Le maître des potions

- Là regarde !
- Où ça ?
- Là, à côté du grand type roux et de la petite brune
- Celui avec des lunettes ?
- T'as vu sa cicatrice !

Comme je ne connais personne ici je me suis mit à traîner avec Ron et Harry. J'entendais ça partout où Harry passait. Célèbre comme il l'est c'est pas bien compliqué. Mais apparemment Harry n'en avait pas grand chose à faire, pour lui il fallait plus faire attention à ne pas se perdre dans les couloirs de Poudlard, un vrai labyrinthe ce château, en même temps ça n'est pas un problème pour moi : une mémoire visuelle aide beaucoup pour se repérer dans un lieu comme une ville où même Poudlard. Tous les lieux regorgeaient de chose magique en tout genre. A commencer par les escaliers, toujours à bouger, avec des marches escamotable ou des porte qui ne s'ouvraient pas si on ne leurs demandait pas poliment ou si on ne la chatouillait pas au bon endroit ou des truc dans ce genre, et des passages secrets, des tas de passage secret.

Très vite je me mit à énormément les utiliser, et quand plus tard j'en parlais à Ron je découvris que j'étais qu'une simple amatrice comparer aux jumeaux Weasley, on devin exelent amis tous les trois, même si je passais plus de temps avec Ron et Harry qu'avec eux. J'appris également à me méfier de Peeves, un esprit frapant par sa betise. Les fantômes de Poudlard était tres serviable pour ce qu'il s'agis de trouver son chemin, surtout Nick-quazi-sans-tête. Mais il est vrai que ce n'est toujours pas agréable de se faire traverser par un fantôme. Mais ce qui me fascine le plus à Poudlard ce sont les tableaux. Leur propriétaire passaient leur temps à se rendre visite dans leurs cadre ou à disparaître. J'appris également à me méfier de Miss Teigne, la chate de Rusard. Elle et Gabrielle passait énormément de temps à s'étriper. Et puis de toute façon on sentais bien que Rusard et cette chate était les même. Ils détestaient tous les deux les élèves de Poudlard.
Mais mit de côté ces deux là, le reste était une véritable partit de plaisir. Chaque mercredi soir, notre classe étudiait l'astrologie. Trois fois par semaine on étudiait des plante plus bizarre et magique les une que les autres. Les cours d'histoire de la magie était parmis les plus ennuyeux, voir même était le seul ennuyeux. Le professeur qui nous enseigne cette matière est un fantôme, je suis sûre qu'il ne c'est même pas rendu compte qu'il est mort, quand il parle on dirait un viel aspirateur essoufflé. Et n'ayant quasiment aucune mémoire auditive ça ne m'aide pas, mais bon comme je suis assise à côté d'Hermione je copie ses notes, on est devenu de bonnes amies toutes les deux.
J'adore les cours d'enchantement, je pense sincèrement que c'est la matière ou je suis la plus douée. Le professeur qui nous enseigne cette matière s'appelle Flitwick. Il est plus petit que moi ! Il doit montrer sur une pile de livre pour qu'on puisse le voir par dessus son bureau.

Lorsqu'il a vu le nom de Harry sur sa liste il en est tomber de son perchoir !
Ma deuxième matière préféré après les enchantement c'est la métamorphose, enseigner par McGonagall, la prof qui nous avait ouvert la porte le premier jour. Elle est effectivement très... Comment dire... Sévère. Il ne faut effectivement pas l'enerver, mais on le sens à sa manière d'enseigner qu'elle est très inteligente. Des le premier cours elle nous parla très franchement sur les règles de sa classe et l'art de la métamorphose. Elle changea son bureau en cochon pour illustrer ses propos. Très vite je fus exitée à l'idée de faire de même. Mais il se révéla que les dires de McGonagall n'était pas exagérer, la métamorphose, c'est suuuuuper compliqué. Vers le milieu du cours personne n'avait réussi à changer son allumette en aiguille, mais subitement une exclamation de joie à côté de moi me fit sursauter.
Hermione avait les yeux brillants, et lorsque je regarda sa table je compris, son allumette étai devenu pointu et avait pris une teinte argenté. McGonagall la félicita d'un sourire et nous dit de prendre exemple sur Hermione. Je ré-essaya encore et encore, refusant catégoriquement que seule Hermione réussise. Mais visiblement je n'aivais pas ses pourvoir dans ce monde. Désespérée je lançais une dernière fois l'incantation avent de finalement baisser les bras. Je vennais d'un autre monde, évidemment que je n'aurais aucun pouvoir ici ! Je pris ma plume pour recommencer à grifoner sur mon parchemin avent que ma voisine me face dépacer en me secouant vigoureusement l'épaule.

- Hey doucement ! Tu n'a fait depacer ! è^é
- Mais tu l'a vu ou quoi !
- De quoi ???
- Ton allumette bon sang !

Je regara mon allumette pour constater qu'elle ressemblait désormais à l'aiguille d'Hermione. Ma main fonça comme une fusée vers le plafond.

- MADAME MADAME ! PROFESSEUR MCGONAGALL !

Elle arriva visiblement mécontente que je cri ainsi dans son cours.

- Qu'y a-t-il enfin quand même on a pas idée de crier come ça !

Lorsque je lui montra mon aiguille sa moue mécontente disparu un peu.

- Ah je vois... Bon travail à toutes les deux... Rangez vos affaires c'est la fin du cours.

Je sorti du cours tout en entamant une discussion endiablée avec Hermione sur les pouvoirs et les multiples avantages de la métamorphose.
Mais je doit dire que la métamorphose n'est rien comparé à l'excitation que je ressentais à l'idée de mon premier cours de défense contre les forces du Mal. J'étais jubilante en cours, rien qu'en rentran dans la sale ça setait l'ail, juger moi mais moi j'adore l'ail. Je me mit à côté de Hermione plus qu'exitée que l'on commence notre premier cours. Mais mes attentes furent tres vite dessus : Quirrell begaillait tout les trois mots, ce qui ne lui donnais pas un air sérieux, l'odeur d'ail dans la classe fini par en faire rire plus d'un, surtout quand Quirrell avoua a demi-mots avoir peur de voir un vampire rencontrer en Roumanie débarquer à Poudlard. Certains, dont les jumeaux, firent même courir le bruit que le turban de Quirrell en était rempli d'ail pour se protéger constamment des vampires, et de toute façons la version de l'histoire de comment il avait eu sont turban que Quirrell nous fournit sonnais faux, effectivement Quirrell n'arretait pas de dire que son turban lui avait été offert par un prince africain pour l'avoir débarrassé d'un zombie, mais lorsque je lui dit que l'Afrique est un continent et pas un pays du coup quelle était la nationalité du prince et comment en était-il venu à bout du zombie le professeur me laissa sans réponses.
Tous ce passa avec tellement de rapidité que j'avais oublié de m'inquiéter sur le fait que je n'étais pas une sorcière et que je n'y connaissait rien à proprement parler. Le vendredi matin je m'étais lever en retard, il n'y avait presque plus personne dans les dortoirs. Je m'habilla en vitesse avent de revêtir l'uniforme de ma maison. Je dessendit en trombe les escaliers en passant en plein dans le fantôme du moine gras des Poufsoufle, je frissonais et m'excusais à peine, pourvu qu'il reste des oeufs au bacon ou des pain au chocolat.
J'arrivais juste à temps pour entendre Harry demander :

- Qu'est-ce qu'on a aujourd'hui ?
- Cours... Potion... avec... Serpentard... Cachots... Si... je me... souvien bien répondis-je haletante.
- Oui fit Ron, c'est leur directeur qui fait cours, il paraît qu'il essayé toujours de les avantager.
- Eh bien... on verra bien si... C'est vrai repondis-je en me laissant tomber à côté de Harry en attrapant la carafe de jus d'orange, le paquet de céréales et le bol le plus proche, je fit un savant mélange entre les deux aliments dans le contenant et je me mit à manger avec appétit.

- J'aimerais bien que McGonagall essayé de nous avantager... fit Harry songeur

McGonagall est la directrice de notre maison à nous les Gryfondor, mais être notre prof et notre directrice ne l'a pas empêchéde nous donner une tonne de devoir, je hais les devoirs.

- Mais c'est pas possible ! Ça par ou tout ce que tu mange ? Tu prend même pas ça en taille ! me fit Ron visiblement étonné au plus haut point que je mange encore plus que Harry et lui sans grossir
- Y'a deux solutions à ta question, ou j'ai un vers solitaire ou essaye seulement de passer un journée comme moi et tu va voir que j'ai besoin de plus de carburant que vous deux pasque je suis constamment en train de bouger, d'où tu crois que je sort le fait que je sois une hyperactive diagnostiquer d'hyperactivité ?

Ron allait répondre mais des battement d'ailes vinrent nous intronmpre, Avril fit un piqué vers moi et atterri sur la table pour un bonjour matinal, je passa mes doigts sur sa tête avec de répandre un peu de céréales à même la tables pour qu'elle puisse picorer. Autours de moi des paquets ou des lettres tombaient des serres des messagers pour arriver devant leur propriétaires.
Jusqu'à maintenant la chouette des neige de Harry ne lui avait rien ramener, et de toute façon que lui ramènerait-elle et de la part de qui ? Harry était tout aussi orphelin que moi. Je dit donc surprise  de voir Hedwidge lui apporter une lettre. Harry dechira rapidement l'enveloppe, par habitude je ne lut pas le contenu de la lettre et je laissa le soin à Harry de voir si il allait nous en parler, il emprunta la plume de Ron pour répondre à la personne qui lui avait envoyer la lettre et renvoya Hedwidge, le temps que Harry nous explique que Hagrid nous invitait pour le thé je quittais mes amis pour remonter en vitesse dans le dortoir pour fourer les affaires de la journée dans mon eastpak et redescendre le tout Poudlard en trombe pour arriver dans les cachots. J'arrivais juste à temps, Rogue venait de sortir de la sale de classe pour nous faire rentrer. Le froid des cachots plus l'obscurité plus l'aspect sinistre de la classe plus les étrange créatures flotant dans des bocaux rempli de je ne sais trop quoi me fit froid dans le dos. Rogue étai de se genre qui par leur seule présence maintienne la classe silencieuse. Déjà rien qu'en fesant l'appel, j'eu un mauvais pressentiment par rapport à ces cours, Malefoy, Crabbe et Goyle ricanant derrière n'arangait rien. Je me mit à détailler le professeur durant le reste de l'appel, tout de noir vêtu, comme si il etait en deuil, plutot grand, avec le visage au tein cireux, les cheveux gras lui tombant sur les épaules en une coupe carré, les yeux d'un noir de jaie avec des éclat froid, et un nez aquilain, crochu, comme un bec. Presque inconsciemment j'avais fait une petite caricature de Rogue dans la marge, comme je l'avais fait pour chaque prof. Un fois l'appelle terminer il nous fit un monologue sur l'art sombre, profond et mystérieux des potions, comme quoi on pouvais mettre de la gloire en bouteille, enfermer la mort dans un flacon ou je ne sais quoi, je pris des notes, on sais jamais mais au moment où Rogue nous traita de cornichons je vit rouge, il n'avait pas le droit ! Je voulais bien reconnaître que potentiellement je pouvais m'avoir aucun talent en potion mais de la à nous insulter !
Hermione à côté de moi était assise tout au bord de sa chaise, prête à prouver qu'elle n'avait rien d'un cornichons, pour ma par je me redressa, craqua mes doit et posa mes mains sur la table, le regard un poil hautain, prête à prouver que même si je ne pouvais rien prommetre, je voudrais toujours mieux qu'un cornichon !
Soudais Rogue apostropha Harry.

- Potter ! Qu'es que j'obtiens si je rajoute de la racine d'asphodèle en poudre à une infusion d'armoise ?

Je te demande pardon ?! Je le compris comme un problème de chimie mais version magie, sauf que la apparemment seule Hermione avait la réponse.

- Je ne sais pas, monsieur, répondit Harry
- Visiblement la célébrité ne fait pas tout... Essayons encore une fois. Ou iriez vous si je vous demandais de me rapporter un bézoard ?

Rogue n'avait même pas prêter attention à la main d'Hermione. Cette dernière agita pourtant encore sa main dans l'espoir d'être interroger. Cette fois je pu lever la mains également, chez les moldus les bézoard était réputé pour être des pierres qui se trouvait dans les ventre des chèvres et qui était supposer soigner un empoisonnement, il devait en être de même pour les bézoard des sorciers je ne pus m'empêcher de chuchoter plus pour moi même que pour les autre en levant ma main :

- T'as deux solutions Roguy, soit tu va dans ta réserve et tu cherche soit tu va trouver une chèvre et tu l'étripe.

Hermione me regarda comme si j'avais proférer une énormité.

- Je ne sais pas monsieur, répondit Harry pour la deuxième fois.
- Vous n'alliez pas vous donner la peine d'ouvrir un de vos livre avent de venir ici n'es pas Potter ?

Malefoy s'etranglait d'un rire "silencieux" avec Crabbe et Goyle pendant que je marmonais que c'était un peu trop demander d'apprendre le manuel en entier par coeur avent la rentrée, Hermione me donna un coup de pied indigné, visiblement elle elle avait pousser jusqu'à apprendre les manuels à l'envers et à l'endroit.

- Potter, reprit Rogue. Quel est la différence entre le napel et le tue-loup ?

Je pense que si Hermione possaidait ma non-gène elle se serait carrément mit debout sur la chaise.

- Je ne sais pas, répondit Harry. Mais je crois qu'Hermoine le sais. Vous aurait peut-être plus de chance avec elle.

C'est mort. C'est mort il va se faire dégommer. Rogue va nous enlever des points, injustement, mais il va le faire.

- Asseyez vous ! lança-t-il a Hermione

Pendant qu'il donnait les réponse à ses propre questions et qu'il annonçait que l'impertinance inexistante de Harry nous coûterait un point, je pris des notes à contre-coeur en marmonant :

- Quel teigne !
- Tait toi ! S'il t'entend on va encore perdre d'autre points, me répondit Hermione

Après cet épisode désastreux il reparti les élèves deux par deux, je me retrouvait avec Hermione tandis que Harry et Ron se retrouvait en face de leurs chaudron.
Les sales de classe de potion vous rappel un peu ce genre de salle réservée au cours de sciences, de physique ou de chimie, sauf que là la sale est plus sombre et qu'au lieux d'étudier la réaction du bicarbonate de soude quand il entre en contact avec vinaigre on s'acharne à créer une potion que Rogue trouvera inévitablement passable, et encore, ça c'est si il est de bonne humeur. Je me mit à penser que je n'étais pas sencer connaître le résultat la réaction du bicarbonate de soude lorsqu'il entre en contact avec vinaigre car dans ce monde je n'avais que 11 ans, contrairement à mon monde ou l'anniversaire de mes 16 ans se déroulerait dans deux semaines.
Rogue passait et repassait parmis nous pour critiquer sévèrement, même loes Serpentard eurent droit à leurs part. Les critiques etait moins virulentes mais c'était des critiques quand même. Seul Malefoy semblait pouvoir échapper à ces remarque désagréables, Rogue nous dit même de regarder comme il avait bien fait bouillir ses limaces à cornes. Soudain je vit Neville à deux doigts de mettre ses épines de porc-épic sans avoir retiré son chaudron du feu.

- Neville non ! ATTENDS !

Trop tard, il avait lâcher les épines dans la mixture. Au moment même où Rogue ouvrit la bouche pour me demander pourquoi tout ce raffut un sifflement aigue emplit le cachot, un épais nuage vert sortit du chaudron qui était en train de fondre, Neville avait reçus de la potion sur le visage et gémissait de douleur alors que d'affreuses cloque rouge purulantes lui poussaient sur le visage. On était tous perché sur nos chaises et tabouret, moi la première car depuis le début du cours j'étais en tailleur sur ma chaise.

- Imbécile ! gronda Rogue.

Il fit disparaître toute la potion de Neville d'un coup de baguette.

- J'imagine que vous avez ajouté les épines de porc-epic avant de retirer votre chaudron du feu, malgré l'avertissement retentissant de votre camarade.

Des furoncles poussait sur le visage d'un Nevill pleurnichant.

- Emmenez-le à l'infirmerie, ordona-t-il a Seamus.

Il se tourna vers moi.

- Mlle Stark, vous auriez pu prévenir votre camarade plus discrètement. Votre manque de savoir vivre en classe coûtera un point de plus  à Griyffondor.

S'était tellement injuste ! J'allais répliquer un truc singlant mais Ron me fit signe de zipper la bouche pour m'intimer au silence. A contre coeur je ne répondit rien et baissa la tête.
Harry nous invita moi et Ron à venir chez Hagrid l'après-midi,  chose que j'accepta avec plaisir.
Une fois les cours terminer on quitta ensemble le château pour traverser le parc. Hagrid habitait une petite maison de bois en bordure de la Forêt interdite. Une arbalète et une paire de bottes en caoutchouc de la taille d'un géant étaient posées à côté de la porte. Lorsque Harry frappa, un grand fracas retentit à l'intérieur de la maison, accompagné d'aboiements sonores. Puis, la voix de Hagrid domina le vacarme.

- Ça suffit, Crockdur ! dit-il. Va-t'en de là.

 Le visage hirsute de Hagrid apparut dans l'entrebâillement de la porte.

- Du calme, Crockdur !  
- Un chien ! m'exclamais-je

Je suis complètement gaga des toutou en tout genre, cependant je ne ferais pas partie de la team chien car entre chien et chat, ca reste un conflict pour moi.

- Ne t'inquiète pas il est très gentil, répondit Hagrid
- Je ne m'inquiète pas, j'adore les chiens ! 😀

Hagrid nous fit entrer en s'efforçant de retenir par son collier un énorme molosse noir.  La maison ne comportait qu'une seule pièce. Des jambons et des faisans étaient suspendus au  plafond, et une bouilloire en cuivre était posée sur le feu. Un coin de la pièce était occupé par un lit massif recouvert d'une courtepointe en patchwork.  

- Faites comme chez vous, dit Hagrid en lâchant Crockdur qui bondit aussitôt sur Ron et entreprit de lui lécher consciencieusement les oreilles.

A l'image de son maître, Crockdur était beaucoup moins féroce qu'il ne le paraissait.  

- Je vous présente Ron et Alice, dit Harry à Hagrid qui versait de l'eau chaude dans une grande théière et disposait des biscuits maison sur une assiette,
- Encore un Weasley, à ce que je vois, remarqua Hagrid en regardant les taches de rousseur de Ron. J'ai passé la moitié de ma vie à poursuivre tes frères jumeaux quand il leur prenait l'envie d'aller faire un tour dans la forêt.

Les biscuits faillirent nous casser les dents, je m'eforcais alors de le sucer pour réussir a le manger. Nous firent cependant semblant, Ron, Harry et moi de trouver délicieux. On raconta à Hagrid notre première semaine de classe pendant que Crockdur, la tête posée sur mes genoux, bavait abondamment sur sa robe de sorcier.
Nous fîmes enchantés d'entendre Hagrid qualifier Rusard de « vieille ganache ».

- Et un de ces jours, j'aimerais bien présenter son horrible Miss Teigne à Crockdur. A chaque fois que j'entre dans l'école, elle me suit partout. Impossible de se débarrasser d'elle. C'est Rusard qui me l'envoie.
- La dernière fois, elle a faillit arracher une oreille a Gabrielle, ma chate, ajoutais-je.

Lorsque Harry lui raconta ce qui s'était passé pendant le cours de Rogue, Hagrid lui fit la même réponse que Ron : il ne fallait pas y prêter attention, Rogue n'avait jamais aimé grand monde parmi ses élèves.

- Mais moi, on dirait vraiment qu'il me hait, insista Harry.
- Tu dis des bêtises, assura Hagrid. Pourquoi donc te haïrait-il ?

Mais je remarqua tout comme Harry que Hagrid avait détourné les yeux en disant cela.

- Comment va ton frère Charlie ? demanda Hagrid à Ron. Je l'aimais beaucoup. Il savait très bien s'y prendre avec les animaux.  Pendant que Ron lui parlait de Charlie, Harry prit un morceau de journal posé sur la table, C'était un article découpé dans La Gazette du sorcier, je lu par dessus son épaule.

« LE CAMBRIOLAGE DE GRINGOTT'S »

  L'enquête sur le cambriolage qui s'est produit le 31 juillet dans les locaux de la banque Gringotts se poursuit. La piste suivie par les enquêteurs devrait les mener dans les milieux de la magie noire.  Les gobelins de Gringotts ont répété que rien n'avait été volé. La chambre forte fracturée avait en effet été vidée le même jour. "Mais nous ne vous révélerons pas ce qu'elle contenait et, dans votre propre intérêt, nous vous conseillons vivement de ne pas vous mêler de cette affaire" , a déclaré le porte-parole des gobelins.

Je fronca les sourcils

- Gringott's n'est pas sencé être impénétrable ?

 
Je me souvins alors de ce que Ron avait dit dans le train : il y avait eu une tentative de cambriolage à Gringotts. Mais il ne nous avait pas précisé la date à laquelle elle avait eu lieu.

- Hagrid ! s'exclama Harry. Ce cambriolage à Gringotts s'est passé le jour de mon anniversaire ! Ça aurait pu arriver pendant qu'on y était !
- Tu y était ? demandais-je surprise

Lorsque je me retourne vers Hagrid  cette fois, il n'y avait vraiment aucun doute : il fuyait le regard de Harry. Le géant poussa un  grognement et lui offrit un autre biscuit. Je relu l'article avec Harry. La chambre forte fracturée avait été vidée le même jour. Étrangement, je devrais en parler plus en détails avec Harry, plus tard. Lorsqu'on revint au château avec Ron, nos poches pleines de biscuits qu'on avaient été trop polis pour refuser, même moi je n'avais pas eu le cran de dire non à Hagrid, après tout à par le fait que les biscuits était en béton armé ils étaient assez bon.
Je remarqua que Harry avait un air songeur.

- Il se passe quoi Harry ?
- Rien, je me demandais juste où peux bien se trouver le fameux paquet, à présent. Si c'était bien ce que cherchaient les voleurs, Hagrid l'avait emporté juste à temps !
- Quel paquet ?
- Hagrid et moi on est aller a Gringott's le jour du cambriolage, on est aller dans le coffre-fort n°713. Hagrid y a pris un petit paquet, il nous montra la forme et la taille avec ses mains. Il n'y avait rien d'autre dans la chambre, or le coffre cambrioler venait d'être vider un peu plus tôt dans la journée, tu me suis ?
- Oh ! fit Ron. Tu pense que la salle cambrioler était la salle au paquet ?
- Et que donc les voleurs cherchaient probablement ce paquet, concluais-je.

Harry répondit par l'affirmative. Mais je vit qu'il continuait a se poser d'autre questions, mais cette fois je renonça de le déranger dans ses pensées.

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