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S A L A M - A L E Y K Û M
























E M I L I A

J'suis au fond d'un gouffre, clairement je sais plus quoi faire.La lueur d'espoir que j'ai, est tout simplement parti en fumée.

Je dirais même que là maintenant j'suis prête à tout pour réussir c'que monsieur Gonzaless, ou plutôt papa..m'a demandée de faire.

Ayem, n'a pas eu la chance de le connaître, mon père a eu une relation avec une prostitué et au final celle-ci est tombé enceinte.

Pour papa Ayem devait avoir le même train de vie que sa mère Maïssane.Je vous explique rapidement parce que j'ai beaucoup de chose à faire la..

Maïssane n'a rien dis sur le faite qu'elle soit enceinte à monsieur Gonzaless, c'était le patron de l'unité bad.shop.Autrement dis l'enseigne de prostitution en Colombie.

Il se faisait vieux alors il a laissé sa place à son frère monsieur Peraz qui a un peu modifié le nom de l'enseigne.

Maïssane
Elle était juste follement amoureuse de lui et ne voulais pas le perdre, elle continuait ses rapport sexuel avec papa et se cachait le soir pour ne pas avoir d'autre rapport avec d'autre homme.

Quelle vie...

Mais bon elle n'a pas pu cacher sa bien longtemps vu que son petit bidou prenait du volume.Papa pensait qu'elle est tombé enceinte d'un autre homme, il est imprévisible celui-là pourquoi la laisser dans cette enseigne si tu finie par l'aimer?

Mais l'aime-t-il vraiment?

Il l'aime parce qu'il couche avec elle ou il couche avec elle parce qu'il l'aime?

(applaudissez moi merci)

Bien évidement papa avait une vie, il avait une femme qui était ma maman.Maria Sanchez, dirais-je clairement qu'elle s'est suicide parce que son mari aimée une prostitué?

Voilà je vous l'ai dis.

Je sais pas si papa m'a tournée la tête de sorte à ce que j'ai des pensée de meurtre envers ma demi soeur mais j'ai clairement envie de voir son corps se vidait de son sang.

Et au final Maïssane est morte à l'accouchement, Papa n'étais pas là à son accouchement et n'étais pas là lors de sa grossesse il l'avait complètement rayer de sa vie.

Voilà l'histoire de Maïssane et Mehdi Gonzaless.

Papa est maintenant seule avec deux fille complètement différente.

Il en restera qu'une.*Rire*














A Y E M


Je préparais les garçons pour une soirée avec un homme qui était très important pour eux.

Je leur avaient repasser leur jolie chemise blanche, même si je m'y connais pas vraiment et bah je suis très heureuse de m'occuper des garçons.

Ils sont remplie de joie et s'amuse nettement mieux ici qu'en Colombie ou à Paris, Reda s'est intégré on va dire auprès de Younes et Fares mais bon Younes ne parle même plus.

Il avait l'habitude de me lancer des piques à moi comme à lui mais maintenant non.Il ne me parle pratiquement pas et j'ai créé de bon lien avec Fares c'est devenu mon chouchou.

Reda ramène de temp en temp une certaine femme faire le ménage elle doit être jeune quand même.

Et Younes rempli la maison de fille pas très respectables, j'ai essayé de lui en parler de lui dire que je n'accepte pas qu'il ramène des filles à la maison mais bon il est toujours sur la défensive et ma foutu une tarte.Il ma dis que si j'étais pas contente que je sorte.

Il a sombré et sa me fait mal, il est inconscient de tout le mal qu'il me fait, bizarrement se petit garçon m'fais mal au coeur quand il s'apprête a faire une dinguerie.

J'me suis attaché à lui j'me force à ne rien montré, j'me force à ne rien dire.J'pleure le soir en voyant qu'il fait jouïr une fille et que moi je suis de l'autre côté du mur seule.

Sa pouvait être moi à la place de la fille enfin..les filles. C'est vrai, si lui et moi enfin bref non je dis n'importe quoi.

Il me fait la misère sans trop le vouloir et il l'sait très bien que je ne dirais rien et que je fermerais ma bouche.

Comme quoi..

Après avoir fini la dernière chemise, je m'assois, j'aperçois la boîte de cigarette et le briquet à Fares et je jouais avec.J'allume la clope et l'a laisse s'enfumer...sombre et unique vie.






...-Epepepep repose ça toi.

Il prend agressivement ma cigarette et m'enlève le briquet, je le regarde penche ma tête l'air de réfléchir et souffle d'agacement.

Younes-me fffff pas d'ja.

Moi-bah si *souffle*, tu va une énièmes fois me taper?

Younes-Tu m'rend ouf!

Il jette la cigarette par la fenêtre et pose la boîte de cigarette et le briquet en haut de l'armoire.

Il se pose à côté de moi et passe ses deux mains sur son visage et le peu de cheveux qui lui restait.

Son dégradé est très classe.

Younes-Tu joue à quoi?

Moi-*rire nerveux*Je joue à rien.

Younes-Pourquoi tu veux fumer? Y s'passe quelque chose?

Ouais Younes, comment dire que tu fait le fou en ce moment.T'sais t'es devenue un fou Younes tu l'étais déjà mais la j'te reconnais plus.T'essaye de chercher quoi dans mes yeux j'arrive même plus à combattre ton regard.

Tu fais n'importe quoi, j'ai plus rien moi mais toi tu nous a nous.Les autres il rigole avec toi, Fares Reda il s'enfume avec toi t'es heureux, la belle vie tout ça mais tu vois bien que moi j'le vie pas bien c'que tu fais.

Non je t'aime pas comme tu l'pense, enfin je ne pense pas mais je t'aime à la vitrine.

C'est ici que je t'ai rencontré *rire*.

On s'aimait pas enfin tu m'aimais pas.

Younes-Ohoh?

Moi-Hein quoi?

Younes-J'tai demander si t'avais quelque chose.

Il pose sa main sur sa barbe et me regarde en plissant les yeux.

On entend toquer mais la porte était déjà ouverte Reda nous regarde avec une hésitation, enfin il avait l'air perdu quoi.

Reda-Ayem t'a préparé nos chemises.

Moi-Oui regarde elles sont sur le lit, la tienne c'est celle qui est à ta gauche.

Reda-*clin d'œil*Merci bébé?

Il était de dos et prenais sa chemise, Younes en profite pour mal me regardait et il se lève prend sa chemise et celle de Fares puis passe la porte.

Younes-On t'attend dehors.

Reda-Ouais ouais t'inquiète j'arrive.

après que Younes ne soit plus la Reda enlève son tee-shirts et se met accroupi devant moi qui est restée à le regardais.

Reda-Ta quoi princesse?

Moi-Rien pourquoi?

Reda-J'sais pas sa fait juste trois jour on est là que t'es déjà au plus bas meuf.

Moi-Mais j'ai rien.

Reda-Hm j'y crois pas mais bon vas-y s'il-te-plaît met moi ma cravate.

Moi-Ok lève toi alors.

Il se redresse et je me lève à mon tour, il boutonne sa chemise et il me regardais tellement intensément.

Reda-t'es magnifique j'te jure.

Moi-Merci Reda.

Je souris faiblement et il fronce les sourcils.

Reda-Tu m'aime plus toi.

ouais c'est un gros bébé toujours à faire le désirer.

Moi-*Rire*Mais si.

Je lui met sa cravate et il me lève délicatement le menton.

Reda-Oh bébé regarde moi.

Moi-Hm.

Reda-Mais ouvre les yeux putain j'suis moche?

J'ouvre les yeux et sourit.

Reda-putain t'es yeux j'lai graille.

Moi-Mais toute façon tu mange tout chez moi.

Reda-*sourire*Ta raison.

Je fini de lui mettre sa cravate et il me regarde avec un sourire plus que narquois.



Les lumières était toute allumée quand soudainement celle de la pièce se met à clignoter puis s'éteindre...

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