Chapitre 19
Hollow Coves - The Woods
PDV Harry
Louis était parti, il était sortie du café en colère, les yeux brouillés de larmes sans jamais en versé une seul. J'avais merder, totalement merder. Je me sentais impuissant et le rattraper serai encore l'étouffé, mais j'avais tellement envie.
Le rattraper pour le rassurer pour lui dire que je voulais juste l'aider à voir la vie autrement.
Qu'une routine était souvent une bonne chose mais j'était impuissant. Alors j'était rester planté dans le vieux café de Doncaster, dans Beagle and Coffe que je connaissais depuis mes années de lycée.
J'avais regardé la tasse de louis presque vide en m'insultant d'idiot.
J'aurai du le rattraper !
Je paye et sors du café, je marchais lentement en oubliant totalement que je dois donné cours aujourd'hui.
J'envoie juste un message à mon patron en lui disant que je ne viendrai pas. Le cœur ni est plus du tous, et revoir louis serrai une mauvais chose pour lui mais surtout pour moi.
Je ne sais pas du tous comment les choses risques de se passer mais je perds espoir à l'idée que louis vienne chez moi.
J'avais marché longtemps dans l'hiver qui s'oublie.
J'ai la gorge nouer juste à l'idée que louis puisses faire une connerie, j'avais mal de penser que j'était sûrement la cause de ses larmes.
J'était maintenant dans ma voiture en regardant le piéton ou j'avais vu louis ce matin.
Il était sans vie, vide de sentiment et d'émotion, il marchait dans un monde de papier.
Ses jambes étaient tellement maigres et j'avais envie de les embrassées pour leurs donner de la couleurs. Ses lèvres viré vers le violé et ça m'attirer quand même.
Louis m'intriguer, sa douleur me percer et son regard m'envoûté. J'avais besoin de l'aider bordel je le voulais tellement.
Je soupire en laissant ma tête se posé sur le guidon de ma voiture. J'avais l'impression de marcher sans but avec louis. Je ne pouvais pas anticiper ses réactions et sa me tuer le fait de marcher sans n'avoir quelque chose en retour.
Mais je le vois, je vois dans ses yeux bleu lorsqu'il me regarde avec espoir. Je ne sais pas si je me trompe mais ses yeux appelle à l'aide et après avoir lu autant de devoir sur divers sujet j'ai pu voir à quel point il est perdu, il c'est perdu et il demande aller mieux, à avoir mal d'une autre manière.
De sourire et de rire pour lui, je le vois bordel alors pourquoi personne d'autre la vu.
J'ai l'impression d'être la chose qui peux tous changer et sa me frustre d'avoir autant de responsabilité. Mais je veux l'aider mais je ne trouve pas les bons mots les bons gestes.
Je ne sais pas son passé ni la cause de sa douleur.
Perdu.
Je suis perdu.
-" putain."
Je démarre et roule. Je roule longtemps dans les vielles rues. J'avais l'impression de devenir fou, fou parce que ce gamin me rendais dingue. Mon cœur s'accrocher tellement à lui, je veux qu'il vie, qu'il aime cette pute.
J'en pouvais plus j'aller explosé, je faisais tous de travers.
Lorsque je reviens dans mon quartier il faisait déjà nuit. Il pleuvait tellement fort que j'était déjà mouillé lorsque je rentre chez moi.
J'étais vide, et mes pensées embrouillés comme le brouillard dans le ciel. Aucune étoiles juste un orage. Et j'ai peur de l'orage, c'était bruyant et effrayant.
L'ambiance de mon salon était pesant aussi, alors j'ouvrit le rideau des deux grandes fenêtres pour que la nuit m'envahisse, mit quelque bougie en lançant un vieux vinyle.
Le bois de ma grande bibliothèque rendais l'atmosphère jaune et vieux, l'odeur de la bougie à la vanille était apaisant, et la voix masculine de lana del ray était mélancolique.
Mes pensées étaient dédié à louis mais j'était vide et se sentiment me bouffé c'était horrible.
Je sursaute de peur. Les éclaires faisaient gronder la nuits, sa me faisait flipper mais pendant un instant je ne me sentais plus vide.
Puis sa recommança encore et encore, me faisant sursauter de peur à chaque fois.
Alors je sortie, j'étais déjà au 20ème étage alors je pris les escaliers jusqu'au toit, j'avais besoin de ressentir une émotion,ressentir le froid de l'hiver et les gouttes de pluie sur mon corps. J'avais besoin d'avoir peur pour me sentir vivant. Le vide m'effrayé.
Alors c'est le cœur embrumé d'amertume et de peur que je montais les escaliers.
Louis ne serai sûrement pas la, il ni y a aucune étoiles à cause du brouillard et à part un fou comme moi personne ne voudrai sortir avec un telle orage juste pour ressentir, vivre et avoir peur.
Mais j'avais tellement besoin, se besoin de ressentir la pire des chose pour enfin être quelque chose. Peut-être qu'une fois rentré je serai à nouveau vide mais j'aurai au moins ressenti, et eu peur.
Personne ne devrai avoir se vide en sois.
Une fois devant la porte, la mains sur la poignet je me demandais si c'était une bonne chose. Je risquais sûrement de tomber malade et toute ses autres conneries.
-" et puis merde."
J'ouvre la porte en fermant les yeux, je ne savais pas pourquoi mais j'avançais seulement.
Lorsque je sentis les gouttes de pluie tombé sur mon corps je me suis sentis vivant. C'était fou je ressentais enfin quelque chose, les frissons sur mon corps, les gouttes coulé sur mon corps et l'odeur d'une chose sans nom.
Le vent sur mon visage glacé, l'impression de prendre une claque par l'humanité. La nature reste la plus belle chose, je me sentais tellement vivant que mon cœur exploser de bien être l'impression de volé sans ailes de respiré sans oxygène c'était tellement fort.
Lorsque j'ouvris lentement les yeux, mon ventre se tordit.
Il était la.
Il ressentait lui aussi, les bras ouvert devant un monde de papier et la tête vers le ciel.
Il se donnait corps et âme à la pluie.
***
Voilà les pandaaa je vous aime ♥
COMMENTER je ne demande rien à part des commentaires, c'est là plus belle des récompense pour mon travail.
BISOUUS !!
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