Chapitre 15

PDV Harry

Il c'était excusé. Je ne savais pas pourquoi mais je ne demandé pas à savoir. Il était essoufflé, comme si il avait couru des heures alors qu'il était juste monté dans ma voiture. Je ne savais pas non plus pourquoi il était dans cet état. Je le caressais juste doucement le dos et sa avait l'air de l'apaiser.

Lors qu'il relève yeux vers moi, le sourire neutre mais les yeux étincelants de larmes j'avais comme l'impression de mourir de compréhension pour cet être fragile. L'envie de le prendre dans mes bras me tenté mais j'avais peur qu'il me repousse ou alors qu'il me trouve trop collant.

En a peine quelque jour, du moins quand j'ai réellement appris à connaître ses réactions et à détailler chaque passerelle de son corp j'avais l'impression de le connaître un peu plus et pas seulement par des écrits ou des devoirs.

J'arrête le regard entre nous pour fermer la voiture et surtout parce que je dois être flippant à toujours le regardé dans les yeux.

J'essayais de faire vite de peur qu'il s'enfui comme la dernière fois, mais il était là, le regard baissé sur ses vans noirs et les mains enfoncées dans son sweet.

On avait marché longtemps dans se début d'hiver qui se faisait assez discret. Le silence régnait entre nous, il avait l'air gêné. Il ne regardé pas se qu'il avait autour de lui non, il avait le yeux constamment vers le bas. Les lèvres tremblante par le froid et ses jambes avaient l'air sans vie.

J'étais presque sur qu'il n'avait rien manger depuis des jours.

Moi: Louis ?

Son bleu turquoise envahit mes yeux.

Moi: tu veux manger un peu ? Tu n'a rien pris ce matin.

Il dit rapidement non de la tête et accéléra le pas. J'étais déçu qu'il est refusé mais je n'avais pas mon mot à dire, je ne dit plus rien pendant tous le reste du trajet.

On avait marché jusqu'au lycée et j'avais discrètement remarquer qu'il avait coupé sa respiration pendant un moment du trajet et l'avait repris juste un moment après. Je ne savais pas non plus pourquoi mais je me suis assez interposé dans sa vie comme sa.

Il ne m'avait pas non plus dit au revoir et c'était aussitôt enfui lorsqu'on était arrivé au lycée.
Je n'étais pas agacé mais je désespère, je ne savais pas quoi faire. J'avais déjà pensé à arrêté mais à chaque fois quelque chose me faisait revenir a lui. J'avais l'impression de devenir fou, tous me ramener à lui. Je le regardais s'éloigner et aller vers son amis Julie, est ce qu'elle savait ?

Je ne pense pas, Louis est une âme trop solitaire.

Quelque heures avaient passé depuis mon début de mâtinée avec Louis mais même travailler ne m'avait pas distrait. J'avais beau faire semblant lorsqu'il étais rentré dans ma salle de classe je ne regardais que lui. Il était comme toujours, le regard plonger vers la baie vitrée avec laquelle il avait une vu sur l'automne qui mourrai pour laisser place à l'hiver.

Les couleurs de l'automne dominé encore la vieil ville de Doncaster et les humeurs de mes élevés étaient encore moroses.

Je donne la parole à un de mes élèves.

-" Monsieur, pourquoi "la dépression" ?

Je fronce les sourcils par sa question.

-" fin je veux dire la dépression c'est plusieurs sentiments qui font ce mots la, mais en sois on choisi d'être dépressif parce que vivre est facile. 

La dépression et très vague certes mais en aucun cas on choisi d'être dépressif. Je fronce les sourcils et me touche la lèvres tous en réfléchissent à une réponse cohérente.

Moi: la dépression n'est justement pas basé que sur un sentiment voilà pourquoi il est aussi destructeur, vivre et facile que seulement si on décide qu'elle le sois. On peux avoir toujours vécu avec la joie et la bonne humeur et être dépressif. Mais ce que je veux dire est que, la dépression ne peux pas être arrêté avec des médicaments, c'est seulement nous qui décidons de passé au dessus et de vivre.

Tous les yeux étaient dirigé vers moi, même ceux de Louis, l'attention de mes élèves était surprennent.

Louis demanda la parole ce qui me surpris.

Louis: la vie est hypocrite alors pourquoi choisir entre mourir et faire de la peine à des personne qui t'oublierons ou vivre avec une dépression folle ?  

J'étais pris de cour, je n'avais rien à répliquer a par que la vie et belle que si on veut la voir belle.

Il m'avait regardé profondément lorsqu'il avais donner sont point de vu et ses yeux bleu m'avaient complètement mit à nu.

Louis: il y en a aucune réponse à cela Mrs. Styles.

La sonnerie retenti et mes élèves rangent leurs affaires pour rentré chez eux, et moi je reste encore bouleversé par les paroles sincère de Louis. Il essaye de me dire qu'il n'aurait aucune raison de vivre si on n'étais pas heureux alors que cela et totalement faux. Le bonheur part et revient autant que tu le demande. Mourir n'est qu'une décision abstraite de tous nos malheurs et aucun cas une solution.

Mon regard étais plonge dans le vide, les pensées mélangés et une once d'amertume dans la gorge.

Louis veux mourir.

Qu'es que je suis sensé répondre à sa, il ne m'écoutera pas si j'essaye de le résonner c'est à peine si il me parle.

Je prend mes affaires et sort de la classe. J'ai l'impression d'y étouffer.

Je passe pas la salle des profs pour saluer tous le monde et passe vers la salle du proviseur, et comme si il n'était pas assez dans mes pensées je me surprend à écouté une la discussion que le proviseur a avec Clair, une de ses collègues.

Proviseur: je ne sais pas quoi faire de cet éleve Clair. Il dit désespéré.

Clair: c'est un excellent élève Marc, il mérite de resté ici et on trouvera un moyen pour qu'il trouve un tuteur.

Marc: mais il n'a pas de famille, du moins c'est ce que dit son dossier, il est seul Clair.

Clair: on peux le trouver une place dans l'internat ?

Marc: oui on peut mais là n'est pas le soucis il lui faut un tuteur sinon il ne peux plus bénéficier de la bourse qu'on lui donne.

Clair se pince les lèvres pendant que Marc le proviseur essaye de trouvé une solution. Je ne savais en rien à cette histoire de tuteur. Louis va bientôt avoir 18 ans donc il ne va plus pouvoir dépendre des aides que l'état lui donne, il sera seul et n'aura plus d'endroit ou vivre ?

Pourquoi il ne m'a rien dit ? 

Je rentre dans la salle sans savoir vraiment se que je vais dire ou même faire mais c'est tellement spontané.

Moi: je peux être son tuteur !

Les regards se tournent immédiatement vers moi et s'est stupéfait que Marc dit :

-" je ne suis pas sur que sa soit possible Harry.

Moi: je vis seul Marc et j'ai la garde de ma fille que le week-end donc il peut très bien habiter chez moi pendant la semaine au lieux d'aller en internat ? 

Marc n'a pas l'air très réceptif.

Moi: il peux au moins faire un essayé de 3 mois et il décidera après si il reste ou non ?

Marc: je ne sais pas harry, louis à l'air très fragile et faudrait sont accord mais je veux bien essayer et de tous manière je ne vois pas d'autre solution.

Clair: tu le connais bien harry ?

Sa question me prit au dépourvu, je n'en savais rien, je savais juste que je voulais être là pour lui et l'aider.

***

Après cette longue journée tous se que je voulais c'était me vôtrer dans mon lit, boire un thé à la menthe, parlé à ma petite Daisy et me couché.

J'entre dans mon appartement et pose mes affaires. Je souffle un bon coup, et m'affale sur mon canapé. Cette journée à commencé en étant bonne puis mauvais et elle c'est fini sans vraiment avec d'émotion.

Je ne savais pas comment Louis aller réagir mais j'appréhender quand même. Je ne pouvais pas savoir s'il avait assez confiance en moi pour venir chez moi. C'est à peine s'il me parle. J'en avait marre que tous mène à lui, chacune de mes pensées lui est dédiées.

Je souffle en entendant mon téléphone sonnait, je grogne en voyant le nom de Danielle mais répond toute de même.

Moi: allô ?

-" allôoo papa ?

Je souris lorsque je reconnaît la voix de ma petit Daisy. Elle a une voix adorable, encore de bébé mais adorable

-" oui mon cœur ?

Je souris tellement que je pari qu'on voit mes fausette.

-" papaaa tu sais l'école, mon copain thomas ma demandé pourquoi j'avais les cheveux touuus bouclé.

Je pouffe. Elle lui demande pourquoi.

Elle a le dont de me faire tous oublier. Je l'aime comme se n'est pas permis, c'est mon bébé, mon petit bout de soleil.
Elle à bientôt 4 ans et presque toute ses dents.

-" bahh je lui est dit que mon papaaa et moi on aime bien les bébés montonnns.

Je rigole et elle m'accompagne du sien qui est tellement mignon.

J'entend un voix derrière elle et je me doute bien que c'est Danielle.

-" papaaa, maman veux prendre téléphone. Je lui donne mais toi et moi s'aime très très fort comme le soleil !

Moi: oui mon cœur, papa t'aime fort jusqu'au étoiles !

Elle rigole et donne le téléphone.

Moi: bonne nuit petit ange.

-" allô ?

Je reconnaît immédiatement la voix de Danielle et l'envi de raccrocher me tente plus qu'autre chose.

-" bonjour harry.

Comment j'ai fait pour couché avec elle ?

-" bonsoir Danielle.

Je pouffe légèrement.

-" je te ramène Daisy à la fin de semaine comme d'habitude ?

Moi: oui et n'oublie pas sont doudou cette fois.

Je suis pratiquement sur qu'elle avait fait exprès mais bon.

-" oui, bonne nuit.

Moi: au revoir.

Je raccroche.

Je ne sais jamais comment elle m'a poussé à aller voir ailleurs. J'étais fou d'elle plus j'ai rencontre Ethan et je suis tomber pour lui, c'était mon premier.

Puis il y a eu Daisy et je suis tomber complètement fou amoureux de ma fille. J'ai tous laisser, Ethan  ne voulais pas endossé mes responsabilités alors il m'a quitté puis j'ai quitté Danielle.

Je n'avais jamais autant pleurer pour Ethan que j'avais pleurer pour Danielle.  Il m'avait aimé j'en étais sur mais tous c'était arrêté parce que ce bout de soleil rentré dans ma vie et je n'avais jamais regretter.

J'avais envie de retourner sur le toit, je ne savais pas pourquoi mais je pensais encore à Louis. J'avais besoin d'être un peu plus proche de lui alors le toit était parfait.

Tous me ramené à cet homme, c'est fou.



***

Coucou mes amours, voilà un long chapitre presque 2000 mots ^^
J'espère qu'il plaira et Merciiiii énormément pour les 2K c'est juste énorme.
Bisous les pandas ♥♥♡

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