Chapitre 12

Inaponk al ulass 😊
(Salut la compagnie)

Je suis de retour avec un chapitre assez long. Je vous avoue que j'avais un peu abandonnée l'histoire et du coup je n'écrivais plus. Mais les idées étaient là et elle le sont toujours jusqu'à ce que je les mettes sur papier.
Donc pour ceux qui lisent, j'espère que vous apprécierez et pour le reste faites ce que vous voulez :)
Je ne promet rien pour la suite mais je suis heureuse de pouvoir écrire et être lu alors Enjoy 😀

P.S. Pour le coup j'ai changer l'image de couverture du livre et j'en suis quand même un peu fière (même si je n'ai aucun mérite ) dites moi ce que vous en pensez :))
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Je me rinçais la figure en laissant l'eau couler à flot dans le lavabo. Peu à peu je reprenais mes esprits. Enfin, je reprenais le contrôle de mon esprit. Mes pensées reprenaient doucement leur cours normal et je pus enfin me concentrer sur quelque chose de... Normal. Je Lançais un regard de côté sur la salle de bain. Spacieuse, avec une immense baignoire, des bougies et des savons alignés. Je me regardais dans le miroir, lui aussi orné magnifiquement. Je croisais pour la énième fois les yeux marron de la fille en face de moi. Elle n'avait plus ses tresses mais une énorme touffe de cheveux bouclés en coupe afro sur la tête et avait également perdus ses cernes qui se creusaient depuis des années sur son visage. Sa peau chocolat au lait n'était plus aussi creuse sur sa peau qu'avant, elle avait même repris du poids. Cette fille c'était moi. Oui, c'était moi et je ne bougerais jamais nulle-part d'autre que dans cette réalité, et jamais personne ne me regrettera en regardant des vidéos parce que personne ne m'auras immortalisé.

-Hey, Alex !

Je regardais la porte d'où la voix de Caleb ressortait étouffée. De l'autre côté, je l'imaginais bien le dos posé contre le bois de la porte en regardant devant lui, comme il le faisait pratiquement tout le temps.

-Oui, quoi ? Qu'est-ce que tu veux ?

-Est-ce que tu es jalouse ?

Je clignais des yeux et regarda longtemps la porte. Je fermais l'eau qui coulait à flot d'un coup sec et ouvris la porte sur Caleb qui m'attendais de pied ferme de l'autre côté de la porte. Les gouttes coulais sur mon visage et de mes boucles mouillés. J'essayais de percer, de comprendre dans son regard ce qu'il cherchait à dire, mais il gardait un regard et un visage impassible.

-Jalouse de quoi ?

-De Chanty. Du fait qu'elle soit ma petite amie.

-Caleb, regarde-moi dans les yeux. Je n'ai aucune envie d'être ta petite amie. Je n'y ai même pas pensé et n'y aurais jamais pensé que ce soit avec toi, ou quelqu'un d'autre. Je n'ai pas de temps à perdre avec ça, et je ne vois pas pourquoi j'aimerais être ta petite amie alors que de toute évidence tu vas disparaitre.

-Mettons que tu ne sois pas jalouse de Chanty - et merci au passage de clarifier la situation. Il y a une raison pour laquelle tout à coup tu t'es mise à agir bizarrement, et ça à avoir avec moi, ou à ma petite amie.

-Je ne suis pas jalouse de Chanty... dis-je en jouant avec les grincements de la porte.

-Alors quoi ? Tu ne vas pas me dire que tu as eu un coup de blues en regardant les vidéos de Chanty et moi ?! Alors dis-moi ce tu as, parce que tu ne peux pas te permettre de t'inviter chez moi et d'agir comme bon te semble, surtout quand ça à avoir avec les gens que j'aime !

-Tu veux que je te le dise ? Oui, je suis jalouse de Chanty ! Mais pas pour les raisons que tu crois avec tes pseudos exigeances de gosse de riche ! Si je suis comme ça c'est que Chanty est le model parfais de tout ce que j'ai raté dans ma vie depuis que je suis coincé ici ! Mes vacances en familles, mes amourettes, mes sorties entre amis... Je n'avais même pas d'amis quand j'étais petite ! J'avais neuf ans quand je suis arrivée ici, et personne, je dis bien personne que j'ai rencontrée depuis les sept ans que je suis là, ne m'as jamais parlé d'une famille quelconque recherchant une petite fille ayant disparus alors qu'elle rentrait de l'école ! Personne ne m'a jamais montré de vidéo de moi courant en automne ! Et je n'en aurais jamais ! Et tu sais pourquoi ?! Parce que moi, j'ai la malchance d'être tombé dans une situation où j'ai complètement disparut de la dimension où j'aurais eu la chance de pouvoir le faire ! Alors oui, je suis jalouse de Chanty, parce qu'elle a ce que je n'aurais jamais !

Sur ce, je claquais la porte et la ferma à clef. Et pendant que Caleb frappais contre la porte en m'ordonnant d'ouvrir la porte, je m'allongeai dans baignoire en serrant mon sac contre ma poitrine. Mon cœur battait la chamade. Je ne m'étais jamais exprimé sur ce que je ressentais vraiment depuis le jour où j'avais parlé dans le vide, dans le bureau de maman. Le jour même de ma disparition. Je n'allais certainement pas me mettre à pleurer maintenant. Alors je callais mon sac à dos au niveau de ma nuque pour me faire un oreiller, et avec toutes les boîtes que j'avais retiré, les vêtements le rendait beaucoup plus confortable. Donc je restais allongée dans la baignoire en porcelaine en me concentrant pour oublier les cris de Caleb.

**

Plus d'une demi-heure étais passé et je n'avais toujours pas bougé. Mon dos était en compote et tous mes membres étaient engourdis. Je lançais un coup d'œil à la pendule en argent accroché aux carreaux sur le mur : 17h 56. Je soupirais. Aucuns jugements hâtifs, par trois fois, j'avais crus qu'il disparaîtrait, mais il était toujours là. 72 heures maximum, c'était la règle et ça le sera toujours. C'était la règle.

C'était la règle.

Il fallait que je me rafraichisse pour de bon. Je sortis de la baignoire et fis couler les deux côtés du robinet. Puis je sorti ma brosse à dent de mon sac et me brossais les dents le temps que l'eau ne remplisse la fosse en porcelaine. Puis je me déshabillais et plongeais dans l'eau chaude. D'abord, j'eu mal à cause de la brulure de l'eau chaude sur ma peau. Puis je me détendis, moi, mes muscles, avant de me plonger toute entière dans l'eau bouillante. Mais j'avais encore froid. Même en m'aspergeant de savon liquide sentant les fruits et les agrumes, j'avais encore et toujours froid. La prise de conscience, ça glace. Je sortis de l'eau, et m'essuya avec la première serviette que je trouvais et m'habillais avec les vêtements les plus chauds que je trouvais dans mon sac.

Je restais plusieurs minutes à regarder s'engrener les minutes sur le cadran. Vingt minutes plus tard je sentais de nouveau le froid m'envahir. Je me décidais à ouvrir seulement quand je fus certaine que je ne pourrais plus supporter de rester enfermée. Mon Sac sur mon dos je prêtais un peu plus attention à la chambre. Belle, luxueuse, richement décorée, un peu trop même. Mais je ne m'y attardais pas et ne fis qu'arracher la couverture pour pouvoir l'accrocher autour de mon sac, puis ouvris le placard et enfilais la première doudoune qui semblais apte à passer l'hiver. Une fois mon commerce terminer je sortis de la chambre et me dirigea (ou du moins essaya de me diriger) vers la sortie.
Une fois trouvée j'ouvris la porte d'entrée et m'engageais dans la poudreuse. Il avait neigé le temps que je m'enferme et de petits flocons atterrissaient dans mes cheveux. Je regrettais déjà la chaleur de la maison. Chacun de mes pas m'enfonçais dans la neige et me gelais les oreilles.

-Alex !

Je ne me retournais pas et continuais d'avancer dans la neige. Le petits cours d'eau artificielle avait gelé, mais les led continuaient de changer de couleur dans l'eau gelé, offrant malgré tout un beau spectacle à la vu.

-Alex, déconne pas, il fait déjà zéro degrés et la neige continuera de tombé jusqu'à demain matin.

-Ca ne sera pas la première fois.

-Il y a des risques de tempête, ça va empirer, regarde le niveau de la neige, c'est de l'inconscience ! Autant rester !

Ca faisait sept années maintenant que je subissais des étés, hiver, printemps et automne seule. Ca ne serait effectivement pas la première fois que je serais prise dans une tempête de neige ou que je devrais passer l'hiver dans un endroit où je devrais me réchauffer avec mes allumettes et des bouts de chaises. Une doudoune, des pulls et une couverture ca suffira largement. Caleb avançais derrière moi péniblement, je l'entendais à sa démarche dans la neige.

-Mais qu'est-ce qui ne va pas cher toi ? Tu ne survivras pas une journée dehors.

-Il y a une station-service à moins de quatre heures de marche à l'ouest. Je pourrais très bien y passer l'hiver, il y a un onduleur et de la nourriture. Je pourrais très bien survivre tout l'hiver ! Alors laisse-moi et retourne dans ta maison te préparer une dinde de noël le temps que tu réapparaisses et que tu retrouves ta vie de luxe !

Je l'entendais s'arrêter, mais je continuais tout de même à m'avancer en direction du portail. C'était un portail électrique. La boîte métallique était cacher par un buisson déjà couvert de gèle. Selon Robin, une fille que j'avais rencontré lors de son apparition l'année dernière, chaque boîtier avait deux modes : mode automatique et mode manuel. Il suffisait de trouver le levier qui faisait passer l'un à l'autre et ça sera jouer.
Je m'agenouillais au sol et dégageais le buisson. Le plus difficile dans cette affaire était de dévisser le côté et avec ce froid mes doigts étaient gelés. Je n'entendais plus Caleb, et la neige tombait plus dru à présent, si bien que je devais toujours retirer la couche de neige sur le haut du boîtier. J'avais froid, mieux valais que je l'enfonce.

-Et si je ne « disparaissais pas » comme tu dis ? Et si je restais dans cet univers parallèle comme ça pour toujours ?

Il Criait pour couvrir le bruit de la neige et du vent.

-Ca n'arrivera pas ! Criais-je moi aussi sans me retourner.

-Et comment tu peux en être aussi sûr ?

-Je le sais parce que ça n'est jamais arrivé. Personne n'est jamais resté avec moi ici. Voilà pourquoi j'en suis sûr. J'ai sept année d'expérience derrière moi, alors tu peux me faire confiance sur se coup là.

-Non, tu ne sais rien ! Ça se trouve à chaque fois que les gens qui « apparaissais » ne disparaissaient jamais ! Ça se trouve tu ne me dis que des mensonges et tu n'as juste pas la fois de me dire que je vais rester dans cette condition pour toujours. Ça se trouve aussi, tu laissais ses personnes après qu'ils t'aient donné assez de compagnie, comme pour moi, et après qu'ils se débrouillent !

Je n'avais pas le courage de riposter. J'enfonçais le boitier jusqu'à ce que les gonds lâches et que je puisse enfin atteindre le levier. Un bruit sec me parvint du portail et le tour était joué. Je me relevais et m'époussetais. Sans crier gare je sentis le poing de Caleb se refermer sur mon bras (ou plutôt je sentis la doudoune se serrer).

- Explique-moi pourquoi ça fait quatre jours que je suis ici et que je ne suis pas de retours dans mon monde.

-Laisse-moi t'expliquer une chose par « disparaitre ». Ca veut dire que je peux te parler et d'un coup je ne te vois plus et tu ne me vois plus. Moi je reste seule, toi tu te retrouves dans le pire des cas face à face avec quelqu'un ou une voiture. Par disparaitre je veux dire que en ce moment je peux te sauter dessus et abattre mon poing dans ta mâchoire et la seconde qui suis, je suis à terre face à la neige et toi tu es au sol la mâchoire ensanglantée et quelqu'un viendra te relever et cette personne ça ne sera pas moi. Tu es obligé de disparaitre parce que sinon, je ne pourrais plus jamais rencontrer personne d'autre que toi. Plus personne apparaitra et tu vivras ici avec moi. Voilà ce que je veux dire par disparaitre.

Je dégageais mon bras et ajustais les lanières de mon sac sur mes épaules. Je sentais la neige dans mes cheveux fondre et atteindre mon crâne Mon souffle mêler au tien formais une buée dense devant nous.

-Ok ... Tu Sais quoi ? Ca fait trois jours que je me retrouve seul, cher moi sans personne et sans aucun repère. C'est la première fois que ça m'arrive.

-Je te rassure ça ne se voit pas du tout.
J'ai predsaue l'impression que tu as fais ca toute ta vie pour être franche.

-Mise-à part toi, je n'ai aucun moyen de savoir ce qu'il m'arrive. Ça fait trois jours que je n'y vu personne d'autre que toi. Alors ça serait sympa que tu restes, histoire que je ne sois pas plus plombé que je ne le suis déjà.

Je le regardais et jetais un œil à la maison chauffée et éclairée derrière lui. Et puis je remarquais qu'il tremblait et qu'il n'avait pas mis de chaussure. Ses lunettes étaient même remplies de buées. je me demandais comment il faisait pour me voir. Je soupirais.

-Rentre, habille-toi. Je te montre quelque chose.

A peine 10 minutes plus tard nous étions engagés sur la route. Caleb ne Disait rien mais je sentais sa tension à côté de moi. Pour ma part j'avais finalement ajouté une écharpe, des gants et un bonnet à ma tenue et je jouais avec la buée qui s'échappait de ma bouche. En temps normal j'aurais été plus agitée et je me serais étalée tout le long de la route en faisant autant de bruit que je voulais, mais je n'en avais plus trop envie. En arrivant au bout du chemin privé je m'arrêtais devant l'autoroute vide.

-Wow. En générale cette route est bondée.

-Hmm-hmm

J'essayais d'imaginer cette route autrement que vide. Mais après sept ans de vide routier, ça devenait difficile. Surtout après que les voitures aient soudain disparus un jour. Si cette route était- dans la dimension de Caleb- bondé, il devrait y avoir des centaines de voitures en arrêt, mais aucunes voitures n'étaient présentes devant nous.

-C'est incroyable, je pourrais marcher au milieu de la route sans aucuns problèmes.

Je regardais Caleb s'avancer et dépasser les bandes blanches et jaunes qui démarquait la route piétonnes de la route.

Le moteur d'une voiture qui ronronne en arrêt. Les phares qui éblouissent. La radio. Le bruit du pneu sur le bitume. D'ailleurs avec ce temps les gens devraient changer leurs pneus. Mais tout ça mis ensemble restait flou pour moi. A quoi bon essayer ? Je n'y arrivait pas.

-Je n'aurais jamais cru pouvoir faire ça un jour !

-Fait attention si tu disparais tu risques de te faire écraser par une bonne dizaine de voiture avant qu'ils ne se rendent compte que ce n'était pas un raton laveur !

Il me rejoignit au pas de course sur le bord de la route et adoptant la même pose que moi, les mains dans les poches de ma doudoune. Je préférais rester à l'écart des grandes autoroutes comme celle-ci. Il m'était déjà arrivé qu'une apparition se soit faite avec un malade qui buvait au volant d'une cylindrée. Et puis qui sait ? Peut-être que je pouvais encore réapparaitre moi aussi dans le mode normale, et à ce moment mieux vaudrais que ça ne soit au milieu d'une autoroute.

-Un raton laveur ? Rien que ça.

- Avec ta carrure de premier de la classe maigre à lunette, on ne te prendra certainement pas pour un ours.

-Sympa.

Le silence s'éternisa et une fine couche de neige était déjà tombée sur la route, recouvrant les traces de pas de Caleb.

-Donc c'est comme ça que tu vis. Tu marches sur le rebord de la route et tu squatte les maisons en ramassant deux, trois couverture, de la nourriture et tu repars.

-Évidement dis comme ça ca à l'air mal. Mais oui ça se résume à ça. Moi et mon sac on a fait presque la moitié du pays en détail. L'été c'est un peu mieux, j'arrive à trouver de bons coins tondus sous des arbres. Et parfois j'ai une bonne compagnie.

-Ca à l'air bien.

-Hmmm-hmm

Nouveau moment de silence. Bien ? Ca dépend pour qui. Si seulement j'avais le choix.

-Comprend moi, Caleb. Tu es le premier a qui ca arrive. Je veux dire, de rester aussi longtemps. Je suis habituée à la solitude et je n'ai pas souvent l'occasion de rencontrer des personnes et que celles-ci ne restes aussi longtemps. Surtout des personnes d'à peu près mon âge.

Il me regardais a travers des lunettes et souffle par la bouche, dégageant de la buée.

- Disont que dans mon monde à moi, tu es ma découverte scientifique.

- Donc rien ne prouve que si je reste dans ton monde, il n'y ai pas de possibilité de voir quelqun d'autre apparaître.

- Non.

Il ébaucha un sourire, sûrement fière d'avoir pu me contredire.

- Mais ca ne serait pas spécialement bien que tu ne reste. Si j'avais à choisir je prendrais quelqu'un d'autre, pas un lourd comme toi.

- Tu apprendra à me connaître.

Je hochais la tête et regardais de nouveau la route.
Oui. S'il restait, Caleb deviendrait ma découverte scientifique et je n'aurais plus jamais à être seule. Et avec un peu de chance, c'est lui qui me permettra de retourner dans le vrai monde.

-On devrait rentrer, annonca celui-ci. À cette heure-ci il y a vraiment des ratons laveur qui traine.

J'aquiecais et me mis en route à ses côtés, m'enfoncant encore une fois dans la poudreuse qui avait pris quelques centimètre . Comment lui dire que je n'avais pas vu même un chat en sept ans ? Les animaux, insectes, oiseaux, poissons, et humains disparaissent tous au même titre. Mais bon. Qu'elle importance ? Entre des rats et des hommes quelle différence ?
Je soupirais dans mon echarpe. Dans la malchance, j'avais quand même eu la chance de ne jamais tomber sur des animaux dangereux ou sur des insectes. Mary, une femme qui était apparu il y avait environ une année de cela m'avais avoué son horreur pour les insecte et une allergie aux animaux à poules ou à plumes.C'était a peine si elle supportais la poussière. C'était une femme de la vingtaine en médecine et très attachante. Elle était resté une journée entière et j'en avais profité et appris un maximum avec elle sur tout et n'importe quoi. Quand elle eu disparus j'étais si triste que je suis resté près d'une semaine à le droit de sa disparition pour voir si elle ne reviendrait pas. Puis j'étais partie, étant lassé d'attendre.
Mary serait une personne avec qui je serais heureuse de rester dans ce monde.

Je sentis Caleb se cogner contre mon épaule et je faillis tombé dans la neige. Il me regarda et souris.

- Tu es dans la lune. Tu reconsideres ton choix de départ?

-ouais... Je vais profiter encore un peu de ton cher toi.

- très bonne décision. Maintenant parlons de tes termes pour décrire les phénomènes, pousuiva-t-il. Tu penses que apparition et disparition sont de bonnes formules ? Et pourquoi quelque chose de plus recherchée comme...

- Caleb. Tu es vraiment lourd là.

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