Chapitre 15
! Attention, ce chapitre contient des T.W plus importants que les chapitres précédents !
ELENA
Bon.. Ok..
J'ai peut-être apprécié l'embrasser, mais il fallait bien que l'autre pouffe avec sa bouche et sa poitrine refaite lui lâche la grappe. Je ne sais pas qu'est-ce qu'elle avait mis dans son verre, mais pour rester jusqu'à s'assurer qu'il ait bien bu le contenu, c'est qu'elle prévoyait de se servir de lui.
Et puis je n'ai fait que mon travail, il n'y a pas de quoi en faire un drame, c'est juste un bisou.
En arrivant devant les chambres, nous nous sommes tous deux précipités dans la nôtre, Jerico pour prendre une douche évidemment, le sang de sa dernière victime tachait ses mains, sans parler de ses vêtements bons à amener chez le teinturier.
Quant à moi, j'ai besoin d'en prendre une également mais pour me débarrasser de ce sentiment bizarre qui me colle depuis que nous avons quitté le gala, encore maintenant, j'ai l'impression de sentir ses mains se balader dans mon dos. Ce n'est pas désagréable, pas comme avec les autres hommes qui ne pensaient qu'à coucher avec moi, mais ça me dérange car je n'ai pas l'habitude de recevoir ce genre d'attention.
Je décide de me déshabiller afin de prendre une douche bien chaude et pouvoir me reposer tranquillement dans mon lit..
Enfin pour ça, il faudrait déjà que j'arrive à retirer cette foutue robe ! Elle est jolie certes mais l'attache qui permet de la maintenir en place ne semble pas vouloir se défaire.. bordel c'est pas possible d'avoir la poisse comme ça lorsqu'on est seule..
Et si j'allais demander un petit peu d'aide à Jerico ? Il doit avoir terminé à l'heure qu'il est.
Non, non et non, c'est mort, après je lui serai redevable et j'en ai pas envie.
*15 minutes plus tard*
Je vais finir par découper cette robe si ça continue, je soupire rien qu'à l'idée de voir sa tête, satisfait de me relancer tous les jours qu'il a pu m'aider. Ca suffit, j'ai perdu trop de temps, je me dirige vers ma porte d'entrée, je l'ouvre d'une traite quand je tombe nez à nez sur Jerico qui allait justement frapper à ma porte.
- Oh, hum, je peux t'aider ? Demandais je d'une voix douce
- Je voulais m'assurer que tu allais bien. *Raclements de gorge*
- Personne ne m'a tabassé ou tiré dessus ce soir, tu sais. Répliquais je amusée par l'embarras qui le gagne
- Oui et heureusement, bon puisque tu avais l'air de te rendre à un endroit, je ne te dérange pas plus.
- Non ! Attends, j'ai besoin de toi ! Ca me coute déjà de lui demander ça alors autant le faire vite
Son incompréhension se lit sur son visage, alors je tire sur sa manche pour le faire rentrer dans ma chambre.
- Regarde je n'arrive pas à enlever ma robe, l'attache doit être coincée dans quelque chose. Tu veux bien m'aider, s'il te plait ?
Je rassemble mes cheveux sur le côté, quand j'entends sa respiration se bloquer, je ressens son regard descendre jusqu'au creux de mes reins, son attention sur moi me réchauffe le dos, son touché me brûle l'épiderme, au moment ou ma libération fit écho dans la pièce.
*Clac*
Soudain je suis tirée en arrière à la taille par un bras musclé, je me heurte au torse de l'homme derrière moi, un souffle chaud glisse dans mon cou, accompagné de délicats baisers et de mains sous ma robe qui me caresse.
La première me caresse tendrement le ventre, tandis que la seconde remonte sensuellement jusqu'à un de mes seins pour venir jouer avec mon téton, je ne peux me retenir de lâcher un gémissement de plaisir, à l'instant ou mes paupières se ferment, mes démons reviennent, comme à chaque fois.
- Non, non, stop, je ne peux pas ! Me libérant de son emprise brusquement en tentant de reprendre mes esprits
- Pourquoi ? Elena pourquoi tu t'empêches à ce point de prendre du plaisir au contact d'un homme ? Sa réaction est ce qu'il y a de plus normal puisqu'il n'est au courant de rien, il ne se doute pas une seconde de mon vécue
- Car c'est au-dessus de mes forces.. je me sens si sale.. les hommes me rebutent, mon corps ne m'appartient plus.
Ma voix n'est plus que tremblements, mon corps également, et les larmes ne tardent pas à envahir ma vision déjà flou par les émotions qui me traversent.
- Explique moi, je t'en supplie beauté, permets moi de comprendre, laisse moi t'aider.
Ses yeux ancrés dans les miens, il est tout ce qu'il y a de plus sérieux, je recule quand il essaie de m'approcher alors il prend la décision de s'asseoir sur mon lit et de patienter le temps que je le rejoigne, lorsque je me sentirai prête.
5 minutes s'écoulent quand j'ai enfin repris une respiration normale, et que je ne tremble plus, pendant cette durée, Jerico n'a pas cessé de garder un œil sur moi, peut-être de peur que je ne m'effondre sur place.
Quand je me sens apte à le rejoindre, je m'assois à côté de lui, je ne lui fais pas face, je préfère observer mes mains ou le sol pour ne pas avoir à subir la pitié ou le dégoût que je pourrais bientôt apercevoir dans ses iris verts.
Le jugement fait partie intégrante de ma vie, mais là, je n'aurai pas la volonté de le regarder en face, pas cette fois-ci, ce soir je ne suis pas assez forte pour surmonter ça seule.
Alors je commence mon récit, exactement comme j'avais pu le faire avec Alec, sauf qu'à la différence de celui-ci, ce soir, je détaillerais les sévices que les hommes de mon monde m'ont fait subir. Je lui explique notamment qu'il s'agissait de cette conversation quand nous étions partis Alec et moi, il y a quelques semaines.
Je lui dévoile les entraînements tôt le matin, jusque tard dans la nuit, les séances à répétitions, les punitions physiques, les insultes, les attaques extérieures, les coups bas, les réflexions misogynes, jusqu'à ce fameux jour ou on m'a volé ma virginité sur accord de mon père, sans oublier les autres fois ou il a donné son autorisation à ses hommes de main, de ne pas hésiter à me remettre à ma place de femme, si ils estimaient que j'en avais besoin.
Bien entendu, il disait ouvertement qu'il donnait sa bénédiction à ses gars de me violer si je sortais trop des rangs, entendez par là, insolence et désobéissance.
La première fois m'a brisé.
Mais la dernière a terminé de réduire en cendres ce qu'il pouvait rester des morceaux de mon âme, un soir, trois de ses hommes avaient trop bu et ils ont décidé de s'amuser un peu avec moi, en me voyant m'entrainer dans la salle de sport.
Deux d'entre eux me maintenaient au sol pendant que le dernier me violait de toutes ses forces, je me suis débattue comme j'ai pu, hurler à m'en déchirer les poumons, mais personne n'est intervenu..
En revanche, ils ont continué jusqu'à ce que les deux autres me soient passés dessus, j'ai fini par me laisser faire au dernier gars, suite à ça, ils sont repartis, me laissant au sol, remplie de leurs péchés.
- Je n'ai jamais connu de relation sexuelle saine Jerico, tu comprends ? Je n'ai subi que le viol depuis mes 19 ans, je n'ai jamais voulu coucher avec tous ces connards.. pas une seule putain de fois.
Ma voix est un mélange de haine et de honte, mes mains tremblent, mes yeux sont humides par la délivrance de ces démons qui me hantent, mon cœur saigne à l'idée qu'un jour je puisse aimer et être aimer pour la femme que je suis, et non celle qu'on voudrait que je sois.
- Donne moi des noms.
- Quoi ?
- Donne moi les noms de ceux qui t'ont fait souffrir Elena.
Son ton est trop calme pour quelqu'un comme lui, une tempête meurtrière se prépare au fond de ses prunelles, ses mains forment des poings qui pourraient supprimer des vies, les veines de ses bras ressortent, il est habité par plusieurs émotions mais la rage et la rancœur dominent.
- Ça ne sert à rien, le mal est fait, j'ai perdu ce que j'avais de plus pur en moi, je me sens salie, abusée, je hais les hommes, je n'arrive plus à faire confiance. Et par-dessus tout, mon corps me dégoute.
- A mes yeux, tu n'as pas perdu ton innocence Elena, tu restes une jeune femme qui n'a pas encore partagé ce qu'elle a de plus précieux avec l'être aimé, lors d'un moment d'amour, de passion, de complicité et surtout de consentement.
- Je ne te dégoûte pas, maintenant que tu connais toute l'histoire ?
- Au contraire, je vois à quel point j'ai en face de moi une femme forte, courageuse, ambitieuse, intelligente, magnifique de l'extérieur comme de l'intérieur.
- Alors apprends moi ce que c'est de coucher avec le grand Jerico. Demandais je d'une voix amusée à présent que mon esprit était plus léger
- Je ne veux pas que tu te forces, je veux que tu en ais réellement envie, beauté.
Sa sincérité me touche profondément, alors j'abats mes défenses, dépose les armes et me laisse guider par le seul homme en qui j'ai de l'attirance et qui me respecte pour la femme que je suis.
- Je ne tiens plus Jerico, embrasse moi. Soufflé je comme un supplice
Il saisit dans la foulée mon visage entre ses mains et m'embrassa à en perdre haleine, il s'écarta pour reprendre son souffle et durant ces secondes qui me paraissaient comme suspendu dans le temps, je contemplais l'homme terriblement séduisant en face de moi.
Se rendant compte que je fixais sa bouche, un sourire à vous faire fondre vint se plaquer sur son visage, avant de murmurer aux bords de mes lèvres :
- Réserve moi cette soirée et toutes celles ou tu voudras bien de ma compagnie. La faim me colle à la peau, en ta présence, beauté.
- Alors je serai insatiable.
Je me lève et mets de la distance entre nous, l'air est suffocant, une tension sexuelle s'est installée et mon rythme cardiaque s'emballe à chaque étape.
En face de lui, je me débarrasse enfin de ma robe, je suis maintenant partiellement nue, il ne reste que le bout de tissu qui cache mon intimité, le courant d'air qui s'échappe par la fenêtre vient fouetter la peau nue de mes seins, faisant durcir mes tétons.
Le froid a parsemé mon corps de frissons, quand je relève la tête, des yeux me dévorent, me brûlent sur leurs passages, me réchauffent immédiatement.
Jerico semble hypnotisé par ce qu'il voit, il ne cesse de contempler ma personne, il n'a pas besoin de me dire ce qu'il en pense, ses iris parlent pour lui, un feu y fait rage, j'imagine sans mal que son corps doit être brûlant.
- Ça te fais mal ? Indiquais je d'un signe de tête, l'érection dans son jogging
- Oui.
- Laisse moi régler ça. Déshabille toi, c'est un ordre.
Je m'installe à même le sol, entre ses jambes, quand je m'apprête à parler il me retient par le menton, redressant ma tête dans sa direction.
- Ne te forces pas à me faire du bien, ce soir c'est toi qui doit prendre du plaisir.
- Je sais, mais je veux savoir ce que ça fait d'avoir les cartes en main, d'avoir le contrôle de la situation.
- A tes ordres, beauté. Se détend t-il plus en arrière, reposant sur ses mains, le regard braqué sur mes faits et gestes
Je saisis dans une main son érection, ma langue s'enroule autour de son gland, humidifiant centimètre par centimètre son membre gonflé à l'extrême, mes lèvres s'aventurent plus profondément exerçant de légères pressions autour de celui-ci. Un râle de satisfaction se fit entendre, suivi de plusieurs grognements de plaisir.
J'accélère la cadence en restant à une profondeur respectable, son sexe en partie trempé par ma salive glisse dans ma bouche, je suçote son gland inlassablement, avant de reprendre mes vas et vient.
- Si tu continues à me sucer comme ça, je vais être dans l'obligation de jouir sur ton joli visage.
Je me redresse fière de moi, un sourire malicieux aux lèvres.
- Ça veut dire que j'ai réussi ? Ça t'as plu ?
- Evidemment, tes lèvres ont été moulées pour moi.
- Ou peut-être que c'est ton sexe qui a été moulé pour me combler parfaitement.
Le rouge me monte aux joues, quand je réalise les propos que j'insinuais.
A califourchon sur lui, toujours au bord du lit, mes seins frottant contre ses pectoraux, il me maintient fermement par les hanches, nos respirations se mélangent, nos souffles se heurtent, alors que je fonds sur sa bouche ne pouvant me retenir de cette tentation.
- Touche moi comme je devrais l'être.
- Seulement moi pourrait te toucher comme tu dois l'être beauté, car aucun autre homme ne sera jamais assez compétent pour le faire.
- Prouve le moi. Le défiais je d'une voix suave
*Clac*, *clac*
Il casse à l'instant les extrémités de mon string, quand je suis soulevée par des bras musclés avant d'être déposée sur le matelas, entre les oreillers, Jerico s'installe derrière moi, m'enveloppant de ses bras et de sa chaleur, il dégage mes cheveux sur le côté afin d'avoir accès à mon cou, il y dépose des baisers tous plus passionnés les uns que les autres, une main masse tendrement mes seins, tandis que l'autre parcours mon ventre d'une caresse jusqu'à rencontrer mon intimité.
Il facilite l'accès en écartant mes jambes, dessine les courbes de mes lèvres puis fait pénétrer un premier doigt, quelques secondes s'écoulent quand un second doigt rejoint le premier, il m'inflige des assauts sans interruption jusqu'à ce que je sois incapable de rester immobile.
Les paupières closes, la bouche entrouverte, ma respiration est hachée par les gémissements que je produits, j'ondule mon bassin afin d'enfoncer davantage ses doigts en moi.
- Dis moi que tu es trempée rien qu'à l'idée que mon sexe remplisse ta chatte ?
- Humm, baise moi Jerico.
- Tu le veux ? Tu veux que je te baise ? Me presse t-il de son corps, son membre à quelques centimètres de mon entrée
- Oui.. oui, je t'en supplie.
- Non. Annonce t-il d'une voix grave en retirant ses doigts de mon intimité
- Non ? Répétais je dans le doute d'avoir mal entendu
- Si tu désires mon sexe alors montes sur moi, sers toi de mon corps, utilise moi, beauté.
L'instant d'après je le chevauche, le temps de mettre un préservatif, j'ai repris mes esprits, il a raison, c'est à moi de prendre les devants en matière de sexe pour une fois.
Mais soudain je réalise qu'un problème de taille s'impose à moi.
- On t'a jamais dit qu'elle était trop grosse ? Fixais je son érection
- Tu l'as bien prise en bouche tout à l'heure.
- Pas entièrement, car elle passait pas justement.
- Pas encore.
- Jerico je suis sérieuse.. ça ne rentrera jamais.
- Tu me fais confiance ? Respire un bon coup, et essaie de te détendre. Me rassure t-il doucement en me rapprochant de lui, il embrasse d'abord mon front, puis posa ses lèvres sur les miennes, son baiser n'est pas comparable aux précédents. Il est doux, sensuel, affectif, comme possessif.
J'ai profité de ce moment d'accalmie pour insérer son sexe toujours aussi imposant en moi, il m'étire au fur et à mesure de ma descente, quand je suis enfin assise sur lui, il arbore un air confiant. Je sais qu'il se retient pour moi et je lui en suis reconnaissante de me permettre de prendre mon temps.
Les premiers mouvements sont douloureux mais plus les minutes défilent plus mon corps s'y habitue, jusqu'à trouver cette position agréable. Mon rythme s'accélère, mes coups de reins s'intensifient, j'halète sous mes propres coups de boutoirs, je prends l'initiative d'embrasser Jerico tout en continuant ma baise frénétique.
Ses puissantes mains entourent mes hanches, tandis qu'une des miennes est posée sur sa joue, et l'autre par dessus sa main gauche, ses grognements me réchauffent, alors que mes gémissements l'achève.
Je me redresse et saisis ses deux mains pour les positionner sur ma poitrine qu'il masse instantanément, je me penche légèrement en arrière, écarte davantage les cuisses, permettant à son membre de me pénétrer encore plus profondément. Les mains cramponnées à ses cuisses, je le baise de toutes mes forces jusqu'à atteindre un orgasme si puissant que j'ai l'impression de fondre de l'intérieur, le visage empourpré, un rythme cardiaque chaotique, essoufflée mais comblée, mon regard ancré dans ses iris envoutants, je lui souris pleinement avant de le provoquer à nouveau.
- A ton tour. Lancé je joueuse en reprenant difficilement mon souffle
- Cette soirée est pour toi beauté, pas pour moi.
- Fait moi jouir une seconde fois alors, à moins que tu n'en sois pas capable. Le mis-je à l'épreuve en inclinant la tête sur le côté, arquant un sourcil de manière insolente
- Seras tu seulement capable d'y survivre ? Vu l'état dans lequel ta propre extase t'a réduite, je crains que tu ne tiennes pas à un orgasme de ma part.
Sa voix est grave, son ton prétentieux, ses paroles glissent comme une douce chaleur sur ma peau, pendant que ses caresses restent d'une extrême délicatesse.
- Baise moi comme la chienne que je t'es inspiré à notre rencontre, Jerico, c'est un ordre.
Ses iris me dévorent à présent toute entière, quand je perçois une fine lueur de malice mélangée à une irrépressible envie de prendre du plaisir à son tour, j'ai gagné cette bataille.
- A quatre pattes, maintenant.
Je n'ai pas le temps de réaliser que je ne suis plus sur lui mais bel et bien devant lui, le visage contre les draps, les jambes écartées au maximum, qu'il me pénètre d'abord doucement avant de me pilonner comme il l'aime.
La cadence est complètement différente du moment ou j'imposais mon rythme, plus sauvage, plus brutale, plus masculine, elle devient une irrésistible torture pour mon clitoris déjà sensible.
Alors que des picotements surviennent dans mon bas ventre, je suis prise par une vague de chaleur qui m'envahit, annonciatrice d'un nouvel orgasme qui, je suis sûr, détruira tout ce qu'il reste de moi.
- Jerico, je..je viens.. plus fort.. Le suppliais je difficilement tant ma concentration est brouillée
Alors il me redresse, une main autour de ma gorge, l'autre maintenant le contact avec mon bassin, quand il me chuchota d'une voix terriblement sexy.
- Prépare toi à devenir accro beauté, car personne ne pourra te faire jouir comme je vais le faire.
S'ensuit d'un orgasme intense, par chance il me retient de m'effondrer sur le lit, mes jambes ne me tiennent plus, je ne suis plus qu'une trace de son passage.
- Tu peux me prendre en entier dès la première levrette, tu es parfaite putain ! S'exclame t-il comme un reproche, son orgasme ne mit pas longtemps à le submerger à son tour.
Étalés sur le lit, nous sommes essoufflés mais profondément apaisés, nos souffles sont erratiques, pendant qu'il me prend dans ses bras et m'offre un délicat baiser dans les cheveux, je lui lance une dernière pique avant de sombrer dans le sommeil.
- Il est évident que je te déteste toujours.
- Evidemment, beauté.
Je sens qu'il me recouvre d'une couverture avant de lui même s'endormir à mes côtés.
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