Episode 13

Cela faisait déjà deux semaines, que Katsuki eut continué avec Izuku, les appels et les messages Line, loin l'un de l'autre. Deux semaines que le grand blond prenait dans ses grandes mains son petit calendrier qui, en temps normal, devait trôner sur le bureau de sa chambre. Deux semaines que le mois de février vint a commencé et que le regard vermillon du jeune homme fixât trop longtemps.

Et ce jour si spécial qui fut entouré de plusieurs cercles au feutre rouge. Ce jour-ci que le géant eut attendu depuis près d'un mois depuis ses retrouvailles avec le petit buisson doux et souriant.

Deux putains de semaines que le duo adoré et attendu de tout le monde au Prince Café -aussi bien client qu'employé-, fut retourné dans leur village dans le District de Yosa de la Préfecture de Kyoto pour assister à leur remise de diplôme de lycéen qui ne se déroulerait que, dans exactement deux semaines de plus.

Bakugo serra les doigts contre les pages cartonnées de son calendrier. La frustration se peignît sur son visage déjà bien accentué par un froncement de sourcil constant. Ses mâchoires se crispèrent de contrariété de ne pas revoir son être cher près de lui.

Aussi, bien que ses deux semaines eussent passé à la vitesse de l'éclair, Katsuki n'eut manqué aucun appel d'Izuku depuis le premier jour. Du moins, en partie. Le blond se souvint parfaitement du jour, ou par mégarde il n'eut rappelé le petit vert que le lendemain le laissant toute la journée sans message ni appel.

Le jeune Midoriya l'eut spammé sur Line. Et ce ne fut que le lendemain, que Deku commençât à bouder le géant blond. Ce ne fut sans compter sur Kirishima qui avait eu la bonne idée d'envoyer à ce moment-là au Bakugo la photo de son petit ange, les jambes croisées sur le canapé, un coussin prisonnier dans ses bras et les joues gonflées par la bouderie, tout en regardant son téléphone avec un petit air contrarier.

Katsuki eut défini cette magnifique photo en fond d'écran de son cellulaire sur le mode déverrouillage d'accueil.

Après cela, les deux âmes-sœurs ont pu reprendre leur routine qui les rapprochât de plus en plus.

Katsuki eut commencé à ressentir une sorte d'intuition. Cela n'arrangeait pas son froncement de sourcil, quand la voix d'Izuku résonnait à ses oreilles fatiguée et lasse. Plusieurs fois, le géant l'avait questionné pour savoir ce qui se passait. Les réponses restaient toujours la même ; " Tu me manques", "J'ai juste troppoussé dans mes limites", "Juste de la fatigue."

Bakugo ne le crût pas. Ne pas entendre la bonne humeur du petit vert et ne pas voir le sourire angélique qu'il pouvait posséder manquèrent affreusement au géant.

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Durant les deux semaines qui furent passée, Haku ne put ouvrir le café qu'à partir du soir. Tout cela ne semblait pas perturber le moins du monde les habitués du jour de se plier aux horaires de soirée. La petite blonde, toujours accompagnée de Shoto et Momo pour les services du soir, s'occupait du bar aux cuisines fermées. Les hommes et les femmes de la nuit aimaient venir boire leur liqueur au Prince Café.

Certains furent des habitués des deux horaires ; journée comme soir. D'autres des petits nouveaux qui eurent trop abusé de l'alcoolavant de se retrouver la tête collée contre le comptoir du bar, le visage rouge à cause des vapeurs d'alcool emmagasinées dans leur organisme et au fait de ne pas être très habitués de boire à partir d'une certaine heure. Ses personnes-là se retrouvèrent à se plaindre de leur journée, aussi bien travail que domestique.

Depuis ses deux semaines, la quadragénaire eut observé son jeune protéger régler sur le pilote automatique depuis le départ précipité de Midoriya et Kirishima pour Ine. Bien que cela ait bien fait chier Haku, la remise de diplôme pour un lycéen ne se déroulait qu'une fois dans toute une vie. Alors, la petite blonde n'avait pas eu le choix que de leur donner leurs congés.

Plusieurs fois ses jeunes pensionnaires vinrent la voir dans le bureau d'étude alors qu'elle s'occupait de vérifié les recettes du café. Tous ne parlaient que d'une seule et même personne qui les inquiétaient ; Katsuki Bakugo.

Mais que pouvait-elle faire ? Voir son protégé ne pas agir comme d'habitude lui faisait tout aussi mal. Son ordinateur portable ouvert devant ses beaux yeux verts aux halos rouge, son dos fortement collé au dossier du siège de bureau et son coude placé sur l'accoudoir. Son visage sérieux fut coupé par sa main droite placée sur son menton, alors qu'elle réfléchissait.

Ce fut Denki Kaminari, plus qu'inquiet pour son meilleur ami, qui lui donna l'idée. Cette face d'idiot savait quand avoir de la suite dans les idées. Pensa la blonde en affichant un sourire satisfait.

«- Tu veux m'voir, la naine ? » questionna la voix grave et rauque du jeune Bakugo.

La pensionnaire leva les yeux de son écran pour fixer le gamin en face d'elle. Les mains dans les poches, le visage grave comme à son habitude. Ses vêtements décontracté continuèrent un débardeur noir et un bas de jogging noir également. C'était l'anti-couleur favorite du géant blond.

«- Avant d'entrer dans l'vif du sujet, gamin, comment tu t'sens ? »fit Haku de sa voix neutre.

Ses yeux ne purent se délaisser de Katsuki. Celui-ci, haussa simplement les épaules à la question, montrant ainsi à la petite femme, qu'il ne fut vraiment pas dans son état habituel.

«- Je vois. » soupira-t-elle avant de faire signe à Bakugo de s'asseoir sur l'une des chaises en fasse du bureau. « Écoutes-moi bien, Katsuki. Te voir agir par pilote automatique commence à me faire chier. »

La quadragénaire ne mâchait pas ses mots, après tout Haku faisait partie de la famille Bakugo. Et les Bakugo ne tournaient jamais autour du pot.

«- Alors, grâce à l'aide de tout le monde, tu vas faire ton sac de voyage et prendre le train direction Ine. » annonça Yasuo alors que Katsuki ouvrit grand les yeux sous la surprise. « N'm'regarde pas comme ça p'tit con. Tu l'as parfaitement chercher tout seul, à agir comme un pauvre gamin qui a perdu son jouet. Alors tu vas m'faire le plaisir de sauter dans un train, et d'aller voir ton p'tit Midoriya. » continua la blonde en tendant au jeune homme le billet de train en question. « Et tant qu'à faire, va visiter tes parents. Il est enfin temps que tu tournes la page, gamin. »

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Il le sentait encore. Son putain de stress avait été à son apogée dès qu'il eut la stupide idée de s'installer dans le véhicule du géant aux dents de requins et aux cheveux rouge. Bordel de merde. En plus, il eut fallu que ce soit l'autre tête d'ortie avec qui il n'arrivait même pas à s'entendre, qui était venu le récupérer à la gare de Kyoto. Bakugo grogna en se jurant qu'il ferait payer ce sale coup foireux à sa tutrice.

Son regard vermillon fut tourné vers l'extérieur du véhicule alors qu'il était installé côté passager. Le trajet jusqu'à sa destination se fit dans un silence plus que gênant pour les deux jeunes hommes présents dans l'habitacle. Le fait qu'il fut seul avec le meilleur ami de son futur copain ne lui plaisait pas.

Il entendait par la suite, le jeune Kirishima se mettre à tapoter nerveusement sur son volant dans ce silence pesant. Par le petit temps ensoleillé de ce mois de février, le reflet de sa vitre lui miroitât la posture du porc-épic qui fut tendu à son maximum, un peu comme si on lui avait enfoncé une barre dans le derrière. Juste à cette image, le grand blond ricana dans sa barbe.

«-Hum. » fit le requin en se raclant la gorge montrant ainsi qu'il allait entamer la conversation. « Yasuo-san m'a prévenu que j'allais devoir t'emmener chez les Midoriya pour ton séjour. » commença shitty hair en fixant rapidement du coin de l'œil l'autre jeune homme installé à ses côtés. « Bordel de merde, il va vraiment en faire une syncope. » marmonna le rouge.

Ses paroles firent accentuer le froncement de sourcil de Bakugo tout en assimilant la phrase marmonner. Nom de Dieu de merde, Deku n'était même pas au courant qu'il venait ! Et pire, il logeait chez les parents du petit vert. Comment ne pas finir stresser voir anxieux et nerveux tant qu'il y était ?

La main droite de Katsuki se serra en un poing sur son genou accompagnateur, cette jambe même étant secoué par son propre stress. Depuis quand devait-il finir stresser ? Mais cette scène, où il parcourait la moitié du Japon pour retrouver celui qui manquait à son cœur et à son âme, il en avait rêvé et il en rêvait encore. Comment Bakugo pût-il devenir tellement accro à la présence de Deku après ne l'avoir touché en seulement trois jours depuis qu'on l'eut revu ?

«-Hey mec, t'es sûr que ça va ? » questionna Eijiro les sourcils froncés, voyant parfaitement l'attitude du blond à ses côtés. « T'es en manque ? »

Il ricanât légèrement comme un idiot avec son sourire atypique de toutes ses dents pointues, mais il ne fut pas loin de la vérité. La main en poing de Bakugo remonta légèrement pour s'abattre sur son visage et Kirishima arrêta immédiatement son ricanement en fixant le géant blond surpris.

«-Merde, à ce point-là ? » grimaça Kirishima en imaginant affreusement la chose.

«-Putain de Dieu, ouais ! » grogna Bakugo retirant prestement la main de sur son visage.

«-Et ta main droite à plus eut envi de toi ? » taquina malgré toutle géant rouge « Ça doit pas être cool... » continua-t-il alors qu'il eut pensé au fait que le cendré puisse se donner du plaisir rien qu'en pensant à son meilleur ami. Cela lui donna un frisson d'horreur. « En vrai nan, j'n'veux pas l'savoir. »

«-Quoi ? T'fais ta prude m'tenant, Shitty Hair ? » sourit sadiquement Katsuki face à la grimace d'horreur de son chauffeur.

«-C'est surtout, qu't'imaginer d'astiquer le poireau sur mon meilleur ami, c'est pas trop l'image que j'ai envie d'avoir en tête en ce moment. » fit le rouge en secouant la tête pour se retirer l'image d'un Izuku rouge de gêne allongé sur un lit.

«-Arrête de t'plaindre, bordel. T'as réussi à l'avoir pendant 7p'tains d'années. » s'énervât le cendré tapant brusquement contre le tableau de bord en face de lui, tout en tournant la tête vers Kirishima. « J''viens à peine de l'r'trouver, alors viens pas m'faire chier en m'disant d'la merde sur l'fait qu'j'puisse m'branler en pensant à Deku ! »

«- Ha ! Putain de merde ! » s'horrifiât le grand rouge en cherchant désespérément à chasser l'image d'un Izuku diablement innocent, mais putain de sexy et d'adorable de son esprit. « J'vais plus oser l'regarder en face avec tes conneries, pauv'con ! »

«- Rien qu'le fais qu't'aies pu penser à lui d'cette façon, j'devrais t'en coller une, connard ! » gueula Katsuki en lui faisant un doigt.

Les deux jeunes hommes durent se taire, afin que chacun se calme. Kirishima eut toujours vu Midoriya comme un frère. Même si au début, ils se posèrent des questions, mais l'amour fraternel fut celui qui les laissait inséparable.

Le grand rouge sût que pour le géant blond, la donne était autre chose. C'était une attirance physique comme psychique qu'il puisse ressentir envers le petit être aux cheveux vert. Une attirance qui frustrait Bakugo de manière considérable.

Ce fut limite normal pour Kirishima, que Katsuki eut pu penser à Izuku durant les années passées loin de celui qu'il désirait. Le grand rouge passa sa main gauche sur sa nuque, légèrement gêner de la tension qui fut accablé dans sa voiture après cette petite dispute. Il soupira.

«- Écoute mec. Entre Izuku et moi, il n'y aura rien d'autre que d'l'amitié. » commença Eijiro en se grattant le menton. « Pendant notre chemin du retour, il y a deux semaines, lui et moi, avions eut le même genre de discussion. »

«- Putain, quoi ? » vociféra le blond prêt à sauter à la gorge de l'autre homme.

«- Calme-toi et écoute, Bakugo. » soupira le rouge face à l'attitude du grand blond. « Au début, c'était pour t'envoyer un message pour s'excuser de votre dispute de la veille. Puis une foisson action faite, il eut envie de me taquiner par rapport à ton meilleur pote. Izuku sait que je suis bi et parfois légèrement attiré par les mecs. »

Le chauffeur se risqua un coup d'œil vers Bakugo afin de savoir s'il écoutait. Et le regard sévère, voir légèrement glacial qui le fixât, répondit bien à sa question muette.

«- Du coup, il y a une fille et un gars qui m'intéressaient. Il ne sait toujours pas qui ait ma correspondante féminine, mais pour le mec, j'lui avais avoué que c'était lui. »

«- Bordel de - » commença Bakugo en un grognement animal.

«- J'n'ai pas fini, merde ! » le coupa Eijiro avant de décider de se garer sur le bas côté pour mieux discuter. « Il m'a reconduit, si on peut dire. J'suis simplement putain de jaloux qu'il puisse passer du temps avec toi et pensé à toi, alors que tu n'as pas pu faire partie de sa vie pendant sept ans, merde ! Bakugo, tu n'piges pas la chance de merde que tu as d'avoir toute son attention, alors qu'il est complètement paumé dans ses sentiments ! » continua le rouge en pointant soudainement le torse de Katsuki, qui le regardait avec surprise, avec violence. « Tu m'fais royalement chier ! »

▪️▪️▪️

Il eut fallu une semaine -jour pour jour- à Inko Yagi pour planifier comme elle le pût sa petite maison dans l'intension d'accueillir son jeune invité. Son beau regard vert sapin se dirigeait à l'emplacement de la pendule accrochée au-dessus de l'arche d'ouverture de son salon. Dans seulement quelques minutes, Kirishima Eijiro amènera le jeune Katsuki Bakugo jusqu'à son allée. Ses petites mains potelées serrèrent fortement avec nervosité le mouchoir en tissus prisonnier de ses mains.

Comment devait-elle réagir quand le jeune homme de maintenant vingt ans, arrivera dans sa petite maison de campagne ? Comme lui, le jeune Katsuki pourrait réagir à son arrivée dans son ancien village où tout a pu commencer ? Inko fut extrêmement nerveuse de cette future rencontre.

Le grand blond maigrichon ne put détourner ses beaux yeux bleus entourer de cernes, de sa femme. L'homme ne connaissait la famille Bakugo que de nom, n'ayant entendu parler d'eux que par Inko et Izuku, quand chacun fréquentait l'autre. Son travail ne lui permettait pas de trop sortir de chez lui, le faisant travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept.

C'est avec tendresse que l'homme tendit à sa petite femme adorée un verre d'eau pour l'hydrater de tout ce stress qu'elle commençait à accumuler. C'est avec un sourire, qu'elle accepta le geste de son mari. Inko ne put s'empêcher de fixer encore une fois l'horloge au-dessus de son arche, en pensant à son fils.

Sous la demande de la rondelette, le plus jeune fut sortie afin d'effectuer des achats de dernières minutes. Dieu que les deux parents détestaient mentir à leur enfant uniquement pour une simple surprise. La petite verte en avait pleurée quand son fils eut fermé la porte derrière lui avec un grand sourire ne ce doutant de rien, tout content de rendre service.

Le début de la semaine avait commencé sous l'appel de sa vieille amie Haku qu'elle eut accueilli avec une exclamation de grande surprise. La petite blonde lui avait demandé un service en souvenir du bon vieux temps mais concernant Katsuki. Ce fut avec une petite crainte que la cendrée demanda l'asile pour son protégé le temps de son séjour à Ine, son village d'origine.

La réponse fut donnée avec bon cœur. Les deux adultes acceptèrent avec joie d'accueillir l'enfant chez eux. " Je veux faire la surprise à Izuku, Inko. Il ne faut pas qu'il le voit avant un moment. Tu peux occuper ton fils, jusqu'à l'arrivée de Katsuki ? ". Ce fut les mots de la blonde au caractère explosif pour démarrer un soi-disant plan de "Saint-Valentin". Un plan qui intriguant grandement la mère du petit Izuku.

Le klaxon d'une voiture se garant devant sa propriété fit sursauter la petite femme perdue dans ses pensées. Toshinori se moqua gentiment en lui donnant un petit baiser sur la joue pour chercher à la rassurer. Anxieuse, Inko se leva de son canapé, pour se diriger vers la porte d'entrée. La verte sourit au jeune homme aux cheveux rouge marchant jusqu'à la porte qu'elle eut ouverte.

«- Inko-san, bonjour ! » fit Kirishima en souriant de toutes ses dents sa main levée en un grand signe à l'attention de la petite femme.

«- Eijiro, tout va bien ? Tu n'as pas croisé Izuku en chemin, au moins ?» s'inquiéta la petite femme en regardant autour d'eux.

«- Non ma'am. J'suis aller récupérer le colis comme d'mander et j'l'ai livré. »

«- Où-Où est Katsuki-kun ? » demanda nerveusement madame Yagi en serrant encore plus fort le tissus difforme entre ses mains.

«- Dans la voiture. » indiqua Eijiro d'un signe du pouce avant que sa main droite aille sur sa nuque, visiblement gêné. « Il ... est un peu tendu je crois. »

«- O-oh ? Que lui arrive-t-il ? » s'enquit Inko laissant entrer l'ami de son fils.

«- J'crois qu'sait pas réellement préparer mentalement, à revenir dans l'village. » dit simplement le rouge en haussant les épaules en entrant dans la maison et souriant à l'homme présent dans le salon.

Un petit froncement de sourcil inquiétant barra l'expression douce de la petite femme, qui tourna la tête vers la voiture où se retrouvait toujours assit le géant blond penché en avant, les mains sur la tête. Inko ne put qu'imaginer que cela pouvait être extrêmement dur pour le jeune homme de revenir après toutes ses années loin de ses origines. La petite verte eut même l'impression de voir le jeune Bakugo commencer à s'arracher les cheveux tant il devait être nerveux.

Inspirant doucement une main sur le cœur, la mère de famille s'approcha du véhicule pour toquer doucement à la vitre du côté conducteur. Katsuki sursauta à l'intérieur avant de tourner la tête vers elle, ses sourcils froncés creusant encore plus ses plus entre ses yeux. Doucement, Inko ouvrit la porte un doux sourire rassurant sur le visage.

«- Katsuki-kun, bonjour. » salua poliment la petite femme en s'installant derrière le volant. « Je ne sais pas si tu te souviens de moi, mais je suis la maman d'Izuku. J'étais une très grande amie de Mitsuki-san et d'Haku-san. »

«- Ouais, j'me souviens d'vous. » répondit le cendré d'une voix enrouée avant de se racler la gorge. « J'suis désolé qu'la naine vous aie dérangé pour d'la merde. » marmonna le plus jeune des deux, légèrement mal à l'aise.

«- Oh non Katsuki-kun, ne pense pas cela ! Ça me fait extrêmement plaisir de t'avoir parmi nous pendant ton séjour. » fit la petite verte tout sourit. « Izuku n'est pas au courant de ce qui se passe. C'est Haku-san qui m'a demandé de le garder occuper pendant un petit moment, le temps que tu t'installes. Puis Eijiro ira le chercher quand on recevra un appel de mon fils. C'est que je lui ai donné beaucoup de courses à faire. »

Elle se sentit encore plus honteuse du mensonge donner à son fils. Son anxiété d'avoir dû laisser son bébé tout seul lui fit encore plus tordre le mouchoir qui ne ressemblait plus qu'à un gâchis froisser entre ses deux petites mains.

«- Hm, Katsuki-kun, je peux te poser une question ? » commença-t-elle après un petit silence.

«- Je vous écoute. »

«- P-Pourrions-nous t'accompagner -mon mari, Izuku et moi- au cimetière du village pour visiter tes... parents ? » demanda doucement Inko, ne sachant pas si le sujet fut tabou ou non.

Katsuki devait avouer qu'il ne s'attendait pas à cette question. Au contraire, son imagination, l'imaginait supplier la petite femme rondelette devant ses yeux vermillon, dans le but avoir l'autorisation de fréquenté Izuku et avoir plus qu'un rendez-vous de Saint-Valentin. Au lieu de ça, il sentit son cœur se sentit apaisé sous la question innocente de ses parents. Bakugo saisit doucement la petite main de la mère de famille avant de la serrer, comme un fils serrerait la main de sa mère pour se sentir réconforter.

«- J'en s'rais ravis, Midoriya-san. »

A Suivre.

3582 Mots



Aloha!

Aloha tout le monde !

Voici un nouveau chapitre à cette mignonne et niaise histoire KatsuDeku. OUI ! Même l'auteur vous le dit qu'elle est niaise !

Mais je vous rassure, étant la première c'est NORMAL -pour moi en tout cas-. Je radote mes cocos, car j'vous l'avais d'jà dis dans un ancien MDA sur un autre chapitre.

M'ENFIN! J'aime vos votes et vos vues les embryons. Vous êtes adorable, continuez à être comme vous êtes ♥ !

J'ai un détournement de pub, normalement c'est "VENEZ COMME VOUS ÊTES. " De McDonald... Okey je sors.

Passez de bonne vacances les Embryons, même si on ne peut pas trop se permettre de partir avec les avions et autres en ce moment.

Kiss sur la fesse droite.

PLUSULTRA !

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