One Direction ~ Right Now

CHAPITRE PAS CORRIGÉ DU TOUT !

Les jours suivant c'était de pire en pire.

La solitude me ronger beaucoup plus que d'habitude et l'appartement vide me servais de compagnie.
Mes esprits s'embrouillaient de plus en plus m'enfoncent encore plus dans ma dépression folle. Et je pensais à la manière dont je pouvais retourné en cours, la manière dont je pourrai géré mes émotions en le regardant. La manière dont mes yeux le détesterait, la manière dont mon cœur se compressera s'il me reprennait dans ses bras.

Tous me submergé et je n'osais pas retourné dans cet endroit ou j' avais l'habitude d'aller parce que j'avais mal.
Ce mal étais là à ce moment précis, il me bouffe l'intérieur et me détruisait à petit feu. Je le ressentais.

J'avais juste besoins de retrouver le sentiment que j'avais eu une fois dans les bras de mon prof, le sentiment d'être protégé du monde, une couverture sincère et réconfortante.

Mais sa me faisais tellement flipper parce que cette couverture je l'avais déjà connu et elle c'était transformé en une chose horrible et cette chose horrible fait ma haine et ma tristesse la plus intense.

J'ai peur de lui donné un peu de confiance et qu'il détruise tous. Parce que tous et temporaire.
L'amour, l'amitié et la vie.

Tous ce détruit parce que le temps en est la cause. Cette chose tellement hypocrite et non fiable.

Cinq jour.

Cinq jour que je rate les cours pour ne pas le voir, plus d'une semaine que je vais mal parce que je ne peu plus aller voir la lune et tous lui raconter.

Je ne plus lui dire que je vais mal jusqu'à vouloir recommencer à me mutiler, recommencer a avaler des médocs jusqu'à m'étouffé et dire au médecins que j'avais juste mal dosé.

Plus d'une semaine que mes démons me rongent et seul sauter devient une solution.

Je suis par terre, le regard plongé au loin sur mon carnet et mon livre. Je n'ose même pas les toucher.

Lorsque j'avais entendu la sonnerie de l'entrée retentir j'avais pris peur, je penser encore le retrouver a ma porte mais j'avais seulement vu mes bien au sol et entendu des bruit sourd de bottes dans les escalier. J'avais hésité une minute à aller le voir pour le remercié ?
Non enfaite j'avais seulement envie qu'il me prenne dans ses bras.

J'étais retourné à intérieure et les avais seulement posé et me voilà encore en train de les regarder 4 jours après.

Mon cœur se gonfle de douleurs. Même si je nie profondément le fait que c'est bras autour de moi mon fait un bien fou. Je ne pourrais pas nié que ma seul envie et de le voir et tous lui balancé.
Lui balancé que j'ai mal bordel, que je veux mourir parce que je ne mérite même pas de vivre. Que je ne vie même pas et que je survie avec tous mes démons.

Que je suis profondément triste et que je ne sais même plus sourire depuis des années.

Que j'ai juste envie qu'il me prenne dans ses bras et qu'il ne me lâche plus jamais. Parce qu'il est secrètement la couverture et ma carapace. J'ai l'impression que plus rien ne peu m'arriver. Je ne réalise même pas qu'il est le seul à avoir tous remarquer, qu'il est le seul avoir vu que je souffert malgré le fait que je dise que je vais parfaitement bien.

Il est le seul avoir entendu  mes silences et je le repousse, il veux m'aider et je le repousse bordel. Je crois que je suis juste un putain de lâche.

Il veux être là et moi je n'ai même pas le courage de le laisser m'aider. Je suis effrayé !

Mr. Styles en vos la peine, c'est le genre de personne un peu trop généreux et trop gentil. Il ne mérite même pas d'aider quelqu'un comme moi, je suis un cas désespéré.
Je vais mourir, je vais sauter.

Ses yeux dans les miens, ses mains sur mes hanches frêle, son corps enlacés au miens ma redonné un souffle. Cet homme qui est un inconnu pour moi, ma fait respiré.

Il faut que je le revois !

Faut que je lui dise que je veux qu'il m'aide, que je veux arrêté de souffrir, que je veux voir la vie autrement ...

Que j'ai juste besoins de lui et que malgré toutes mes peurs je veux essayé.

Mais bordel je flippe, parce que je ne c'est pas comment faire, parce que je ne c'est pas apprécier une compagnie.

Je ne sais même pas voir les qualités d'une personne. J'ai trop était blessé et je ne peux pas m'empecher de pensé que toute les personne sont comme ça.

Quelqu'un sonne a l'entré depuis plusieur minute et l'idée que sa sois mon prof me ravis mais me fait peur, si c'est lui qu'es que je vais bien pouvoir lui dire ?

Que je veux de l'aide ?  ou que je suis simplement paumé et que j'ai envie de mourir tellement j'ai mal ?

Que je le hais pour avoir ouvert mon carnet alors qui ni ce fait ?!

Je me dirige par des pas éxtrement lent, je stress mais si c'est lui je veux absolument affronter sont regard percent et boulversant.
Je ne veux plus jamais qu'il me vois aussi faible.

Même si je le suis, je sais faire semblant et je vais tous faire pour que plus aucun sentiment me subermge en sa présence comme la dernière fois.

Et ça même si ses bras me manque affreusement. Au final je le deteste seulement pour tous se qu'il me fait ressentir, parce que je m'interdit de ressentir quoi que se sois et qu'il vient detruire chacune de mes convictions et qu'il change tous de ma vie .

Ma mains sur la poigné de la porte j'hésite vaiment a ouvrir mais après quelque rétissance, j'ouvre et écarquille les yeux.

Qu'es qu'elle fait la ?

???: Bonjour, Louis.

J'ai toujours detester sont coté trop hautin, ses escarpins trop bruyants sur mon carlage froid et sont tailleur affreux.

Je reste muet par sa venu et je la laisse entrée, bon c'est pas comme si j'avais le choix.

Moi: on avait rendez-vous ?

Après des jours sans avoir prenoncé aucun mots, ma voix d'habitude aigue et cassé, ressort grave.

Mon esprit divague sur mon prof et sa voix toujours grave et rauque.

Je me reprend et repose mon regard sur cette femme qui est simplement mon assitante social depuis plus de 6 ans.

Assistante: non, mais fallait que je t'en parle le plus rapidement possible.

Qu'es qu'elle est culoté, je sais pas si elle voit, mais je ne suis pas très partant pour parler !

Malgré que je ne veux pas qu'elle reste, je dois avoué qu'elle ma beaucoup aidé pendant mon enfance désastreuse mais sa ne veux pas dire que je l'apprécie pour autant.

Je m'assois après elle et l'écoute.

Assistante: écoute Louis, si je suis venu aujourd'hui a l'improviste c'est que c'est réellement important et que je ne pourrai pas faire grand chose pour toi...

- Tu vas avoir 18 dans a peine 3 mois et tu sera majeur donc tu ne pourra plus bénificié des aides...

Elle s'arrete un instant pendant que j'essaye de comprendre la situation, je reste neutre alors qu'au fond de moi j'ai juste envie de crié de rage.

C'est pas possible !

Elle reprend calmement.

" tu ne pourra plus avoir l'appartement puisqu'il est a la l'état donc tu ne pourra pas resté, tu sera obligé de trouver un boulot, mais tu aura toujours ta bourse bien sur.
 Je suis désolé. "

Moi: c'est pas possible ...

Ma voix s'entend a peine, comme un souffle dans l'air, quelque chose d'insignifiant.

" a moins que tu trouve un tuteur..."

Elle parle a voix basse, comme si elle s'avait qu'il n'y avait plus de chance pour moi, je suis du même avis.

Un tuteur ?

Je ne connais personne et je ne vais en aucun cas aller chez des gens que je ne connait pas.

Je suis royalement dans la merde, je ne sais pas comment je vais m'y prendre. Je sais même pas si il y a une solution.

"Tu as jusqu'a fin janvier pour trouver une solution, je suis désolé."

Je n'ai toujours pas prononcé de mots, ne serres qu'un souffle a peine audible.

Elle me fait signé quelque papier inutile et s'en va.

Je suis tellement épuisé, tous me dépasse. Moi qui est l'habitude de tous contrôler.

Je pars dans ma chambre affreuse et m'écroule sur le lit, je m'endors rapidement, je suis tellement a bout.

Je suis tellement seul.

***

coucou les pandas, alors voilà la suite, je suis vraiment désolé mais ma correctrice ma lâché alors voilà le désastre...