Chapitre 16
Les choses furent tendues entre nous après cette discution. On s'evitaient et on ne se parlait presque plus. J'avais fini par sortir de la maison et sortir hurler ma frustration dans la neige en battant la poudreuse. J'avais même glissée sur une plaque de verglas et possédais maintenant un horrible bleu sur le bas du dos. Après ça je l'étais contenté de pleuré de douleur en mordant un oreiller dans la penderie qui se trouvais peu après la cuisine. J'avais dormi par terre avec l'odeur de lessive et d'assouplissant.
Le lendemain, j'étais ressortie et avais débrayé la terasse et le jardin avec une extrême attention de les pas, en mettant de côté que la température frolais les -12 degrés. Ça ne servirai à rien, je le savais bien, mais ça m'occuperais l'esprit. Et mon dos qui me faisait souffir? On s'en fiche. (Non je souffrais horriblement). Après ça j'avais fait plusieurs bonhommes de neiges en travaillant precautionneusement sur les details, même si le vent me brûlait le visage est s'immiscer dans les vêtements. Tout pour ne penser à rien. Malgré tout j'avais fais la journée dehors, jusqu'à ce que ne sente plus les doigts et qu'en rentrant je tremble encore, même après une heure sous le jet d'eau brûlant. Les deux jours après, j'étais coincé au lit, avec 38 de fièvre. Caleb m'avais retrouvée inconsciente et bleu dans le couloir. En ouvrant les yeux il avait soupiré :
- Décidément, tu es née pour le causer des soucis.
Il n'avait pas reparlé de la déclaration du fait que je veuille qu'il ne reste et je lui en étais reconnaissante. Il ne venait que pour prendre la température et moi j'essayais de me distraire du mieux que je pouvais. Entre les livres et les figures acrobatiques sur canapé qui mériteraient bien des prix- Surtout pour le papillon d'oreille en faisant le poireau- j'étais coincée sous la couverture en versant toute la sueur de mon corps sur le canapé de cuir. Je grignotais des paquets de bonbons et chantais à tue-tête. Ainsi, après mettre remise, mes habitudes avaieent été les mêmes et tout l'hiver aussi. Le seul point qui avait changé alors, c'était que je ne me reveillais pas avec Caleb près de moi, donc je n'avais plus à me soucier d'être seul. D'autant que je pouvais parfois faire deux jours sans le croiser, puis entendre sa voix lorsqu'il frappait ses sacs de box. Nous avions pris nos dispositions l'un sans l'autre. Mais les provisions au sein des placards et du frigidaire s'amenuisaient alors j'étais contrainte d'aller jusqu'à la cuisine par laquelle j'étais rentrée quelques semaines auparavant pour pouvoir manger. Quant à Caleb, je ne savais même pas s'il connaissait cette cuisine, alors je penses qu'il se debrouillait à sa manière -d'ailleurs,j'avais même faillis retourner sous la neige pour trouver ce fameux hangar à provision dans le jardin à quelques kilomètres plus bas... Puis les semaines passèrent, puis le mois de février février arriva et puis celui de mars. Et avec celui-ci, la fin de l'hiver. Et puis un jour, alors que Caleb lisait allongé sur le sol du petit salon de thé à l'autre bout de la demeure et que j'étais assise de travers sur l'un des beau fauteils en satin en teai de joué avec sa DS ( DS trouvé sous le lit de Caleb, dans sa housse de protection avec presque une cinquantaine de cartouches), je lançais :
- Ca te dirait de partir avec moi ?
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