Une menace glaciale

Je suis forte. C'est ca que je me dit depuis un bon bout de temps. A quoi set de me le répété si je prend ma mon courage a deux mains et faire quelque chose! Aba est une machine a ronflement. Mais l'aventage a cela, c'est que les pleurs de ma mère sont plus dur a entendre et discrait. Mes larmes a moi, je l'ais retiens. C'est finis les larmes de crocrodiles, j'ai 15 ans. Assis a la table de cuisine, je regarde a la fenetre le ciel rosé parsemé de nuage dansant. Tu dois l'avoir deviné, j'adore la poésie. Sa me calme de tout moment frustrant. J'ai beau a repensé a l'échec total de ma famille, quelque chose ne tourne pas rond. J'en n'ais aucune espèces d'idée de ces cachetries mais j'en suis sure que mes parents connaissent tout les réponses. Bref, il est environs septs heures du soir et la brise frisquait qui entre par l'embouchure de la porte, retrousse mes cheveux noir et empeste la maison d'une air glacial... LA PORTE! j'avais complètement oublié la porte n'était plu a son poste! Quelle était tout simplement par terre alongé comme un bout de bois... Attend, sa ne fait pas de sens, il est déja un bout de bois!  Bref, je met Aba dans sa chaise roullante pour pas que, lui n'on plus, tombe par terre, et m'avance par la porte.  Elle bloque le chemin. J'éssaie de la remettre mais se plan tombe a l'eau. Bref, je décide de l'éttendre sur le mur et prie que le vent va s'addoucir. Et que papa reviens vers nous. Ah... Papa... Ou peu tu bien te cacher. Partout! j'y pense... Et si je vais le retrouvé... Non. Beaucoup trop dangereux... Mais... Je ne peu pas le laissé. Eh bien j'avoue que c'est sa qui nous a fait... J'écoute les pleures de ma mère qui proviens de sa chambre. Devrais-je aller lui parler? Peu etre que sa la conselerais. Ma mère, elle est tellement une inspiration pour moi. Elle esquive tout les roches qui brise son destin et en fait du sable, chaud qui repose en paix sur nos pied.  Ah, je n'en peu plus! Elle dois etre asperger de gouttlette qui coule de son visage. Je dois l'aidé. En oubliant mon père, je reprend Aba et le couche sur notre matelas ( oui, nous le partagons).Je maintains un pas lent en marchant sur le bois craquant de ma maison. Arrivé a la porte qui soutiens toute la peine de ma mère, j'attend. Est-ce une bonne chose a faire? devrais-je ne pas la dérangé? Tout simplement la resté là et l'attendre pleuré toute la nuit? Non! Ce n'est pas une question, je dois lui parler! En ouvrant la porte a ma mère, elle retourne sa tête en sursaut, et me regarde. C'est yeux son d'un teint rougeatre, sa respiration est d'une vitesse accéléré, mais son sourire apparait en me voyant marcher vers elle. Je m'assis sur son lit, et elle fait de même. Elle prend aussitot la parole:

- Il est parit. Jusque comme cela. C'est de ma faute!

- Mais non maman! Dis-je presque en criant.

Je réalise que ma voix n'avais pas le bon ton, don le calme et continue ma parole avec une meilleure voix.

- C'est lui qui a brisé tout les objet en sa possession, lui qui nous a tous crié a tu tête et qui nous a laissé...

- Et c'est moi qui lui a mis toue la pression du monde pour qu'il  aie un travail.

Je laisse la a pas parler. Elle donc, continue:

- Après que son patron l'a exlue, je lui est fait un chapitre de merde!

- Mais pourquoi je ne m'en ne suis pas rendu compte?

- Tu étais partis avec ton frère au parc.

- Ah, je comprend... Et le chapitre de merde... Il sajissais de quoi?

- Pour commencer, dit-elle, il y en ai fait plusieurs. Et je faisais toujours exprès pour que Aba et toi n'était pas la pour entendre.

- Mais pourquoi?

- Tu veut que je t'explique ou non?

Je me tut. C'est vraie tout de même. Je veut arrivé au point finale. Les question serra pour la conclusion. Elle prena une longue respiration et continue:

- Je l'ai menacé. Je lui disais a reprise que je n'était pas une banque a piton et que l'argent que j'amassaie n'étaie pas suffisant. Que je ne pouvait pas tout faire! Il était partit des journées et des journées et des soirés a trouver un stupide de travail sans aucun success! Tu devait, toi aussi perde le prix et ne pas aller a l'école! l y avait quelque chose qui clochait. Je voyait, de jours en jours la quelque petite monaie dans le bocal, disparaitre. J'ai finalement découvert que cette argent était non, seulement pour noius nourrirre, mais pour nourrirre CES propres papilles gustatives en buvant des bières et des cochoneries a la place de se trouver un emploie. Je lui est dit que si il ne se trouvait pas un travail avant aujourd'hui, je me trouvera un nouveau marie qui lui, trvail pour une famille saine!

Elle terminas avec son souffle court. WOW! Je suis sous le choque. Mon père, un soulons de bièrre. A libéria ( oublie pas que c'est mon petit village), les soulons n'on pas leur place.  Mille et une question parvenir donc de ma tête.

- Est-ce que...

Ma mère me tut m'imtérompis pour la deuxième fois:

- Je m'exuse, je n'aurraie pas du te dire ça et ni dire des choses parreilles a ton père. Je l'aime tu sais. Je reggrette tous language vulgèrre qui mes sortit de la bouche... Il  dois etre tard. le ciel a vite pris une couleure ombré et le vent continue a glacé mon sang. Va avec Aba. Il dois avoir froid.

Sans même de réplique, je l'embrasse et me dirige vers sa porte.

- Inquiète toi pas, je serras correcte, m'affirme-t-elle, comme si elle a le don de lire dans mes pensé.

Je lui sourris pour une dernière fois et me conduit jusque sur mon matélat, mabrile avec notre seule et unique couverture mince et sale. Au moins, elle nous réchauffe un peu. Maman a raison, cette soiré ma épuisé. Une sieste m'attend. J'assercle Aba de mes bras, maintenant gelés, et m'endore comme un bébé...

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