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S A L A M - A L E Y K Û M





















Je me dirige vers lui et lui saute dessus, j'avais la haine je sais qu'il pouvais très bien me mettre à terre mais je pense qu'il était choquer.

Moi-DONNE MOI ÇA SALE CONNARD!

Je criais et lui ne bougeais pas je ne prête pas attention à son comportement inhabituel et lui prend dès main les clés.

J'ouvre l'armoire et trouve un couteau suisse, je le prend et d'un coup de folie je le plante sur les côtes.

Moi-Ça c'est pour mon putain de viole fils de pute.

A force d'entendre des injures je les emplois.

Je le regarde du blanc des yeux, ces yeux s'écarquillent et il pose ses deux mains sur ces côtés.

Je me précipite au bureau et ouvre le tiroir, je regarde monsieur Peraz qui vomissait du sang.

Je cherche Mon dossiers et par coup de chance je le trouve en dessous de tout les autres.

Je m'apprêtais à sortir du bureau quand une petite voix me conseils.

Je re-ouvre le tiroir et prend les dossiers de Émilia et de ces deux autres amis.










On étais tous dans le 4x4 je tapotais du pied et Fares stressait aussi, que notre plan échoue c'est ce dont j'avais peur.

Younes-VOILÀ J'AVAIS RAISON DEPUIS QUAND ON PREND DES INCONNUE PUTAIN!

moi-YOUNES ARRÊTE DE CRIER J'EN SUIS SÛR QU'ELLE ARRIVE!

Younes-*Souffle*Emilia ferme TA GUEULE JE SENS QUE JE VAIS TE COGNER LÀ.

Moi-BAH VAS-Y TU SAIS FAIRE QUE ÇA!

Il me regarde avec haine et s'apprêtais a continuer son monologue de merde quand Fares nous coupe.

Fares-Oh vos gueules elle est là!

Je regarde en face de moi et là regarde cette silhouette bien dessiné deux tresse collé et sur son débardeur elle était rempli de sang.Elle était magnifique.

Younes-...

Moi-Pourquoi elle a du sang?

Younes-JE LUI AI DEMANDÉ!

Moi-ARRETE DE CRI-

Elle nous coupes en entrant à l'arrière avec Fares, elle esquisse un léger sourire et nous tend quatre dossier, Younes cherche pas à comprend et démarre à une vitesse.

Je prend les dossiers je vois que Younes jette un coup d'oeil au dossiers.

Moi-Ayem, je t'ai dis que tu prend que ton-

Ayem-Non, je pouvais pas faire ça.

Fares-Tu gère wAllah..

Je donne les dossiers à Fares et regarde la route, Younes tenait le volant comme si celui-ci allais s'envoler.

Fares-Dit Ayem pourquoi ta du sang?

Ayem-Aah, euh j'ai plantée Monsieur Peraz.

Younes-TA FAIS QUOI?

Ayem-J'ai-je-

Younes-TA VU ÉMILIA TU ME RAMÈNES QUOI!

Ayem-MAIS TU CROIS QUE J'ALLAIS PAS ME VENGER! PAR SA FAUTE JE ME SUIS FAIT VIOLER*Pleure*

Younes-TU CRIS SUR QUI? J'SUIS TON PD MOI!

Elle ce retourne pour faire face à l'autoroute et avais l'impression que sa avais calmer Younes.

Fares-Euh-

Younes-Ta gueule.

Fares-Mais pas tes nerfs sur moi aussi.

Moi-C'EST BON!





[...]







J'ouvre difficilement les paupières et je me rend compte que je suis dans une chambre d'hôtel je suppose.

Je me lève et me dirige vers la salle de bain qui ce trouvait déjà Emilia.

Emilia-Salut Ro..Ayem.*sourire*

Moi-Salut..

Je me lave le visage et me regarde dans le miroir, Emilia ce trouvais derrière moi à me fixait elle aussi.

Emilia-Tu te rappel de ce que tu a fait?

Moi-Oui, je suis pas fière..

Emilia-Non ne dit pas ça!

Moi-j'ai ôtée l'âme et la vie d'une personne probablement!C'est peut être rien pour toi, mais moi ça l'es.

Emilia-Je comprend, désolée.

Moi-*Sourire forcée*Ne t'excuse pas.

Je sort de la salle de bain et m'assois sur le rebord du lit, je m'allonge délicatement et aperçois à ma droite les quatre dossier que j'ai ramener avec sucées.

Bizarrement le meurtre que j'ai fait me fait ni chaud ni froid.

Je pose mes mains sur ces quatre dossiers et vois la photo de Younes puis de Fares et la photo de Emilia et enfin la mienne.

Mon dossiers m'intéressais peu alors j'opte pour celui de Younes, il ce présenter d'abord par une chemise beige avec une trombone et une feuille en carton qui indique un numéro inconnue "45" et les feuilles ce présenter comme un cv.

Moi-*En lisant* Younes portée disparu en 2008, 3 meurtre on étais commis par cet homme dont un viole.

Je continuais à lire sans me souciez de mes derniers mots et je me stop en plein milieu.

Moi-DONT UN VIOLE PUTAIN.

Je jette le dossier par terre et les feuilles ce mettent à volais au dessus de ma tête et je me rend compte que des hommes n'ont vraiment rien dans le crâne.

Je m'assois sur la moquette et pose mes mains sur mon visage.

Moi-Je suis tout droit venue d'une fesse gauche...

Moi-Des malades, des fou, des...des...des batard.















-mon sourire est partie en poussière.

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