Souvenir 3
J'avais mal aux pieds. Ma peau était brûlé par le soleil. J'étais en déshydratation. J'en avait assez. Je voulais retrouver mon lit. J'allais craquer. Je voulais rentrer à la maison. Tout simplement.
Voilà dans quel état j'étais. J'avais roulé, roulé, roulé et encore roulé jusqu'à la station radio. Et là... rien. Impossible d'ouvrir la porte. Impossible dentzndre quelqu'un. Impossible d'avoir fait tout se chemin pour ca. J'avais dormi hors de cher moi pour la première fois de toute ma vie, et pas dans les meilleures conditions. J'étais au sol, avec comme appuis le vélo et le sac.
Une des roues avait explosé à cause de la chaleur et du roulement intensif. J'avais tellement chaud que j'avais retiré mon tee-shirt, mais j'avais un débardeur just en dessous. Mais le soleil tapait si fort que des plaques étaient apparues sur les épaules et mes avants bras. Mes cheveux protegaient ma tête du soleil mais tenaient également chaud. J'avais arrêté de les attachée après que mon élastique n'ai explosé. Même en short j'etouffais. De plus, la masse sur mon dos qui était mon sac ralentissait encore plus ma progression qui n'était pas très conséquente de base.
Pourtant je suivais un entraînement particulier dans un centre spécialisé à l'autre bout de la ville tous les samedi et mercredi soir. Néanmoins, aucun n'avaient poussé mon endurance de pareille manière et encore moins brûlé ma peau de cette sorte. J'avais parcourus je ne sais combien de kilomètres pour rien et en plus de cela mon moyen de transport était HS. Mais je surmontais cette épreuve et le remis en route. Je voulais rentrer à la maison et attendre sagement papa et maman pour m'éviter des ennuis. Même si cela faisait trois mois, je min perdais pas espoir.
Cela me pris encore plusieurs jours pour arriver à destination. Je pensais que tout était terminé, que j'allais pouvoir retrouver mon cher moi, que je pourrais enfin me reposer dans accro.
Mais j'avais tellement faux.
Tout était en feu. Tout brûlait devant mes yeux. Tout était en train de partir en fumé et la vie en premier. Les immeubles, les magasins, les restaurants, les voitures, les arbres, le parc. Je m'étais mise à courrir dans les rues à peine protégés des flammes. Celles-ci sapprochaient dangeureusement de moi mais je m'en fichait, il fallait que j'y arrive avant quil ne soit trop tard. Alors je courrais de toutes mes forces pour y aller. LE ciel semblait lui aussi s'être embrasé, il était coloré de jaune, d'orange et de rouge. Le soleil semblait se moquer à moi en m'empêchant de bien voir devant moi, et je courrais, je courrais, je courrais jusqu'à arriver devant cher moi. Mon immeuble était tout assi saccagé par les flammes que les autres. Je regardais les jolies fleures de nôtres voisin devenir noir et brûlé sur elles-même, ne pouvant rien faire contre la puissance des flammes et tomber en cendre dans les aires rempli d'epaisses fumés.
- Noooooon !
Je hurlais. Je hurlais et desepoir et de pleur. Je peux assuré que ce fut la première grande émotion de ma vie. La douleur que se spectacle m'infligeait n'était comparable à rien de ma connaissance en se temps là. Alors elle était traversé au centuple dans toutes les parcelles de mon corps. Je rentrais dans le hall d'entrée et essayait de courir jusqu'à mon étage malgré la fumée. Il fallait que je fasse quelque chose. Je ne pouvais pas rester comme ça à regarder ma vie m'échapper sans réagir. Sans trop savoir comment je m'étais retrouvée devabt ma porte. En l'ouvrant je m'étais légèrement brûlé les mains, mais ce fut sans importance parce que la douleur ne provenait pas de là.
Tout. Tout brûlait. Tout allait être réduit en cendres et je n'aurais plus rien. Mes livres brûlaient. Les rideaux brûlaient. Les photos brûlaient. Le canapé brûlait. Le tapis brûlait. Ma vie toute entiere avait prit feu. Je sentais les larmes couler sur mes joues et dans mon cou en même temps que la chaleur me caressait follement les bras. Et puis d'un coup, tout peut feu. Il n'y eu plus de distinction entre ce qui était déjà mort et ce qui plait mourrir. Et moi, je regardais, jusqu'à ce que je ne puisse plus regarder. Je m'en allais juste à temps pour ne pas m'être évanouie par la fumée et je me mis à courrir. Mon sac frappait mes fesses et mon dos douloureusement mais je m'en fichait. Je continuais à courrir même après avoir entendu une explosion. Je voudrais même après avoir été propulsé sur le côté à cause d'une voiture qui avait elle aussi explosé. Je continuais à courrir même quand mon épaule me faisait souffrir je continuais à courrir même quand la ville fut loin, très loin derrière moi.
J'avais courrut de tout mon coeur, de toute mon âme et de toutes ma force, jusqu'à ce que je ne puisse plus courrir et que je me mis à ramper. Jusqu'à ce que je puise plus ramper mais gémir. Jusqu'a ce que je ne puisse plus gémir mais sombrer dans le sommeille.
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Je me réveillait la face allongé contre le sol, mon sac en train de m'étouffer. Je me relevais avec difficulté et grimaca à cause d'une atroce douleure. En regardant mon épaule, je découvrais avec horreur celle-ci brûlé, et les vêtements déchirés et cramée à certains endroits. Mes genoux étaient également mutilés et mes chaussures soutenaient mal mes pieds souffrants. Je sentis de nouveau des larmes refaire surface, mais je les refoulais avec peine. Papa me criait dessus quand je me laissais aller à pleurer. Le coach se sport aussi, ainsi que maman. Mais je ne pleurais pas souvent.
Outre mon état déplorable, je remarquait se qui rassemblait à un a ville de loin. Il me faudrait parcourir une bonne trotte, mais je me convaincu d'y allé non sans efforts. Combien de temps avais-je donc courir cette nuit là?
J'arrivais aux portes de la ville près d'une heure et quart après. J'étais en sueurs, je souffrais et j'avais encore mal au pieds. Je progressais avec difficulté en m'aidant des murs pour finalement arrivé à la place principale de cette ville (je pense à la place de ghost whispers pour se décor). Je distinguais une silouette au loin, mais j'avais la tête qui tournait et j'étais fatiguée, pzut-être était-ce un mirage ?
- S'il vous plaît...
Ma voix était rèche et la gorge me faisait mal elle aussi. Décidément aucune partie n'avait été épargné. Je toussais sèchement à quelques reprises avant de faire un nouvel essaie.
-S'il vous plaît... je vous en prie ! Aidez-moi s'il vous plaît! S'il vous plaît...
J'utilisais les dernières forces pour avancé plus près de ce que je pensais être mon sauveur. Finalement celui-ci me remarqua et je le vis trotiner vers moi. C'était un homme, une trentaine d'année tout ou plus, d'origine indienne d'Inde, au visage Asser long.
-Mon dieu ! Que t'es-t-il arrivé ? Viens par ici.
Il me prit dans ses bras et je grimacais de douleur quand il mis la main sur mon épaule.
- Aaarggg... !
-Je vois, tu es plus blessé qu'il n'y paraît. Tu peux grimper sur mon dos, tu crois ? Tu t'en s'en capable ?
Je hochais la tête en signe d'approbation et je montait sur le dit dis entourant son cou de mon seul bras valide. Il m'emena dans une maison. Je distinguais une refasse fermée avec un tas de chaises plus ou moins alignés. En pénétrant dans la maison, je me rendis compte que c'était en fait un cabinet de médecin. Il m'installa sur le siège où il avait préalablement déjà changé le papier qui le recouvrait et le redire mon sac aavant de se mettre à déchirer mon débardeur.
-Comment diable est-ce que tu t'es fait ça ? Ce sont de graves brûlures! Il va falloir que je fasse le nécessaire pour que ca ne s'infecte pas et que ça ne laisse pas de traces. Mais tu vas avoir mal. Tu es prête à ca ?
Nouvel hochement de tête. J'avais déjà mal de toutes façons. Et je n'allais pas dénigrer des soins mérités et gratuits.
Ce fut en effet douloureux. Très douloureux, même. Mais je ne m'étais pas evanouis et j'avais fait and père de crier le moins que je le pouvais. Au final je retrouvais avec la jambe droite bandé, les genou et une partie de ma jambe gauche ainsi que les bras, le front et les joues pansementés, et une bonne partie du torse et de mon bras gauche entièrement bandé. J'étais blanche bandages recouverte de crème anti-brûlure. L'idéal aurait été de me laver avant tout ceci mais il y avait urgence et selon Amshul. Car mon sauveur s'appelait ainsi. Cela voulait dire Brillant selon lui.
- Mes parents voulant d'un fils à la hauteure de toutes leurs espérances, aussi intelligent que les dieux et aussi pur qu'eux, ont décidé de me nommer comme leur idéal.
Et cela n'a pas manqué, Amshul avait fini ses études en médecine haut la main et avait rapidement ouvert son propre cabinet qui faisait un petit succès auprès des gens qui faisaient sa clientèle. Il ne gagnait pas mal sa vie.
-C'est bien dommage qu'ils ne se soient pas décidés à mettre "beauté" dans mon nom, ria-t-il dans l'espoir de me faire rire moi aussi.
Mais je restais comme à mon habitude à scruter l'horizon sans esquisser de gestes facial. Il fi it par abandonner et vint s'accroupir à la hauteur. Nous étions sortir du cabinet et maintenant au milieu de la place, assis sur un banc à l'ombre. Je m'étais rhabillée avec un grand tee-shirt et d'un short de sport. Amshul m'avait interdit de remettre les chaussures avant que les ampoules et mes brûlures de disparaissent alors il m'avait rapporté des sandales dégoté je ne sais oú avec deux pointure de trop.
-Maintenant tu es prêt à me dire ce qu'il tes arrivé ?
- Pourquoi sommes-nous seul dans toute la ville ?
Cela devait être la seconde fois à peine que j'ouvrais la bouche, malgré les tentatives ratés de Amshul pour me faire rire et répondre à ses questions autrement que par des hochements de tête. Celui-ci me regarda avec une pointe de regret dans les yeux. Je devenais aisément qu'il n'avait pas la réponse à la question.
- Je n'en sais absolument rien, petite fille. Ce matin avant de te trouver, ma salle était remplie de patients et d'un coup : plus rien !et quand je suis sortie, c'était toute la ville qui avait été déserté.
- Alors votre ville était pleine se matin ? Et tout les autres jours ? Il y a trois mois ?
- Oui tout était tout à fait normal.
- Vous avez entendu parler de la disparition de la ville voisine ?
-Non pas du tout. Au contraire tout était normal, j'y était même la semaine dernière pour une conférence sur l'autisme. C'est de là que tu viens ?
Je redevins muette. Alors comme ça, ca n'était pas ma ville qui avait disparut mais moi ! Mais comment étais-ce possible ? Pourquoi avais-je disparut ? Et dans ce cas, mes parents devaient être en train de la chercher! Mais la ville avait entièrement brûler. Je ne sentis pas les larmes d'échapper de les yeux. Ce n'est que lorsque je laissais échapper un gémissement que j'en pris conscience.
-Tu veux en parler ? Demanda Amshul en posant sa main sur mon genou.
Je secouais la tête négativement. Non je ne voulais pas en parler. Ma ville avait brûlé point. Mes pare ya avaient disparut point. J'étais seule point. Il n'y avait rien à dire de plus.
-D'accord, je vois.
Il se leva et commenca à se balancer sur ses talons. Ça avait le don de m'agacer mais je me contenantais s sécher les larmes pour mieux laisser les nouvelles arriver.
-Dis, tu as un cahier sur lequel écrire?
Hochement de tête.
- Où est-il ?
Je montrais mon sac à mes pieds du regard.
- Tu permet que je le prenne ?
Nouveau hochement de tête. Je n'aurais pas pu le prendre de toutes manières. Je regardais Amshul faire alors que le tuyau qui s'était ouvert dans les yeux se calmait. Il sortit mon cahier et un stylo. Je le vis écrire proprement que la première page de celui-ci pour ensuite le le tendre.
-Si tu ne veux pas me le dire, tu veux bien l'écrire ?
Je saisi le stylo qu'il me rendais et regardais le cahier sur mes genoux. Il avait marqué "Ce quil s'est passé" d'une écriture soigné pas du tout propre aux médecins. Je commençais à écrire. Pour commencer, je ne fis que réécrire se que Amshul avait déjà marqué, et puis après j'écris une phrase, puis deux. Puis un paragraphe. Puis une page. Le verso et deux autres. Je disais tout depuis le début.Depuis les petites fulles jusqu'à la ville qui brûlait en passant par la station radio. Je décrivait les sentiments et les ressentis et quand j'eu fini, je deposais le stylo au milieu du cahier et le fermait.
Amshul avait été devant moi tout le temps. Il n'avait pas regardé ni même jeté un coup d'oeil. Il s'était contenté de resté planté là et attendre que j'ai fini.
-Je peux lire ?
-Oui.
Il sourit et au fur et à mesure qu'il lisait, son visage passait de différentes expressions différentes. Il dit surprit, captivé et puis triste. Il se tourna vers moi avec un visage désolé mais ne fit pas de commentaire. Il me rendit mon cahier et je le glissais sous les fesses sans qu'il ne relève.
-Tu sais, c'est très bien ce que tu vient de faire. Ça permet de se libérer de certains poids trop lourds à garder pour soit.
-Hmmmmhmmm...
-Tu pourrais continuer. En tant que journal de bord. Ça te fera quelque chose à faire et lorseque tu aura trouvé la cause sde tout ceci, tu pourra le leur montrer pour leur expliquer ce qu'il t'es arrivé. Ou juste pour ne pas oublié.
Il avait l'air sérieux dans ses propos, je le fixais en torturent les pages sous les fesses. Peut-être que ca ne serait pas une trop mauvaise idée, en effet. Mais tout ca avait plus l'air de l'illusion d'un rêve très réaliste plutôt que de la réalité vrai. Ni mon père ni ma mère ne me croiraient en lisant se que j'écrirai. Mais Amshul me convaincu de le faire pour moi. Alors je suivis son idée.
- En fait, je m'appelle Alexandra.
- Alexandra... c'est un très beau nom. Je suis heureux s t'avoir rencontré Alexandra, et heureux que ta langue soit maintenant aussi délié que mon nez s'étale sur le long de ma figure.
Il m'arracha un sourrir qu'il ne manqua pas de remarquer.
- Mais que vois-je ? Une expression sur le visage de notre belle Alexandra ! Je n'aurais pas cru voir cela un jour ! Quelle beauté !
Je souris un peu plus et essaye de mz cacher. Amshul me releva la tête à grand coups de chatouiller et pour la premiere fois de ma vie, jecplosais de rire. Malgré la douleure, je me laissa aller et dis e non coeur avec Amshul.
-Promet-moi de laisser toujours une belle expression sur se Jolie visage, Alex.
- Oui. Je... j'essaierais.
Il sourit et se releva en tapotant sa blouse blanche de medecin. Cela me rappelait mon père quand il venait vérifier les devoirs le soir en rentrant du travail. Amshul me donna et m'expliqua le nécessaire à faire pour le bien de mes brûlures et des les egratignures.
Il disparut deux jours plus tard.
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