Point de vue de Bonnie

Cette scène. Je ne l'oublierais jamais ! Elle étais derrière lui, ses mains autours de son coup, et je ne pouvais rien faire, je ne pouvais même pas bouger !
Comme une force incontrôlable, m'en empêchait.
J'essayais de parler, de bouger même une phalange, rien n'y fait je restais impuissante fasse à la mort de mon meilleur ami, j'avais envi de pleurer mais ça ne fonctionnais pas non plus c'est comme si j'étais dans mon corps mais que je ne pouvais absolument plus le contrôler.

Il essaya de parler mais en vain, se débattre, il n'étais malheureusement pas assez fort, je voyais son teint changer de couleur, sa respiration se faire de plus en plus difficile, ses genoux fléchir, ses yeux commencèrent à se révulsé, jusqu'à ce qu'elle le lâche et qu'il tombe inanimé à mes pieds.

Elle l'avais tué aussi, j'avais envi de hurlé de douleur, mais j'étais toujours incapable de bouger, je pouvais ressentir mais pas exprimer. Elle étais toujours là en face de moi avec son sourire tordue, et son regard vide. Elle ne bougeais pas, elle me dévisagée seulement...

J'avais envi de me jeter sur le corps de Ben pour le prendre dans mes bras et lui dire que tout ira bien, que je ferais tout ce qui est possible pour arranger les choses, mais cette maudite femme m'en empêcher toujours. Je sais que je suis la prochaine, je sais que je ne m'en sortirais pas vivante.

Mais d'un coup sans comprendre pourquoi, je senti des fourmillements dans mes extrémités, puis je commençais à ressentir petit à petit chaque parti de mon corps, je ressentais une vague de soulagement, puis je levas les yeux et vis que cette immondice avais disparue, je restais quelques instant sans rien dire avant que mon cœur se mette à me faire extrêmement mal en me souvenant que Ben étais là, sans vie à mes pieds, je m'écroula alors sur le sol et une fois de plus je me mis à hurler du plus profond de mon âme.

Il fallait que je quitte cette pièce, que j'aille boire de l'eau, que je m'occupe l'esprit, je sais que je suis désormais seule, que je ne sais pas à quelle moment elle va de nouveau attaquer ! Elle aime jouer avec ses victimes, elle prends plaisir à torturer ses hôtes.
J'étais dans la cuisine, à me servir quelque chose à boire quand je vis une pile de dossier poser sur la table du salon, il n'y avais rien tout à l'heure !

J'ai alors commencer à feuilleter le tout et c'est là que j'ai compris notre erreur, ce que Lexy as vu c'était bien un sacrifice, mais pas un meurtre gratuit, c'était un exorcisme. La femme étais possédée par un démon.

Un démon ? Mais comment c'est possible, je ne pensais pas que tout ce été possible dans la vie réelle.
En continuant de lire j'en appris un peu plus, le démon en question se nomme : Abaddon, et il y as un écrit en rouge sur le papier qui dis :

« Également connu sous le nom " Le Destructeur", chef des démons de la septième hiérarchie. C'est l'ange exterminateur dans l'apocalypse, il règne sur la horde des "sauterelles", démoniaque qui tourmenteront tout les hommes sans le sceau de Dieu sur leur front, c'est lui qui représente satan, enfermé dans l'abîme depuis près de 1000 ans, il est l'ange de la destruction et de la mort et de la fosse sans fond »

Il y as autre chose...

« Abaddon, a toujours essayer de quitter les enfers pour pouvoir posséder un humain dans le but d'accéder à la terre et en prendre le contrôle, son but étant de tué et dépecer chaque être vivant, mettre la terre à feu et à sang, son but ultime étant de créé une nouvelle fois une apocalypse si meurtrière que personne ne pourra jamais s'en relever, qu'il n'y est jamais plus la possibilité pour un humain de se reproduire»

« Tout les 100 ans Abaddon, reviens et prépare son retour, mais tout les 100 ans aussi, un groupe de 6 chasseurs se réveille, et mette à exécution leurs plan de renvoyer cette créature au fond des enfers. Tout les 100 ans 6 descendant se voit attribués la tâche de mourir pour sauver le monde. Et voici les étapes du rituel..»

« Une fois le démon localisé, il faut le capturer, et ce n'est pas compliqué quand le démon viens de s'installer dans un corps humain il n'a pas ses pouvoirs pour le moment il reste conscient, mais faible. Il lui faut un certain temps d'adaptation avant de pouvoir avoir accès à ses pouvoirs.
Un soir de lune croissante, il y as besoin d'attacher avec des chaînes bénites par un prêtre agréé, autour d'un vieux chêne centenaire. Puis disposer 7 torches autour de lui, ensuite il faut affaiblir le corps, et lui tranchée la gorge, récoltée son sang dans un calice, boire une gorgée à tour de rôle. Et c'est à ce moment qu'Abaddon est éjecté aux enfers dans un sommeil profond pour les 100 prochaines années »

- Lexy... elle n'aurais jamais dû être la, d'après son récit, après qu'il lui est tranché la gorge elle c'est faite attraper, ils ont pris peur et se sont enfuit, ils n'ont pas pus achevé le rite ! Ils n'ont pas pu renvoyer cette chose aux enfer, ce n'est pas cette pauvre femme qui nous tourmente, c'est ce démon ! Il cherche un corps pour son apocalypse.

C'est alors que je senti un souffle chaud sur moi, et quand je me suis retournée, mon cœur a faillit ne jamais battre de nouveau. Le femme n'étais absolument plus la.
Il étais grand ! Très très grand, il ressemblais à un squelette humain en décomposition,  il avais une chair livide et meurtri, une tête difforme, une crâne pour visage avec des troues creusée pour les yeux et un nez. Deux rangées de dents déchiquetées et tranchante comme du verre et des os noires fissuré et sale, qui semblais en décomposition et anciens. Des doigts à griffes étais dénudée et squelettiques, ses bras à chair étais couverts de plaies noires suintante à travers laquelle on pouvais voir des os jaunis. Sa peau étais grise avec des choses qui rampais à l'intérieure.

Jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi terrifiant de ma vie. Il se rapprochais de plus en plus de moi, je sentais sa chaleur, et en même temps j'avais très froid.
Il étais à 5 centimètres de mon visage. Je pouvais voir l'enfer à travers ses orbites vide. Il m'attrapa le visage et serra très fort jusqu'à finir par m'embrasser.
Je sentais mon souffle se réduire. Et mes yeux se sont voilée et je senti le sol se dérober sous mes pieds.