- Attends, attends Bonnie, coupa Lexy, comme tu as pu savoir ça ? Comment c'est possible que tu sache le collier qu'elle portais ?

- Il y as quelques jours, dit-elle en avalant bruyamment sa salive, je prenais ma douche et un moment une vague de chaleur m'a submergée, si forte que j'ai du m'assoir sur le bord de la baignoire. J'ai eu un violent mal de crâne et des flash d'images dans ma tête, j'ai vu une forêt, un arbre, très grand avec des chaînes autour de lui, j'ai vu du feu, du sang, et des hurlement dans les oreilles, puis la noirceur, et enfin j'ai vu ce collier maculé de sang. J'ai cru devenir folle, alors j'ai fait en sorte d'oublier ce moment, jusqu'à ce que j'entende ton histoire. Et là absolument toutes les images me sont revenues.

- Donc si j'ai capter le truc. Dis Lexy.. Bonnie a eu une sorte de vision, toi tu as rêver d'elle et moi j'ai assister à son sacrifice ?

- Son sacrifice ? Son meurtre non ? Dis Bonnie.

- Sincèrement Bonnie, vu la mise en scène de cette atrocité je t'assure qu'on était sur une la mise en scène d'un rituel sacrificiel.

- Les filles ! Calmez-vous, on peut pas conclure tout et n'importe quoi de cette histoire non plus, il faut qu'on aille voir la police et que tu leurs raconte ce que tu as vu

- Les flics ? Non hors de question, la police est incompétente, tout pourrais me retombe dessus ! Complice, non assistance à personne en danger, ils sont capable de tout pour trouver un coupable. Vivre avec ce trauma oui, mais vivre avec ce trauma chez moi et pas en prison.

- Et si on nous avez drogués pour nous implanté des souvenirs ?

- Ça colle pas, Lexy.. j'ai eu les visions il y as quelques jours, et vous c'était cette nuit.

- Tu as une meilleure explication ?

- Oui. Mais ça vous plairas pas du tout, ma théorie est un peu tiré par les cheveux, et si on été au cœur d'une affaire de rituel d'invocation ? Et si on devais résoudre un mystère occulte ?

- Mais oui ! Bien joué Véra !
Fait chauffer la Mistery Machine !

- Ben, c'est vraiment pas drôle !

- Occulte ? Bonnie s'il te plaît, je sais que tu es passionnée par le monde paranormal, mais on est dans la vrai vie, pas dans une histoire d'horreur à la Stephen King...

- Et comment tu explique. Les visions ? Le rêve et la réalité ?

- Je ne l'explique pas c'est vrai..

- Quand on épuise les théorie rationnelle, il faut penser aux théories irrationnelles.

- Je m'y refuse catégoriquement.

- Ben, Bonnie, je pense que ce n'est pas arrivé par pur hasard, il y as forcément une explication, qui sera bien sûr non conventionnelle. C'est certain, mais sur cette affaire on est clairement liés tout les trois. Il faut qu'on se soutienne et qu'on trouve quoi faire.

Mon regard se tournis vers Bonnie, un peu estomaqué de la situation et du calme et la bienveillance de Lexy, cette fille imbus d'elle même, méchante et froide avais un visage que je ne connaissais pas, et j'aime beaucoup cette facette d'elle.

Après des heures de théories, des dizaines de feuilles griffonner, des probabilités, des calculs, nous arrivions toujours à la même conclusion ! Cette histoire n'est absolument pas logique.

Cette journée avais annoncé un beau temps, calme et chaud, cet événement as rendu ce jour froid et sombre, encore plus sombre qu'un dimanche pluvieux en plein hiver.

On as alors commencer à divaguer, et à partir sur des théorie occulte, des événement illogique devenais tout de suite logique quand on colle le mot occulte partout ! Je n'arrivais pas à m'ouvrir comme elles, je suis un garçon bien trop terre à terre.
Le temps file à une allure folle, nous avions passée la journée à discuter et débattre si bien que la pénombre sur la ville commencer à englober le quartier.
Je n'avais pas envi de rester seul ce soir, malgré mes réticences, j'avais peur.

- La nuit tombe les filles, j'ai pas réellement envi de rester seul ce soir, vous voulez manger à la maison et y dormir ?

Lexy se leva d'un coup et se dirigea face à la baie vitré. Sa respiration se faisait forte, et elle se retourna les larmes aux yeux et dis :

- Comment tu explique que la nuit tombe Ben ? Regarde l'heure qu'il est !

Je parti alors déverrouiller mon téléphone et mon cœur rata un battement, il fallait que je vérifie sur le téléphone de Bonnie, puis celui de Lexy. Je ne comprenais toujours pas alors j'ai ragréer mon horloge ! Et si ! Il étais bien 15h33...
Sans un mot je regardais Lexy qui me dis :

- Ouais, on est en plein mois de Mai et il est 15-33 et dehors c'est absolument pas normal ce qu'il s'y passe. S'il vous plaît venez voir par vous même.

J'ouvris alors la baie vitrée et sorti sur le balcon pour mieux voir, le froid glaciale me transperçait le corps, c'est comme si un milliers d'aiguilles me piquer en même temps, mes yeux brûlais par le froid. C'est impossible... le ciel, il étais sombre, pas un nuage, avec des reflets violacé intense. Mon quartier est très vivant, énormément d'enfants joue dehors. Les gens bronze sur leurs balcon, mais pas aujourd'hui, pas à cet instant, les rues étais vide, les immeubles était sombre. Absolument aucune lumière ne s'échapper d'une fenêtre. Je ressenti comme une sensation d'apocalypse.

- On dirais que toute vie humaine a cessé d'être. On dirais que le monde ne tourne plus, qu'il est complètement figé dans le temps.

- On devrais s'en aller. Tout les trois, allez chercher de l'aide, de n'importe qui mais ne pas rester seuls ici. Je suis terrifiée.

Nous étions pour une fois tous d'accord avec Bonnie, nous rassemblons nos affaires et nous préparons à sortir, je me dirige vers la porte et m'arrête net ! Si je voulais une preuve que j'étais dans un cauchemar je l'avais sous les yeux, c'est tragique, si je ne me réveil pas sur le champ cette histoire va très mal se finir..

- Les filles, ne paniquez pas et venez voir immédiatement.

Une fois les filles à mes côtés, nos regards d'incompréhensions divaguent dans tout les coins possible, je n'étais pas fou, elle voyais la même chose que moi...

- Si on ne rêve pas, si c'est bien réel ce qu'il se passes je ne donne pas cher de notre peau.