Chapitre 3 (1) : Ice cold
Chapitre 3 : Secrets are revealing themselves in the trail of a bullet
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Mes cheveux ont poussé.
C'est la seule chose à laquelle je pense quand je fixe mon reflet dans le miroir. La seule chose à laquelle je me permets de penser, d'ailleurs. La longueur de mes cheveux, qui atteignaient autrefois le haut de mes épaules, est désormais suffisante pour m'effleurer le milieu des omoplates. Je ne sais pas si ça me plaît. En tout cas, je n'ai ni l'envie ni la capacité de les couper correctement.
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas eu de cheveux aussi longs ; ma mère, puis mes études préféraient me les garder courts. Du coup, je n'ai absolument aucune idée de ce que je pourrai en faire. Pour le moment, je les laisse libres. Comme d'habitude. On verra bien ce que ça donnera après. Il n'y a pas grand monde pour me donner des conseils, de toute façon.
Détachant à grand-peine mon regard de mon reflet, j'attrape mon Monopad et mes deux déverrouilleurs avant de les fourrer dans un sac à main et sortir de ma chambre. Il est grand temps d'aller au réfectoire.
Nous sommes le lendemain de cet affreux procès de classe. Le lendemain de la mort de Shô. Je ne sais pas trop encore comment je le prends. Je crois que je suis toute vide à l'intérieur. Sans doute le mécanisme de protection le moins sain qui soit, mais pour le moment, je préfère m'y complaire. Car le moindre sentiment, la moindre émotion pourrait très bien casser cette façade que j'ai réussi à construire au procès.
Je refuse même de me rappeler ce qu'il s'y passe. Shô est mort. Ryo est mort. C'est tout. Rien d'autre. Rien d'autre.
Le réfectoire est comme je m'y attendais d'autant plus vide que nous ne sommes désormais que douze. D'ailleurs, aucun de ces douze présents ne parle, ce qui n'est entre nous que guère surprenant. Même les plus volubiles d'entre nous, Taichi et Michi, ne peuvent faire autre chose que garder le silence.
Une assiette de nourriture toute prête qui ne peut être que la mienne vu que tout le monde est là se trouve sur une chaise vide, en face d'Haruko et de Sora, qui sont serrés l'un sur l'autre en mâchonnant une brioche d'un même mouvement. Obéissant à cette invitation tacite, je vais m'asseoir en face d'eux, mais ne peux m'empêcher de jeter un regard à Michi. Je devrais aller la réconforter, faire quelque chose... Dire quelque chose... mais dans ces conditions, je ne suis même pas sûre d'être ne serait-ce qu'une présence rassurante.
Pathétique.
Je serre les dents et mords dans une madeleine. L'appétit ne vient évidemment pas en mangeant, mais je me force à mâcher, puis déglutir avec toutes les difficultés du monde, juste pour me distraire de cet affreux silence lourd.
Personne ne vient le briser.
Finalement, c'est un bruit un peu trop fort de couverts qui claque sur une table qui semble réveiller l'assemblée entière. C'est Yuuki, qui vient de faire tomber sa cuillère, qui le ponctue d'un juron tellement normal, tellement simple que dans cette situation il en devient incongru. Tout le monde se tourne vers elle, et elle se recroqueville, les yeux écarquillés ; ce n'est que lorsque Junko l'entoure de son bras libre qu'elle marmonne un petit « pardon » d'une voix que je perçois à peine.
Haruko pousse un profond soupir.
« On ne peut pas continuer à se complaire dans notre misère comme ça.
— Ah oui ? Et tu comptes faire quoi, gamine ? grommelle Daisuke. Organiser une fête ? On a vu à quel point ça a mal fini. Créer un plan contre Monokuma ? Et pour quoi ? Cette connasse est impossible à tuer, et elle le sait, elle sait qu'elle nous entraînera tous avec elle. Refuser de jouer son jeu ? Avec ses règles, on sera tous foutus d'ici moins d'un an ! Reconnais-le, tes belles paroles ne vont pas servir à grand-chose ! »
Il lève les yeux au ciel, pendant qu'Haruko porte sur lui un regard indéchiffrable. Elle le maintient pendant quelques secondes avant de soupirer.
« Je dis simplement qu'accepter notre sort ne fera que jouer le jeu de Monokuma. Il faut qu'on puisse manipuler ses règles pour trouver une voie de sortie, sinon on ne s'en sortira pas.
— Et je te demande comment, très chère Haruko, tu comptes procéder ? Parce que, soupire Junko, quoi qu'on fasse, on joue son jeu. Si on monte une escouade anti-Monokuma ? Elle se contentera de la retourner contre nous avant qu'on ait vraiment pu prendre des actions. Si on décide de vivre notre petite vie tranquille ? Chaque mois, un étudiant tiré au sort sera exécuté, et cela pourra être n'importe qui. Tu ne peux oublier cette menace. Trouver l'instigateur, le maître du jeu, et le tuer ? Kichiro a prouvé que c'était plus facile à dire qu'à faire. Alors ? Quelle est notre voie de sortie, ô grande gourou si spécialiste des Tueries ? Je t'écoute. Et je prie sincèrement pour que tu aies une solution. »
La tirade de Junko jette un froid sur tout le réfectoire. Tout le monde la fixe, elle ou Haruko, et je surprends plusieurs regards à droite et à gauche entre les survivants, indécis, apeurés, presque fatalistes pour certains. Moi-même, je ne sais plus que penser.
J'aimerais tellement être de l'avis d'Haruko. Mais Junko a qu'on le veuille ou non raison. Il n'y a aucune possibilité. Monokuma ne nous a laissé aucune marge de manœuvre ni aucune porte de sortie, mis à part celle qui nous oblige à jouer son jeu. Et quand bien même les probabilités de trouver le maître de jeu augmentent au fur et à mesure que notre nombre se réduit... Le dommage de ce train de raisonnement, c'est que notre nombre se réduit. Et je ne veux pas voir d'autres gens mourir. Même si pour certains je les connais à peine, même si certains me font peur ou m'agacent, je ne peux pas m'imaginer trouver leur cadavre sur le sol, ou les regarder dans ce maudit tribunal rendre leur dernier soupir.
Je ne peux pas envisager ça.
Haruko reste silencieuse. Et puis finalement, elle hoche la tête.
« Tu as raison. Mais il y a eu des précédents, et je sais qu'il est possible de s'en sortir. Si je dois prendre les choses en main, je le ferai. Quitte à devoir administrer ce donjon entier.
— Tu aurais dû garder ton petit discours pour avant cet enfer. Même si je pense que tu n'aurais autant servi à rien que pendant les deux derniers mois. »
Tout le monde se tourne vers Taichi. Ce dernier à la tête entre les mains, recroquevillé sur sa chaise ; impossible de voir son regard, et son ton complètement vide ne donne aucune indication sur son expression. Mais rien que ses paroles me donnent une idée de l'ampleur de son ressentiment. D'ailleurs, Haruko le sent, puisqu'elle plisse les yeux.
« Étranges paroles de la part d'un homme dont l'oubli a condamné la personne qu'il aimait. Dois-je te rappeler ce qui a poussé Shô à commettre son meurtre ? »
Oh par tous les... Était-elle obligée de le lui rappeler ? Évidemment, je peux comprendre sa colère, mais là vraiment c'est tout sauf le moment. Sora grimace et se redresse, et je me prépare à le suivre, mais c'est Michi qui finalement intervient, en se plaçant entre Taichi et Haruko tel un bouclier.
« Ça suffit ! S'accuser les uns les autres ne rime à rien, le résultat est le même ! On va juste faire ce que Monokuma veut !
— Mais quoi qu'on fasse, grommelle Junko, Monokuma le veut. Faut se rendre à l'évidence. On arrivera à rien.
— Oh oh oh ! Est-ce que c'est de la lucidité que je sens, là ? Bravo mes oursons, quel bel esprit ! »
Cette voix. Évidemment qu'il fallait qu'elle vienne maintenant. Évidemment qu'elle doit toujours tout gâcher avec sa cohorte de robots et son grand sourire. Il y a au moins quelque chose sur lequel Junko et moi nous accordons, c'est que Monokuma est l'ennemi à abattre. Elle, et l'instigateur. Mais Monokuma est bien présente sur la scène de la culpabilité, tandis que san complice... est toujours autant introuvable.
C'est elle, l'ennemi.
C'est elle, la cible...
Monokuma, inconsciente de tous les regards pleins de haine qui se portent sur elle, traverse le réfectoire avant de finalement monter sur une table en souriant. Je remarque un nouvel appareil dans son dos, mais je n'ai que peu envie de lui poser la question. Probablement encore un truc dont elle va se servir pour nous torturer. C'est assez évident qu'elle ne va pas en faire sortir des papillons et des barbes à papa.
« Eh bien, rigole notre tortionnaire en balayant nos visages fermés d'un coup d'œil, c'est quoi ces têtes d'enterrement ? On se croirait dans un cimetière ! »
Sauf qu'on y est, Monokuma. Et c'est entièrement de ta faute.
La maîtresse de jeu a un large sourire avant de s'asseoir sur sa table, le regard tourné vers le haut.
« Ah là là, les bons souvenirs... je me rappelle encore quand vous étiez seize dans cette salle, tout apeurés mais encore innocents ! Enfin, pour la plupart, upupupupupu !
— Abrège. »
L'intervention d'Haruko fait doucement rigoler Monokuma, qui se redresse sur ses jambes.
« Oh, comme ceci a un doux ait de déjà-vu. Peu importe, j'ai effectivement plusieurs choses à vous dire ! Premièrement, j'imagine que vous l'avez compris maintenant, mais les proches d'un tueur ne lui survivront pas... Par contre, en ce qui concerne leur implication dans l'exécution, c'est moi qui décide, upupupupu. »
Douce grimace que je vois se balader sur les visages de mes compagnons... Je crois que nous ressentons tous la même chose. Mais à moi, quelque chose ne dit rien de bon. Cette règle est faite pour nous empêcher de tuer, c'est évident que personne ne tentera le coup ici. Alors pourquoi la rajouter ?
Est-ce que Monokuma sait que nous y serons quoi qu'il arrive forcés ?
Je préfère ne pas y réfléchir.
« Deuxièmement, continue Monokuma, les laboratoires de lae Généticien.ne, de l'Illustrateur et du Prêtre sont désormais ouverts ! Je vous laisse évidemment chercher vos clés, on ne sait jamais où elles se trouvent... Et pour finir... »
Elle prend une pause, et je vois sa langue se balader sur ses lèvres avant qu'elle ne se redresse, un large sourire aux lèvres.
« J'ai ouvert le troisième sous-sol, mes enfants ! Et je vous le donne en mille, il s'agit, il s'agit, il s'agit... D'une bibliothèque géante ! Vous aimez les bibliothèques, pas vrai choupinets ? Eh bien réjouissez-vous, parce que des tas d'informations s'y trouvent... Pour qui sait les chercher. »
Monokuma bondit de sa table. Esquive une gifle de Daisuke, un projectile de Taichi, un croche patte de Michi. Puis sort, finalement, dans le silence le plus total, alors qu'on essaie d'assimiler ce qui vient de se passer.
Une bibliothèque.
Connaissant Monokuma, ladite bibliothèque ne doit pas abriter qu'une simple collection de livres. Il y a très probablement des informations. Sur les Tueries, sur elle, sur nous. Sur ces miettes de découvertes que nous retrouvons depuis le début de cet enfer. Une bibliothèque, c'est une mine d'informations.
Dans les mains d'une personne mal intentionnée, cela deviendrait une arme redoutable.
Mais si on arrive à bien s'en servir...
Je plisse les yeux. Je ne sais pas trop à quoi m'attendre, si ça se trouve, c'est un pétard mouillé. Mais la moindre piste pourrait me donner une chance de mettre fin à cet enfer. Je vais devoir chercher. Au moins essayer.
Je grommelle.
« Eh bien au moins, ça, c'est dit.
— Une bibliothèque, soupire Haruko sur le même ton. Elle ne se rend pas compte de la quantité d'informations qu'elle nous offre. Il peut y avoir des indices sur tout, là-dedans. Sur elle. Sur l'instigateur. Sur leur organisation. »
Je vois que nous pensons à la même chose. C'est une bonne chose.
« Ce que j'ai dit tout à l'heure tient toujours, reprend Haruko. Je vais mettre en place un minimum de contrôle afin de mener mon enquête. Pour commencer, je veux savoir quels laboratoires sont ouverts et quand vous avez trouvé leurs clés. Ensuite, si vous emportez des livres de la bibliothèque, je veux les voir.
— Doucement la dictature, soupire Shizuka. On voit comment ça a fini précédemment.
— Il ne s'agit plus de règles de vie, rétorque Haruko. On parle d'informations précieuses, capitales même, pour le déroulé de notre Tuerie. La chance de mettre fin à cet enfer est peut-être sous nos yeux, et je ne veux pas que qui que ce soit m'en prive.
— Et qui nous dit que ce n'est pas toi, Journaliste ? Grommelle Daisuke. Celle qui parle le plus qui au final tire toutes les ficelles ? Le contrôle que tu veux exercer permet peut-être juste que tu bloques les informations te concernant ! »
Je n'aime pas du tout la tournure que cette conversation prend... Autant m'éloigner un peu. J'ai besoin d'air, et j'aimerais bien réfléchir à la suite. Bien sûr, j'ai autant envie qu'Haruko que cette Tuerie se termine maintenant. Mais je ne sais pas... Je crois qu'on ne trouvera pas la solution comme ça.
Il faut que j'y pense. Que je réunisse mes infos. Que je fouille ce que je peux fouiller.
J'irai dans la bibliothèque cet après-midi. Je pense. Au moins pour chercher. J'imagine de toute façon que Shizuka, Soma et Taichi n'auront pas besoin de moi pour chercher leurs clés de laboratoire ?
Je sortirais bien du réfectoire un moment, mais une main me tape sur l'épaule. Retenant le réflexe de sursauter et de frapper l'importun, je me tourne ; c'est Akihito, qui me fixe avec un certain sérieux. Et ne bronche même pas quand il voit ma main se lever. Eh bien... beau calme ? Qu'est-ce qu'il me veut ?
J'ai encore du mal à mettre de côté son comportement à l'enquête. Sa manière de me mettre des bâtons dans les roues m'a grandement limitée et sans ce pressentiment qui m'a poussée à mener mon enquête clandestine, jamais nous n'aurions trouvé la solution. Mais d'un autre côté, je ne sais pas si je lui en veux. J'ai plus l'impression que sa manière de se comporter relevait d'un pragmatisme trop froid que d'une réelle envie de nous mettre des bâtons dans les roues... Même si elle a provoqué un écho en moi.
Un écho trop peu agréable pour que je l'oublie si facilement.
Je croise les bras.
« Qu'est-ce que tu cherches, Akihito ? »
Il soupire.
« J'imagine que tu ne chercherais pas à me parler après le procès. Et tu aurais raison. Mais malgré tout, je tenais quand même à te présenter mes excuses. »
Des excuses ? Tiens donc. Akihito Kanda, l'Ultime Chroniqueur, me présente ses excuses.
Et il pense que ça suffirait ?
Je secoue la tête. Pas le moment d'avoir ce genre de pensée.
« Je t'écoute. »
Je crois que ma froideur s'est ressentie dans mon ton. Un mauvais réflexe, je n'aurais sans doute pas dû, mais Akihito n'a pas l'air de s'en formaliser. Il se contente de hocher doucement la tête.
« Mon comportement lors de cette enquête n'était pas le bon. Moi qui t'accusais de trop prendre une piste pour acquise, j'ai commis exactement la même erreur que toi, et ce en empêchant toute autre personne d'en exploiter une autre. De ce fait, j'ai probablement failli tous vous condamner. D'ailleurs, j'ai failli tous vous condamner. Et c'est toi qui as trouvé la solution, alors que dans ma bêtise je ne t'en croyais pas capable. De ce fait, je te présente mes excuses les plus sincères, et te promets à l'avenir de ne plus avoir ce genre de biais à ton égard. »
Je plisse les yeux. Il semble sincère. Je devrais pouvoir le pardonner tout de suite, et sa manière de reconnaître ses torts est complètement dénuée d'hypocrisie. Alors pourquoi est-ce que je n'arrive juste pas à enterrer cette histoire ?
Pourquoi ?
Au final, celuel de nous tous qui a le plus souffert, c'est Shô. Akihito ne faisait que ce qu'il pensait être juste, tout comme je le faisais moi aussi. Et il reconnaît ses torts. Il ne s'en cache pas. Ne pas accepter ses excuses me mettrait en tort de facto. Alors pourquoi je n'y arrive pas ?
« Juste pour être sûre, je soupire. Tu as bien cherché à m'empêcher d'affecter l'enquête par pur désir de trouver le coupable ? Pas parce que Saki te l'a demandé ? »
Son regard s'assombrit. Tiens donc... on dirait que j'ai touché juste.
« J'aimerais te dire que non. La vérité, c'est qu'elle m'y a sans doute un peu influé. Je croyais réellement bien faire, je te le promets... Mais je n'aurais sans doute pas eu cette idée sans elle et je crois qu'elle a plus été inspirée par sa rancœur envers toi que par le désir de mener une enquête dénuée de tout biais. »
Je soupire. J'imagine que quelque part, je m'y attendais.
« Tu t'imagines bien que je ne peux pas vraiment accepter tes excuses dans ces conditions. Il me faudrait aussi les siennes.
— je comprends très bien, Reina. Mes excuses sont aussi pour la paix de mon esprit, fais-en ce que tu veux. Mais ne la juge pas trop rudement, s'il te plaît. Sa rancœur dépasse ce que je considèrerais de sain, mais tu l'as quand même accusée à tort du meurtre de son propre frère. Toi, une personne en qui elle avait confiance. »
... Évidemment.
Je ne devrais pas sentir cette pointe de colère. Je ne devrais pas m'énerver au rappel que j'ai commis des erreurs, des erreurs graves. C'est ma faute, entièrement ma faute, et je devrais en assumer les conséquences. Pourtant, c'est sans remords que je tourne le dos à Akihito, avant de faire quelques pas vers la table où je me trouvais. Je ne me stoppe que pour une dernière phrase.
« Moi, au moins, j'ai tenté de réparer mes torts. »
Et je retourne à ma place en silence.
Un courant d'air froid me caresse le dos.
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Hello motherfuckers-
je vous présente Louna l'imbécile qui tente un NaNoWriMo avec son Chapitre 3-
Bon en vrai j'en suis déjà à 10 000 mots, ça peut pas être si terrible- *se prend une chaise*
Kichiro : C'était j'en ai bien peur nécessaire.
Hina: Tu es obligé d'être si violent ? QwQ
Kichiro : Connaissant Louna, elle n'irait pas droit au but avant d'avoir fini de blablater sur le NaNo. Je vais donc assurer les explications à sa place.
Ryo : Mouaif -_-
Kichiro : J'irai droit au but. Selon sa fiche de notes, ce Chapitre sera très, très long parce qu'il abordera beaucoup de sujets à parts, dont *plisse les yeux* de la backstory et un peu plus de lore que d'habitude ?
Ryo : Ah, on va enfin en apprendre plus sur ce qui nous a mis dans ce merdier ? -_-
Kichiro : Il y aura également *change de feuille* Une nouvelle "feature" de votes qui prendra effet à la prochaine partie mais qu'elle peut très bien choisir d'ignorer si vous êtes trop lents. Et aussi, vous pouvez continuer de voter pour les FTE de ce chapitre si vous ne l'avez pas encore fait... Hmmm.
Shô : Je crois que je sais ce que ça concerne-
DU BALAI VOUS ÊTES MORTS !!!!
Bon.
Puisque visiblement certains essaient de prendre le pouvoir dans mes notes de bas de page et ont plutôt bien résumé la situation, je n'en dirai pas plus et sur ce peace !
Ah si ! Publication tous les samedis jusqu'à nouvel ordre !
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