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S A L A M - A L E Y K Û M

















A Y E M

Me voici dans les couloirs vêtue de ma combinaison noir, je ressemble vraiment à une actrice.

Je devais paraître la plus discrète possible, je sais que c'que je viens de faire s'est une très grosse erreur mais je suis incapable de faire ce qu'il m'ordonne s'est même pas imaginable.

Être discrète avec une combinaison imbiber de sang sa serra très difficile.


quelque heures plus tôt...


Il me regarde enlever mon pantalon puis mettre ma combinaison, il me fait comprendre que je dois faire vite en bougeant l'arme de droite à gauche.

L'armoire était toujours ouverte alors j'attrape le tourne vis et le met dans la poche de la combinaison, je ne le lâche pas du regard et mon coeur ne faisait que de battre.

Si sa foire il va me séquestrer comme une moins que rien et je ne pourrais pas aider Reda.

Je sais que c'est pas mon père, j'le sais.

Je sais pas comment je peux en être sûr mais j'le sais.

Lui-Grouille ou..

Il racle sa gorge et me regarde avec haine, je lui rend son regard en le détaillant de bas en haut.

Lui-Commence même pas à me  regarder mal.

Il s'avance dangereusement de moi et je recule de quelque pas, je met ma main dans ma poche et en sort le tourne vis discrètement.

Il me pointe l'arme sur ma tempe et sourit.

Lui-Je m'imagine déjà avec toi, dans une falaise à enlever la vie des gens.

Je fronce les sourcils et il hausse les épaules pour me dire «c'est la vie».

Il avait son index sur la détente et je voulais prendre mon élan mais j'y arrivais pas.Moi faire du mal à quelqu'un c'est plus envisageable.

Il s'apprêtait à appuyé dessus...je tremblais de peur mais il fini par rigolé et enlève l'arme de ma tempe.Il se retourne et je souffle de soulagement.

Lui-Tu pensais vraiment que j'allais-.

Moi-Ouais voilà ça.

Je remue le tourne vis et le sort violemment de son cou, des gouttes ruisseler puis tomber au sol alors j'essuie vite celles-ci sur ma combinaison noir et le regarde gémir de douleur.

Sa me procurerais un bien immense.

Il fini par s'écrouler par terre et je m'aide de son classeur pour l'assommer. Le sang giclait de partout et ça me stressais d'autant plus que j'ai horreur de ça.

Je regarde autour de moi et une porte qui menait autre part que l'entrée principale était présente. Je cours vers elle et l'ouvre.

Je traîne le corps de monsieur papa et referme derrière moi.

Moi-C'est fini la Ayem gentille.

Je frotte mes mains et sort du bureau en veillant à tout nettoyer et j'avais laisser un mot qui disais :

«Serena je suis allez boire un verre avec Ayem»





à présent..

J'ouvrais chaque porte et je ne sais plus quoi faire, entre les laboratoires, les chambres...

Aucune trace de Reda.

je sais pas pourquoi mais là soit disante Serena courrait de partout et chercher quelque chose du regard. J'ai direct compris qu'elle ne s'appelait pas Serena, Elle allait appuyer sur un bouton qui était positionné sur le mur.

Je l'attrape par la tête et met ma main sur ma bouche.

Moi-Chut, chut. Tu ne t'appelles donc pas Serena...

Elle tenait le mot que j'avais fait y'a quelques minutes de cela dans sa main, je lui arrache violemment le mot.

Je sens qu'une poignée de porte est entrain de me faire mal au dos, je la cherche comme je peux avec ma main gauche parce que Serena se débattait comme une folle de ma main droite.

Je la trouve enfin et ouvre vite la porte, j'essaye du mieux que je peux de la pousser à l'intérieur mais elle fini par me pousser et courir.

Je regarde ma poche qui laissait apparaître le tourne vis et je cours vite vers elle mais malheureusement elle réussi à appuyer sur l'alarme.

Les couloirs deviennent rouge et la sirène ne faisait que de s'enchaîner et je l'attrape par le bras et le colle au mur pour que les personnes ne nous voient pas.

Je souffle un bon coup et ferme les yeux, je tient fort le tourne vis et lui plante dans l'crâne.

Moi-*pleure*Mon dieu, mon dieu, mon dieu Qu'est-ce que je fais..

J'ai tellement peur que quelqu'un m'attrape je fait exactement c'que cet homme voulait de moi.

je suis plus la Ayem du début, j'ai l'impression d'avoir quelqu'un d'autre en moi.

Les gens commencée à courir et criée de partout en cherchant l'intrus, les couloirs qui était vide commencée peu à peu a se remplir.

Je prend les deux bras de cette fameuse serena et la pousse dans la salle que j'avais ouvert y'a pas longtemps.

Moi-*Pleure*J'suis devenu folle..

Je ferme la porte derrière moi et appuie vite sur l'ascenseur.

Celui-ci s'ouvre et je clique mainte et mainte fois sur ré de chaussée comme si ça allait accéléré quoi que se soit.

Une fois les portes ouverte je cours pour rejoindre les escaliers mais j'me rappelle qu'ici y'a quelqu'un que j'aime et que  s'il ne me trouve pas, j'ai bien peur que tout l'mal que j'ai fait se retourne contre lui.

Je descend donc les quelques marches que j'ai montée et me dirige vers le couloirs qui laissait apparaître un grillage entre ouvert.

Je penche ma tête et aperçois un homme, avec des vêtements blanc mais à cause de la poussière sont devenue marron.

Il était ligotée et je ne voyais que son dos mais avec son petit dégrader je savais pertinemment que s'était Reda.

Je le retourne et il prend peur.

Moi-Chut c'est moi.

Reda-Putain comment ta fais pour sortir?

Moi-Bah j'ai juste demandée.

Reda-*rire*prend moi pour un con, j'entends la sirène d'ici meuf.

Je le force à se lever et il gémit de douleurs.

Moi-Oh mon dieu, c'est quoi c'te jambe.

Il me regarde avec une grimace qui me faisait comprendre que je lui faisait mal.
Je prend son bras et l'enroule sur mon cou.

Reda-Je t'expliquerais pas tant que toi tu ne l'fais pas.

Moi-C'est d'accord.

Je commence en l'entraîner dans un élan, je voulais sortir vite de cette endroit.

Reda-Putain Ayem doucement j'ai mal Oh.

Moi-Désolé Reda...

Je baisse mon regard vers sa jambe et reporte mon regard vers ses escaliers.

Moi-S'il te plaît, monte les escaliers de toute tes forces on à pas le temp la.

Reda-Ta gueule et monte.

On entend les bruit et des coup de feu, je commence à prendre peur et monte d'une vitesse les escaliers, je vois derrière Reda galerer.

Moi-*souffle*Reda putain vite.

Reda-Ta race je fait du mieux qu'je peux.

Moi-...

J'ouvre la porte et il n'y avait que quelque marche qui nous séparer.

Allez allez putain.

..-MAIN EN L'AIR ET IL N'Y AURA AUCUN BLESSER.


Je commence à reculer et je sens des mains se poser sur mes hanches...











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