Episode 10

Les lumières de la ville défilèrent derrière la vitre de la voiture roulant sur l'autoroute. La radio fut allumée afin de donner un semblant de parole dans l'habitacle. Installer sur la place à gauche de son ami, côté passager, Izuku tentait de garder les yeux ouverts. Eijiro conduisait prudemment, bien réveillé malgré tout, tout en faisant attention aux autres automobilistes autour de lui. De nuit, toute circulation fut dangereuse. Contrairement à la journée, où chaques rues ou routes furent illuminés par la lueur de l'astre solaire.

Les deux amis eurent pris la route tôt le matin, pour retourner dans leur ancien village, dans le but d'assister à leur remise de diplôme. Izuku eut oublié d'en discuter avec son meilleur ami après l'annonce que l'eut donné son beau-père sur l'événement de fin d'année lycéenne.

Cela eut pour conséquence, que la veille du départ entre Yasuo, Kirishima et Bakugo, la pension la discussion devint une vraie bagarre.

Premièrement, le fait de prendre de longs congé, qui ne plurent pas vraiment à la patronne au caractère explosif.

Deuxièmement, la fête la plus attendue de l'année par les amoureux et romantiques, arriva à grand pas, et que de ce fait, deux des serveurs les plus attendu -après le prince à la double coloration et le badboy aux cheveux cendré- furent absent de l'équation, pour le grand déplaisir des dames aimant particulièrement faire du charme au grand rouge et des messieurs, qui aimèrent par-dessus tous, la tendresse timide du petit vert.

Troisièmement, le blond au caractère explosif eut eu une discussion très violente avec le petit vert à cause de ce soudain départ. Ses soudains plans de conquête du nerd tombant légèrement à l'eau, le mit grandement en rogne qu'il n'eut pas réussi à se contrôler.

Et comment dire qu'une fois la tempête entre les deux eut été passé, le plus petit eut beaucoup plus de mal à faire tomber la colère de Bakugo, qu'il puisse le penser. La rentrée dans leur nouvel environnement d'étude que fut l'Universite de Tokyo, fut à la même date que n'importe quels autres établissements scolaires, soit le 1er avril. Izuku et Eijiro durent prendre une absence de près de deux mois pour leur travail, bien que tous-ceci ne les enchantassent pas. Pour le cendre, ne pas avoir le petit vert sous les yeux en permanence, lui fit penser aux sept années loin l'un de l'autre. Cette situation ne fit qu'à croire les grognements du géant.

Pour le jeune Midoriya, la situation dans laquelle il fut plongée, lui eut donné un goût étrange dans la gorge. Comme une sorte d'abandon qu'il l'engageait envers ses collègues et amis, en plus d'un autre sentiment, difficile a digéré comme une sorte de trahison envers sa logeuse et patronne qui dut en attendre beaucoup du jeune Kirishima et du buisson, pour la semaine qui approchait à grand pas.

Mais ce qui put faire le plus mal pour Deku, a ce moment-là, eut été cette sensation étrange qui lui nouait l'estomac, quand il dut annonce à Katsuki sa longue absence ; son cœur lui fit mal, affreusement mal. Comme un étau se serrant au maximum dans sa cage thoracique. Une pensée sur la sensation de vide, qui se fit pour les prochains jours.

L'image d'une station d'aire d'autoroute sortit Izuku de ses pensées déprimante. Malgré le sentiment de vide qu'il pu ressentir, le jeune homme put penser à quelque chose de beaucoup plus adorable et heureux ; revoir sa mère et son beau-père adoré. Son père adoptif eut planifié avec le rouge et le vert, de belle retrouvaille secrète entre la mère et le fils. Cela fut le même plan pour Eijiro, envers ses propres parents, qui ne furent aucunement au courant du retour provisoire de leur fils unique.

Mais, malgré toutes les cinématiques qui purent passer dans l'esprit du petit Midoriya, cette vision des yeux rouge rubis qui le fixèrent avec inquiétude, malgré le visage neutre et les mâchoires crispées du prédateur, ne quitta pas les pensés d'Izuku. Cela dû se sentir, voir s'entendre à cause du soupir qu'il eut poussé, car son ami se mit subitement à rompre le silence installer depuis le départ dans le véhicule.

«- Qu'est-ce qui t'arrive ? » demanda son ami qui risqua un regard vers son ami aux cheveux vert, qui caressait doucement sa main meurtrie de son pouce gauche. « T'arrêtes pas de soupirer depuis qu'on a décollé. À quoi tu penses pour que ça te rende aussi triste ? »

«- N-Non, a-a rien. » tenta-t-il de répondre Izuku en se mettant à jouer nerveusement avec ses doigts.

«- A d'autre Izu, j'connais chacun de tes mimiques. » fit le rouge en reportant son attention sur la route, dans le but de s'engageant dans la sortie qu'il convoitait. « Alors ? C'est parce que tu penses à Bakugo et a votre dispute ? »

«- O-Oui... » avoua le petit dans un souffle triste, qui le fit entrelacer ses doigts. « Ce-C'est aussi le fait qu'on soit obligé de laisser nos amis gérer le plus gros, alors que nous, nous devions partir pour retourner à Ine. Et puis... » le jeune Midoriya laissa entr'apercevoir de jolies petites couleurs roses sur ses pommettes enfantines. « K-Kacchan va me manquer... »

«- Izu, t'en fais pas pour nos amis. Je suis sûr qu'ils vont gérer pendant la semaine prochaine. Ce qui est regrettable, ce serait surtout que tu ne pourras pas faire la Saint-Valentin avec Bakugo. »

«- M-Mais non ! » rougit un peu plus le buisson en cachant son visage de ses mains. « C'est vrai que, je voulais passer la journée avec Kacchan... Mais ça se fera une... p-prochaine fois... »

«- Hm. Sinon, tu as essayé de lui envoyer un message, depuis qu'on a décollé ? » questionna subitement Eijiro, se souvenant qu'il eut vu le blond arracher le téléphone de Deku à son propriétaire pour y entrer de force son numéro de téléphone. « Bon okey, il ne le lira surement pas avant quelques heures, mais qui ne tente rien, n'arien. »

Nerveux, le plus petit inspira doucement, avant de se tortiller dans le but de sortir son cellulaire de la poche avant de son jean bleu foncé. L'objet enfin dans ses mains, Deku le déverrouilla avant de se diriger vers son application de messagerie instantané Line. Ce fut les doigts fébriles, qu'il vint poster son pouce sur l'icône d'un nouveau message et de se mettre à chercher dans son répertoire le nom de "Kacchan". Que put-il craindre de commencer une discussion avec le grand blond ?

«- J-Je lui dis quoi ? » commença soudainement à paniquer le petit vert en regardant son ami puis son téléphone, ses mains se mettant à trembler. Ceci fit rire le grand rouge, quand il vit dans que létat se mit son ami. « C-Ce, c'est pas drôle Ei-chan.... »

«- Désolé, désolé. » souffla Eijiro en reprenant son souffle. « Un petit "bonjour" pour commencer je pense, puis tu lui mets ce que tu veux. »

«- Oui tu as raison. J-je vais faire ça. »

Pour Eijiro, l'action de son meilleur ami fut quelque peu comique. Malgré son regard fixe sur la route, le conducteur eût entendu les petits grognements du petit Midoriya et ses doigts taper incertain sur son écran tactile. Surement ne savait-il pas trop quoi dire ? Mais, Kirishima sut parfaitement que son ami se prenait la tête pour rien. Si encore, le petit vert fut comme tout le monde avec seulement un "Salut, ça va ?" lancer de manière imperturbable et bien, tout cela ne serait pas Izuku.

Cependant, la personnalité timide, douce et mignonne d'Izuku, eut souvent déstabilisé les autres autours d'eux. Il fut vrai que, si on ne connaissait pas réellement le jeune Midoriya le caractère "timide" du plus jeune, leur sautèrent aux yeux. Très souvent, pendant les championnats, Eijiro eut souvent remarquer que les adversaires de Deku ne le prissent pas au sérieux. « Hey gamin, c'est pas une garderie ici. S'tu sais pas te battre, monte pas sur le ring. »

Ce genre de phrase fut souvent dites à l'attention d'Izuku, mais très souvent, il eut démontré que malgré son frêle corps de gringalets pas aussi musclé que ceux des autres membres du club de Karaté ou de Judo, il fut très fort. Plus Kirishima y pensait, plus il se disait que c'eut été le petit buisson qui les eût conduit à chaque victoire.

«- C'est bon, j-je lui ai envoyé le message. » sourit le plus petit en lâchant un petit soupire content de lui.

«- Alors, tu lui as envoyé quoi, du coup ? » questionna curieusement Eijiro en ralentissant pour cause de léger bouchon.

«- Oh hm... D-Des banalités. » rougit doucement Midoriya en détournant le regard.

«- Banalités, hein ? » ricana le grand rouge alors que le petit vert cacha son visage dans ses mains.

«- Et-Et toi ? Comment tu vas t'y prendre avec... Kaminari-san ? »

«- Hein ? M'y prendre pour quoi, Izu ? »

«- O-Oh, je pensais que vous... » rougit-il de plus belle alors que son ami fronça les sourcils.

«- Nan, on s'entend bien c'est tout. » rétorqua Kirishima en fixant d'abord le GPS avant de lancer un regard à son ami. « Izu, j'ai p't-être tendance à préférer la compagnie des hommes, mais oubli pas que je suis Bi avant tout. Et j'dois t'avouer, que Kaminari bien que mignon, ne m'intéresse pas. »

«- Oh ? Mais il y a quelqu'un dans la pension qui t'attire ? » demanda innocemment le plus petit. « J-Je peux savoir ? » continua-t-il timidement.

«- Hm... Y en a deux, mêmes. » avoua doucement Eijiro en tapotant sur son volant. « Toi et ... une fille. »

«- M-Moi ? Mais... » commença Izuku en se souvenant de leur conversation vers la fin de leur troisième année de collège.

«- Je sais. Au début, je disais que ce n'était pas possible. Malheureusement, depuis que tu as retrouvé Bakugo, j'me sens jaloux, je sais pas pourquoi. »

«- Oh... » souffla soulager Midoriya avant de lui sourire doucement. « Ei-chan, tu es, et tu resteras toujours mon meilleur ami. Celui qui m'a épaulé dans les moments les plus difficiles et les plus douloureux. » fit-il en posant une main rassurante sur l'avant-bras du rouge. « Mais je pense surtout que ta jalousie, n'est pas dû à une attirance quelconque pour moi. On a toujours été ensemble, tu as simplement peur que je puisse te remplacer. Et en l'occurrence, tu es simplement jaloux de Kacchan. »

«- Hm... J'pense que tu as raison. Contrairement à Bakugo, quand tu me touches, je ne ressens aucun frisson. »

«- H-Hein ? » bégaya le vert le visage rouge. « K-Kacchan frissonne quand j-je le touches ? »

«- Et pas qu'un peu ! Il se retient de pas te dévorer même ! C'est une bête ce mec, j'l'avais pas remarqué à l'époque. »

«- O-Oh mon Dieu, Ei-chan ! » s'écria le plus jeune cachant son visage dans ses mains avant de se pencher en avant le front sur ses genoux, sous l'éclat de rire de son ami.

▪️▪️▪️

Il ne fut pas loin de huit heures du matin, quand Katsuki émergea de son sommeil. Assit sur son lit, la main dans ses cheveux en pétard, ses yeux aux sourcils éternellement froncés encore fermés, le cendré eut du mal à émerger de sa nuit. Il eut un mal monstre à réussir à trouver le sommeil, ayant en tête sa dispute avec le petit vert qui l'eut mis de mauvaise humeur tout le restant de la soirée de la veille.

Quel jour fut-il ? pensa-t-il alors qu'il frottait ses mains contre sonvisage, cherchant à retirer par la même occasion sa fatigue. Qui pût faire autant de boucan dans cette grande résidence au point de le faire grogner de mécontentement ? On ne pouvait plus se réveiller en douceur dans cette propriété. Bakugo en soupira d'exaspération.

Machinalement, sa main gauche quitta son visage, pour se mettre à tâter tout près de son oreiller, dans l'ultime but d'attraper son téléphone. L'objet dans la main, le cendré déverrouilla son cellulaire. La luminosité de celui-ci l'aveugla légèrement ce qui lui fit pousser un juron agressif. 

Ouvrit un œil avec précaution, Katsuki vit qu'il eut une notification d'un nouveau message Line. Ses sourcils déjà bien accentués, se froncèrent d'autant plus, alors que son grognement de personnification se fit entendre doucement dans sa chambre. Qui était le con qui lui envoyait des messages ? L'heure indiquait six heures et demie du matin. Bordel les gens n'eussent que ça à foutre ? De plus, le numéro lui était inconnu.

De: Inconnu

A: Katsuki Bakugo

Bonjour Kacchan.

Je, j'eus envi de t'envoyer un message pour que tu n'aies pas à t'inquiéter pour la route que nous ayons fait avec Ei-chan. Je ne voulais pas te réveille pas. J'espère juste que tu verras mon message quand tu te réveilleras. J-Je voulais te dire aussi, que, à peine ayons-nous démarrer avec Ei-chan, que je me suis sentie triste de m'éloigner de toi. E-Et que tu me manqueras pendant mon absence.

Pardon Kacchan, de ne pas avoir pu t'en parler plus tôt...

Le blond eût failli envoyer une sorte de message bien agressif à ce destinataire inconnu, dans un genre de « T'es qui enfoiré ? », afin de bien montrer qu'on le dérangeait et qu'il en eut rien à faire de ce message bizarre. Seulement, son cœur eut fait un bon dans sa poitrine, quand il eut reconnu le surnom de « Kacchan » qui fut énoncé au début de la conversation. 

Une seule personne eut l'autorisation de le nommé ainsi, sans se prendre un coup bien violent. Deku. Inspirant doucement pour se calmer, le Bakugo répondit naturellement à ce message qui ressemblait à si m'éprendre à une petite déclaration d'amour. Pas que cela le dérangeait, mais il eut envie que le petit Midoriya lui dise tous ceci en face à face.

De: Bakugo Katsuki

A: Deku Midoriya


'Lut Nerd.

T'es arrivé à Ine ?

Son souffle se bloqua dans sa gorge. Étrange. Il eut l'impression de vide. Encore. Le même qu'à cette époque-ci, quand il dût partir loin de lui. Mais cette fois, ce fut le contraire ; Izuku partait loin de lui. Non, il ne devrait pas penser comme ça. Ce n'était que pour quelques semaines. Loin de ses bras. De sa bouille d'enfant qui rougissait quand Bakugo s'approchait trop de lui ou le frôlait. Bordel de merde, quand eut-il pu tomber aussi accro à Deku ?

Se leva de son lit en baillant Katsuki rangea son cellulaire dans la poche de son jogging noir, qui lui tombait sur les hanches. On pût bien apercevoir le grand V qui glissait sous la ceinture et le début de ses abdominaux, qui apparaissaient au moment où le cendré passa la main sous son débardeur noir pour se frotter le ventre de sa main droite.

En sortant de sa chambre, Bakugo eut tourné la tête vers la porte avoisinante à la sienne. Le nom Midoriya qu'Haku eut installé à l'arrivée des deux amis absents, fut remplacé par une pancarte aux couleurs d'un héros de Comics, où seulement le nom de "Izuku" fut inscrit dessus. Un des sourcils de Katsuki se haussa, alors qu'un sourire en coin naquit sur ses lèvres. Alors comme ça, Deku est un nerd ? pensa légèrement narquois le cendré avant de continuer sa marche.

La porte près de la sortie du couloir s'ouvrit au moment où le protégé d'Haku s'apprêtât à descendre les trois petites marches. Denki fut sorti, les cheveux bien dresser sur sa tête, les yeux encore clos et sa bouche se tordant dans une grimace étrange.

«- Ha, Kat's, bon matin... » déclara Kaminari en baillant la bouche grande ouverte avant de poser son menton sur l'épaule de son ami. « Des nouvelles de Midoriya ? »

«- T'gueule, l'pikachu. J'veux du café. » grogna le cendré, après avoir repoussé la tête de son meilleur ami et de se diriger vers la cuisine.

«- T'es vraiment pas drôle le matin. » fit Denki en suivant son ami pour aller prendre un petit déjeuner, étirant ses bras au-dessus de sa tête. « Ils ne sont toujours pas arrivé ? »

«- J'sais pas. J'viens juste d'voir l'message de Deku. » informa Bakugo attrapant une tasse avant de prendre la cafetière pleine de café, signe que la patronne fut réveillée. « J'viens d'lui répondre. J'attends sa réponse. »

«- Dur d'être amoureux. » baya le jaune en attrapant la bouilloire dans le but de se faire un thé.

«- Ta gueule. » marmonna le blond en allant s'asseoir à table.

L'électrique se mit à glousser. Ce n'était pas souvent qu'il puisse voir son meilleur ami aussi gêner, malgré qu'il fut quand même de mauvaise humeur. Denki fixait son ami, se demandant comment il puisse se sentir, alors que le petit vert ne fut pas présent. Prenant sa tasse de thé, le jaune s'approcha de la table et s'installa en face de son ami, comme le voulait le plan de table qu'Haku eut validé lors du premier repas avec tout le monde.

«- Dis, Kat's. » commença doucement Kaminari en faisant tournoyer son doigt aussi de la céramique du goulo de la tasse.

«- Quoi. » répondit le cendré le regard dans la marre noire de son café. « Qu'est-ce t'as l'pikachu ? »

«- Je voudrais avoir. Tu, est-ce que tu as des sentiments pour Midoriya ? » demanda Denki en fixant son ami. « Je veux dire, est-ce que tu es amoureux de lui en pensant à ton passé, où bien tu cherches à faire comme avec tes autres ex ? »

«- P'tain Denki, ça t'regarde pas, merde ! » s'énerva Bakugo en dardant son regard rouge dans le doré des yeux de son ami.

«- Et bien, si. » se défendit l'excité en fronçant les sourcils face au sourcil arqué de son ami face à sa phrase. « Contrairement à tes ex -qui furent tous des cons ou des connes-, Midoriya est mon ami et collègue. Je l'apprécie énormément, de même que les autres. »

«- Bordel, viens-en aux faits ! » grogna Katsuki en fronçant méchamment les sourcils. « Qu'est-ce que tu cherches à me dire ? Qu'il est trop bien pour moi ? Que son caractère doux, timide et mignon colle pas avec le bourru que je suis, caractériel et violent? »

«- Je- » recommença Denki surprit que son ami puisse parler aussi honnêtement.

«- Tu n'le connais pas comme j'le connais, Denki. » souffla Bakugo en passant une main dans ses cheveux. « À part son physique, rien à changer à l'intérieur de lui. Tellement mignon et gentil qu'on puisse avoir envie de le bouffer. Bordel, et son con de pote qui est toujours coller à son cul. Merde, Deku est à moi, depuis qu'on est gosse ! Alors nan, j'veux pas lui faire la même chose qu'les autres troud'cul que j'ai fréquenté juste pour tirer mon coup. »

Un frisson parcouru la colonne vertébrale de Kaminari. Pourquoi ? Pourquoi quand il fut question d'Izuku, son ami se mît-il soudainement à se confier ? Putain de merde, quel genre de sort le jeune buisson eut pu lancer ? Tout cela excitait grandement le jaune. Ce ne fut pas souvent qu'il puisse taquiner son meilleur ami sur ses histoires d'amour ! Denki ne pu s'empêcher de faire un grand sourire à Bakugo, qui haussa un sourcil, en se demandant à quoi puisse bien pensé son imbécile d'ami.

«- Qu'est-c't'a ? » demanda Katsuki en commençant à boire son café.

«- Non, non. Rien. Je suis juste content pour toi, Kat's. » sourit davantage Kaminari.

«- Mouais. Magne ton cul, on a du boulot au café. »

▪️▪️▪️

Izuku eut souri arrivant enfin à destination, complètement surexcité. Il eût agrippé le bras de son ami avant de se mettre à sautiller sur son siège tout en secouant le pauvre Eijiro. Celui-ci eut beaucoup de mal dans sa manœuvre, à garder son volant bien droit, dans le but de garder ses roues stables sur le goudron de la route, qui les menèrent à leur destination.

Le jeune Midoriya fut grandement heureux d'arrivée dans leur village d'origine, alors qu'ils s'engagèrent dans la nouvelle rue où ses parents habitassent.

« - Ha ! Ils ont acheté une nouvelle maison ? » s'étonna Kirishima en émettant malgré lui un petit sifflement surpris, en voyant une mignonne petite maisonnette traditionnelle se dressant devant eux.

« - Oui ! » sourit Izuku en tapant dans ses mains comme un enfant, tout content. « J'étais surpris quand mon beau-père me l'eut annoncé y a quelque semaines, mais c'est tellement mieux ! Toshinori gagne bien sa vie, et maman a économisé́ depuis des années. Ils ont un petit jardin tout mignon et des arbres fruitiers. »

« - C'est génial ça. Depuis le temps qu'Inko eut dit qu'elle voulait faire des confitures et des tartes maison. » fit Eijiro en souriant en se garant convenablement et sans déranger les autres véhicules qui durent sûrement passer par le chemin. « Et puis, comme ça, quand tu viendras en vacances pendant tes étés, tu pourras colorer ta peau. »

« - Oui, mais tu sais bien que je marque vite. » déclara le buisson avec une petite moue boudeuse, conscient d'avoir une peau trop fragile. « Toi, tu bronzes tellement vite. »

« - Haha, c'est l'avantage à être un descendant de pêcheur. » ricane Eijiro en sortant du véhicule, une fois le moteur éteint.

Izuku rit doucement, tout en attrapant son sac à dos jaune, et amorça sa sortie du véhicule. L'air frais et pur du village venant lui caresser le visage et faire vire-voleté ses cheveux, fit soupirer de bien être le plus petit. Contrairement à leur départ il y eut de cela quelques semaines, dans le but de se rendre à Tokyo, la route du retour ne fut pas aussi encombrer. Partir au petit matin fut une excellente idée.

Son téléphone dans sa poche avant de jean se mit soudainement à vibrer, au moment où il s'engageait sur le petit chemin de terre menant à la porte d'entrée de la maisonnette, dans le but de sonner à la porte de ses parents. Surpris, qu'on puisse l'appeler d'aussi bonne heure, le jeune Midoriya l'eut sorti avant de voir une notification Line avec le nom de « Kacchan ».

Il m'a répondu ! Pensa aussitôt le petit vert dont le cœur se mit à battre furieusement. Un petit sourire timide se dessina sur ses lèvres doucement et malgré ses doigts légèrement tremblants, Izuku déverrouilla son écran et se mit à rire un petit peu, en lisant le petit message du géant.

De : Izuku Midoriya

A : Kacchan

Kacchan, tu es réveillé ?

Oui, nous sommes arrivés, il y a quelque minutes. Cela fait tellement de bien de respirer l'air pur de la petite campagne de Kyoto ...

J'aurais adoré que tu puisses revoir ton village d'origine...

Midoriya se mordit la lèvre inférieure en relisant son message avant d'appuyer sur l'envoie. Après ce petit geste, une question lui vint en tête. Eut-il le droit de la poser sans que son correspondant ne se fâche ?

Deku eut une petite grimace qui l'eut rendu encore plus mignon. Son nez se fronça alors que ses doigts pianotèrent sur l'écran.

De : Izuku Midoriya

A : Kacchan

Kacchan... e-est-ce que, tu m'autorises ce soir, à t-t'appeler ?

Je voudrais tellement entendre ta voix...

Son message fut envoyé. Quelques minutes s'écoulèrent, alors que Deku fut prostré devant la porte de la maison de ses parents, les mains tremblantes. Ses yeux qui fixèrent son téléphone, se mirent tout à coup à s'ouvrir en grand, en voyant ce qu'il eut pu envoyer au blond cendré. Ses joues eussent pris une couleur rosée, et sa lippe se fit malmener pour la énième fois par ses dents. Son ami à ses côtés eut un rictus amusé, alors que son doigt appuya sur la sonnette de la porte d'entrée.

Katsuki Bakugo manquait déjà au petit vert alors même que Kirishima et Midoriya furent arrivé dans leur village. Plus il y eut pensé, plus le grand rouge allait s'amuser. Sa mission de faire naitre des sentiments pour le colérique, devait impérativement commencé maintenant.

A suivre

4139 mots


Aloha ! Voici le dixième chapitre. Bon, j'avoue cette nouvelle version me plait beaucoup l'ancienne ayant été supprimer par moi pour que je puisse la réécrire. 

Malgré que sur mon compte, j'ai encore deux autres histoires (The Angel's Kiss et Only You) que je réécrirais aussi, A tight coffee fut ma première fanfiction sur le ship KatsuDeku. Alors malgré qu'elle soit niaise, pour moi, elle compte beaucoup. 

Je sors toujours des histoires niaises au début, mais après, mes idées évolues. Donc pardon si mon histoire n'est pas à votre gout. J'aime les Happy End, et les premières publications romantiques à souhait !

PLUS ULTRA !                                     

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