Chapitre 2
Ed Sheeran ~ One
J'était renter dans cet établissement.
J'était sûrement bouleverser ?
Non ce n'était pas le mot.
Après avoir paniqué face au passé, je rentre complètement neutre dans cet établissement.
Je ne pouvais pas faire divulguer mes sentiments, je n'en avais plus depuis longtemps déjà.
J'avais déjà pleurer , oui, comme tous le monde n'est pas ?
Ceux qui dise le contraire son ceux qui on plus de peine.
Ma mère m'avais dit un jour "tous le monde fait semblant d'aller bien mon cœur, mais il ne faut pas jouer avec la tristesse. Comment veux tu qu'on t'aide ? ".
J'aurai peut-être être du l'écouter !
Je joue tous le temps avec mes sentiments, les contrôlant ou pas.
Je suis tous simplement neutre d'amour et vide de pensée.
Je survie et ne vie pas. Voilà mon tourbillons de malheur !
La mélancolie t'enferme et te tue à petit feu.
Je n'ai pas vécu quelque chose de vraiment horrible mais mon passé me fait mal. Comment reconstruire ces barrières quand tous c'est détruit et que tous a disparu ?
Je me ré concentre sur se que j'ai à faire puis je regarde rapidement les feuilles affichées sur le mur.
Après avoir lu les informations sur celles-ci, je me dirige vers ma classe.
Je connais l'établissement par cœur et tous les endroits secret où je vais pour évacuer aussi.
Je m'asseoi seul sur un banc regardant les autres arriver.
Des groupes se formes rapidement approuvant encore à quel point la société à une emprise sur la façon de vivre de tous.
Les populaire avec les populaire et les autres se groupe sûrement par affinité ou par look ou simplement par façon d'être.
Moi, je suis seul, avec mes démons.
La solitude me pèse mais me réconforte.
Je ne serai pas comment me comporter face à une compagnie, quel sois bonne ou mauvaise.
Je décide de ne pas tarder ne voulant pas modifier mon planigue.
J'arrive dans ma classe et dans mon premier cour qui est la philo.
Le même prof, la même classe.
La même que l'année dernière, moche, toujours avec cette couleur beige qui vire presque jaune.
C'est affreux, pourtant l'odeur et apaisante et le cour ne m'ennuie presque jamais.
J'aime la philo, elle engage la réflexion et la manière de penser.
La salle et grande et spacieuse, je vais côté fenêtre.
J'adore admiré le peu qui reste de se que la société détruit.
En elle même la vie et belle, mais l'humanité la détruit et la rend affreusement moche.
L'odeur de la salle enivre mes narine me faisais lâché un soupire.
La salle de Mrs.Styles sans la menthe fraîche et la vielle lessive.
C'est agréable.
Les fenêtres fond la taille du mur de gauche ou je suis, formant une sorte de grande baie vitrée. Seul cette salle à se genre de fenêtres, accentuant mon amour pour la matière et la salle.
Une odeur horriblement forte me parvient, me faisant retourné vers celle-ci.
Julie.
Julie et "une amis" , on se retrouve dans la même classe chaque année, et bien sûr cette année aussi.
Je l'aime bien, mais sans plus.
De toute manière je ne sais pas comment apprécier une personne à sa juste valeur.
Julie et super, on parle souvent malgré que je sois distant avec elle, je voudrais pas quel s'attache pour au final pleurer quand je partirais.
Elle ne mérite pas de connaître la peine.
Julie est le genre de fille toujours joyeuse, elle aime la vie, elle a beau détester la société elle ne cesse d'ailleurs de répétait " la société et une merde, alors pourquoi j'arrêterai de vivre pour elle ? Je préfére l'enculer ! "
Oui elle est grossière, à coter je suis pas du tous le même genre.
Mais je l'aime bien, elle n'a pas peur, elle défie la société et les cliché, elle a un cœur immense et des cheveux rouges flamboyant.
Des yeux bleu impressionnant et un look qui lui va parfaitement. Vulgaire et sexy.
Je fixe son visage aillant aucune imperfection.
Son rouge à lèvres rouge bordeaux et son piercing argent à la lèvres lui va parfaitement, et ses cheveux son magnifiquement coiffée.
Elle me lance un jolie sourire me salue.
Julie : contente d'être encore dans ta classe Louis ! Tu sais que je t'adore !
Je lui fait un sourire.
Vrai ou faux, Louis ?
Je n'en sais rien.
Je la détaille toujours autant, c'est ma manière de cerné les gens et en l'occurrence Julie en vos la peine.
Je luis dis.
Moi : tu sais que j'aime les fous ?
Elle m'accorde un jolie sourire en dévoilant sa dentition elle aussi parfaite.
Elle hoche la tête, parce qu'elle sait que je allusion a elle.
Moi : pourquoi don ?
Elle se fou de moi je le sais, elle imite ma façon de parler parce que je n'arrête pas de dire que son language et grossié et vulgaire mais je ne lui en veux pas.
Elle en vos la peine.
Moi : parce qu'il n'ont pas le temps de s'arrêter pour regarder la vie, il ne s'arrête pas sur se que les gens disent.
Elle me souri de plus belle.
Je n'ai pas l'habitude de lui faire des compliments mais je l'ai toujours admirait secrètement.
Elle me fait une discrète accolade et me remercie.
Son parfum me donne la nausée mais voilà encore un point de sa personnalité que je ne peux pas enlever.
Ça serait lui retirer sa personnalité toute entière, puis je suis sur qu'en réalité il sent divinement bon son parfum, je suis juste trop compliquer.
Soudain les bruits s'arrête totalement et la porte de la salle s'ouvre découvrent notre prof de philo.
Je le connais déjà.
Je ne sais pas si c'est de la coïncidence ou simplement le destin.
Mais en l'occurrence, moi, je ne croit pas du tous au destin !
Voilà tous simplement Mrs. Styles.
***
Coucou mes pandas, voilà la suite !
N'hésitez surtout pas à me dire se que vous pensez et laissez moi des commentaires ! ❤️👌🏾😊
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top