Le banquet de début d'année
Dumbledore était debout, les bras écarté avec un immense sourire, comme si rien ne pouvait lui faire plus plaisir que de nous voir tous réunis.
- Bienvenue, dit-il. Bienvenue à tous pour cette nouvelle année à Poudlard. Avant que le banquet ne commence je voudrais vous dire quelque mot que voici : Nigaud ! Grasdouble ! Bizarre ! Poinçon ! Je vous remercie !
Il se rassit sous les applaudissements de la foule, j'eclata de rire, je suis désormais sûre que Gabriel n'aurait jamais pus me faire de meilleur cadeau que celui-ci, la capacité à pouvoir connaître des gens comme Albus Dumbledore.
Et puis soudain sous mes yeux des plats plus succulents les uns que les autres remplirent les plats en or qui était désespérément vide il y a une minute. Moi qui avait toujours manger comme si je sortais de captivité, se qui avait inquiéter la plupart, mais j'ai un métabolisme qui me permet de transformer tout ce que je mange en énergie, à défaut de prendre ça en taille.
Je me mit à me servir de tout : ragoût de bœuf , purée onctueuse, pommes de terre sautées, légumes, frites, gratin divers, poulet, saucisses, lard, une bonne vingtaine de sauces différentes et même des bonbons à la menthe.
Le fantôme à côté de moi soupira.
- Tout cela me paraît bien appétissant. Il y a voilà cinq cent ans que je n'ai plus rien mangé. Je n'en ai plus besoin bien entendu mais cela me manque...
Je voulu lui tapoter l'épaule en signe de compatissance à défaut d'autre chose mais lorsque ma main s'enfonça dans le corp du fantôme je cru avoir plonger ma main dans un seau d'eau glacée.
- Brrr ! Heu bon... Je voulais changer de sujet afin de ne pas trop affliger le fantôme. C'est quoi votre nom ?
- Mon nom ? fit-il en prenant un air important, Mon nom, eh bien jeune fille, je me présente. Sir Nicholas de Mimsy-Porpington, pour vous servir. Fantôme résident à la tour des Gryfondor.
- Je vous connais, s'exclama Ron. Mes frères m'ont parlé de vous. C'est bien vous Nick Quazi-sans-tête ?
Le fantôme eu un air pincé.
- Je préfère que l'on m'appelle Sir Nicholas de Mimsy...
Mais un garçon blond, Seamus Finnigan je crois, l'interompi :
- Quazi-sans-tête ? Comment peut-on être quazi sans tête ?
- Comme cela. fit Nick d'une voix agacée en s'arrachant littéralement la tête des épaules.
Sa tête pendait d'un côté, comme rattaché par une charnière. Je me retins de cracher le contenu de ma fourchette en face de moi, sur Harry en locurence.
Après que Nick eu remit son chef en place et un silence un peu gênant il nous dit :
- Alors, les nouveaux Gryfondor. J'espère que vous allez nous aider à gagner la coupe des Quatre Maisons cette année. Il y a tellement longtemps que Gryfondor ne l'a pas remporté ! Le Baron Sanglant en est devenu insupportable de prétention, c'est le fantôme des Serpentard, c'est lui là-bas.
Je suivis la direction qu'il nous pointait et je vis un fantôme à l'allure sinistre, ses vêtements était maculé de sang, les taches avait des reflets argentées, il était assis à côté de Malefoy qui n'avait pas l'air enchanté d'occuper cette place, je me promis alors de tout faire pour remporter cette coupe.
Peu après les désserts succédèrent aux plats, il y en avait pour tout les goûts, des crème glacée à tout les parfums possible, des tartes à tout, des babas, des éclairs au café, au chocolat, des beignets, des fraises...
Alors que je degustais un éclair au chocolat les élèves autour de moi se mirent à parler de leurs familles. Un garçon qui, si ma piètre mémoire auditive ne me fais pas de tours, s'appelle Seamus Finnigan nous raconta qu'il était moitié-moitié, et que sa mère a attendu d'être marrier à son père pour lui annoncer son secret. Ma lorsque Neville nous raconta que toute sa famille avait longtemps cru que Neville ne serai pas assez "magique" pour pouvoir être admis à Poudlard. Je perdit le fil de la conversation et me mit à rêver éveillée sur quelle pourrais être ma matière préféré, et je me mit à trouver quelle matière moldu ressemblait le plus à tel ou tel matière magique. Je fini par me convaincre que les enchantement serait ma matière préféré. Je fus tirer de ma rêverie par Harry qui sursauta en s'exclamant :
- Aïe !
Il avait plaquer sa main au niveau de sa cicatrice.
- Ça vas ? lui demandais-je.
- Ou...ouais. Sa va...
Il se retourna vers le grand frère de Ron à côté de lui pour lui demander le nom de l'un des professeurs. Je me retourna vers le professeur que Harry pointait et je vis un homme austère, tout de noir vêtu, avec des cheveux très foncés et très gras qui lui tombait un peu au-dessus des épaules, il avait le teint cireux, un nez crochus et des yeux sombres et froids. Je ne pus m'empêcher de penser que ce prof était très antipathique.
Il parlait avec un autre professeur, celui qui avait un turban violet autour de la tête, celui qui begaiyait. Je mit au moins cinq secondes à me rappeler que son nom était Quirrell. J'ai une exelente mémoire visuelle, si bien qu'il me suffit d'avoir vu une personne, ne serait-ce que quelques secondes, pour me rappeler d'un nombre très impressionnant de détails sur sa physionomie. Si bien que lorsque je pense, je ne pense pas en mot, mais en images, extrêmement précises. En revanche ma mémoire auditive laisse à désirer.
Dumbledore fini par se lever et nous fires silence. Il rappela de quelques règles comme ne pas faire de magie dans les couloirs, ou de ne pas se balader près de la forêt interdite. Il posa un regard bien appuyer sur les jumeaux Weasley. Mais mon intention fus retenu par le fait que l'on avait pas le droit, cette année du moins, de se balader dans le couloir du deuxième étage de l'aile droite "à moins de vouloir mourir dans d'atroces souffrances". Harry éclata de rire, il ne fut d'ailleurs guère imiter mais cette phrase me laissais perplexe, je regarda les jumeaux pour voir leurs réactions, ils étaient en train de se regarder avec un air désemparé. Je fini par hausser les épaules. Je verrai bien de quoi il s'agira sur le moment.
Cependant Dumbledore continua :
- Et maintenant, avent d'aller nous coucher, chantons tous ensemble l'hymne du collège !
Il agita sa baguette et un long ruban d'or en sortit pour s'envoler au dessus des tables pour former les paroles.
- Chacun chantera sur son air préféré ! s'exclama-t-il
Toute l'école se mit à s'epoumoner dans une joyeuse cacophonie, je choisis l'air de ma chanson préféré du moment : Prayer In C de Robin Schulz.
Poudlard, Poudlard, Pou du Lard du Poudlard,
Apprends-nous ce qu’il faut savoir,
Que l’on soit jeune ou vieux ou chauve
Ou qu’on ait les jambes en guimauve,
On veut avoir la tête bien pleine
Jusqu’à en avoir la migraine
Car pour l’instant c’est du jus d’âne,
Qui mijote dans nos crânes,
Oblige-nous à tout étudier,
Répète-nous c’qu’on a oublié,
Fais de ton mieux, qu’on se surpasse
Jusqu’à c’que nos cerveaux crient grâce.
Je pensais être la dernière à finirent mais les jumeaux Weasley finirent en dernier avec l'air de marche funèbre qu'ils s'étaient choisis. Je perdit la suite des événements, je sais juste que le grand frère de Ron, dont ce dernier m'appris qu'il se nommait Percy, nous emmena vers les dortoirs de Gryfondor, sur le chemin on rencontra un esprit frappeur, le fameux Peeves, il était légèrement translucide mais haut en couleurs, je le trouva drôle mais à la longue il devait être énervant si on en croyais Percy. Apparemment Peeves n'écoutais personne à par le Baron Sanglant. On arriva devant un tableau. Comme si on se trouvait au bout d'une impasse, la prossetion s'était arreter. Je cherchais alors des yeux l'entrée des dortoirs mais je ne la vie point. Je tira sur la manche de Percy.
- Ils sont où les dortoirs ?
- Tu vas voir ! me répondi-t-il visiblement fière de lui.
-Le mot de passe ? fit une voix
Je fut stupéfaite de voir que c'était la grosse dame en robe rose du tableau qui avait parler.
- Caput Draconis ! répondi Percy.
Le tableau pivota comme si s'était une porte pour laisser apparaître un trou dans le mur qui emmenait vers les dortoirs. Un à un on rentra dans ce trou béant et on se retrouva dans une pièce chaleureuse où il y avait de vieux fauteuils, des tables basses et une grande cheminée où les restes d'un feu terminaient de se consumer. Percy nous indiqua l'escalier qui menait au dortoirs des filles et on vit celui des premières années. Des lit à baldaquins avec des rideaux de velours rouge. Mes valises avait été déposée et Gabrielle m'attendais sur mon lit. Elle se mit à ronronner en me voyant.
- Gabrielle ! m'exclamais-je en la prenant dans mes bras. Ça ne dérange personne que j'ai une chate ? demandais-je en regardant les filles qui était monté avec moi.
Il y avait l'une des jumelles Patil, celle qui avait été envoyé à Gryfondor avec nous, une fille nommée Lavande Brown et enfin Hermione. Elle me regardèrent toutes les trois.
- Je crois que tu ne nous laisse pas vraiment le choix on dirait, me répondi Lavande.
- Non en effet !
Je me mit en pyjamas je me glissa sous les couettes avec Gabrielle dans les bras. Je ne m'endormi pas tout de suite malgré ma fatigue. Je caressais Gabrielle entre les oreilles et je me mis a penser à Gabriel et je me dit qu'il n'aurait jamais pus me faire de plus beau cadeau. Je me retourna et mis une main sur ma poitrine, là où était le pendentif. Je souris et je m'endormi.
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Blep je vous ai manqué ?
Bah lisez la suite alors les loulous ❤❤❤
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