Chapitre 3 (22) : Secrets are revealing themselves in the trail of a bullet

La porte se referme.

Puis s'ouvre.

La salle est vide.

Seule Monokuma, les bottes pleines de sang, les deux bras articulés brisés pendouillant derrière elle et le regard plus sombre que l'orage, sort de la pièce, avant de nous fixer avec attention, son habituel sourire disparu de ses lèvres.

« Que ça vous serve de leçon, bande d'imbéciles. On échappe pas à son exécution. Et certainement pas en se protégeant derrière un stupide titre d'Ultime Assassin qui au final n'a pas servi à grand-chose. »

Elle ricane, mais son rire est vide. Tout comme le regard d'Akihito. Ou le visage de Soma. Ou ma tête.

Ou mon cœur.

Je revois encore le corps d'Haruko tomber au sol. Je revois encore le sang, celui qui orne les bottes de notre maître de jeu sans qu'elle ne s'en préoccupe un seul instant. Je revois encore son regard dans ces derniers instants.

La peur.

La surprise.

Le refus.

L'arme pèse lourd dans mon sac. Trop lourd.

J'entends les murmures autour de moi, la panique, les questions. Mais je n'arrive pas à me détacher de ce regard. Le regard noir de Monokuma, la seule ici désormais à cacher son véritable titre, qui nous fixe avec une colère noire quelques longues minutes, minutes pendant lesquelles je vois l'orage danser dans les mots du Juge Ultime, dans la colère des maîtres de jeu, de cérémonie.

Mais cela ne dure que quelques instants. Une seconde, et le sourire de Monokuma revient sur son visage.

« Enfin peu importe. Elle a passé l'arme à gauche, upupupupu, et je crois que je vais aller faire de même avec son cher papa ! Histoire de supprimer pour de bon cette engeance d'assassins incontrôlables qui décidément ne me servaient à rien... »

Elle ricane encore alors que son pas s'éloigne, que je perçois bientôt davantage son horrible caquètement que ses pas laissant des empreintes de sang dans le couloir, des empreintes dont je suis incapable de regarder la source. Je ne sais même pas ce que je fixe. Elle ? Le mur ? Ma propre stupidité ?

« Foutue Monokuma, jure Junko à côté de moi. Elle a trouvé le moyen d'éliminer les meilleurs assassins du monde et les seuls sans doute qui lui étaient pas affiliés. »

Mais a-t-elle trouvé ce moyen, ou Haruko lui a-t-elle fourni sous l'effet de sa colère ? Le premier crime passionnel de l'Ultime Assassin qui serait aussi son dernier, quelle ironie. Ça me paraît être une manière tellement... Tellement idiote de finir. Une fin qui ne sied pas à la Haruko de mes souvenirs, celle qui nous promettait de mettre fin à ce jeu, de tous nous faire sortir, qui me serrait dans ses bras lors de moments difficiles, qui me rassurait à chaque nouvelle information.

Je ne sais même pas si cette Haruko est la vraie.

Quelle ironie.

Michi serre ma main, à côté de moi. Je sens son regard compatissant sur mon épaule, à ma droite. Sa présence me rassure. Mais j'ai peine à m'en rendre compte.

« Tu sais, Reina, personne ne t'en voudra de pleurer. »

Mais est-ce que j'ai vraiment envie de pleurer ?

Je ne sais pas.

Ma colère première a disparu. Mon choc premier a fait place à cette espèce d'état d'acceptation. Mes accès de larmes me paraissent bien loin. Je me sens juste vide. Tant de questions sans réponses que je n'aurai plus jamais. Tout ça parce qu'un homme en deuil a voulu protéger ce qu'il lui restait, parce qu'une femme en deuil a cédé à ses instincts, avec l'arme du crime au fond de mon sac.

Daisuke, à côté de moi, me lance un regard indéchiffrable, avant de s'éloigner, à pas lourds, vers la sortie du couloir du tribunal. Sans doute pour se poser dans la forêt tropicale. Je l'envie. Il a une manière si simple de résoudre ses problèmes.

Michi m'enlace. Je la laisse faire. Je ne sais pas si j'ai besoin de câlins, mais je sais que j'en ai envie, et c'est tout ce qui compte.

Les uns après les autres, les Ultimes s'éloignent. Junko et Yuuki, plus unies qu'une seule entité, disparaissent dans le couloir à grand renfort de murmures. Akihito et Saki ne tardent pas à les suivre, discutant entre eux à grand renfort de signes que je ne comprends pas. Shizuka, luel, me lance un regard amusé avant de s'éloigner, non sans faire un signe de pistolet très ironique à mon adresse. Michi lui grogne dessus, mais ça ne l'empêche pas de m'étreindre encore davantage dans ses bras avant que Soma ne l'appelle, au loin, et qu'elle ne me relâche.

« Est-ce que ça ira, Reina ? »

Je crois que oui. Mais je ne peux que hocher la tête pour le confirmer. De toute façon, je ne sais pas si la présence de Michi y changera quoi que ce soit.

J'ai davantage besoin d'une raison de me battre, en cet instant, qu'une raison d'être heureuse.

La Judoka disparaît à l'angle du couloir, la main serrée dans celle de l'Illustrateur. Je me retrouve seule dans le couloir. Et choisis cette occasion pour plonger la main dans mon sac.

Je n'ai jamais tenu une arme auparavant. Ce n'était vraiment pas dans mes priorités, je préférais de loin apprendre à sauver des vies qu'à en prendre. Mais je sais à peu près à quoi ça ressemble, comment ça fonctionne. Le chargeur dans la crosse, la sécurité, le canon de l'arme que je prends grand-soin de ne pas pointer vers moi. Autant pour ma sécurité que parce qu'il reste, au bout, quelques traces de sang séché que visiblement même le meilleur des chiffons n'a pu nettoyer.

Mes doigts parcourent l'arme sans mot dire, j'en étudie toutes les fioritures alors qu'un instinct me hurle, de plus en plus fort, de jeter cette saleté et de faire comme si elle n'existait pas, comme si j'avais trouvé un vulgaire bout de ferraille qui ne servirait plus qu'au recyclage, désormais. Mais je n'y arrive pas. Parce que, sans doute, ce n'est pas un vulgaire bout de ferraille. C'est un instrument de mort, et c'est le dernier cadeau d'Haruko.

Pourquoi m'a-t-elle confiée une arme ?

Rien que le poids du pistolet dans ma main me dégoûte.

Pourquoi je ne la jette même pas ?

Mon ongle se coince dans un creux sur la crosse. Une encoche, fine comme une aiguille, mais bien présente pourtant. Une encoche qui semble légèrement décoller une partie de la crosse. Je plusse les yeux. En connaissant les armes au même point que moi, c'est-à-dire bien peu, on sait que ce n'est pas ainsi que se recharge un pistolet de cette forme.

Que m'avait dit Haruko déjà ?

Pense à le recharger.

Mon ongle se glisse dans l'encoche. Elle s'élargit, et la crosse s'ouvre alors qu'en tombe un bout de papier, qui tinte sur le sol carrelé.

Qui tinte ?

Je me penche, et ramasse le bout de feuille. Une clé USB en tombe, de toute petite taille de toute évidence, mais suffisante pour provoquer ce bruit métallique que j'ai entendu lors de sa chute.

Mon cœur s'accélère.

Quelque chose.

C'est quelque chose.

Ma main se serre sur le petit appareil, et avant que je ne puisse m'en rendre compte, mes jambes se mettent à bouger, et je sais déjà où elles me portent. Sur le bout de papier, trois mots, écrits d'une fine police presque invisible, à moitié effacée par le crayon.

« Coupe l'Intranet. »

« Pardon. »

Je suis devant un ordinateur. L'Intranet du donjon est coupé, je suis normalement hors réseau. Et lorsque la clé se branche, une multitude de dossiers apparaissent devant mes yeux ébahis, tous soigneusement intitulés. Je vois un « plan des souterrains », un « résumé des informations obtenues ». Et surtout, un simple Word intitulé « À consulter en premier. »

Je clique dessus.

Trois pages de texte s'ouvrent sur le bureau de l'ordinateur, brillent devant moi alors que mes paupières s'ouvrent encore davantage, comme si je pouvais absorber plus vite les informations qu'il y avait dedans.

Reina,

Je regrette d'avoir à te faire lire ces lignes. Cela signifie très certainement que j'ai perdu la vie, ou au mieux ne suis-je plus en capacité de continuer cette enquête que je mène depuis le début. Je ne voulais pas avoir à te transmettre le flambeau, et je ne veux pas mourir des mains de Monokuma, mais je dois prendre mes précautions au cas où le pire devrait arriver.

Ce simple paragraphe fait battre mon cœur un peu plus vite. Elle avait donc prévu, jusqu'au bout, sa mort. Est-ce une preuve de prudence, ou une autre marque de cette fantastique ironie qui me poursuivra décidément jusqu'au bout ?

Je déglutis, et reprends ma lecture.

J'imagine que tu sais déjà qui je suis. Tu es une femme intelligente, et la manière dont j'ai tué Taichi ne laisse que guère de place au doute sur mon implication. Je ne te réexpliquerai donc pas ce qui a fait de moi l'Ultime Assassin. Je n'ai pas le temps de raconter ma vie. Monokuma va finir par se rendre compte de ce que je fais, et je ne peux pas la laisser acquérir cette clé, ou même qu'elle apprenne son existence.

Je serai brève. Il y a quelque chose que tu dois savoir au sujet des Tueries. En 2017, la Tuerie que j'ai dite avoir couverte, celle avortée, ne l'a pas été au moment que tu penses. En vérité, il y a eu deux meurtres avant que j'y mette fin, en ma qualité d'Ultime Assassin. Elle a bel et bien eu lieu jusqu'à ce stade.

Mes mains se crispent sur la souris. Le puzzle se reconstitue. Jusqu'alors, je n'avais pas fait le lien entre sa couverture, son Ultime, et cette Tuerie donc m'ont parlé Shizuka, puis elle-même... Mais tout fait sens, en effet. Beaucoup trop sens.

Il n'y a jamais eu de Tuerie avortée. Juste une, interrompue en plein milieu par je ne sais quel caprice.

Et surtout...

Surtout.

Ce n'est pas la première Tuerie d'Haruko.

Elle en avait déjà vécu une.

Mon statut dans cette Tuerie était bien particulier. Je n'y avais pas été envoyée en tant que simple victime, comme ici. On m'avait donné un contrat, en tant qu'Assassin. Deux, en fait. Éliminer le Monokuma à l'œuvre, et son maître de jeu derrière. Jusqu'ici, j'imagine que je ne te surprends pas beaucoup en disant que certaines personnes voulaient absolument empêcher de telles horreurs, quitte à faire appel à des gens comme moi, de l'autre côté.

Je plisse les yeux. Elle est sans doute parvenue à ses fins, d'après ce que je sais et les paroles de Shizuka. Elle a donc réussi à éliminer l'instigateur et derrière, le Monokuma, mettant fin à cette Tuerie sans doute jamais reprise, ne donnant aux survivants qu'un traumatisme de plus.

Le document est loin d'être fini. Et quelque chose me dit, je pense en reprenant ma lecture, que je ne suis pas au bout de mes surprises.

Là où ça se corse, c'est quand j'ai appris, de manière assez fortuite, le nom de mon employeur. Le pseudonyme latin de Pontifex derrière lequel il se dissimulait n'était en fait qu'une manière simple mais habile de désigner un titre de Monokuma. Et là, j'imagine que tu dois être très surprise. Pourquoi un Monokuma voudrait interrompre une Tuerie ?

La réponse est simple, Reina. Un Monokuma n'a pas le droit à l'erreur. Et celle-ci, avant même de commencer sa Tuerie, avait commis une grave, très grave erreur. Elle avait engagé de force une Ultime qui n'avait jamais manifesté de symptômes du Désespoir pour devenir l'instigatrice, sous la menace d'assassiner toute sa famille, ses proches, tout ceux à qui elle tenait. Ceci contournant ainsi la barrière que le gouvernement japonais avait mis en place pour brider les Monokuma : N'agir que sur demande expresse d'un Désespéré, qui deviendrait ainsi le maître de jeu, afin de s'arranger derrière pour le tuer.

Elle était trop impatiente, sans doute. Je n'ai pas assez de mots pour décrire sa cruauté et du reste, je pense que ça te serait inutile. Ça l'a menée à sa perte. Elle n'a pu mener sa Tuerie à bien. J'ai découvert et exécuté peu après le second meurtre la pauvre fille qu'elle avait pris en otage, et l'instigatrice morte, Monokuma n'a pu m'empêcher d'évacuer les survivants et de la laisser brûler dans les lieux de sa propre Tuerie.

Elle est bel et bien morte. J'ai retrouvé son cadavre sur les lieux peu après la fin de l'évacuation. Mais personne n'en a jamais entendu parler parce que dans mon reportage, j'ai présenté la Tuerie comme avortée avant même son début. Il y a peut-être une dizaine de personnes, encore cachées aujourd'hui, qui ont vécu une Tuerie dont personne ne se doute. Et moi, je suis revenue en cours, devant cacher même à Sora que j'avais été au premier plan d'une des horreurs dont les profs nous gardent mollement en cours d'histoire.

Je ne peux m'arrêter de lire. L'horreur de la situation suinte à travers ses mots. Tellement de ses réactions font sens maintenant... Dont une bonne part de son déni. Vétérane, qu'elle se disait. Je n'imaginais même pas à quel point.

Là où je veux en venir, Reina, reprend son document presque de sa voix, c'est que les Monokuma, même les pires d'entre eux comme l'Ultime Juge, sont soumis à des règles qu'ils ne peuvent outrepasser. Juge a aidé ses meurtriers, a changé ses propres règles, mais avant sa mort, il n'a jamais dérogé à celle expliquant qu'un meurtrier découvert devait mourir. Et les maîtres de jeu, les instigateurs, les MasterMind comme on les appelle, doivent mourir. Ils doivent mourir, car les Monokuma ne sont autorisés par les gouvernements que pour éliminer le Désespoir, l'empêcher de sortir et soi-disant endiguer la fin du monde. On ne leur permet de faire ce qu'ils veulent qu'à cette condition.

Monokuma, notre Monokuma, obéit comme à chacun d'entre eux à des règles. Ce que je trouve surprenant, c'est qu'elles sont même d'autant plus nombreuses que d'habitude. Elle ne peut pas tuer d'elle-même. Elle ne s'implique que dans les mobiles. Elle ne touche jamais aux indices. Elle révèle des éléments quand il faut continuer l'enquête. Tu dois trouver pourquoi elle suit ce set de règles, quelles sont-elles, et évaluer la moindre faiblesse. Elle te permettra peut-être de la forcer à nous révéler d'elle-même son maître de jeu.

Dans cette clé USB, il y a absolument tous les documents et les informations que j'ai pu rassemble au cours de la Tuerie. Dont un plan des lieux, un dossier sur l'Omnisciente, toutes les fiches traduites du Projet Renaissance et les informations que j'ai pu réunir, et aussi tout ce que je sais sur la Tuerie interrompue de 2017, ainsi que ses différences avec celle-ci, en 2018. Il y a également un plan des souterrains, partiel, mais tu y trouveras sans doute aisément de quoi le compléter. Tous les chemins mènent à Rome, disent les français. Quelque part, c'est vrai.

Ce n'est pas ma dernière volonté que je te demande de réaliser. Tu n'as pas à reprendre un quelconque flambeau. C'est pour toi. Pour te donner le pouvoir de sortir de cet enfer le plus tôt possible. A toi de faire ce que tu désires de ces informations. Je sais que tu es la personne la moins suspecte ici, et celle la plus à même d'être capable d'y arriver. J'ai confiance en toi.

Pense bien à couper l'Intranet et à supprimer toute trace de ces fichiers sur l'ordinateur au cas où Monokuma s'en apercevrait. J'ignore quelle serait sa réaction et je ne veux pas la découvrir.

Bonne chance, Reina.

Reste en vie.

Le document s'arrête là. Après, ce ne sont que des pages de vide.

Mécaniquement, je clique sur le bouton de fermeture, avant de faire ce qu'elle m'a dit, à savoir déconnecter la clé USB, nettoyer l'ordinateur, et la ranger avec soin... Dans quoi ? La cachette secrète du pistolet ?

Est-ce que cela implique que je vais garder cette arme pour les informations qu'elle renferme ?

...

...

Tant pis.

Ce n'est pas le plus important.

Haruko m'a donné une piste.

Et je vais la suivre.

Chapitre 3 : Secrets are revealing themselves in the trail of a bullet

END

Remaining students : 9

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Helloooooo les gens !

C'est officiellement la fin du Chapitre 3, qui va s'accompagner de beaucoup de bonus, cette fois, puisque nous sommes officiellement à la moitié de la Tuerie !

Premièrement, vous aurez votre rituelle partie de funfacts, sur les morts, les vivants, tout ça tout ça, le prochain jour de publication ! ça ça ne changera pas de d'habitude...

Ensuite, au même moment je lancerai la fameuse FAQ de mi-parcours que je vous promets depuis pas mal de temps ! Vous pourrez y poser des questions aux vivants, aux morts, à Monokuma et à moi-même sur tous les détails que vous voulez, bien que je me réserve le droit de ne pas répondre aux questions que je jugerai trop spoiler pour plus tard-

Enfin je vais dès maintenant préparer les votes pour les FTE et les proches !

Commençons par les FTE !

Le principe cette fois est le suivant :

Vous avez droit à trois votes. Vous pouvez en mettre un ou deux par Ultimes, et si je constate qu'un même Ultime a beaucoup de doubles votes, il aura également plus de FTE ou de scènes bonus !

Il y aura 8 scènes comprenant les FTE et les scènes bonus. Ca va surtout consister à développer la relation de Reina avec les persos concernés, vous pouvez donc voter pour Michi même si elle a ses 5 FTE, cela va juste vouloir dire que Reina va passer plus de temps avec elle, et par conséquent que moi je développerai davantage leur relation amoureuse... A vous de voir si ça en vaut la peine, ufufu.

Le personnage ayant ramassé assez de doubles votes aura tous ses FTE de complétés dans les rares cas où ils n'en ont pas eu un seul (Akihito et Soma sont les seuls actuellement dans ce cas) ou se ramasseront une scène bonus dans le cas contraire (pour tous les autres, qu'ils n'en aient qu'un ou quatre)

Le cinquième FTE sera soit une concrétisation de ship si je juge que ça clique (et soyons honnêtes il va falloir me convaincre pour beaucoup), soit l'ouverture à une relation très proche (je pense notamment à Akihito et Junko qui sont aro et Daisuke qui a un copain), soit la révélation d'un plot twist plus ou moins gros (à vous de deviner qui sont les personnes concernées, ufufu)

Et puis je pense que c'est une bonne nouvelle, mais cette fois personne n'est restreint en matière de FTE !

La liste de votes de ce chapitre est la suivante :

Akihito Kanda, Ultime Chroniqueur :

Daisuke Nakano, Ultime Révolutionnaire (4/5) :

Junko Matsuoka, Ultime Espionne (2/5) :

Michi Sasaki, Ultime Judoka (5/5) :

Saki Tamura, Ultime Stratège (1/5) :

Shizuka Mizutani, Ultime Généticien.ne (4/5) :

Soma Nishijima, Ultime Illustrateur :

Yuuki Maeda, Ultime Gamer (2/5) :

Passons maintenant à la seconde feature de votes, à savoir les proches !

Les proches sont, je vous le rappelle, une opportunité d'apprendre des informations sur les morts que vous n'avez pas ou que je ne vous ai pas données, mais également certains sont des amas de lore sur pattes ou peuvent vous révéler des plot twist en avance. laissez moi notamment vous dire que vous avez eu le nez creux en votant Kanade, ufufu-

Vous avez aussi trois votes ici, mais vous ne pouvez pas les doubler. Ils vous donneront l'occasion de voir trois proches dans ceux encore vivants (puisque Shirô et Kanade sont morts).

Je vous fais la liste donc :

Victor Kanda (Akihito, Ultime Chroniqueur)

Scott Alexander (Daisuke, Ultime Révolutionnaire)

Mahiru Nanami (Hina, Ultime Préparatrice de mariages)

Kiëran Jones (Junko, Ultime Espionne)

Mary Smith (Kichiro, Ultime Ambassadeur)

Khalil Sasaki (Michi, Ultime Judoka)

Leo Kimura (Ryo, Ultime Batteur)

Kyutaro Kanada (Saki, Ultime Stratège)

Kazumi Mizutani (Shizuka, Ultime Généticien.ne)

Akumu Todachi (Soma, Ultime Illustrateur)

Eri Yamasaki (Sora, Ultime Ecrivain Fantasy)

Evdokia Okumura (Taichi, Ultime Prêtre)

Rinka Maeda (Yuuki, Ultime Gamer)

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