Le Prince Café fut plein à craquer du matin jusqu'à la fermeture de fin d'après-midi, avant la seconde ouverture du bar du soir tenue par la patronne et les deux plus âgés de la pension. De plus en plus de clients vinssent se relaxer, depuis la venue des deux nouveaux serveurs que furent Eijiro Kirishima et Izuku Midoriya. Mais aujourd'hui, les six employés restant dussent se débrouiller du mieux qu'ils puissent pour le remplacement des deux absents.

Bakugo Katsuki eut décidé de prendre les habitués qui demandèrent souvent le plus petit des garçons comme serveurs et comme compagnons. Quelques hommes d'affaires, comme des lycéennes ou collégiennes qui adoraient la compagnie du petit vert. Si les étudiantes vissent un adorable petit "oméga" qu'on eut envie de câliné, pour les hommes cela fut autre chose. Le cendré eût eu beaucoup de mal à se contenir pour le pas envoyer son poing dans la figure d'un des pervers qui ne fit que fantasmer sur l'adorable fessier de son Deku.

Assit en lotus sur son lit, avec les bras croisés sur son torse, les yeux carmin de Katsuki eussent fixé intensément le cellulaire négligemment posté devant lui. Un long câble blanc eut été relié au petit appareil, dans le but de le recharger. Cela le frustrait. Comment eût-il pu manquer de batterie, avec une téléphone entièrement plein d'énergie ?

Frustré, l'index du jeune homme tapotât contre la peau de son bras. Il fut impatient. Une veine de saturation eût paru dans son cou pendant que son regard ait incendié le pauvre appareil allongé à quelque centimètre de ses jambes. Katsuki eut attendu toute la journée la réponse de Deku. Et connaissant parfaitement son nerd, celui-ci eût eu répondu entre temps. Putain de karma à la con ! Ragea mentalement le cendré.

Il eût dû attendre bien environs cinq putains de minutes pour voir apparaitre une LED bleue clignotante, annonçant l'allumage du cellulaire. Grognant toujours de mécontentement, Bakugo tendît sa main droite vers le petit appareil, tandis que l'autre passa nerveusement dans ses cheveux en pétard. Son stress de la journée lui eût donné envi d'exploser où de cogner dans quelque chose.

Déverrouillant son écran en faisant glisser son doigt, Katsuki ait pu apercevoir la notification de son application Line signalant un nouveau message. Le cœur battant comme un beau diable dans sa cage thoracique, l'explosif lut ce qu'Izuku lui eut envoyé dans le début de mâtiné.

« - Putain de nerd... » ne put-il s'empêcher de dire alors qu'une simple rougeur apparue sur sa joue à la niaiserie de son nerd.

De : Katsuki Bakugo

A : Deku Midoriya

Oi le nerd, pourquoi tu m'dis pas c'genre d'phrase quand j'suis en face de toi ? T'es putain d'frustrant.

Un grognement sorti de sa gorge quand il eut tapé fortement sur son écran avant d'envoyer son premier message. Katsuki fut perdu dans ses pensées, face à la requête que Deku lui eut faite. Revoir Ine ? Cela voulait signifier faire face à son passé. Les bons moments par exemple sa rencontre avec Izuku en maternelle. Ses sentiments, l'euphorie qu'il eut ressenti à chaque fois qu'il le savait près de lui. Le moment où ils purent sortir ensemble en première année de collège...

Mais il eut aussi les mauvais moments du passé, et Katsuki ne fut pas près pour les affrontés ; L'accident de ses parents. L'abandon en quittant Izuku et son départ pour Tokyo. Ses mâchoires se crispèrent en y repensant. Non, il ne fut pas près, pas encore. Sa fierté en prit un coup, alors qu'il se l'avouait mentalement ; Il avait la trouille.

De : Katsuki Bakugo

À : Deku Midoriya

Un jour, l'nerd. Un jour j'viendrais avec toi, sur la tombe d'mes parents...

Et c'quoi c'message en m'demandant ma permission ? P'tain Deku, t'as pas b'soin d'ça pour vouloir m'ap'ler. Tu l'fais et c'est tout.

Un grognement fût lâché dans la gorge du grand homme blond, suite au précédent message du plus petit. Bordel, Deku le rendait dingue pour tout et n'importe quoi. Il eut de la chance d'avoir une belle gueule et que Bakugo soit amoureux de tous son être. Franchement, une question de merde que ce nerd eut posé rendit le grand homme de mauvaise humeur.

« - L'a jamais eu b'soin d'mon accord pour quoi qu'soit avec moi. »

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Sa mère l'eut enserré étroitement contre elle, dans une étreinte prête à l'en étouffer. Cela eut donné un magnifique rire enfantin et cristallin, pur, à ce geste hystérique. Le petit vert encerclât de ses bras la petite femme dodue, positionnant affectueusement sa joue contre le haut de la tête de sa génitrice. La surprise qu'Izuku eut planifié avec son beau-père avait eut le meilleur effet qu'il ne puisse espérer.

Inko Midoriya avait été absente de la maison, en raison de sa corvée de courses à faire, qui lui avait pris la moitié de son après-midi, pour faute de ne pas avoir pu prendre la voiture de Toshinori. Elle ne put aucunement se douter que son cher et tendre mari, ainsi que leur fils, puisse être de mèche dans le but de planifier le retour du plus petit.

Ce fut le cri perçant d'une mère revoyant son bébé absent depuis seulement un mois dû à son déménagement, qui perça les murs du salon. Ses petites jambes eussent couru vers le jeune homme possédant les cheveux verts hérités et bouclés. Des larmes de joies eurent perlé le coin des jolis yeux verts sapins d'Inko, qui eut pris le temps part la suite, d'embrasser le visage de sa chaire de plusieurs baiser papillon. Passant par le front, les paupières, les joues et ses petites lèvres roses.

« - Maman, maman. » rit le petit vert alors qu'il eût éloigné sa mère doucement de son étreinte baveuse. « Je vais avoir le visage tout gluant de ta bave après. »

« - Et alors ? Tu es mon fils que je sache. J'ai tous les droits sur toi. » s'exclama outré la petite femme avant de croiser les bras avec un air boudeur sur son joli visage rond.

Izuku eut ri devant la bouderie enfantine de la première femme de sa vie. Sans se débarrasser de son doux sourire, le petit vert vint s'installer avec elle et son beau-père Toshinori sur le canapé. Le jeune Midoriya fit un signe à son ami qui voulu profiter de cette réunion de famille, afin d'aller voir la sienne qu'il eut attendu de voir en toute surprise.

Seul avec ses parents, Deku profita de ce moment pour se mettre à raconter son arrivée à Tokyo, sa rencontre avec ses nouveaux collègues et colocataire dans la pension d'Haku et sa drôle de rencontre avec la petite femme vêtue d'une robe de lolita à froufrou. Inko eut lâché un grand et doux rire, en imaginant parfaitement sa vieille amie dans ce genre de cosplay.

Dans sa lancer d'histoire, Izuku profitât de son récit, afin de signaler à ses deux parents ses retrouvailles avec Bakugo Katsuki. Le petit vert remarqua bien vite que ce nom ébranla les deux parents. Ceux-ci se mirent immédiatement à poser quelques questions sur ce qu'eut pu devenir le jeune homme.

Ce fût avec son doux sourire sur les lèvres et à ses pensées dérivant vers le blond nommé, qu'Izuku raconta mot pour mot tout ce qu'il eût passé depuis ses retrouvailles. Tout passa, le moment dans la chambre surtout ce que lui eut avoué Katsuki, lors de leur corvée de vaisselle et la déclaration de Bakugo sur son envie de faire sien le jeune Midoriya, qui eut rougi en repensant au souffle du géant blond sur ses lèvres.

« - Tu as dû être extrêmement heureux de le revoir, Izuku. » sourit doucement Inko, sa main se posant sur celle de son fils.

« - Je- Je nesavais pas vraiment comment agir et me comporter avec lui, maman. » avoua Izuku, en jouant avec la manche de son sweat à capuche.

La femme Midoriya eût froncé les sourcils, sous l'aveu de son fils unique. La rondelette verte se souvînt particulièrement de son petit suivant toujours le petit blond où qu'il aille, quand ils furent seulement âgés de cinq ans. Ce petit garçon aux cheveux en épis qui eut provoqué plusieurs batailles pour cause de jalousie possessive sur chaques camarades de classes s'intéressant un peu trop à Izuku.

Elle eût soudainement pensé à la période où son fils fut blessé par le jeune Bakugo sans que ce dernier ne puisse le savoir, après être parti sans un mot.

« - Mais, Izuku, n'étais-tu pas amoureux de Katsuki-kun quand vous étiez au collège ? »

Izuku eût fait une petite moue en faisant ressortir sa lèvre inférieure. Ce fut un signe montrant clairement qu'il n'en savait pratiquement rien lui-même. Toutes ses années aux côtés de Katsuki, il eut pensé à lui comme à un meilleur ami. Même quand le blond lui eut fait sa déclaration, Izuku en naïf qu'il eut été, avait répondu avec un grand sourire que lui aussi, aimait Bakugo.

Ce fut les quelques gestes doux et les baisés qui auraient dû mettre la puce à l'oreille du petit vert. Mais quand les gestes devinssent plus sensuelles comme les caresses qu'il eut reçues, tout raisonnementeut quitté son cerveau. Même Kirishima fut choqué des questions que le petit vert lui eut posé à cette époque, quand ils furent amis. Le front du rouge eut même rencontrer le mur sous le choc, laissant son front saigné pour évacuer l'innocence et la naïveté de son meilleur ami.

Mais, pour la petite verte cette grimace l'alerta, et la fit froncer les sourcils. Ses lèvres furent pincées entre elles, sous le mécontentement. Inko ne comprit pas. Bien que son enfant fut communément appeler un petit ange, parfois, son caractère innocent et naïf énervait la petite femme. Le jeune Bakugo eut toujours été si doux avec son fils, quand il eut vécu à Ine dans le passé avec ses deux parents. La femme Midoriya fut d'ailleurs extrêmement triste de n'avoir appris que bien plus tard, le décès de ses deux amis, pour cause de commérage dans l'épicerie du village. La verte en voulu légèrement à son amie Haku de ne pas l'avoir prévenue à ce moment-là, mais, la jeune femme eut beaucoup à gérer, et Inko ne la blâmerait pas aussi puissamment que certaines vipères du village.

Le raclement de gorge du plus vieil homme de la maison, retenti légèrement derrière Inko.

« - Izuku, mon garçon. » commença en douceur Toshinori avant de capter le regard des deux verts de sa famille cher à son cœur. « Qu'as-tu réellement ressenti, une fois que tu as revu le jeune Bakugo ? Une fois que tu as réalisé uniformément que tu allais vivre avec lui, pendant quelque années. »

Cette question prit grandement au dépourvu le jeune homme. Mais, cela ne l'empêcha pas de se mettre à réfléchir sérieusement à ce raisonnement. Qu'eut-il vraiment ressentit en ayant revu Bakugo dans le café ce premier jour ; une frustration, pourquoi était-il devenu aussi...bandant que quand ils fussent au collège ? À cette pensée, Izuku rougit.

Vint ensuite, le moment ou le grand blond lui eut agrippé le bras, dans le but de s'installer avec lui dans la voiture d'Eijiro ; une possessivité, dans ses souvenirs, Deku ne se souvint pas d'une telle jalousie émanant du géant Bakugo à son égard. Mais, Midoriya fût l'un de ses jeunes hommes têtes en l'air ne remarquant pas ce qui puisse se passer autour de lui, le concernant.

Et ce moment, dans la chambre de Katsuki, ce moment où ils eussent parlé à cœur ouvert. Où il eut su que Katsuki n'avait pas eu une adolescence des plus glorieuses. Que son parcours fut rempli d'obstacle et qu'il lui ait répliqué les yeux dans les yeux avec le jeune Midoriya, que Bakugo Katsuki voulu le reprendre dans sa vie, le chéri comme il eut toujours fait depuis leur plus tendre enfance ; de la tendresse. Izuku se sentit tremblé, ses yeux fortement clos.

« - Je... » fit Deku en mâchouillant sa lèvre inférieure, ses larmes commençant à passer la barrière de ses paupières. « Je me sens si confus ... ne pas être près de lui en ce moment, être si loin après l'avoir retrouvé. Ses taquineries quand je-je sens son souffle sur ma peau qui me fait si souvent frissonner. Je-Je suis si... »

La détresse de leur fils, ainsi que les larmes qui roulèrent abondamment sur ses jolies joues de rousseurs, firent vibrer le cœur de Toshinori et Inko. Tout deux prirent le jeune homme dans leur bras, dans une étreinte d'amour et de tendresse, afin de calmer leur enfant de sa tristesse actuelle.

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Ce câlin familial eut fait du bien au jeune homme aux cheveux vert. Un magnifique sourire habillât ses douces lèvres de petites larmes aux coins de ses beaux yeux. L'amour parental qu'il eut reçu l'inondait de chaleur qui eut presque failli l'endormir, la tête sur les genoux de son beau-père. Mais, les vibrations de son cellulaire dans la poche de son jean skinny, le fit sursauter.

Izuku s'eut déplacé dans sa nouvelle chambre, laissant ainsi ses parents préparer le petit programme de la soirée, dû au retour du petit vert. Deku eut un doux sourire en voyant les nombreux messages Line qui inondait son mur de notification. Son pauvre petit cœur eut fait beaucoup de cabrioles en voyant le destinataire de tous ses spams. Katsuki Bakugo n'eut pas arrêté d'écrire des messages d'inquiétude, dû au fait que le jeune Midoriya n'eut pas répondu très rapidement depuis le dernier message.

De : Katsuki Bakugo

A : Izuku Midoriya

Deku, j't'ai dit qu'tu pouvais m'ap'ler quand tu l'voulais. Pas besoin d'ma permission. Pourquoi tu n'réponds pas à mes messages ?

De : Katsuki Bakugo

A : Izuku Midoriya

P'tain, n'commence pas à jouer avec moi à c'jeu-là ! M'ignore pas, sale nerd !

De : Katsuki Bakugo

A : Izuku Midoriya

Bordel de merde, Deku, enfoiré !

Izuku sut qu'après ce dernier message, le géant blond commençait à perdre patience, dû au manque de réaction de la part du petit vert. Celui-ci déverrouilla rapidement son téléphone, atterrissant tout de suite dans l'interface de discussions entre Katsuki et lui. Le jeune Midoriya commença à peine à rédiger sa réponse grouper, parce qu'il eut l'envie de parler à Katsuki depuis toute la journée, mais Izuku eut peur de déranger le cendré.

Il eut appuyé rapidement sur les touches de son écran tactile, oubliant par la même occasion, que l'action "vu" eut dû être envoyé au grand blond colérique. Izuku commença à répondre le cœur battant et un grand sourire niais sur son doux visage de rousseur, avant de sursauter au son de l'appel entrant qui vint de s'afficher d'un coup sur son écran ; " Katsuki Bakugo ".

« - K-Kacchan ! » s'exclama le vert les joues rougies et le cœur battant.

« - Deku. »

Cette voix neutre qu'eut le grand homme de l'autre côté de l'appareil, fit frissonner le plus petit. Midoriya retînt à peine un petit couinement coupable, s'en voulant d'avoir rendu ainsi Bakugo.

« - K-Kacchan, je suis désolé, j-je... »

« - Putain d'Deku. » commença le cendré d'une manière si douce qu'un frisson d'appréhension parcouru l'échine du jeune Midoriya. « Tu m'fais m'inquiéter pour toi, tu m'lâche des vus sur les messages qu'j't'envoie. Et les premiers mots qu'j'entends après ses putains d'heures à patienter, fussent "j'suis désolé" ? » se mit à grogner l'interlocuteur à bout. « Qu'est-ce t'a foutu bordel !? » hurla l'explosif à l'autre bout du cellulaire.

« - K-Kacchan, calme-toi. » chouina Deku en ayant rentré la tête dans ses épaules. « Je t'assure que j'allais répondre à tes messages. Mais, au même moment, tu m'as appelé. » justifia le plus jeune tentant de calmer son homologue. Il ne voulait pas que le géant raccroche en étant énervé et ne lui fasse la tête.

Un soupir mécontent suivit d'un grognement ressemblant comme à un murmure, vint à son oreille du jeune vert, et le fit trembler. La voix de Bakugo lui fit beaucoup plus d'effet qu'il n'aurait pu le penser. Elle était tellement sexy, rauque, grave, une caresse pour les oreilles du plus jeune. Il eut l'impression que son cœur voulu lâcher à tout moment à toutes ses sensations inconnues pour lui. Izuku eut peur.

« - Comment tu t'sens ? » questionna le blond, légèrement calmer, malgré sa voix bourrue.

« - Je- Kacchan, est-ce que je te manque ? » enrichit le vert, d'une petite voix, pas certain que cette question puisse être la bienvenue après la petite colère du colosse aux cheveux sable. Ses fins doigts se mirent à se serrer en un poing, sur sa cuisse.

« - Que- Oï, Deku! Connard, c'quoi c'te question ! » s'énerva subitement Bakugo, ignorant que sa réaction fit sursauter le plus jeune et fit piquer les yeux de Deku qui commencèrent à se remplir de larmes. « Bien sûr qu'tu manques, putain d'nerd. J't'ai pas r'trouver pour t'perdre une nouvelle fois. »

La surprise, fit cligner des yeux le petit Deku. Son doux visage fut peint d'une magnifique couleur rouge, suite aux paroles du blond à l'autre bous du fil. Son cœur se gonflait, ses yeux piquèrent mais, il fut heureux d'entendre cela. Izuku voulait le voir, le toucher. Pourquoi était-il parti déjà ?

« - Tu me manques aussi, Kacchan. » rougit Midoriya, en gigotant sur son lit. « J'aurais tellement aimé que tu sois ici avec moi ... » avoua le petit vert, en ayant un petit soupir triste. « Oh j'y pense, est-ce que je peux t'envoyer une photo de maman et moi ? Il y a aussi mon beau-père dessus. » demanda d'un coup le petit vert, sans arrière pensé malsaine.

« - Ton beau-père? Ta mère s'est remarié ? » fit surpris Katsuki, se souvenant qu'effectivement, à l'époque, Inko eut fréquenté un homme, sans que le cendré n'ait pu faire connaissance avec l'homme. Il prit encompte, que cela fit bien longtemps qu'il n'eut pas eu les réels détails de la vie et de la famille de son Deku.

« - Oui. Cela fait à peu près, euh- 5 ans, qu'elle sait marier à mon beau-père. » sourit le petit vert en se souvenant de la cérémonie dans le village qui eut durée jusqu'à tard dans la nuit. « Je demanderais à maman quelques albums photos pour tous te raconter. »

Son enthousiasme fit faire un rictus au blond, malgré que le petit vert ne puisse pas le voir. Izuku était une petite boule d'énergie et de phéromone positif. Bakugo comprit un peu le concept que les habituées de Deku puissent utiliser concernant le côté 'oméga' du plus petit. Midoriya fut d'une douceur sans fin, incapable de faire mal à qui que ce soit, ayant toujours besoin d'un 'alpha' près de lui, pour le protégé où assurer ses arrières. Katsuki se promit de tout faire pour être cet homme dont le plus jeune pourrait dépendre quand il le souhaiterait.

Les deux jeunes hommes continuèrent à parler longtemps au téléphone. Bien que cela fût plus Izuku qui animait la conversation, tout en débattant sur ce qu'il eut envie de faire pendant son mois avec ses parents. Bakugo se sentit légèrement mal, la mention des parents du petit vert, lui donna l'impression qu'il fut seul maintenant. Hors, il sut que cela fut tout le contraire. De plus, Midoriya n'eut aucune arrière pensé, quand il parla de ses parents avec enthousiasme.

Voulant clôturer l'appel sans brusquerie, Bakugo lâcha une petite bombe aux oreilles du plus jeune. Izuku eut rougi en entendant tous les mots qui le fit frisonner ; "J'ai envie d't'embrasser", "bientôt tu n'seras qu'à moi", "p'tain d'Deku, tu n'peux pas s'voir combien tu m'manques, sale nerd." et la dernière "Reviens moi vite".

Le petit vert eut dû mal à calmer les battements de son cœur. Sa main libre vint se poser sur sa poitrine, tout en agrippant son sweat. Son visage n'eut pas arrêté d'avoir de belles nuances de rouge. Pour calmer Izuku, il y eut plusieurs minutes de passer, avant qu'Inko n'appelle son fils. Ses deux parents eussent l'idée de sortir en famille dans le petit restaurant local de leur village, avant d'aller se promener sur le port de pêche. Le jeune fut heureux de ce programme, et enfila ses chaussures rouges tout en rangeant son téléphone dans la poche arrière de son jean. Il vint ensuite à s'accrocher aux bras de ses parents, un grand sourire aux lèvres.

A Suivre

3585 mots

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Aloha ! 

Un nouvel épisode achevé. Bon, je vous avoue que maintenant, je vais prendre mon temps pour bien pondre les suites. Dites-vous, je ne sais toujours pas comment je finirais cette histoire. 

 Je parle d'un concept Omega et Alpha dans ce chapitre. Tout le monde c'est ce qu'est le monde de l'Omegaverse. Bref, c'est surtout pour signaler par la même occasion, que les réécritures de Angel Kiss, comme Only You, se feront dans ce monde-ci, celui Omegaverse. 

 Tout simplement parce que j'adore savoir qu'Izuku est un mignon petit Omega et que Katsuki est un putain d'Alpha badass qui veut le revendiquer. 

 Et aussi parce que je ferais souvent de l'omégaverse dans mes prochaines histoires. Rare surement, seront les histoires normaluss ! 

 Brief, merci de m'avoir lu ~