Chapitre 1 (9) : Going through the deads hints

(NDA : Les spirites de Akihito, Yuuki et Soma ont été updatés!)
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La voix de Monokuma me plonge dans un cauchemar glacé. Un cadavre. Un cadavre un cadavre un cadavre. Kichiro étalé au sol... Un cadavre. Il est mort. Il est mort, et le sang qui imprègne le parquet de bois sombre du couloir ne fait aucun doute sur l'absence de vie en lui.

Il gît devant la chambre de Saki, face contre terre, ses yeux rouges voilés. Le sang semble prendre sa source dans son cou, puisque ses cheveux sont trempés de rouge. Ça n'a cependant pas empêché son costume noir d'être épargné, loin de là. À n'en pas douter, ce qui l'a tué a touché sa carotide. Je serais étonnée qu'il lui reste la moindre goutte de sang dans les veines...

Attirés par les hurlements, tout le monde se précipite en dehors de sa chambre. Et de nouveau, la cacophonie reprend. Je vois Yuuki tomber au sol, Michi frapper le mur d'un coup de poing, Taichi se mordre la lèvre tellement fort qu'elle explose, Soma en larmes dans un coin. Et autant de réactions si variées dans la tristesse et la colère.

Et puis Saki sort de sa chambre. Les hurlements lui parviennent, la forçant à mettre ses mains sur ses oreilles. Je la vois se crisper, se demander ce qu'il se passe. Et puis ses narines frémissent, elle baisse les yeux et tombe sur le cadavre de son frère jumeau.

Je vois ses yeux s'agrandir. Et elle tombe évanouie au sol sans aucune autre forme de cérémonie.

L'ambiance est déjà suffisamment lourde comme ça. Pourtant, je sens mon cœur tomber dans ma poitrine lorsque Monokuma arrive en sautillant, et que je me rappelle d'un point de détail capital.

La deadline n'est pas atteinte.

Notre animatrice a un large sourire aux lèvres. Mais elle n'a pas le temps de dire le moindre mot. Taichi l'a déjà chopée par le cou, une expression pleine de rage sur ses traits fins.

« Je te tiens espèce de salope ! Explique-moi ce que c'est que ce bordel ! »

Malgré le fait qu'il ait ses mains refermées sur sa gorge, Monokuma ne semble pas se départir de son sourire rayonnant. Sans doute sait-elle que Taichi ne pourra pas la tuer sans se condamner. Sans tous nous condamner d'ailleurs.

« Tu veux bien.... Fait-elle en respirant difficilement, me lâcher la gorge, petit prêtre ? J'étais en train... d'essayer d'expliquer la... situation... à mes chers petits oursons...

— Eh ! JE SUIS PAS PETIT ! »

Et Monokuma peut parler, elle est encore plus petite que lui. Mais Taichi finit par la laisser tomber au sol, et elle prend quelques instants pour se masser la gorge avant d'annoncer :

« Eh bien voilà mes enfants ! On a notre premier cadavre avec deux jours d'avance ! On dirait presque que Noël est arrivé avant l'heure.... Mais vous avez sûrement plein de questions, n'est-ce pas ?

— Oui, soupire Haruko. J'imagine que ce n'est même pas la peine de demander, mais est-ce que... Notre contrat est rempli, Monokuma ? »

Son calme m'impressionne. Je vois ses mains trembler et elle est blême, pourtant sa voix n'a même pas vacillé. Et la question qu'elle pose est celle à laquelle se raccroche notre dernier espoir. C'est inutile de rêver, mais si Kichiro... Si Kichiro était l'instigateur, alors...

Le sourire de Monokuma se fait encore plus cruel, et son rire éclate dans le couloir, se réverbérant sur les murs et brisant définitivement tout espoir qu'on se sorte de là à peu près indemnes.

« Eh non mes enfants ! Kichiro n'était pas la bonne personne ! Et vous savez ce que ça veut dire... ? »

Le silence se fait. Nous sommes trop occupés à assimiler l'information pour réagir. Nous sommes piégés. Cette Tuerie ne se terminera pas avec un seul mort. Elle nous prendra encore des êtres chers, et même ceux qui n'ont su se faire aimer de personne... ne sont que des adolescents... Cette simple perspective suffit à annihiler définitivement toute trace d'optimisme.

Pourtant, Monokuma n'en a pas fini avec nous. Elle se lèche les babines avec délectation et se penche juste devant Taichi, qu'elle regarde d'en bas. Puis, c'est à notre tour. À notre tour de fixer ses yeux envahis de la plus pure cruauté.

« Quelqu'un s'est trompé dans vos rangs. Quelqu'un qu'il va vous falloir débusquer et éliminer. Voilà ce que ça veut dire, mes oursons. »

Mon visage se vide de toute couleur. Alors c'est bien comme ça que ça se passe.

Lorsque je me suis souvenue que l'ultimatum n'expirait que dans deux jours, je me suis bien doutée que la mort de Kichiro n'était pas un anodin décès, et que Monokuma n'avait certainement pas donné à quelqu'un la tâche de le choisir. Mais cette fois c'est sûr, il n'est pas mort de mort naturelle.

Quelqu'un l'a tué.

Et si on ne veut pas tous mourir...

Ce quelqu'un est condamné.

Sur ces mots, Monokuma s'en va en caquetant de rire, nous laissant quinze Ultimes sur une scène de crime. Une scène de crime que nous n'avons pas d'autre choix que de décrypter.

C'est Michi qui, la première, brise le silence.

« Bon. Qui veut se charger de l'enquête ? »

Faut-il vraiment quelqu'un ? Wen Xiang explique souvent comment elle a pris en main la première des investigations, mais personne ici n'a un alibi aussi sûr qu'elle. Sauf que Michi a raison. Il faut que quelqu'un répartisse les rôles, mette au point les règles pour empêcher que le tueur ne joue avec la scène de crime, ne recueille les preuves et les témoignages... Je regarde aux alentours. Personne ne semble vouloir se désigner... D'un autre côté je me demande qui voudrait d'un travail pareil.

« Je vais le faire. »

Tout le monde relève la tête. Sauf moi. Moi, je suis trop occupée à fixer Haruko du regard, qui a déjà sorti un petit calepin de sa poche.

« Michi, Yuuki, Ryo et Shizuka peuvent témoigner du fait que j'ai un alibi. Je les au croisés tous les quatre en rentrant dans ma chambre, vers l'heure du couvre-feu, je n'ai donc pas pu en sortir. Et il est assez évident que ce meurtre a eu lieu la nuit. »

Je me détends un peu. Une donnée sur le meurtre, et ce n'est pas moi qui m'en chargerai... à mes côtés, Sora, qui a récupéré un peu de couleurs, me fait un sourire amical, l'air de dire « on est entre de bonnes mains ». Je suis assez d'accord. Surtout qu'Haruko est journaliste, elle a sans doute dû voir pas mal de scènes de crimes... Cette dernière continue d'ailleurs de parler, un air dur sur le visage.

« Je vais devoir demander à tous ceux qui ne se sentent pas d'inspecter une scène de crime d'aller au réfectoire attendre que je leur demande leurs alibis pour la nuit. Ceux qui ont des idées d'où chercher peuvent rester avec moi. Et par contre, Reina... Je vais devoir te demander quelque chose. »

Elle se tourne vers moi, avant de me prendre la main.

« Tu l'auras remarqué, Monokuma s'est barrée sans prendre la peine d'examiner le cadavre. Et qu'elle le fasse où non, ses renseignements risquent d'être incomplets. Tu es la seule ici capable de faire une autopsie un tant soit peu correcte. »

... Oh, par tous les esprits... Je ne voulais pas être mêlée à ça moi ! Bon évidemment, je me doute que je n'ai pas le choix. Je suis effectivement la seule ayant des bonnes compétences en médecine, je devrais au moins pouvoir dater la mort et en situer la cause... Mais je n'aurais jamais pensé devoir faire ça sur un de mes camarades... Encore moins sur Kichiro.

Je baisse la tête pour le regarder. Kichiro Tamura. Insupportable gosse de riche, hautain, froid et autoritaire. Mais il avait en tête une piste pour nous sauver la vie à tous. Et puis surtout, c'était un camarade. Je le voyais de loin lors des galas et autres réceptions car son père ne l'a jamais laissé approcher d'autres enfants, mais il faisait partie de mon cercle.

Et quelqu'un l'a tué.

Peut-être même que ce quelqu'un est l'instigateur.

Et dans ce cas... Je dois le retrouver.

Je pousse un profond soupir, avant de hocher la tête vers Haruko.

« D'accord. »

Elle me sourit, soulagée. Moi, je détourne le regard. Plus vite c'est fait...

La première chose à faire est d'inspecter le corps de Kichiro. Je me mords la lèvre, tente d'oublier que je touche un cadavre, et tâtonne doucement sa peau au niveau du cou. Il est encore tiède, et la rigor mortis n'a pas encore pris effet sur sa chair... Il a dû mourir il y a très peu de temps. Au petit matin, peut-être. Situer l'heure exacte de la mort dans ces conditions ne va donc pas beaucoup m'aider, puisque très peu de personnes n'ont pas d'alibi à ce moment-là : celles qui étaient dehors, ou celles capables de sortir de leur chambre.

Ça limite aussi le nombre de gens à interroger.

Mes doigts finissent par rencontrer une sorte de cavité. La plaie de son cou. Pas de doute, ce qui l'a tué a bien percé la carotide. Le sang coule encore de cet endroit, tache mes doigts et mes vêtements. Je vais devoir changer de pantalon si je ne veux pas finir par vomir...

Je me crispe. Je suis vraiment en train de tâter le corps de mon camarade. Bon sang mais qu'est-ce que je fais...

Je me dégoûte mais le travail n'est pas fini. Je sors un mouchoir de ma poche et essuie le sang qui coule encore de sa blessure. Le travail est vite fait, me permettant de regarder la plaie de plus près. Elle est arrondie et très fine, mais sa profondeur est assez importante... L'arme du crime doit être très particulière pour avoir fait cette trace.

Un rapide examen corporel m'apprend que c'est la seule plaie d'importance, malgré quelques égratignures et un smoking en bataille. Bien. Kichiro est donc bien mort de sa blessure au cou. Je crois que je n'ai rien d'autre à examiner.

Je me redresse, et remarque qu'autour de moi ne se tiennent plus désormais qu'Haruko, Taichi, Michi, Shizuka et Sora. Ce dernier est tout verdâtre, il semble prêt à s'évanouir à tout moment, mais il semble vouloir rester aux côtés d'Haruko. Taichi et Michi échangent des regards sombres, mais aucun des deux n'a l'air vraiment perturbé par le corps. Haruko semble toujours aussi calme. Et Shizuka... C'est pire encore. Son visage est tellement inexpressif que je croirais presque qu'iel est l'Ultime Robot...

Voyant que je me relève, Haruko me fait signe.

« Alors, Reina ?

— Plaie ronde sur le cou, c'est sa seule blessure potentiellement mortelle, je soupire en essuyant du mieux que je peux mes mains. Il est mort il y a très peu de temps, sans doute dans l'horaire de nuit. Vous avez trouvé des choses, de votre côté ?

— Oui, annonce Taichi, un couteau, trempé de sang et juste à côté de ses mains, fait-il en levant l'arme en question, qu'il tient entre ses deux doigts. Sans doute l'arme du crime. »

Un rapide regard vers le couteau me fait immédiatement éliminer cette possibilité. Il n'est pas du tout de la forme correspondant à la plaie, et en plus, la tache de sang sur la lame est étrange. On dirait plus qu'il a baigné dans le sang plutôt qu'il s'est retrouvé planté dans... Dans le cou de Kichiro... Enfin l'un n'exclut pas l'autre, mais sa forme est directement éliminatoire. Mais alors, que faisait Kichiro avec un couteau ? Est-ce que son tueur essaie de nous induire en erreur ? Ou alors...

« Ne tirons pas des conclusions trop vite, grommelle Shizuka. Les informations tangibles sont : Kichiro est mort au petit matin. Sa plaie est ronde et est indubitablement la cause de sa mort vu qu'il n'y en a qu'une. Et il y a un couteau à côté de lui. Point. Que faisons-nous maintenant ?

— On interroge les gens, soupire Haruko. L'un d'entre nous a peut-être vu Kichiro, ou son tueur. Et il faut les alibis.

— Euh, à... à ce propos, Haruko... »

Sora est toujours vert, et sa voix tremble comme jamais elle ne l'a fait. Mais il a le regard clair. Et j'ai le sentiment que son information peut être intéressante.

« Vers 23h30 environ, après l'horaire de nuit, j'ai vu Kichiro errer dans les couloirs. Ça m'a paru anodin sur le coup... Mais il se tordait les mains et ne cessait de répéter quelque chose comme « je dois le faire, je dois absolument le faire »... »

Ah ben ça. Donc Kichiro avait un plan en tête, un plan qui risquait de demander un sacrifice de sa part. Mais quel genre de plan a-t-il bien pu nous pondre encore, cet animal-là...

Les morceaux commencent à se rassembler dans ma tête. Les dernières paroles que Kichiro m'a adressées, alors que nous étions au laboratoire d'Hina, me reviennent. Un plan. Tous les moyens nécessaires. Il devait le faire. Kichiro avait peut-être bien une piste, après tout. Ce qui veut dire qu'en suivant cette piste...

Nous tomberons sans aucun doute sur son tueur.

Je souris.

« Merci Sora. Je crois que c'est important...

— Tu veux faire quelque chose, Reina ? » Me demande Haruko, interrogatrice. Je secoue la tête.

« Non, pas vraiment. Je préfère me limiter à l'autopsie, c'est ma seule compétence à peu près sûre... Mais je pense qu'en interrogeant de plus près les autres, on aura de meilleures pistes.

— D'ailleurs, vous étiez où, vous autres, pendant le moment du meurtre ? »

Michi prend le relais, ça fait du bien. Si je me limite à l'autopsie, je devrais pouvoir m'en tirer sans trop de problèmes. Haruko trouvera très bien d'elle-même la piste de Kichiro, elle n'a pas besoin de moi... J'ai un rôle dans cette histoire, et je préfère l'assurer sans prendre trop de place. D'ailleurs, je ferais mieux d'écouter les interrogatoires des autres. Surtout que je peux en quelque sorte confirmer l'alibi de Sora, qui fait malheureusement partie des personnes suspectes...

« Moi, dit Haruko, j'étais à un endroit tout à fait normal, ma chambre. Je n'en ai pas bougé depuis l'heure de nuit, Shizuka et toi pouvez confirmer, Michi.

— Certes. Sauf que Shizuka est pas rentré.e dans la sienne, de chambre, grogne Michi. Où t'étais ?

— Parti.e me promener. Je sais que c'est vague, mais je n'ai pas mieux à t'offrir. Je peux par contre te dire qu'à trois heures du matin selon mon Monopad j'ai croisé Daisuke dans la forêt tropicale, et vers cinq heures, je me suis rendu.e dans la zone rivière, où j'ai vu Sora en train d'écrire. Je n'en ai ensuite pas bougé, et n'ai vu personne. »

La voix de l'Ultime Généticien.ne est froide, mais je ne pense pas qu'elle veuille vraiment nous dissimuler des trucs. Donc deux personnes peuvent confirmer son alibi, et Daisuke était dehors, ce qui fait donc une personne de plus à interroger... A ce rythme là, l'heure du meurtre risque de se révéler importante, tout compte fait. Quelle joie. Davantage de gens à interroger pour savoir qui a tué un des nôtres... Mon cœur frémit à cette idée. De dégoût, s'entend.

« Moi, ajoute Taichi, pareil, j'étais dehors. Désolé, personne peut confirmer mon alibi, par contre. Sauf Monokuma, qu'est venue me narguer vers genre 4h du mat', mais je pense qu'elle le fera pas. »

Il y a peu de chances en effet. Tout dépend de l'équité que notre animatrice, future juge, voudra adopter. Sans savoir comment vont se passer les procès... Ce sera dur de dire.

« Quant à moi, je réponds avant que Michi n'ait pu me demander, j'étais dans ma chambre. Mais pour ceux que vous avez vu y rentrer, y'aura juste un petit truc en plus... »

Est-ce que j'ai vraiment envie de ramener les soupçons sur moi ? Pas vraiment, mais je n'ai pas le choix. Le meurtre ayant eu lieu de nuit, ce que je porte à ma ceinture est un élément capital de l'enquête. J'y porte la main, et en sors le petit appareil dont m'a fait don Junko.

« Ce truc permet de déverrouiller les portes des chambres. C'est Junko qui me l'a donné. J'ai pas tout compris à son fonctionnement mais apparemment, il peut faire en sorte de passer outre le couvre-feu... On est quatre à l'avoir, dont moi et Kichiro, donc vous n'aurez pas à chercher ça bien loin...

— ça, ça risque de se révéler important, Reina, me fait une Haruko abasourdie en me prenant des mains le petit appareil. Ça veut dire que quiconque possède ce truc peut se sécuriser un alibi. Qui d'autre que toi et la victime l'a en sa possession ? »

Je pousse un profond soupir. Deux personnes que je n'ai vraiment pas envie de soupçonner.

« Saki et Junko en ont chacune un. Mais on peut très bien leur avoir piqué, alors... Demandez leur le statut de leur appareil. »

Haruko hoche la tête, et échange un regard avec Michi et Sora.

« Bon. Je pense qu'on en a fini ici. Venez, on va interroger les-

— Reiiiiii-naaaaaaa ! Ma petite choupette, ma médecin favorite ! Viens un peu par iciiiiiii ! »

Cette voix aiguë et pleine de fiel... Ce ne peut être que Monokuma, évidemment. Qu'est-ce qu'elle me veut encore celle-là ? Agacée, je me tourne dans sa direction, pour voir que le corps de Kichiro ne gît plus à terre. D'ailleurs, le large sac noir que l'animatrice traîne derrière elle a un contenu affreusement suspect...

« Viens donc avec moi pour l'autopsie ma puce ! J'ai une salle exprès pour toi au deuxième sous-sol, tu vas en avoir besoin ! Vite, vite, sinon je vais jeter le corps à la poubelle... »

Je grimace. Évidemment, je sais que mon examen était très sommaire, mais je ne comptais pas vraiment revenir au corps de Kichiro... Je ne suis pas médecin légiste mais gynéco, bon sang...

Sauf que si l'heure de la mort se révèle importante pour les alibis, je ne vais pas vraiment avoir de choix dans cette affaire. Il va falloir que j'aille autopsier le corps de Kichiro.

Je laisse échapper un faible sourire à l'adresse de Michi et Haruko, qui tentaient de retenir Monokuma.

« Ne vous inquiétez pas... Si... Si je peux aider, je ferai le maximum. Je vous retrouve au réfectoire... D'accord ? »

Leur réponse, si négative, ne ferait que me conforter dans ma totale non-envie de me plier à cette tâche. Alors je prends la seule décision qui s'impose, la seule chose me permettant de me rendre utile ; je me tourne vers Monokuma, et je la suis en silence vers le deuxième sous-sol.

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Salut la compagnie! :D

Alors, qu'est ce que ça fait de rentrer dans le vif du sujet?

Vous l'aurez compris, l'atout principal de la protagoniste cette fois, ce sont ses compétences en médecine. Monokuma n'est pas très "autopsie"....

Ce qui veut dire aussi pas de Monokuma File puisque c'est Reina qui gère cette partie-là! Mais les autres indices ne vont pas manquer...

Je vous laisse chercher le coupable! Et observer Reina entrer en "protag mode" contre son gré... Si je puis vous donner un petit indice sur la suite, ce procès sera très important pour son évolution.

Voilà!

Kichiro : Je me demande si ils vont trouver qui m'a tué.

Ah, et, les morts me rejoindront dans les notes d'auteur à chaque fois! Vous pouvez d'emblée vous douter que je ferai pas un coup à la MM de THH.... Ou troisième meurtre de CERTAINS DANGANRONPA-

Unless....

Kichiro : Tu te crois drôle? -_-

Bref-

Une dernière chose avant de vous laisser, j'ai fait une petite chibi chart avec les orientations et genres de mes seize persos! Enjoy (sachant qu'il y a peut-être eu de petits changements depuis votre dernier passage sur mon récapitulatif-)

Si vous vous demandez quels sont tels drapeaux, je suis là pour répondre à toutes vos questions~

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