Episode 3

Ce fut rapidement, que le mois de décembre arriva à grande vitesse. Les troisièmes années eurent leur moment intensif de révision. Izuku eût donc été obligé de tirer son ami aux dents pointues jusqu'à une bibliothèque pour réviser leur dernier examen. Eijiro avait longuement protester, mais, c'était sans compter sur les arguments de son cadet. Cela eut bien fait chier le rouquin qui eut lâché prise et suivre gentiment le petit vert. Son cerveau n'eut jamais autant enregistrer d'information que ce jour-ci. Alors, quelque jours avant les vacances de fin d'année, nos Terminales eussent leur fameux examen de fin de trimestre. Izuku, en gentil petit être qu'il était, donna du courage à son meilleur ami qui en avait pleuré d'émotion sous le petit rire glousser du vert.

La fin d'année fût éprouvante pour tout le monde. Eijiro et Izuku durent mettre fin à leur participation au club de judo, après avoir désigné les nouveaux capitaine et vice-capitaine. Tous eurent les larmes aux yeux, surtout le rouquin qui serrait énergiquement la main de tous les membres présents pour leur dire au revoir. Au début janvier, les résultats des demandes universitaire furent arrivé. Inko Midoriya, la charmante et douce mère d'Izuku l'eut appelé dans toute la maison, complètement paniquer en tenant dans ses mains tremblantes la lettre portant le sceau de l'université de Tokyo. Quelque minutes après, le jeune Kirishima se pointa en hurlant qu'il avait sa réponse sans pour autant l'avoir ouvert.

«- Je veux l'ouvrir avec toi. J'me sentirais trop mal si je devais me morfondre de pas avoir été admis. Ça fait pas viril ! » lui avait avoué son ami tremblant de tout son corps.

Ce fut après une inspiration, que les deux jeunes hommes déchirèrent l'enveloppe pour sortir son contenue. Aucun son ne sortît de leur bouche, leurs yeux lisant les quelques lignes de noires tachant le blanc pur de la feuille entre leur main. Inko fut inquiète, personne ne bougeait. Elle eut vu cependant les mains de son fils trembler. Elle s'attendait à tout, jusqu'à voir un sourire maladroit mais parfaitement heureux s'étendre sur le visage de son tout petit.

«- Ei-chan... » commença le petit vert alors que son ami eut le visage caché par ses cheveux lâchés.

«- Izuku... » fit-il relevant soudainement la tête un large sourire sur les lèvres. « Je sais pas si je dois rire ou pleurer. »

«- Hein, pourquoi ? » paniqua le petit en prenant la lettre des mains de son amis et en la lisant. « Mais... Ei-chan, tu... »

«- Ouais... Putain, j'ai été admis, Izu ! » cria Eijiro vraiment content avant de plaquer une main sur sa bouche. « Pardon m'dame, j'ai été vulgaire. »

Inko eut rigolé devant l'enthousiasme de son fils et de son ami qui se prirent dans leur bras dans une étreinte fraternelle. Ce fut sous les rires et le plaisir de savoir qu'ils ne seront pas séparer, qu'Izuku et Eijiro partirent dans la chambre du plus jeune, pour se détendre sur la console de jeu.

▪️▪️▪️

«- Je suis largement surpris, Kat's ? Dans la section science, rien que ça ? Je croyais que tu voulais faire dans le sportif ? »

Un soupir dépité sortit de ses lèvres, alors que son ami relisait pour la énième fois la réponse de l'université. Le doigt dans l'oreille Katsuki n'écoutait qu'à moitié ce que Denki radotait sur le caractère du cendré assit dans le sofa à ses côtés.

«- Tu m'gonfles, pikachu. T'as la preuve sous les yeux, arrête d'me faire chier. » râla le cendré.

«- Comment un gars aussi, égoïste, égocentrique, têtu, violent et j'en passe, a-t-il pu réussir l'examen d'entrée à l'université publique de Tokyo ? Déjà à Yuei, t'arrêtais pas de faire venir la patronne dans le bureau du principal, parce que tu avais cogné un con de ta classe... Comment ils ont fait ? »

«- Putain, mais ferme-la ! Sérieux. »

Le cendré se leva, dans le but de retourner dans sa chambre personnelle de la pension. Chambre qui ne comptait qu'un bureau accompagné d'une lampe et d'un ordinateur portable. Quelques étagères furent accrochées au-dessus du grand lit, où quelque livres d'études sur le corps humain et la comptabilité trônèrent dessus. Quelque vêtements à lui furent en désordre sur le sol, ou son lit. La fenêtre était ouverte, laissant ainsi s'infiltrer dans son repère une petite brise légère et douce. Katsuki se laissa mollement tomber sur son lit, les yeux fixant le plafond sa main droite sur son large torse.

«- Bordel de merde. » lâcha-t-il plaçant son avant-bras sur ses yeux.

Katsuki ne réalisa pas tout de suite, qu'à partir de la rentrée prochaine, en avril, il puisse être ce qu'on nomme un étudiant universitaire. Ses années lycées semblèrent bien loin. Il repensa à tout. Son arrivée à Tokyo au début de sa seconde année de collège. L'accident de ses parents. Le fait qu'une femme yakuza l'eut pris sous son aile. Ouais, il se souvenait de tout concernant sa venue ici, dans la capitale nippone. Des coups à la porte le firent sortir de ses pensées. Son regard carmin se libéra de son bras pour se poser sur la grosse porte en bois.

«- Ouais. »

«- Faut que je vous parle à tous, Katsuki, sors. » fit la petite voix de sa patronne.

Le cendré souffla, mais se leva. Qu'est-ce que cette naine lui voulait au juste ? Ça l'emmerdait qu'on le dérange à un point qu'il eut envie de l'envoyer promener. Les mains dans les poches, il sortit de son antre, et alla dans le coin étude où se trouvait quelque personnes déjà. Katsuki s'assit une nouvelle fois aux côtés de son ami Denki. À la droite du surexcité se trouvait une fille aux cheveux châtains et aux grands regards noisette.

«- Pourquoi ce rassemblement, Yasuo-san ? » questionna une brunette à la queue de cheval et aux manières nobles.

«- Hm ? Ah ouais, c'est plus une réunion qu'un rassemblement. » déclara la femme aux cheveux blond cendré assise derrière le seul bureau qui se trouvait dans la pièce. « On va bientôt avoir deux nouvelles personnes, dans la pension. »

«- C'est cool ! Enfin de nouvelle tête ! » s'extasia Denki en se mettant à secouer Katsuki. « C'est des filles ? Elles sont mignonnes ? Elles sont célibataires ? »

«- Kaminari, si tu ne fermes pas ta grande bouche dans les minutes qui suivent, je t'arrache la langue pour t'la faire bouffer avec des oignons. »

La menace fut claire. Le regard aux iris vert-forêt de la femme sur la personne qu'est Denki se fit dur. Le blondinet plaqua alors ses mains sur sa bouche, sous le ricanement du cendré aux yeux rubis.

«- Bien, comme je le disais, nous allons avoir deux nouveaux dans la pension. Fort heureusement, ils iront aussi dans la même université que vous. Enfin, que la plupart d'entre vous. Ils viennent de loin, et n'ont pas les moyens pour se payer un appartement, même celui le plus délabrer. Vous connaissez Tokyo, les gosses. » fit-elle en haussant les épaules à la fin de sa dernière phrase.

Habillée d'une jupe crayon rouge surmonter par un chemisier à manche retrousser aux coudes noires ainsi que de collant opaque sur ses jambes, la dénommé Yasuo tenait dans ses fines mains deux feuilles de papier. Sûrement les demandes des deux personnes qui allèrent arriver sous peu.

«- Et bien que je ne demande pas votre avis, faudrait néanmoins de deux personnes pour préparer les deux chambres. » dit-elle en levant les yeux vers les jeunes assit devant elle. « Et comme je n'ai pas envie de vous entendre remettre le travail sur les autres, j'ai choisi moi-même. Katsuki, Denki, vous allez préparer les chambres 2 et chambre 6. »

«- Tch. »

«- Arrête de râler l'merdeux, et bouge ton cul. »

«- Ouais, ouais. »

Les deux désignés se levèrent en même temps et partir faire la corvée qu'on leur a assignée. Katsuki n'était pas vraiment ce qu'on puisse appeler d'enfant de chœur. Devoir nettoyer et ranger une pièce sans qu'il ne l'utilise, lui faisait bien chier. Denki lui, posait toujours des questions sur les deux nouveaux arrivant. Comment ils étaient, pourquoi ils venaient, malgré que Yasuo leur eut bien expliqué que les arrivistes vinrent pour des études universités. Katsuki et Denki commencèrent par la chambre la plus proche d'eux ; la Chambre 2. Bien sur, cela ne manqua pas à un cendré qui grognait et marchait d'une démarche menaçante. L'un des deux cons se retrouverait à côté de lui, putain ça le faisait déjà chier.

«- Sérieux, je me demande à quoi ils ressemblent les deux nouveaux. » continua Denki sur ses pensées. « Pas toi, Kat's ? »

«- Nan et j'm'en cogne. Viens pas me faire chier avec tes questions à la con. » grogna Katsuki en commençant à arranger la chambre.

«- T'es pas marrant. » bouda le blond à la mèche noire.

Les deux amis continuèrent le rangement des deux chambres, les aérant, changeant les draps et retirant la poussière. Ils surent que la propriétaire mettra elle-même les noms des personnes sur la porte comme elle l'eut toujours fait depuis l'arrivée des quelques personnes présente dans la pension. Katsuki retourna dans sa chambre. Au sol se trouvait ses haltères à côté d'une petite bibliothèque qu'il réservait uniquement pour ses dossiers d'études. Mais sur l'une des étagères, le cendré remarqua une photo qu'il eut posé dessus depuis le tout début. C'était l'un des souvenirs les plus doux que le jeune homme puisse avoir et chérir. Cette photo datait de la maternelle. On y reconnût les petites blouses bleues avec une petite fleur jaune qu'on épinglait dessus, et ou on y glissait le nom, le prénom et la classe de l'enfant. Sur ce cliché, Katsuki tenait la main de son camarade et en levant le point comme fière de lui. Alors que le deuxième petit, faisait un sourire angélique qui habillait magnifiquement son visage de poupon où de mignonnes petites rougeurs firent ressortir ses tâches de rousseurs. Oui, ce fut un souvenir doux, mais tout aussi, assez amer pour Bakugo Katsuki.

▪️▪️▪️

Izuku se mit à rire face à une énième défaite de la part de son ami. Celui-ci se laissa tomber sur le lit en boudant, les bras croisés, comme un enfant. Le petit vert rangea son jeu de carte qu'il alla poser sur son bureau. À part la lampe de chevet et ses livres bien ranger, seule une vieille photo décorait le meuble. Izuku sourit tristement en regardant le cliché, avant de se laisser tombé sur le bord de son lit dans un soupir. Tous deux patientèrent jusqu'à ce qu'Inko Midoriya les appelle pour leur annoncer le début du repas.

«- Alors Izuku, pas trop peiner de partir ? » lui demanda son beau-père avec un doux sourire.

«- Un peu, Toshinori. Ça me rend triste de devoir vous laissez. »

«- Mais non, mais non. Tu dois savoir voler de tes propres ailes, mon garçon. »

«- Je sais bien, c'est juste le fait que je ne pourrais plus vous voir aussi souvent, maman et toi. » avoua gêner le petit vert.

Sa mère sourit tendrement. Celle-ci fut bien plus petite que son fils, avec la même couleur de cheveux vertes. Mais contrairement à son fils, Inko les eut longs lisses et raides pendant dans son dos avec seulement une demi-couette à l'arrière de la tête, quoi que légèrement plus foncé. Ce fut une petite femme rondouillarde, mais qui ne semblât pas plus que ça, préoccuper de son poids. Elle comprenait son enfant. Inko eut été passé par bien des épreuves depuis ses quelques années. Dont le problème de son ex-mari ayant décidé de quitter la demeure familiale du jour au lendemain, alors qu'Izuku ne fut âgé que de quatre ans, à cette époque-ci. Ce fut malheureusement, l'un des traumatismes qui eût joué, sur la prise de poids de la petite femme. Malgré tout, cela ne l'eut pas empêchée de se remarier. Bien qu'il lui avait bien valu cinq ans pour s'en remettre, laissant son fils dans une détresse et une souffrance sans figure paternelle.

Izuku eut alors l'idée de faire une demande près d'une des connaissances de sa génitrice, afin que sa mère puisse se retrouver seule avec son beau-père. Toshinori Yagi. Un homme grand, maigre avec de beaux yeux bleu azuré et des cheveux aussi blond que le blé. Au tout début, le petit vert ne comprenait pas pourquoi sa mère fut si terrifier voir, gêner de lui présenter un homme. Malgré qu'il fut jeune à cette époque, il eut remarqué que Toshinori était un homme patient, et qui lui procurait une sorte d'aura paternelle. Izuku l'eut tout de suite accepter, sans pour autant le nommé 'Papa'. Un mot qui se bloqua dans la gorge du jeune homme.

«- Je suis contente que tu aies contacté Haku-san pour des chambres, Izuku. » déclara sa mère en sortant son fils de ses pensées. « Kirishima-kun et toi, n'auriez pas eu les moyens pour payer les loyers d'un appartement. »

«- Oui. Je suis content aussi, que tu m'aies proposé de la contacter. Je n'en aurais pas eu l'idée moi-même aussi non. » rigola gêner le petit vert en prenant son bol de riz.

«- Hm, mais une question me taraude les garçons. » lança Toshinori baguette en main. « Avez-vous prévu de partir rapidement, ou bien, allez-vous commencer à emmener des affaires là-bas ? Kirishima-kun a déjà son permis, vous pouvez utiliser ma voiture. »

Izuku et Eijiro se regardèrent un instant, avant que le petit vert ne puisse se mettre à réfléchir. Pas question d'y aller en train. Avec un GPS automobile cela pourrait être plus facile. De plus, en y pensant, les deux garçons n'eussent pas de travail, pour payer la pension et aucun des deux, ne veuillent profiter encore plus de leur famille question argent.

«- Mon père va me laisser sa vieille voiture. » annonça Eijiro en mangeant sa soupe miso. « Cadeau de fin d'année, qu'il m'eut dit. »

«- Tu parles de ce vieux tacos ? » questionna Izuku avec un sourire amusé, en imaginant bien la voiture.

«- Hey ! T'oublies que tu m'as aidé à la retaper du châssis aux roues pendant les vacances, quand on avait du temps libre ! » s'indigna faussement son ami en riant malgré tout. « Mais oui, cette voiture. Pour transporter nos affaires, c'est mieux d'avoir un gros coffre. »

«- Pas faux. »

Les deux adultes sourirent face à ses petits échanges amicaux. Ils furent bien contents que le petit vert ait pu se faire un aussi bon ami. Et maintenant, ses deux inséparables allèrent partir ensemble loin de Kyoto. Une larme perla, sans qu'elle ne puisse l'arrêter, le long de sa joue potelée. D'autre suivirent, alors qu'elle souriait, heureuse. Les trois hommes paniquèrent légèrement en la voyant pleurer mais, elle se mit à rire d'un doux son cristallin qu'elle eut léger à son fils qui la rejoignit comprenant, tout en ayant de petites larmes aux coins des yeux. Mère et fils n'eurent pas besoin de parole. Une grande connexion les reliait après tout.

▪️▪️▪️

Katsuki dût sortir accompagner son ami jusqu'à une épicerie. Enfin, devoir l'accompagner fut un bien grand mot. Denki avait usé de sa force de crevette pour le faire bouger de sa chambre.

«- Arrête d'être ronchons. C'est pas la mer à boire de sortir jusqu'à la supérette.»

«- Tu m'fais chier,l'pikachu. »

«- Roooh, t'es vraiment pas marrant, Kat-su-ki-kun ~ » taquina le jeune homme, en pointant la joue de son ami grognon.

«- Tch. Crève ! »

Sous cette parole douce, le cendré embrassa du poing le visage de son ami qui recula avec un sourire idiot, malgré le petit filet de sang qui s'écoulât de son nez. Katsuki fût exaspéré par son ami et son caractère trop excité et enthousiaste qu'il puisse avoir. Le cendré fut bien le contraire, froid, neutre, légèrement insensible aussi. Mais malgré tout, ça ne l'empêchait pas d'écouter le pikachu qui lui racontait sa vie et tout autre chose.

«- Oh fait, tu veux toujours pas me dire, pour Midoriya ? »

«- Nan. »

«- Sérieux, j'me pose trop de question-là Il sait passer quoi pour que tu te barres ? Il a rompu avec toi ? Il t'a trompé ? C'était un connard ? » questionna Denki.

«- Tu fais chier, Denki ! » s'écrit Katsuki en attrapant le col de son ami. « Le connard de nous deux, c'est moi. »

«- Donc il sait réellement passer quelque chose. » conclu l'électrique en posant une main sur celle de son ami qui le retenait prisonnier. « Kat's, j'te connais d'puis le collège. J't'ai toujours connu renfermé, et là, on parle d'un gars -mignon soit-il- et tu sors de tes gongs. Donc j'peux bien me poser des questions. »

«- Deku... » marmonna le cendré en relâchant sa prise.

«- Hein ? »

«- Deku... Depuis la maternelle, j'ai pris cette habitude de l'appeler ainsi. »

«- C'est méchant ça. Pauvre Midoriya. Donc il a rompu avec toi, pendant votre année de collège ? »

«- Nan. »

«- Putain, t'es chiant Kat's ! » râla le blond en s'asseyant sur un banc. « J'ai trop de scénarios en tête-là mais aucun ne peut être plausible au fait que tu sois plus avec ton... Deku. »

Le cendré savait parfaitement pourquoi, il n'était plus avec 'Deku '. Mais ça, il le cachât bien. Pourquoi devrait-il se justifier ? Juste parce que le pikachu est son meilleur ami ? Qu'il crève, pensa Katsuki en se laissant tomber à côté de la pile électrique, les mains dans les poches, fixant soudainement ses chaussures noires devenue subitement plus intéressante.

Il n'écoutât plus ce que l'autre idiot à côté de lui, pouvait raconter comme scénario de sa rupture avec Midoriya. Ça, le cendré le laissât bien mariner dans son potage. Alors qu'il levait les yeux pour regarder le soleil commençant à décliner, son cellulaire se mit à vibrer dans sa poche. Regardant le nom, ses sourcils se froncèrent un peu plus. Qu'est-ce qu'elle me veut c'te naine, pensa le cendrer en décrochant malgré tout.

«- Quoi ?! » gueula le cendré à la jeune femme. « Vous m'emmerdez, qu'est-ce vous voulez ? »

«- Ah mon petit Katsuki, continue et j'te donnerais aucun congé. Bref, j'aurais besoin d'toi à partir d'la semaine prochaine. » fit la femme au téléphone.

«- Faites-moi pas chier. Démerdez-vous toute seule. Ou demandez à double-face et aux autres. J'suis pas votre larbin. »

«- Nan, c'rait pas drôle aussi non. » ricana la bonne femme à l'autre bous du combiné. « Kaminari est avec toi, au fait ? »

«- Ouais. »

«- Bien, bien. Dis-lui d'se bouger l'cul, pour ma bière s'il n'veut pas que j'lui fasse bouffer son natto par les trous d'nez ! »

Katsuki grimaça. C'te bonne femme est folle, fut ce qui venait dans la tête du blond, qui raccrocha rapidement au nez de la personne. Son ami le regardait curieux.

«- C'tait Haku. J'pense qu'tu devrais grouiller pour aller chercher sa bière. »

«- Ha... J'avais oublié. » fit le jeune homme avec un sourire débile sur le visage.

Après un soupir et une tape derrière la tête de l'excité, Katsuki se leva, et partit avec son ami récupéré ce que leur propriétaire eut demandé à Denki, avant de faire le chemin inverse, et retourner dans la pension, tout en subissant encore les scénarios des plus loufoques. Katsuki sut qu'un jour, il devra se lancer dans le récit. Et c'est précisément ce qui lui faisait bien chier.

A suivre

3338 mots.

Yaaaah ! J'ai encore modifié le chapitre. Logique, je dirais, avec le fait que j'annonce dans le titre de l'histoire que c'est en réécriture... Je me fatigue.

Bref, je jure qu'au début, j'me tâtais à retirer Haku, vu que d'ordinaire c'est la fille que Katsuki et Deku... Mais j'me suis dit que nan, j'allais la laisser. J'aimais trop le caractère que je lui fais.

De plus, HEUREUSEMENT que je fais la réécriture, car dans la vieille version de ce chapitre, j'avais décris Mitsuki Bakugo, HORS dans un autre chapitre, comme une con, j'avais marqué qu'elle était morte dans un accident. Voyez donc le pourquoi, j'avais besoin de cette réécriture... J'veux pleurer, #modePLS

Donc voilà, faut encore que je trouve une idée de commencement pour la nouvelle histoire que je n'ai pas encore commencé. OUI, j'ai un trop plein d'idée, faut que je les sorte. Ça va que je m'emmêle pas, sachant que je sais où vont telles ou telles idées. Enfin BREF, je vous quitte pour une autre modif ou autre truc... Voilà, voilà ~

PLUS ULTRA !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top