parlait pas.

J'étais devenue folle ou j'ai perdu la tête. Car on ne peut pas te donner la liberté et que tu veuilles retourner dans le même cycle.

Rafa: tu ne refais plus jamais ça.

Moi : je voulais que tu viennes me chercher.

Il attache nos ceintures et l'hélicoptère vole sur tout Dakar, c'était magnifique.

Rafa : je suis venue te chercher. Mais tu ne remets plus cette robe.

Moi : je l'ai mise pour toi.

Rafa: pourquoi tu n'es pas obéissante ?

Moi : car je ne suis pas à toi.

Rafa: pourquoi tu as voulu revenir.

Moi : mon univers n'est pas le mien si tu n'es pas là.

Rafa: Putain, tu me rends malade Amira.

Moi : je m'en fous.

Il sort son téléphone et appelle quelqu'un.

Rafa: Abdou, rejoins-nous à l'aéroport. Oui oui, on peut y aller ce soir vu que nous ne faisons rien. Okay. Non, c'est bon, j'ai ses papiers.

L'hélicoptère se pose sur un héliport une demi-heure plus tard.

Moi : où va-t-on ?

Rafa: marche.

Moi : euh ou allons-nous?

Rafa: tais-toi et marche.

Je m'arrête de marcher.

Il me tire le bras pour que je le suive. Je vis un jet privé juste à côté. Putain. Je savais qu'il était bien, mais il n'est vraiment pas n'importe qui...

J'arrive devant les escaliers du jet.

Rafa: tu montes ou je te porte tout de suite.

Je monte et m'assois dans un des sièges.

Moi : on ne voyage que tous les deux ?

Rafa: les gars nous rejoindront demain.

Moi : okay.

Rafa: dis-moi pourquoi tu cherchais mon attention dans cette boîte.

Moi : je veux cette relation qu'on a.

Rafa: t'en est sûre ?

Moi : oui.

Il s'installe en face de moi.

Je me lève pour m'asseoir sur ses cuisses.

Moi : je voulais que tu viennes me chercher.

Point de vue Rafa.

Je ne comprendrai jamais les femmes. Cette robe. J'ai tellement envie de lui faire l'amour là dans cet avion. Purée cette femme !

Je me sens bizarre avec elle. Je ne comprends pas mon ressenti.

Elle entoure ses bras autour de mon cou.

Moi : tu es belle.

Elle : merci Rafael.

Putain, elle fait exprès de me provoquer, elle parlait d'une façon vraiment sensuelle que j'en avais le corps en feu, et cette façon de s'asseoir sur moi me faisais encore plus bander.

Elle m'avait manqué en une nuit. Elle m'a vraiment manqué.

Ses lèvres étaient si proches des miennes. J'avais envie de l'embrasser, mais aussi de la laisser sur sa faim.

Moi : rassieds-toi nous allons bientôt partir.

Elle : nous allons où ?

Moi : chez moi.

Elle : mes papiers ?

Moi : je l'ai (prises) quand on m'a dit que tu étais en boîte.

Elle : pourquoi tu ne me touches pas.

Moi : tu m'énerves, je ne te comprends pas.

Elle : ce n'est pas la première fois qu'on me dit ça.

On décolle dix minutes plus tard. Une fois dans les airs. J'enlève ma ceinture et lui prends la main pour qu'elle me suive dans la cabine.

Je la mets face à moi.

Moi : tu as juste te taire, je vais te mettre un bandeau, tu vas te coucher, je veux te regarder. Quand on arrivera à Rio, tu sauras ce que j'ai envie de te faire.

Elle : tu veux...

Je ne la laisse pas finir avant d'écraser mes lèvres contre les siennes. Nous gémissions ensemble, purée, c'est tellement malsain la façon dont nos corps dépende l'une de l'autre.

Sa langue taquine la mienne. Alors qu'elle faisait descendre sa main sous ma chemise. Quelle cochonne, j'ai perverti l'enfant des gens.

Sa bouche ne quittait pas la mienne, je lui mordille la lèvre inférieure avant d'aspirer sa langue pour la goûter encore et encore. Je fais descendre ses languettes pour pouvoir libérer ses seins.

Je la couche sur le lit et commence à la déshabiller. Je m'arrête d'un coup en ayant une petite idée.

Moi : je ne te ferai pas l'amour.

Elle : Quoi ?

Moi : c'est trop facile pour que je te touche à nouveau, tu vas devoir me supplier bébé.

Elle : tu es sérieux là ?

Moi : dors. Repose-toi là, on a une escale en Espagne, et ensuite, on arrive chez moi vers 17 heures. Et là, je t'amène directement quelque part. J'ai juste besoin que tu te démaquilles et que tu te brosses les dents et enfin que tu essayes dormir. Tu peux faire ça pour moi ?

Elle : je suis fatiguée de toute façon, mais je ne dors pas sans toi.

Moi : on dort ensemble à nouveau ?

Elle : oui, je n'aurais pas dû partir.

Moi : je pense bien que tu devais partir. Tu n'auras jamais une vie normale avec moi.

Elle: je sais bien, je ne sais pas si c'est le fait de savoir que je n'aurai pas une vie normale ou si le fait que je commence à m'attacher à toi.

Ça je ne m'y attendais pas.

Moi : vient là.

Je la serre contre moi.

Elle : j'ai envie de voir mes parents. Tu pourrais les rencontrer.

Moi: je leur dirai quoi ? Salut, j'ai kidnappé votre fille, j'ai couché avec, je prévois de le refaire, et j'aime beaucoup qu'elle soit avec moi. Enfin, je suis un mafieux qui découpe les gens.

Elle éclate de rire et me serre encore plus.

Elle : non, tu diras que tu es dans le trading. Mais j'ai envie que tu les rencontres. Ce sont des gens incroyables.

Moi : j'y penserai.

Elle : okay. Tu as dormi cette nuit.

Moi : vers 5 heures et toi, je t'ai regardé.

Elle : il y avait des caméras, tu es un psychopathe.

Moi : je m'en fous, tu as dormi vers 3 heures, tu as pleuré.

Elle : ce n'était pas pour toi hein.

Moi : je te crois bébé ne t'inquiète pas.

Elle : voilà il faut le comprendre.

Point de vue d'Amira.

Il éclate de rire. Et embrasse ma joue. Avant de me serrer contre lui. Nous dormons comme ça l'un dans les bras de l'autre.

Des heures plus tard, nous arrivons à Sao polo, après le contrôle de la Doine nous passons je ne sais même pas, car je n'avais pas de visa pour ce pays et puis je ne savais même pas si je devais en faire la demande. En tout cas, nous sommes passés.

J'étais moins fatiguée.

Rafa conduisait lui-même. On arrive devant un grands bâtiments, il y avait de la voiture tout au tour.

Moi : nous sommes où ?

Rafa: notre première station avant d'aller chez moi. Tu as faim ?

Moi : non. Et toi.

Rafa: j'ai faim de toi.

Moi : tu as refusé de me toucher ne te plains pas. Tu n'as pas de gardes ici ?

Rafa: aucune personne n'est folle pour m'approcher. Tout va bien.

Nous entrons à l'intérieur, je le suis dans l'ascenseur.

Il clique sur le bouton 5.
Quelques instants plus tard, la porte s'ouvre. J'étais sous le choc.

Mon ventre était complètement retourné. C'est quoi cet endroit ?

Je serrais les cuisses pour ne pas sentir cette excitation qui m'emplissait le bas ventre.

Il y avait des couples, plusieurs couples. Certains à moitié nu, certains l'étaient, j'étais sous le choc.

D'autres s'embrassaient, Se toucher, se caressait, se doigter. Oh où t'aime, j'étais dans un sort de bordel. Comme dans la série House of the dragons.

J'étais sous le choc.

Les gémissements emplissent tout l'espace. On a chaud, froid. Je ne sais pas ce que c'était. La perversion de Rafael me choque de plus en plus.

Il caresse mes fesses à travers ma robe et me guide pour que j'avance.

Nous arrivons devant une grande porte, il la pousse doucement.

Rafa: entre.

Il marche avec moi. J'entre dans une chambre. Tout était en noir. Et il y avait des menottes sur le lit. Un vibro masseur, un pot, je ne savais pas ce qu'il y avait à l'intérieur et un ruban pour les yeux. C'est quoi ça ?

Il me prend la main.

Rafa: juste chut d'accord laisse-moi faire, je veux te montrer.

Moi : nous ne sommes pas dans 50 nuances.

Rafa: je sais, chut.

Il prend le ruban et me bande les yeux, je ne voyais plus rien.

Point de vue de Rafa.

Je lui enlève lentement sa robe, et lui retire sa culotte. La laissant dans ses talons. Avant d'enlever ma chemise et mon pantalon.

Je l'allonge sur mon lit.

Elle : tu veux faire quoi ?

Moi : j'ai oublié un ruban adhésif pour que tu la fermes.

J'écarte ses jambes et remarque qu'elle était déjà mouillée. J'attache ses chevilles à la rambarde pour qu'elle ne bouche plus de chaque côté. Avant de menotté ses petites mains.

Elle : je ne peux plus bouger.

Moi : je sais bien.

Je prends le vibro et le passe entre ses cuisses et la frôle avec.

Elle : oh putain.

Moi : je t'ai dit quoi ?

Elle : se taire, je me tais.

Je repasse le vibro entre ses cuisses et caresse doucement son delta de haut en bas.

Elle met sa main sur sa bouche pour étouffer ses gémissements.

Je tire sur les lanières pour encore plus écarter ses jambes.

Je m'agenouille entre ses cuisses et remonte ses fesses du lit, afin de passer ma langue en elle.

Putain, elle est tellement bonne, j'insère ma langue en elle en faisant des cercles. Je continue de la sucer encore et encore. Alors qu'elle tire encore sur les lanières. Je lui caresse les seins tout en continuant de la goûter.

Je relâche son sexe, et prends ses tétons entre mes lèvres. Je lui mordille les seins. Elle crie dans toute la chambre.

Je prends le vibro et l'insère en elle en le mettant à la puissance maximum.

Elle se débat comme elle peut, mais je la maintiens contre le lit.

Elle : Putain. Je t'en prie.

Je capture ses lèvres et enlève la bande se sait yeux.

Elle parle contre mes lèvres.

Elle : je t'en supplie enlève-moi ce truc dans les fesses.

J'écrase mes lèvres contre les siennes. Sa langue agrippé la mienne alors qu'elle se frottait à moi pour essayer de me sentir, mais je ne lui en donnais pas l'occasion.

Point de vue d'Amira.

Je crois vraiment que je vais m'évanouir.

Mes jambes trimbalaient, mais je n'arrivais pas à la tendre. Et ses lèvres ne me quittaient pas mes seins. Pendant que je m'approchais de plus en plus de la jouissance. Il retire le vibro. Et le remplace par ses doigts.

Putain.
Sentir le contact de sa main me rendait complètement folle. Je ne savais pas combien de doigts, il me prenait. Et je m'en foutais. C'était tellement fort et tellement bon, je ne souhaitais rien d'autres.

Ses doigts allaient et venait en moi encore et encore. Il remontait en me caressant le haut du vagin. Avant d'enfoncer ses doigts en moi. Mon clitoris était en feu alors que ses doigts ne voulaient plus me lâcher.

J'essaye de serrer les jambes contre ses mains, mais rien n'y fait. Il me fixait droit dans les yeux pendant que ses mains disparaissaient entre mes cuisses.

Je sentais mon que mon corps allait exploser. Mais il arrête à nouveau.

Moi : Putain de merde détache-moi.

Rafa: non. Je t'avais demandé de te taire.

J'essaye de ne plus parler, mais mon corps était totalement en transe.

Rafa retire le vibro et baisse son boxeur. Avant même que je n'ai le temps de reprendre une inspiration. Il me pénètre brutalement. Je jouis directement toute cette frustration dans mon corps. Je ne sentais toujours pas de satisfaction.

Il me fixe dans les yeux et me pénètre encore. Mon sexe se retrousse autour du sien.

Rafa: AMIRA !

Nous ressentions la même chose.

Moi : PUTAIN.

Il ressort pour me pénétrer encore une nouvelle fois.
Purée c'est tellement bon. Il était trop gros, trop long, je ne savais pas comment il faisait. Mais il se perdait en moi à me faire la tête.

Il me tient par la taille, et commence à me pilonner avec une force que je n'arrivais plus à parler. Mes cris emplissent la chambre.

Il se retire de moi, j'avais envie de pleurer pourquoi il me fait ça.

Rafa: regarde le miroir.

Je relève les yeux et vis que le plafond était un plafond de verre. Je pouvais le voir s'attarder entre mes cuisses. C'était encore plus érotique.

Lorsque sa langue retrouve mon clitoris, j'ai cru que j'allais mourrir. C'était si bon si profond.

Je mords les draps ne pouvant pas le toucher. Il quitte mes cuisses et se met en face de moi. Son membre trônait fièrement devant moi. J'ouvre les lèvres pour le laisser entrer.

Je le goute, putain. Il entre encore plus profondément dans ma bouche. Je le suçais de toute sa longueur. Mes lèvres se resserrant autour de lui. Je le suce une nouvelle fois avant qu'il ne quitte mes lèvres, putain, j'avais envie de le frapper.

Il détache mes jambes qui s'entourent autour de sa taille.

Lui : waouh tes prêtes dit donc.

Moi : arrête tes sottises.

Il me pénètre à nouveau. Purée.

Je n'arrête pas de jurer, je n'aurai jamais cru ressentir ça un jour ou même qu'il me ferait l'amour comme ça.

Il ondulait les hanches en allant à ma rencontre encore plus profondément. Il prit le vibro et je mets sur mon clitoris. Je perds la tête. Il grogne encore plus fort, alors que je ne pouvais plus tenir en place sur ce lit. Ses coups se firent plus rapide, plus intense, plus sec.

Je n'arrivais plus à respirer normalement.

Lui : jouis pour moi bébé.

Je ne tenais plus, il me prend encore plus profondément.

Lui en moi. Le vibro sur mon bouton d'amour. Une de ses mains agrippant mes seins. C'est fini, je n'en pouvais plus.

J'explose dans ses bras alors que j'éclatais en sanglot. Il jouit dans mes bras très longuement. Avant de me serrer contre lui.

Il se couche et me porte pour que je sois sur lui. Ici, il n'y avait plus rien à cacher, il n'y avait pas de couverture. Ses tatouages, nos regards ici, je me suis donné à lui.

Il détache mes mains et je les pose contre sa poitrine alors qu'il me caressait le dos.

Jamais il ne m'avait fait l'amour comme ça.

Rafa me regarde avec un petit sourire en coin.

Ses lèvres se posent délicatement sur mon front.

Rafa: ils nous ont tous entendu.

Moi : Quoi?

Rafa: c'est là première fois que moi-même, j'amène quelqu'un ici, je l'ai fait rénover le lendemain du jour où on la fait la première fois.

Il me serre contre lui.

Rafa: ils savent maintenant l'effet que tu me fais Amira. Sache une chose jusqu'à ce que tu décides de partir, je te serai toujours loyale.

Je lui fais un gros bisous.

Moi : merci pour tout, je n'oublierais jamais cette nuit.

Rafa: Bienvenue dans mon monde Meu indispensável (mon indispensable).

Je ferme les yeux et plaque mes lèvres contre les siennes, ça ce qu'il vient de dire là, je l'ai compris.

Rafael. À ce stade de ma vie, je ne me l'avoue pas, mais je sais que tu sais. Et tu sais que je sais. Je suis à lui.

Bisous.

J'attends vos commentaires.

Bisous.

Il reste trois chapitres avant la fin de la première phase qui s'appelle la rencontre.

La deuxième phase viendra la semaine pro.
Je risque de vous faire attendre. Donc voilà. Essayez de comprendre. Je vais le finir avant de reprendre les cours, vous inquiétez pas.

De loin le livre qui me fait le plus vibrer. Quand j'analyse les parties dans mon cerveau et quand je les écris, je suis super heureuse.

J'aime écrire ce livre, faites attention, on ne choisit pas qui aimer.

Bisous ❤️.

Et après l'avoir fini, je vais attende cinq mois ou plus avant de le l'enlever, car il sera édité in shaa Allah.

Alors, profitez-en maintenant.

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