S A L A M - A L E Y K Û M

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A    Y     E    M

Arrivée à l'aéroport Reda se gare dans le parking sous terrain.Il donne les clés à une personne qui nous attendais, puis lui tend une liasse de billet et le salut.

Je regardais la scène puis  après je tourne les talons et m'assois sur un banc et je me demandais pourquoi Reda fait tout sa pour moi? Est-ce un nouveau piège?

Ange-Samir ne t'a pas servi de leçon ma jeune fille.

Démon-Tant mieux je rigolerais mieux.

Je baisse les yeux et j'me dis que j'ai une chance sur quatre-vingt-dix-neuf de pas me faire trahir une nouvelle fois.J'ai merder je crois.

...-Baisse jamais les yeux.

Je lève le regard et vois Reda qui me souri.

Reda-Allez viens.

Je me lève et continue à le regardais comme une folle, j'avais peur qu'il me fasse du mal. J'avance juste a coté de lui toujours en le regardant, j'essayais de lire dans ses yeux le mal qu'il pouvait m'infligé, imaginais juste un moment qu'il me...Non impossible...merde j'suis devenue une malade.

Il était sur sont téléphone et souriais, pendant un instant il m'a regarder puis il reporte ses yeux sur sont téléphone toujours avec un petit sourire  puis re-reporte ses yeux sur moi et son sourire d'ange disparaît.

Reda-Ta quoi? Wsh j'ai l'impression tu veux me tuer là.

Moi-Peut-être, peut-être c'est c'que toi tu a l'intention de faire hyn!

Je marmonne quelque mot incompréhensible et baisse les yeux,  je regarde mes basket et lève le regard en fronçant les sourcils.

Reda-*Surpris*Écoute si je voudrais te tuer j'vais pas payer un putain de billet pour toi et j'vais te tuer maintenant et laissez ton sang te recouvrir.

Je le regarde en vite fait et rigole nerveusement, je me dis que j'ai rien fait pour qu'autant de gens me veulent du mal, je me fais trop de scénarios.

Moi-Pfff, essaye et j'vais te hanter toi et toute ta famille.

Reda-*Rire*Aaaah voilà j'aime la sauvagerie bébé.

Moi-*Regard noir*M'appelle pas bébé s'il te plaît j'ai envie de vomir.

Faux.

Reda-Pourquoi tu mens j'en suis sûr que dans un autre contexte que celui là t'aurais kiffé.

Vrai.

Les portes de l'aéroport s'ouvre et on entre tout en parlant du voyage et tout le blabla, je sais juste que je vais vivre à Bruxelles avec lui ou sa soeur, c'est à voir..Selon c'que je veux en faite.

Les deux on un appartement et je sais aussi que sa soeur se prénomme Syrine, elle a un copain qui vie avec elle donc je pense rester avec Reda et sa me dérange pas du tout mais d'un autre côté je pense que c'est mieux que je vive avec Syrine comme ça Reda il serra tranquille.

Après la douane etc, on monte dans l'avion Reda étais coté fenêtre et s'exciter comme un gamin.

Reda-AAAH J'VAIS TAPER UN COMA.

Moi-Putain Reda! Arrête de crier tu nous fait honte.

Reda-Miskine c'est toi tu me fait honte à parler comme une bourgeoise.

Moi-*Souffle*.

Reda-Ouais voilà ta gueule.

Il s'assoit et j'lui tire c'est cheveux, {il a des boucles c'est trop beau}.

Reda-Aïee Ayem ta mère.

Moi-Chut arrête de crier, voilà! maintenant tout le monde sait comment je m'appelle.

Je croise les bras et m'assois à mon tour, il me regarde puis souri et me tend son téléphone.

Reda-Tiens met netflix regarde une serie, un film pour t'occuper.

Moi-Et toi?

Reda-Moi? Je vais dormir t'es malades toi quatorze heure de voyage!

Moi-Aaah, dors bien.

Reda-Je peux?

Il pointe mes seins du doigt et me fait signe qu'il veux poser sa tête dessus, je le regarde pour voir si il étais sérieux, mais oui il est sérieux.

Moi-Vas-y, mais si tu me fait mal j'te pousserais de l'autre côté.

Reda-Non t'inquiète ma tête elle est douce, merci Ayemou*Rire*.

Moi-Continue tu dors même pas.

Reda-Non c'est bon vas-y je me tait madame.

Il pose sa tête du coup, et je pose ma main sur ses cheveux je fais des mouvements circulaire tout en choisissant une série à regarder.

Reda-J'te conseille Prison break.

Moi-J'tai pas donné la parole.

Reda-*Souffle*Continue t'es papouilles sur les cheveux.

Je clique sur la série de Narcos et met les écouteurs de Reda, c'est parti pour s'échapper de Medellín.

[...]

E  M  I  L  I  A

Moi-Putain ils sont où?

Younes-C'est bon on s'en fou, c'est personne pour nous pourquoi tu cherche encore?

Moi-PARCE QUE C'EST MA SOEUR MERDE.

Je commence à pleurais et je sors du véhicule en me dirigeant vers l'hôtel, je fais mes valise et je vais à Paris.

Fares-Attend Emilia..

Moi-Me touche surtout pas Fares c'est à cause de toi qu'elle c'est enfuis avec tes crises à deux balles.

Je le contourne et marche en direction des escaliers, ils foutent le seum, elle se retrouve avec Reda et j'ai peur qu'elle s'fasse de re-nouveau violé ou pire.C'est un malade.

Arrivé devant ma suite je fais vite mes valise en mettant n'importe comment tout mes vêtements.Je m'en contre fiche si Fares et Younes ne viennent pas avec moi mais en tout cas moi je pars.

De toute manière je fais mes valises mais personne et venue me voir, il faut dire qu'il ne m'aime probablement pas.

J'entend quelqu'un toc.
J'ai parler trop vite.

Je regarde la porte puis je continue à faire ma valise.La porte s'ouvre et je vois Younes avec un café, je rigole nerveusement et lui s'assoie sur le lit.

Younes-Tu pars?

Moi-sa se voient pas.

Younes-Pourquoi?

Moi-En faite t'es con? Je viens de te dire que Ayem est ma soeur!

Younes-hm.

Moi-J'imagine que vous allez pas venir avec moi.

Younes-Tu pars avant nous, tu trouve un appartement et tout c'qu'il faut et on te rejoins.

Moi-Vous allez faire quoi içi?

Younes-Régler deux, trois truc avant de s'échapper de Medellín.

Moi-Qu'elle truc?

Younes-Fares et moi on va essayer de se faire le maximum d'argent pour qu'on vive bien pendant quelque année nous trois.

Moi-Ah, et si vous vous faisiez prendre je fais comment moi?

Younes-*Sourire*Tu t'inquiète?

Moi-Non je m'en fou de toi, je parle de Fares.

Younes-C'est pas bon de mentir Emilia, pas bon du tout.

Je ferme ma valise et lui fait une grimace je me lève et me met face à lui.

Moi-C'est ici que s'achève notre belle amitié.

Younes-Amitié? Moi tu me friendzone?

Moi-*Rire*.

Il pose ses deux mains sur mes hanches et me fait basculer sur lui, je me retrouve en califourchon sur lui et nos front étais collée.Je sentais sa respiration chaude sur mon cou et il y pose de doux baiser dessus.

Younes-Une fois avant longtemps...

Il pose délicatement ses lèvres sur les miennes et je commence à recevoir de beau papillon bleu sur le ventre.

Il prolonge le baiser et le rend plus sauvage, ses mains descendent en bas de mes fesses puis remontent sous mon tee-shirts.Il déboutonne mon soutifs et enlève mon haut ainsi que le sien.Nous étions collée l'un à l'autre et je sent son bijoux prendre du volume.Il me regarde avec beaucoup de désir et me fait basculer de sorte à c'que je me retrouve allonger et lui sur moi.

J'ouvre doucement la fermeture de son pantalon et lui me caresser les cuisses en se mordant la lèvre.

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