Chapitre 61: relation ambigüe

Hey ! Je m'excuse pour l'inactivité de cette Fanfic pendant quelques jours, mais je reprend les publications ! Vous pouvez relire le chapitre précédent pour vous rappelez des derniers événements de la Fanfic. :) 

Sur ce,

Bonne lecture. 📚

***


La voix de sa mère résonnait dans la pièce tandis que les ustensiles qui tapaient contre la vaisselle et le bruit de son chien qui mangeait parvenaient aux oreilles d'Arthur. Ils se retrouvèrent tous les quatre dans la cuisine.


Arthur avait les joues rouges tandis qu'il regardait Jasmin prendre le pichet d'eau et aller le remplir en râclant sa chaise.


—Oh, laisse-moi faire Jasmin, tu es notre invité, commença d'une douce voix la mère d'Arthur en commençant à se lever.

—Non, j'y vais. Rester assise, remplir un pichet d'eau ne va pas me tuer, ria Jasmin.

—Mais tout de même...

—Laisse-le faire, chéri.


La voix grave du père d'Arthur fit soupirer sa mère et elle se rassit. Après tout, ils n'allaient pas se disputer pour un pichet d'eau ? Elle laissa donc Jasmin aller vers le robinet de la cuisine et remplir le pichet d'eau avant de revenir et de remplir les verres. Jasmin se rassied et tendit son assiette quand le paternel d'Arthur le lui demanda.


—Alors, comme ça tu es président de ton club, fiston ? demanda-t-il en remplissant l'assiette de pomme de terre, quand ma femme m'a dit que l'un des amis d'Arthur était président d'un club de l'école, à la crêperie après nos présentations, ça m'a rassuré sur le fait que mon fils n'était pas si solitaire qu'il n'y paraissait.


Le père regardait Jasmin et le vit déposer son assiette sur la table.


—Mais non chéri, je t'ai dit que Jasmin était le vice-président, pas le président ! clama la mère en ne pouvant s'empêcher de rosir ses joues d'embarras, excuse-le, Jasmin. Il est très tête en l'air ces derniers temps.

—Ce n'est pas grave, on peut vite se perdre avec la hiérarchie. En réalité, c'est Dante Wertheimer qui en est le président. Je ne suis qu'un simple conseiller et un bras droit. Je dirige le club quand il est absent, mais je suis plus dans la gérance de l'administration et du bien-être du club.

—Dante Wertheimer ? Ce nom me dit quelque chose...


Arthur voyait son père murmurer à plusieurs reprises le nom de famille du président du club de théâtre de Jasmin. Arthur picorait dans son assiette, faisant rouler ses pommes de terre avant de sursauter et de faire tomber sa fourchette quand son père exprima sa surprise.


—Je me souviens, maintenant! Lionel Wertheimer ne serait pas le père de votre camarade, par hasard ?


Jasmin souriait et hochait positivement la tête devant la jovialité du père de son béguin.


—C'est exact. Vous le connaissiez ?

—Et comment ! Arthur, je ne pensais pas que tu étais entouré de personnes aussi influents à ton école, petit cachottier, charria son père en pointant son fils de sa fourchette.

—Euhm, je...

—D'abord, tu fréquentes Judith, la fille du directeur de Midtown High School, après Jasmin et maintenant, Dante ? Ce sera qui le prochain ? taquina le paternel, ce jeune homme qui vous accompagnait, Jasmin, comment il s'appelait déjà ? Oh, excuse-moi, je ne suis pas très doué avec les prénoms comme tu l'aurais remarqué.

—Ça ne fait rien. C'est mon meilleur ami, Charley. Charley Walton. Il est avec moi, aussi, au club de théâtre.

—Oh, Walton, je connais aussi !! Son père travail dans le même établissement scientifique que moi, mais en tant que technicien informatique.

—Que le monde est petit !


La voix féminine de la mère fit hocher positivement la tête des trois garçons, qui l'entouraient. Et pendant qu'ils discutaient de l'entourage d'Arthur, les ustensiles tapaient quelques fois contre l'assiette ou une chaise se râclant pour aller chercher un plateau de fromage dans le frigo.


—Et sinon, niveau scolaire tout va pour le mieux pour vous deux ? demanda la mère en prenant une pomme de terre et un petit morceau de viande pour l'amener à sa bouche, ensuite.

—Oui, je suis en Terminale.

—Oh, cela veut dire que tu auras bientôt tes examens finaux ?

—Exact. En plus de cela, on doit préparer notre pièce de théâtre pour la présenter devant tout le lycée avant les semaines d'examens, précisa Jasmin.

—Je vois et tu étudies en quoi?


Arthur fixait son paternel, qui cherchait des informations sur Jasmin. Il croisa le regard de son père et ce dernier lui fit un clin d'œil tandis qu'il entendait le léger rire de sa mère à côté de lui. Arthur baissa le regard pour plonger ses yeux dans son plat de bœuf bourguignon préparé par sa mère et son père en début de soirée. Il se mordilla la lèvre inférieure et serra sa fourchette en sentant ses joues rosirent. Il ne savait si c'était dû à de la timidité ou de l'embarras, peut-être un peu des deux, pensait-il.


Il releva les yeux et croisa le regard pétillant de Jasmin, qui répondait à toutes les questions de son père avec aisance et parfois, pleine d'hésitation.


—Et tu me dis, que tu as un grand-frère ?

—Oui, c'est Fabian. Il travail de l'autre côté de la région et il est venu passé du temps ici pour quelques semaines. Il travail dans le e-commerce.

—Je vois. Eh bien, quelle fratrie ! Vos parents doivent être fier de vous.


Le regard d'Arthur s'assombrit en voyant la mine légèrement peinée de Jasmin, qui releva la tête en lâchant un fin sourire.


—Oui, j'imagine, murmura Jasmin, peu sûr de lui.

—Oh! Ne fais pas cette tête-là, je suis certain que tes parents savent à quel point, ils ont deux génies comme fils et qu'ils sont fiers de vous-même s'ils ne le montrent pas, une part d'eux est de votre côté dans tout ce que vous entreprendriez. Je sais ce que je dis !

—Vous aviez sans doute raison.


Un bruit étrange se fit entendre depuis l'étage supérieure, les faisant relever la tête au plafond et la mère arqua un sourcil.


—Vous aviez entendu ce bruit ? demanda-t-elle.

—Oui, c'est étrange.

—Tu crois que c'est un volet, qui claque ? s'enquit sa mère.

—On n'a pas ouvert les fenêtres et de ce que je vois à la fenêtre derrière toi, il n'y a pas de vent, pourtant.

—Devrais-je aller voir ?

—Non, reste assis, Arthur, ce n'est sûrement qu'un rongeur, suggéra la mère.


Arthur hocha la tête positivement et laissa son regard scruter le plafond, les sourcils froncés. Sa mère discutait avec son paternel de leurs lieux de travail respectif et Arthur leva un regard vers Jasmin en sentant ce dernier, lui toucher le pied sous la table. Arthur sentit l'extrémité de ses oreilles rosirent tandis qu'il croisa le regard inquiet et joueur de Jasmin.


Joueur ? Non, il avait mal vu. Arthur reporta son regard vers Jasmin, qui se joignait à la discussion avec ses parents sur l'explosion, qui a eu lieu au travail de son père.


—Et avez-vous une théorie sur ce qu'il s'est passé ? demanda Jasmin, curieux et intéressé.


Arthur observait Jasmin, qui regardait son paternel avec grand intérêt. Après tout, il fait des études scientifiques, lui aussi tout comme Peter et Charley. Arthur voyait donc le profil gauche de Jasmin et sa musculature faciale s'exprimer à travers la discussion joviale entre les deux hommes plus âgé, qui entourait Arthur. Le jeune homme aux yeux émeraudes cherchait dans le profil de Jasmin si ce qu'il avait aperçu était vrai ou s'il l'avait imaginé, mais ne pouvant voir que partiellement le regard électrique de Jasmin, il ne pouvait pas vérifier. Vérifier quoi exactement ?


Que ferait-il si cela s'avérait véridique ? Que signifiait ce mélange émotionnel dans le regard de Jasmin ? Signifiait-il vraiment quelque chose ou était-ce lui qui pensait trop ? Est-ce que Jasmin le voyait autrement qu'un simple ami ? Était-ce même déjà le cas depuis le début de leur relation ?


Le toucher du pied de Jasmin contre ses orteils l'avait fait frissonner bizarrement chaleureusement et se tendre. Il repensa à la main robuste et chaude de Jasmin dans la sienne à la crêperie le dictant comme son petit-ami devant un employé et au regard intéressé de Jasmin sur lui quand ils échangeaient verbalement depuis quelques semaines. Il revit le regard dur et confiant de Jasmin fixer l'employé et sa main se serrer dans la sienne avant de brusquement le tirer loin du comptoir. Jasmin était différent de Peter. Jasmin était plus confiant, il respirait l'aisance et la patience. Il semblait savoir ce qu'il voulait.


Durant ce dîner, son regard envers Jasmin se changea complètement et sa timidité envahissait son corps tout comme il resta muet pendant tout le reste de ce dîner malaisant et à la fois, reposant. Arthur but une gorgée et s'étouffa en croisant le regard vif et joviale de Jasmin vers lui.


Jasmin haussa un sourcil en voyant Arthur baisser rapidement les yeux fuyant son regard énigmatique et fixer son assiette vide avec quelques tâches de sauce encore présente à l'intérieur. Jasmin se pinça la lèvre inférieure avant de reporter son regard vers le paternel, qui lui expliquait sa longue théorie et son ressenti sur l'affaire de l'explosion de son centre. Quant à la mère, elle commençait à débarrasser la table en souriant, heureuse de voir que le feeling passait bien avec Jasmin. Toutefois, elle sentie qu'Arthur ne semblait pas de son avis au vu de sa mine déconfite et penaude. Malgré tout, elle espérait que cela passe dans les ondes plus positives pour sa relation avec Jasmin.


Devant le comptoir de sa cuisine, elle déposa le plan de son bœuf bourguignon et chercha des compartiments pour ranger le plat dedans et le mettre au frigo. Elle surveillait, du coin de son œil, son fils qui restait étrangement silencieux, ce soir-là. Elle passa une main dans sa chevelure blonde pour mettre quelques mèches derrière son lobe d'oreille et soupira tandis qu'elle revoyait l'ancienne bande d'ami d'Arthur et Lyam, rebobinant quelques souvenirs avant leur déménagement. Elle soupira et rangea le plat dans le frigo.


—Bon, c'est bien beau de vous voir discuter sur ce genre de sujet pendant des heures, messieurs, mais je pense qu'il serait temps que vous vous prépariez à dormir, n'est-ce pas Arthur ? Peux-tu montrer la salle de bain à ton ami ?

—Oui, maman !


Arthur se leva et sortit précipitamment de la cuisine avant de revenir sur ses pas. Il croisa le regard taquin de Jasmin et de sa mère, il reporta son attention sur son ami.


—Tu viens, Jasmin ?


Jasmin pouffa de rire et cela fit serrer le cœur d'Arthur. Son rire fut communicatif quand il entendit celui de sa mère et il tourna la tête, embarrassé. Il entendit les pas de Jasmin venir vers lui et parcourra de nouveau le couloir en surveillant bien que Jasmin le suivait toujours. Ils graissassent les escaliers et retournâmes dans la chambre du plus jeune.


—Tu as ton pyjama ?

—Je te rappelle, que je suis venu sans rien. Ta mère m'a prise au dépourvu...

—Donc tu n'as pas de pyjama ?


Arthur vit la tête de Jasmin secouer négativement et Arthur se mordilla la joue intérieure droite, se sentant idiot d'avoir posé cette question tellement évidente.


—Ok, je dois avoir un pyjama trop grand quelque part...Parfois, mon père se trompe dans la taille quand il m'en offre à mon anniversaire...Hm, la dernière fois il m'en a offert un parce que c'était en solde et—

—Tout va bien, Arthur. J'ai aussi des affaires trop grand dans mon placard, mais ils proviennent de mon grand-frère. Il faut que je fasse le ménage à un moment donné.

—Oh...Si tu veux, je pourrais venir chez toi la prochaine fois.

—Quoi ?


Arthur s'arrêta en plein milieu de sa chambre et écarquilla les yeux en se rappelant les mots qu'il venait de prononcer. Venait-il de dire qu'il aimerait aller chez Jasmin ? Venait-il de lui donner un sous-entendu ou était-ce lui, qui imaginait tout ? Mais la question en suspend de Jasmin le pris au dépourvu. Il se retourna en bégayant lorsqu'il vit le regard surprit et de nouveau, joueur de Jasmin ? Il déglutit.


—Euhm, je disais ça comme ça sans arrière passé, ha ha...vu que tu m'as aidée aujourd'hui à ranger mes derniers cartons, il serait...l—logique que je—je...


Le léger rire franc et communicatif de Jasmin refit surface faisant sourire timidement Arthur.


—Attend-moi-là, je vais te donner un pyjama.


Ce dernier attendit près de la porte, qu'Arthur prenne son pyjama et ils se dirigèrent vers l'extrémité droite du couloir, juste en haut des escaliers. Jasmin voyait qu'Arthur tenait toujours ledit pyjama en main et un sourire s'affichait sur son expression faciale.


—Hm, voici la salle de bain. Tout y est. Tu peux prendre ma serviette, elle est posée sur une tringle derrière la porte.

—Ok merci...


Arthur hocha la tête avec nonchalance et scruta le mur par-dessus l'épaule gauche de Jasmin, n'osant plus le regarder.


—Hmm, Arthur ?

—Oui ?

—Je peux avoir ton pyjama ?

—Hein ? Mon pyjama ? Comment ça ?


Jasmin se rapprocha d'Arthur de quelques pas, amoindrissant le peu de distance, qu'il y avait entre eux et tendit les mains. Arthur sentit son échine s'hérisser et sa gorge se nouer tandis qu'il voyait le jeune homme lever les mains vers lui tandis que son buste se penchait en même temps. Il pouvait sentir la chevelure blonde et légèrement ébouriffé de Jasmin effleurer son front, amplifiant la rougeur aux extrémités de ses oreilles et ses mains devenir moite tandis que son cœur valsait dans sa cage thoracique à son plus grand étonnement. Que se passait-il donc ?


Arthur entrouvrait ses lèvres surprit de la proximité étrange que donnait Jasmin entre eux et il sursauta en sentant les mains chaleureuses de Jasmin toucher ses bras. Il sentit une chaleur envahir son corps et une sensation plus que glacial remplacer la chaleur quand Jasmin s'écarta de lui, montrant son pyjama en plissant les yeux et faisant relever ses pommettes. Jasmin montrait victorieusement son pyjama comme s'il venait de gagner une médaille d'or à une quelconque compétition.


—Je parlais de ce pyjama, charriait Jasmin.


Arthur sentit son cœur rater un battement tandis que la rougeur se déversait sur ses joues. Il baragouina une excuse avant de se tourner et s'éloigner de Jasmin. Jasmin souriait, amusé de la gêne subite qu'il avait produit chez Arthur, expressément. Il s'engouffra dans la salle de bain et commença à se déshabiller en partant de son pantalon, laissant ses jambes nues se voir. Ensuite, Jasmin pénétra la douche et laissa l'eau se déverser sur son corps saillant par quelques activités physiques, qu'il faisait à ses heures perdues avec Charley ou son frère aîné. Il passa une main dans sa chevelure blonde, la grattant et séparant quelques mèches pour laisser l'eau nettoyer son crâne.


Jasmin soupira d'aise et regarda quelques gouttes d'eau dégouliner sur ses pectoraux musclés et qui laissait entrevoir les mouvements de sa respiration chamboulée, qu'il savait sans doute qu'Arthur n'avait pas remarqué pendant leur proximité. Voir les yeux surprit et timide d'Arthur de si près, voir la surprise passé à une émotion et sensation singulières lui avait fait quelque chose.








Terriblement.







C'est la quatrième fois, qu'il osait ce rapprochement singulier. La première étant la crêperie quand il s'était autoproclamé petit-ami d'Arthur pour faire taire le clapet à un employé, la seconde ayant enlacé leurs mains à quelques reprises ou son côté joueur qui prenait parfois le dessus, rapprochant inconsciemment son corps de celui d'Arthur cherchant du contact et la troisième fois, fut son pied qui rencontrait celui d'Arthur sous la table, quelques minutes plutôt.



Et à chaque fois, se rapprocher un peu plus d'Arthur faisait réagir son corps terriblement. Son palpitant valsait dans sa cage thoracique et les rougeurs sur son visage ne voulait pas partir. Son esprit tourné vers Arthur, rembobinant ses moments passé avec lui le faisait se questionner sur sa relation. Devait-il tenter une approche plus physique? Devait-il tenter quelque chose ? S'il continuait sur cette lancée, Jasmin ne savait pas s'il arriverait à se contenir et à se satisfaire de cette simple relation amicale et fortement, ambigüe. Il se savonna tandis qu'il rembobinait dans son esprit, la phrase emplie de sous-entendue subtil d'Arthur : « —Oh...Si tu veux, je pourrais venir chez toi la prochaine fois ». 


Il s'imagina Arthur chez lui et rien que de l'imaginer, il sentit son palpitant cogner fortement dans contre son torse et son estomac se nouer. Il aimait terriblement cette idée. Jasmin finit sa douche et sortit de celle-ci en enroulant une serviette autour de sa taille. Il se regarda dans le miroir, qui longeait le mur au-dessus du lavabo de la salle de bain et suivait une goutte d'eau glisser le long de son torse pour s'enfuir sous sa serviette, après avoir longé son rein droit. De plus, il avait bien remarqué que ses rougeurs à ses joues n'étaient pas parties une seule seconde après sa douche.


Il ébouriffa ses cheveux en soupirant de frustration faisant tressauter ses épaules et ses pectoraux dans le mouvement. Il se sécha et s'habilla avant de sortir de la salle de bain, après avoir remis la pièce comme neuf. Ses pas se dirigeaient vers la chambre d'Arthur et il s'arrêta à l'embrassure de celle-ci, son regard s'attardant sur Arthur, qui était assit sur sa chaise en faisant ses devoirs.


—Arthy ? La salle de bain est libre, tu peux y aller, si tu veux.


Dès que son surnom avait sorti d'entre les lèvres de Jasmin, ce dernier croisa le regard de son hôte, qui s'agrandit progressivement faisant lâcher son stylo et sa calculette sur le pupitre de son bureau. Sa réaction le fit sourire et un rire léger s'échappa de ses lèvres tandis qu'il pénétra la chambre d'Arthur.


***

J'espère que ce chapitre vous aura plus ! Nouveau chapitre rapprochant dangereusement Jasmin et Arthur.  Arthur fait tourner en bourrique Jasmin sans qu'il s'en aperçoit clairement, mais il sait que quelque chose commence à changer le rythme de sa relation avec Jasmin. S'il ne le voyait pas auparavant, maintenant, il sait. 


J'espère ne pas vous avoir fait trop attendre pour la suite UwU 



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