Partie 4
Le cri du fantôme
Elles étaient arrivées de chez elles sans aucune contrainte, car ce jour-là, la route n'était pas tellement embouteiller comme d'habitude ; beaucoup de fois, les voitures s'opposaient entre elles, tout les après midi, ce qui rendait la voie quelque fois impossible de franchir à grande vitesse.
Abella descendit calmement quand elles fussent arrivées devant la porte grise, puis elle attendait sa mère qui tenait ensuite sa main pour rentrer à l'intérieur, avec son petit frère de l'autre côté.
quelques minutes brièvement écoulés, comme sa mère lui ordonnait ; elle était assise à la table de la cuisine en faisant quelques lignes de devoir, et sa mère, elle cuisinait calmement, oubliant toute discussion qu'il y avait eut entre elles. Quelques minutes de l'heure, il faisait déjà nuit et la lune croissante brillait à part entière dans le ciel rebondissant ses reflets sur le vitrail des fenêtres ; un vent déchu venant de l'Occident suffoquait les arbres et leurs feuillages se mettait aussi à dissiper un sentiment de trouble et de peur.
Elle fit un coup d'œil à sa mère tardivement qui la regardait à son tour d'un soupir interne qui s'échappe d'un faux sourire, et d'un coup, survint un miaulement de chat qui sortit quelque part sous la fenêtre au coté nord de la cuisine. Abella fronça les sourcils en lâchant pour exprimer sourire de peur et son inquiétude qui lui faisait arrêter de continuer ses exercices de math qu'elle avait à retournée complètement résolu à l'école...
— tu entends maman! Tu entends maintenant! Vocifère Abella d'une rapidité cruciale.
— bien sûr ma chérie, mais ne t'en fait pas ce n'est qu'un chat qui passe dans la prairie et rien de d'autre, répond Amanda de sa voix rebondissante, elle ne voulait pas croire qu'il y avait quelque chose d'autre à concerter à part cette description, juste un chat !
— hum! Fit Abella d'une nuisance apparentée, D'accord maman, elle a rétorquée d'une colère non affiché sur le tableau de son visage, sauf ses mines qui ont rapportées l'expression seule en quelques secondes.
Abella aimait sa maman, elle ne voulait la troubler ni l'ennuyer par simple mauvaise prétention, cependant, elle savait que ce qui se passait dans cette maison était pur étrange.
Abella reste en suspens après avoir assayer d'ouvrir les yeux de sa mère pour lui faisait croire que réellement il s'agissait de quelque chose de bizarre, tandis qu'elle ouvrit grandement ses oreilles fine pour comprendre le cri du chat qui passait dans tout les contours de la maison, sa mère continuait à s'occuper du dîner, mais certainement avec un esprit de doute et instable.
Les miaulements s'arrêtaient quelques instants, mais ce n'était que le début du profond détournement de crainte que menait sans doute à la peur ; après quelques moments de silence, des grognement se suivaient ensuite aux miaulements précédents, Ah! C'était une catastrophe !
Pour Abella, son inquiétude devenait de plus en plus instable, elle voulait certainement trouver un moyen d'affronter sa peur toute seule comme une fille de courage qui n'a pas peur de piétiner les épines des ombres menaçantes.
— tu as entendu ça maman ?! Cria t-elle d'une voix basse et vigilante, elle croyait toujours avoir une chance de montrer à sa mère que son inquiétude paraissait logique.
Depuis quand nous avions des cochons ici ? Et... À cet heure-ci maman ! Elle a ajoutée, Abella.
C'est débile ! Et si tu refuses toujours de me croire, je....
— Chuuut! Interrompue par sa mère qui s'approcha d'elle à petit pas et lui parla à l'oreille : tais toi ma fille, ne parle pas si fort! alors, écoute moi, peu importe s'il s'agit de vrais porcs ou non, je pense que nous ne devons pas trop nous occupées de ça, d'accord ma fille ? Parce que nous ne savons pas ce que c'est, alors, faisons semblant de ne rien compris.
Adabus, son petit frère était dans sa chambre, c'est un enfant qui est très réservé, mais aussi, il préfère se concentrer à l'intérieur pour ses leçons après l'école.
— d'accord maman. Répondit-elle sous un air calme mais toujours terrifiée et sombre comme les nuages pluvieux.
— nous allons prendre notre petit repas et bouche toi les oreilles sur tout ce qui passe dehors est-ce que tu m'entends ?
Elle secoua affirmativement la tête pour une réponse plus ou moins silencieuse, malgré son instabilité.
Après cela, sa mère éteignit le four et déposa la marmite à côté du lave-vaisselle, dans quelques instants, elles pris place à la table du dîner après avoir interpellé son fils qui préférait se mettre à côté de toute ses histoires pour ne pas subir le même sort que sa sœur, la peur. Abella a pris un moment pour profiter du repas sous un esprit de peur et fracassant,ainsi sous le grognement qui ne cessent de frôler leurs tendons, ils se regardèrent l'un l'autre sans y ajouter un mot.
Pendant qu'ils mangeaient sous un air un peu tranquille, juste pour une fois, le four se rallume d'un coup comme si quelqu'un allait l'utiliser, et du coup, un vent frustrant rentra à l'intérieur ; leurs cuillères ne peuvent Désormais toucher à leur lèvres, et Abella regarda sa mère qui frémissait sous cette surprise
— je ne comprends pas! Comment est-ce que le vent peut rallumer le four si rapidement et instantanément ? Elle a dit, Amanda.
— je te le disais maman,cette maison est drôlement piéger et étrange.
Répondit-elle de sa voix enfantine, elle était troublée par la peur, mais se concentrait pour avoir du courage.
Amanda, elle se leva pour aller éteindre le four et déclara à voix basse : cette maison est hantée.
Quand Amanda retourna sa face, elle apercevait la poupée de sa fille exactement devant la porte de l'entrée, elle avait ressentis l'adrénaline versé comme un courant d'eau sur son corps, accompagner d'une chaire de poule sans égal.
—Abella! Elle a criée vers sa fille qui était très toucher par la peur.
— oui maman! Répond Abella.
— pourquoi tu as mis ta poupée devant la porte? Tu sais que ce jouet doit rester dans ta chambre, ajoute Amanda.
— moi! Faisant un coup d'oeil à coté d'elle voyant la poupée assise devant la porte
Mais!
— va la remettre dans ta chambre! Ordonna Amanda, Abella était susceptible de la ramasser malgré son apparition étrange dans le couloir, même si au fond, elle éprouvait une lourde pression.
— mais maman! Dit-elle de sa voix fine et d'un air suppliant.
— aller! Va la ramasser, poursuivit Amanda.
— d'accord maman. A-t-elle répondue de sa triste mélodie qui marque sa résignation.
Elle avait quittée la table en s'approchant timidement vers la porte pour ramasser la poupée qui, étrangement avait apparue devant la porte de la rentrée de la maison, alors que Abella, elle se souvient de l'avoir jeté dehors dans la poubelle.
Elle s'approcha ensuite vers sa mère qui avait donnée sa face vers la fenêtre, elle paraissait perdue, alors qu'elle essayait de comprendre ce qui se passait dans cette maison.
Amanda reprenant toute sa force, fit un œil vers sa petite fille qui lui avait essayée de convaincre durant tout ce temps, hug! Amanda se replia.
— aller ma petite princesse, va la mettre dans ta chambre, ordonna la jeune maman après avoir caresser les cheveux de sa fille.
— je l'avais balancer dans la poubelle maman et..tu veux que je l'emporte dans ma chambre ? Réplique Abella, elle n'avait plus besoin de voir son jouet parce qu'il faisait peur, Abella lui fit un regard très sombre.
Sa mère ne dit plus un mot, et soudainement, elle commença à pleurer.
Comme un enfant, Abella était toujours prête à soutenir sa mère quand elle faisait face à des situations difficiles.
— maman... Abella devisagea, dis moi que tu ne va pas accepter que je dort avec ce maudit jouet, marmonne Abella des ses yeux larmoyants. Sa mère fit tourné sa face vers elle, et Abella, elle avait reculée en voyant le visage déformer de sa mère comme un maquillage carnavalesque.
Abella fut saisi d'un effroyable sensation, le visage de sa mère paraissait comme un bouc mêlée d'une chauves-souris affreuse ; tout à coup, l'image effrayante avait disparue de son visage, la jeune Abella, elle était la seule à avoir vue ce qui se passait à ce moment-là.
— tu vas dormir avec ton petit jouet ou je te donnerai une de mes peluches, je sais bien que tu les aimes, lui dit Amanda d'une voix étrange qui faisait des échos sur les murs et les balises de la maison.
Abella avait continuée à faire des petits pas en arrière parce qu'elle était très effrayée, malgré le visage normale de sa mère apparue quelques secondes après avec des voix d'enfants qui pleurs et qui riaient en même temps.
— maman! Lança Abella, elle voulait s'assurer que sa mère n'était pas prise en otage par les mauvais esprits ou des fantômes qui abritaient la maison.
“ Je ne peux pas dormir avec ce jouet maman, je préfère dormir comme ça, répond Abella. ”
— d'accord ! Je veux que tu évite de te paniquer beaucoup trop ma puce, je crois que c'est l'heure, avance Amanda. Je dois aller dormir maintenant parce-que je suis vraiment fatiguée, va te reposer pour l'école ma fille et oublie toute cette histoire, d'accord ? marmonne sa mère en prenant tout droit la direction de sa chambre.
Le petit Adabus, s'était déjà bien endormie, Amanda l'apercevait appuyé contre la table où il fesait ses devoirs pour l'école ; elle envisagea de le réveiller, mais préfère de lui porter sur ses épaules et l'amena dans sa chambre prudemment.
D'un air sombre et frustrant, elle rentra tout doucement dans sa chambre en abandonnant la poupée quelque part dans les coins, elle ferme tout doucement la porte tel un voleur qui fait son œuvre pour ne pas être apperçu ; elle faisait ce geste de prudence juste pour voir s'il y auras la moindre réaction même si la peur l'avait captivé comme une étrange sensation qui la rongeait au fond de son âme, puis en reculant, elle s'avança sur près de son lit, ses yeux remplis pleins de grave envie de se jetter ailleurs pour trouver du refuge, et de ce même regard, ses pupilles qui ne quittaient pas la serrure. Et Abella, elle s'assied tranquillement dessus, quelques secondes après,elle entends des cris d'enfants qui jouent juste à coté de la fenêtre de sa chambre et elle se leva pour aller voir ce mystère mais en approchant à pas de chat, elle avait entendue un petit bruit de clochette en regardant secouer la serrure de la porte de sa chambre..
Sursautée, son coeur palpitant si fort qu'elle voyait trembler sa petite robe bleu sur son omoplate, puis elle s'avança un peu en direction de la serrure et elle entendit une voix d'enfant qui lui suppliait comme un enfant qui n'avait point de recours.
— Abella! Abella! Je veux jouer avec toi! Ouvre moi la porte,ouvre moi! Hihihi ! Lança phénoménale la petite voix d'enfant d'un timbre paranormale.
De cette voix étrange qu'elle avait soudainement entendue, accompagner d'une autre voix pareillement à celle de sa mère, et à cause de cela, elle avait essayée de mettre son courage en vigueur pour ne pas se laisser emporter par la peur malgré que ce n'était pas une chose facile à concevoir ; elle avait donc décidée de relever le défis, avec un peu de courage juste après avoir respirer profondément, elle s'approcha petit à petit avec les mains tremblante, et la serrure, elle avait continuée à secouer comme un tremblement de terre à haute magnitude.
Son pyjama bien endormie sur son corps, elle devait certaines promulguée une certaine vigilance.
— Ouvre moi Abella! Ouvre! Ouvre! Hahahaha! Ouvre nous ! Hurla la chose qui était derrière la porte.
Deux voix homogène mi-aigu, accompagner de la voix de sa mère, mais, Abella éprouvait un peu de craintif pour ouvrir la porte rapidement. “ un peu bravoure ! ” Se disait-elle en chuchotant la phrase plusieurs fois, après avoir mis la paume sur la serrure, Abella ouvrit la porte en essoufflant, comme un enfant qui venait de courir après ses parents.
— pourquoi t'a mis tout ce temps pour m'ouvrir la porte Abella?? complaint sa mère qui était assurément derrière la porte durant tout ce temps là. Avec la poupée tennant ferme dans sa main cacher derrière son dos.
— je...pardon maman! Je croyais que s'était autre chose, déclare Abella.
— je comprends ma petite princesse, mais dis moi, combien de fois dois-je te répéter de ramasser cette espèce de truc que tu jette dans tout les coins de la maison? Lui dit Amanda.
“ Je ne veux plus voir cette chose dans la maison ” avance Amanda qui était fatiguée de répéter les mêmes phrases.
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