Chapitre 20
PDV Louis
J'avais le droit entre le claquer ou juste partir.
J'étais parti.
Mon regard l'avait méprisé et qu'es que je le détestais. Je le haïssais de tous mon être. Il n'avait pas le droit, pas le droit de me prendre mon souffle, mon chez moi et encore moin de briser mon espace vital.
J'avais les larmes au yeux, je me suis sentis tellement idiot. Idiot d'être rentré autant sereinement dans ce café et de l'avoir écouté. Je m'en veux, je m'en veux tellement.
Il n'avait pas le droit bordel, il me prenait tout.
Il m'avait détruit. Non il nous avait détruit.
Il detruisait tout se qui commencer à se mettre en place tous ses petites choses que je lui avait donnés secrètements sans qu'il ne le sache et sans que je m'en rendre compte.
Parce que si je me sens si trahi c'est parce que je commençais à lui donné une confiance superflu.
Comment j'ai pu croire qu'il pourrais me sauver je suis un idiot. Je me sens tellement bête.
Comment j'ai pu le voir différemment des autres, j'ai encore fermé les yeux et cette hypocrite d'espoir m'a envie lorsqu'il a posé ses yeux vert dans les miens.
Il pourrait me donné mille raisons je n'arriverais pas. Je n'arriverai pas à le pardonné.
Pourquoi ?
Pourquoi j'avais eu autant mal lorsqu'il m'a dit ses phrases tellement vite que j'ai assimilé que le plus important. Il sait que je dois partir de cet appartement horrible mais pour aller ou ? En aucun cas chez lui.
Il m'envahit.
D'un espoir que je ne veux pas voir, d'une confiance que je ne veux plus jamais donner et d'une chaleur qui malheureusement je ne veux avoir que dans ses bras.
Donner sa confiance c'est donner totalement ta vulnérabilité, d'avoir des questions sans réponse, de tous simplement prendre le risque d'être brisé encore et encore.
Choisir si cela vos la peine de pleurer ou d'encaisser silencieusement. La pire des tortures c'est de nouveau avoir le courage de refaire confiance, de redonner sa vulnérabilité à une personne dans le monde, peux importe qu'elle soit c'est redonner ton cœur en espérant qu'il ne soit plus jamais brisé.
Ou on peux simplement prendre ses arrières et ne plus faire confiance parce que la confiance est fragile et souvent solitaire, une chose précieuse parce que bordel on donne son cœur.
On donne tous, alors j'aurai préféré ne pas avoir eu le courage que j'ai eux lorsque moi même j'ai donné ma confiance à harry.
Elle est superflu mais quel est la différence ?
Je lui ai donné ma vulnérabilité sans que je ne le remarque, sans que je sois conscient que je lui faisait confiance. Et me voilà de nouveau affecté.
La seule différence entre donner sa confiance et donner une confiance superflu c'est que lorsque qu'on donné une confiance superflue on sait d'avance qu'on va être déçu et blessé alors lorsque cela se produit on a pas l'impression d'avoir mal, on se dit simplement que c'est la vie. Alors que nos cœur se détruit.
On fait semblant.
Lorsque je suis sortie du café laissant harry tout seul j'ai était détruit encore un peu.
Saute.
La seul chose que j'aurai voulu qu'il fasse est qu'il m'en parle avant, qu'on prenne la décision à deux, qu'on se dise oui d'un regard mais pas qu'il ne me prenne comme un gosse qui ne sais pas géré sa vie. Je suis suicidaire pas malade.
Saute.
Au moment précis ou je lui avait craché les mots que je lui et dit la moitié était vrai et l'autre seulement des sentiments étouffés.
Parce que oui j'avais besoin de lui alors que mon cerveau crié de le repoussé aussi loin que je pouvais, le mettre à l'écart d'autant de démons, de chose irrationnel.
Parce que j'étais mauvais j'avais un passé à ne pas divulguer des sentiments attachés et un cœur abîmé. J'étais comme une feuille d'automne qui mourrai, qui finissait par terre et qu'on écrasé. J'étais juste insignifiant.
Saute !
Je pouvais mourir la maintenant tout de suite parce que j'étais mettre de mon destin mettre de mes choix et de ma putain de vie.
En traversant la porte du vieux café seul cette pensée me hanté me brûlais l'être et m'étouffer.
Elle m'étouffait comme harry et me voici dans cette appartement horrible, allonger dans mon lit rêvant de voir un autre plafonds que celui jaune de ma chambre.
J'étouffe.
J'avais besoin de voir le vide, de me sentir vivant quelque seconde, d'être maître de ma propre mort je voulais goûter à cette adrénaline que tu as au 20 ème étage.
Ce souffle particulier qu'on respire parce que c'est pas n'importe quel souffle tu respire et ça te brûle l'intérieur parce que tu peux mourir tu peux avancer et regarder une ville qui s'allume, une ville de papier s'éclairer et s'instiller. Ou tu peut levé les yeux vers le ciel pour voir la réalité.
La réalité que peu veux connaître, une chose que peu apprenne à admiré. En levant les yeux vers le ciel tu vois la vie. Un vie ou tous le monde peux simplement vivre heureux.
J'étais sortie.
En tee-shirt. J'avais laissé ma peur loin derrière moi, je voulais me sentir vivant ce soir parce que j'étouffé.
Le vide, le vide, le vide, le vide...
Saute ! Saute !
Je laissais la nuit m'envahir et je courrais, je courrais tellement vite que mes poumons étaient en feu.
Je brûlais mais c'était bon c'était bon parce que ça en v'aller la peine se soir j'aller me mettre à ressentir ...le vide.
J'avais besoin de ressentir, le touché les frissons...les sensations.
J'étais monté aussi vite que j'ai pu et j'étais enfin là. Face au vide sans jamais avoir le courage de monter sur le muret qui me séparer du vide.
Une chute libre, un vide d'air, volé pour existé.
Il n'y avait pas étoiles alors j'avais pleurer silencieusement parce que je ne pourrai pas revoir la vie vu du ciel, vu de la nuit.
Juste un brouillard, un brouillard et la pluie qui s'annoncer.
J'étais monté, j'étais prêt à ressentir. À ressentir cette merde que la société appelle vivre. J'étais debout face au vide, face à mon malheur et mon plus beau rêve.
Je tremblais à cause du froid, la lèvre tremblante par le vent glacé qui frappé sur celle ci. Le front en sueur par l'adrénaline.
Le cœur battant par ma course.
Aucune peur. Juste des sensations.
Ressentir. Ressentir. Ressentir.
Parce que avoir peur de mourir c'est avoir vécu réellement.
J'ai pas peur de la mort mais de moi.
SAUTE ! SAUTE ! SAUTE !
1.
Il pleut.
2.
Il pleut.
3.
Il pleut
SAUTE !!!!!
J'étais descendu.
Il pleuvait.
Pas le genre de pluie qui s'arrête rapidement, non la pluie qui te fait du bien. Le genre de pluie qui frappe tellement que tu as le vertige. Des gouttes forte sur une peau frêle. Sur une peau meurtri par le passé. Sur un visage d'enfant, sur une âme totalement détruite.
J'étais vivant !
Mon cœur était remplis, remplis d'une chose sans nom d'un chose qui te traverse jusqu'à l'âme et qui te fait vivre. Vivre jusqu'à en avoir mal au cœur tellement sa fait du bien c'est tellement ...magique. La pluie me faisait vivre cette chose tellement anodin, mais la pluie à quelque chose de particulier. C'est le gente de phénomène qui est mettre d'elle même, elle vient puis elle repart et cela peut duré quelque mois ou simplement quelque jour mais elle finissait toujours par revenir lorsque on s'y attend le moins.
La sensation que tout part avec la pluie. Que chaque pensée partait avec la pluie, elle glissait sur mon cœur en marquant chaque recoin, elle faisait trembler ma peau parce qu'elle était glacé. J'étais vivant la pluie me rendait tellement vivant. Elle me frapper et me faisait peur mais cette peur me traverser comme pour me dire que j'étais réel.
Alors j'avais écarté les bras, relevé la tête vers le ciel je voulais que la pluie m'emporte avec elle.
Je me donnais à elle parce qu'elle me rendait vivant.
***
Pleurer pas mes pandas.
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C'est l'anniversaire de hazza !!!!!! Mon bébé que j'aime plus que les oreo ♥♥♥♥
Je vous aimes !!♥
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