Tu lis vraiment madame la mort?

Tokyo, le 9 mars 2018

2 Chome-1-1 Kamikitazawa, Setagaya, Tokyo 156-0057, Japon

À madame la mort
Lieu inconnu


Salut copine, sa fait pas mal de temps, non? En faite c'est pas vrai sa fait quelque jours je crois, tu sais pourquoi je t'écris ? Parce que je me demande si tu reçois vraiment mes lettres, tu sais comment je l'envoie? Je lance les bouteilles qui contienne les lettres dans la rivière près de chez moi, on fais comme on peut. Mais du coup je me demandais si tu les recevait ou même les lisait, j'aimerais donc que tu me contact si c'est le cas. Ta plus cher amie te demande signe de vie! Tu vas pas l'abandonner, n'est-ce pas?

Moi je t'adore, mais et toi madame la mort tu tiens vraiment à moi? Et oui, comme tu l'as peut être deviner le sujet de cette lettre sera ma tentative de suicide. Tu à oublié ? Je vais te rafraîchir la mémoire, le 26 septembre après m'être fait frappé une énième fois par mon père et qu'il était parti faire je ne sais quoi dehors, sûrement faire le tour des bar du quartier, je suis allé chercher les somnifères de mon père, car le vieux ne dormais plus après que sa douce se soit en aller. Et devine se que j'ai fait après ? Évidemment, j'ai avalé le flacon entier, j'espérais faire une Overdose qui allais me propulsé directement aux ciel, mais tu m'en a empêché.

Pars je ne sais quel hasard la voisine ma vue avalé les cachets depuis sa fenêtre, elle à immédiatement accourut vers chez moi lorsqu'elle ma aperçu m'evanouir. C'est toi qui à décider qu'au moment où j'ai pris l'initiative de ma perte, la vielle d'en face étais en train de lavé ses petites culottes ?! J'en suis sûr, et pour tout te dire c'est à se moment là que j'ai commencé à croire en toi, car quand je me suis réveillée à l'hôpital j'ai eu comme un declic ; je me disais que j'étais maudite, que le monde n'était qu'un immonde tas de merde dont je ne pourrais jamais m'échapper, mais d'un coup je me suis demandée s'il n'y avait pas quelqu'un dernière mon malheur, et oui, cette personne c'est toi madame la mort!

Au début je me suis dit que si c'était vrai tu n'étais alors qu'une grande connasse, mais après un évènement particulier dons je te parlerai dans la seconde partie de la lettre j'ai vue les choses d'une autre façon, mais la suite de cette lettre parlera d'avant cet événement.
Après être sorti de l'hôpital plusieurs assistante sociale ont voulu discuter avec mon père, il n'a accepté aucune d'entre elles. Mais un jour alors que mon père travaillait, je regarderai la télé en mangeant des chips que la porte sonna, en temps que fille bien élevé je suis partie ouvrir la porte et devine qui c'était, les assistantes sociales bien sûr !
Je leurs est dit que mon père était absent mais devine quoi, c'était moi qu'elles étaient venu voir, elles mon posées plein de questions sur mes conditions de vie et comment mon père me traitais, alors qu'elles connaisait les réponses c'est connes puisque mes multiples blessures était bien visible, c'est d'ailleurs se que je leurs est répondis, sans le "connes" bien sûr.

Quelques jours plus tard elles sont revenus et m'ont dit de prendre mes affaires les plus précieuses, puis je suis aller vivre chez ma tante, je pouvais voir mon père deux weekend par mois et étrangement il ne me frappait plus, il était même gentil, puis un jour on est allé faire une balade en voiture près du lac, la suite tu la sûrement deviner, et ouais, mon con de père à foncée dans le lac, avec moi à l'intérieur. Et là c'était la deuxième fois que tu ma empêchée de partir car la porte de mon côté était mal fermé et que je n'avais pas attaché ma ceinture, du coup sous l'eau la porte c'est ouverte et mon corps est remonté, génial. Tu dois te demander comment j'en suis arrivé à t'adorer, et bien à un moment, quand tu évite une énième fois à la mort tu commences à te poser des questions, je sais que c'est délirant pourtant j'ai conclu qu'on était liées.

Alors oui madame la mort, tu est bien ma meilleure amie, mais je ne peux parler de toi à personne, ils me prennent tous pour une folle, c'est ballot hein? Même ma tante ne me crois pas, c'est à se demander si je peux me confier à quelqu'un d'autre que toi.
Je n'ai plus rien à te dire, on se dit alors au revoir.

Ito, ta grande copine

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