chapitre 14
Matt Simons ~ Catch & Release
Je me suis réveillé, toujours avec la même vu: le plafond. Et bizarrement le blanc virant presque au jaune ne m'avais pas dégoûté. Et en arrivant devant le miroir, seul l'image que celui ci me rejetait me dégoûtait.
J'étais horrible, mon visage, mon corps, moi.
Je me dégoûtais et je dégoûtais les gens autour de moi.
Je suis un déchet qu'il faut jeter, je ne suis rien en fait.
Une masse inexistante dans l'existence, je suis quelque chose d'insignifiant. D'autres sont étoiles et moi je suis juste une poussière invisible.
Je me cache derrière un masque, un masque que je n'enlève plus puisqu'il fait partit de moi. Je me demande si un jour quelqu'un pourra me l'enlever parce qu'il m'étouffe.
Je refuse toute aide mais au fond je ne veux que ça: être sauvé.
Tu ne le mérites pas, Louis.
Sûrement, mais j'ai le droit d'essayer, j'ai le droit de prendre la main que tend mon prof. Après ça, si ça ne marche pas je n'aurais plus aucun regret.
Encore dans mon tourbillon noir, je réalise que quand la sonnerie de la porte retentit, que je dois aller au lycée.
Je m'avance vers elle littéralement vide d'émotion. J'ouvre lentement la porte et des cheveux bouclés m'envahissent.
Une grande silhouette rentre dans mon petit appartement et je réalise que mon prof est juste devant moi seulement quand ses yeux traversent les miens.
Je ne sais pas vraiment comment je suis. Je ne dégage sûrement aucune émotion sur mon visage puisque je suis totalement vide. Ses yeux détails mon corps affreux et ses lèvres se pincent.
Je suis misérable devant lui. Totalement misérable !
J'ai juste envie de le tuer pour ne pas qu'il me voit dans un état aussi vulnérable et pitoyable.
Il s'avance jusqu'à moi pendant que mon coeur se met à battre à une vitesse folle à cause de la peur.
Il me prend doucement les poignets et les regardent. Je le laisse détaillé mes poignets, je réalise quelque seconde plus tard qu'il regarde mes anciennes cicatrices.
Je détaille son visage et louche sur ses lèvres qu'il mord.
Je retire légèrement mes poignets et cache mes mains dans les poches de mon sweet.
Ces cicatrices sont mon passé, elles sont ma douleur, une douleur figée par chaque traits tracés. J'avais arrêté lorsque j'avais seulement compris que la douleur de mes traits n'était rien comparé à ce qui me déchirais le cœur. J'avais seulement arrêté mais je ne regrettais pas d'avoir fait couler mon sang, je regrettais seulement le fait d'avoir été idiot.
Il le regardait encore.
J'étais putain de vulnérable devant lui et ça m'énervait. Qu'est ce qu'il foutait encore chez moi. Il ne m'a pas fait assez mal ?
Tous ce que je veux c'est qu'il sort de ma putain de vie.
Il était toujours devant moi et je regardais mes chaussettes noires que je trouvais beaucoup plus intéressantes.
Il prit ma main dans ma poche et m'emmena lentement dans la salle de bain. J'aurais pu prendre peur mais son touché était tellement délicat que je me laissais faire.
J'étais vide et je ne savais pas quoi faire d'autre à par suivre ses mouvements. Il me mit devant le miroir, releva mon regard avec ses longs doigts et se mit derrière moi.
Je regardais ses yeux se plonger dans les miens à travers le miroir.
Il était tellement beau et je faisais tellement tâche à côté mais je soutenu son regard même si l'envie de pleurer était omniprésente.
Je n'étais plus seul sur ce miroir ou je me regardais chaque matin. Tous ces matins ou je voyais mon visage ce déformer par les années. Ou je me voyais grandir et m'autodétruire.
J'étais un peu comme un punchball dans le monde. Je laissé la vie me déformé parce que c'était comme ça, parce que tous le monde vieillissait et que c'était la vie.
Seul différence, j'avais aussi fais de mon corps un punchball. Je l'avais détruit chaque fois que je trouver la douleur trop forte. J'étais seul mais bizarrement la maintenant, la présence de mon prof me rassuré secrètement.
Je n'étais plus tous seul sur se miroir qui me rabaisser.
Je détaillais de mes yeux rouges la beauté de mon prof et les affreux effets des pleures sur mon visage.
Mr. Styles: tu n'es plus seul.
Son souffle me vient jusqu'au et me fit frissonner.
Ses mots me vint jusqu'au coeur. Sa me faisais du bien mais sa me faisais peur. Comment je pouvais géré quelqu'un qui veux être la pour m'aider alors que seul la solitude me servait de compagnie ?
Il reprit ma main et cette fois je la serrais fortement, gardant nos mains liée. C'était bizarre mais je voulais y croire.
L'espoir et une chose mais donné sa confiance et plus importante. C'est quelque chose d'important pour moi et il devait la gagné. Je ne savais pas où sa me mènerais mais je voulais y croire. Comme si l'espoir était la clé pour me délivré de tous sa alors que je sais très bien que mes démons vous encore venir m'étouffer.
Ses doigts mêlées au miens me réconforté et je me retournais pour pouvoir me plonger dans ma couverture. Ses bras me couvrait du monde, comme le faisait ma carapace mais lui avait se tissu réconfortant et je n'avais plus a me cacher parce qu'il avait un peu découvert ma carapace. Je ne sais pas comment mais il avait vu ce que personnes ne voulais voir.
J'étais bien dans ses bras.
Mr. Styles: prépare toi je t'amène au lycée.
Sa voix était un murmure et un souffle électrisent jusqu' ma peau.
Je le serrai un peu plus fort en inspirant son odeur pour la garder sur moi.
***
Quand il était sortie de la salle de bain, vêtu d'un jean et un gros pull il avait senti le regard un peu trop perçant de son prof s'attarder sur son corps frêle. Il vais presque honte d'être aussi maigre.
Avant il n'étais pas comme sa, ayant était dans un foyerl pendant pas mal de temps, on lui avait appris à bien mangé et surtout à des heures corrects mais une fois installé dans sont appartement l'envie de manger c'était estompé même presque disparu.
Il ne s'était pas arrêté pour regard son prof le détailler, il ne voulais pas ce justifié alors il alla jusqu'à la porte en prenant son sac. Il fut vite suivi de son prof.
Louis était désespérément gêné, il ne trouvait pas cette situation normal.
Une fois la porte fermé et tous les deux confiné dans un endroit que louis prenait rarement. Il se sentait vite vulnérable dans cette grande voiture, le stress monta tellement vite qu'il se sentait mourrir.
Une main inquiète venu vite se posé sur sa cuisse pour se faire rassuré mais c'était envahissant alors d'un coup apeuré louis l'enlèva.
Il sortie vite du véhicule et respira un grand coup.
Il respirait tellement vite. Louis ne savait même pas si c'était le fait de n'avoir pas prit de transport depuis longtemps ou alors, d'être encore dans le même endroit avec celui qui l'avait trahi.
Malgré sa, sa le rassuré et lui faisait du bien. Il était perdu.
Les caresses dans son dos une fois calmé lui redonna doucement le souffle nécessaire.
Son prof était encore la, et Louis avait la discret impression qu'il voulais resté aussi longtemps que lui, le permettrais.
Louis: je suis désolé ...
***
Coucou mes pandas !♥
Voilà le chapitre, j'avais dit que j'étais beaucoup inspiré ici mais les cours me prend un temps fou...fin bref j'espère que vous allez bien ? ♥♥
Bisous ^^
27/10/16
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