Dear C, une amie formidable et compréhensive.

Toi, regarde moi, tu ris, tu vis, tu compatis.
Ma tête bascule au rythme de ta mélodie.
Mes pupilles, t'absorbent, buvant la nostalgie.
Mes lèvres se creusent pour produire une arabesque.

Toi, regarde-moi, tu apprends, tu rends, tu comprends.
Mes griffes se rétractent, pour ranger l'armement.
Mes cils dansent en union, gracieusement.
Mes yeux frétillent, sautillent, sont-ils si burlesque.

Toi, regarde-moi, tu discutes et puis tu luttes.
Mes oreilles sortent de cet infâme tumulte.
Mes tympans guérissent, la sonorité culbute.
Mon espoir se renforce sous la chanson du luth.
Mes gouttes de pensés sont tombés sous les volutes.
Sous ton joug chevaleresque s'invente la fresque.

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Que dire de plus !