Chapitre 54: Infiltration...L'aile Est.

Moi,  avoir oubliée de poster le chapitre 54 et qui était prête à poster le chapitre 55 ? Non, pas du touuut XD Dans tous les cas, vous auriez eu un chapitre d'avance ha ha ha 

Bref, j'suis désolé de la loooonngue attente, mais comme je l'ai déjà dis j'étais pas mal occupée ces derniers jours. Le temps passe à une vitesse foooollle, c'est dingue ! J'espère que vous passez un bon mois d'avril ? 

J'ai bientôt fini Sorcery Of Thorns, il me reste 100 pages niooooon T-T Heureusement, que le tome 2 arrive bientôt ! 😍 Quelles sont vos sorties littéraires que vous attendiez le plus pour les prochains mois ?? Je suis curieuse de savoir~

Assez blablater, je vous laisse retrouvée  Peter  :3 

PS: Je vous poste le chapitre 55 aujourd'hui ou demain, du coup ? 👀

***


La crêperie...Arthur...Jasmin...Arthur...Jasmin...Arthur...Jasmin...Et cette maudite phrase...Peter Parker soupirait de frustration tout en fixant l'immense bâtiment qu'il regardait depuis plus d'une heure. Assis, sur le toit d'en face de l'édifice, il observait et analysait chaque entrée et sortie des employés du centre scientifique de la ville de l'arrondissement du Queens. Tout en faisant cela, d'autres pensées se mélangeaient et envahissaient son esprit comme un poison qui s'infiltrait dans son corps. De plus, ces questions qui taraudaient son crâne ralentissaient grandement ses observations puisqu'il n'arrivait plus à réfléchir correctement.


« —C'est mon copain, se justifia-t-il avec assurance avant de remettre le cash, payant ainsi en liquide. »


Cette phrase...elle se bousculait dans sa mémoire sans répit comme un ouragan. Peter pensât que Jasmin l'avait dit avec une telle assurance que cela avait imprégné maladroitement son esprit et l'avait surpris. Pourquoi Arthur ne lui avait-il rien dit ? Il ne savait pas qu'Arthur et Jasmin étaient aussi proche et intime entre eux. Il avait été complètement aveugle! L'air frais de la ville frappait son costume rouge et bleue aux nombreuses lignes noires. Ses yeux scrutaient de haut en bas le bâtiment blanc alors que cette pensée camouflait son objectif premier. En quittant aussitôt la crêperie après avoir vu Arthur en agréable compagnie et en arrivant ici, Peter avait complètement ruiné une partie de leur sortie amicale. 


Son absence non-questionné dû à son prétexte crée de toute pièce par Ned n'a pas attisé plus que cela, la curiosité de ses amis sur la question puisque Ned ne lui avait pas plus envoyer de messages que ceux envoyés durant son chemin jusqu'ici. Il en fût presque déçu. En revanche, cela le rassurait sur le fait que ses amis passaient un agréable moment avec leurs aînés. En effet, dans le groupe, les Terminales se trouvaient être avec toute évidence : Jasmin, Charley et de Judith, qu'il avait aperçu furtivement en quittant promptement la crêperie.


Peter soupira et se frappa les joues pour rester concentré sur son premier objectif : essayer de comprendre le but de l'explosion du centre scientifique. Cette question fondamentale sans réponse, depuis plusieurs semaines, lui restait en travers de la gorge et le faisait rager. Fronçant les sourcils, Peter fixait le bâtiment, analysant tous les faits et gestes des employés à l'extérieur. De ce fait, il pouvait observer les entrées et les sorties de l'entrée principale de l'édifice. Ainsi, Peter pouvait voir à tout moment si quelque chose semblait inattendue ou inhabituel : il le saurait. Ayant repenser à ce qu'il avait vu plutôt dans la journée, Peter n'était pas si concentré que maintenant. Heureusement, pour lui, à ce moment-là rien d'inhabituel semblait bouleverser les horaires de l'édifice scientifique.


14h00 pm.


Le soleil tapait sur le toit des murs et des reflets apparaissaient sur les murs des édifices aux alentours du centre scientifique. L'air était plus ambiant et moins froid que le matin même. Agenouillé sur l'un des toits devant le centre, Peter scrutait les portes du portail en muret du centre scientifique. Il l'observait et plissa les yeux lorsqu'elles finissent par s'ouvrir dans un tintement métallique et assourdissant. Il sera le mur du toit auquel il était agenouillé et se pencha pour mieux observer le nouveau client. Effectivement, il commençait à y avoir de l'agitation autant à l'entrée qu'à l'intérieur du bâtiment. Peu rassuré à cette constatation, Peter essayait de suivre des yeux, le grand camion pénétrer la cours du centre scientifique. Peter abaissa sa silhouette lorsqu'il vit, de nouveau, des employés sortir en courant du centre pour venir réceptionner et guider le camion qui conduisait à l'intérieur de la cour.


Peter suivait du mieux qu'il le pouvait le camion et les employés, longeant ainsi le bord du toit dans laquelle il se trouvait, s'arrêtant parfois pour se cacher lorsqu'un agent de sécurité s'aventurait proche de lui, laissant ainsi une distance raisonnable entre lui et les employés du centre. Le camion zigzaguait entre les ailes du centre scientifiques. Peter ne se trouvait plus au nord de la cour vers les portes, mais il se dirigeait vers le sud. L'éclat d'un rayon du soleil se reflétant sur les grilles métalliques du centre l'éblouissant et un son assourdissant lui brisa le tympan.


Mais qu'est-ce qu'ils font ? se demanda Peter, inquiet.


Il rouvrit son œil droit qu'il avait fermé à cause de l'éblouissement du soleil qui se reflétait sur les grilles et une immense porte métallique renforcée dans un mur du bâtiment devant lui qui s'étendait sur plusieurs mètres carré. C'était le bruit de la porte qui s'ouvrait en grinçant lourdement qu'il avait entendu. Il baissa son torse et fixa le camion qui pénétra l'entrepôt de l'aile Est, s'y cachant.


L'aile Est.


Peter écarquilla les yeux à cette constatation. Croyant se diriger vers le sud et son regard fixer sur ledit camion, il n'avait pas fait attention aux points cardinaux du lieu et la structure de celui-ci. Il reporta son regard sur les grilles et scruta la longue allée emmuraillé qu'il avait parcouru sur le toit, sautant quelques fois pour passer d'un toit à un autre. Il voyait, au loin, les immenses infrastructures métalliques des portes du muret qui entouraient tout le centre scientifique. Les portes se trouvaient bien au nord du lieu, qui englobait toute la partie de la façade du bâtiment.



L'aile Ouest se trouvait dans une aile qui se composait : d'une salle des machines, de bureaucrates d'ingénierie et de bureaux ainsi que de tout autres infrastructures tandis que l'aile Est...était un immense entrepôt avec sa propre salle des machines et des salles de laboratoires. Mais pourquoi ? Idéalement, un entrepôt n'avait pas besoin d'une salle des machines...à moins, qu'elle soit annexée à une aile d'édifice et qu'elle est constituée pour faire des matières illégales.


 Peter serra le poing à cette réflexion et repensa à l'étrange salle de sas qui s'ouvrait sur un espace en forme de triangle isocèle permettant d'accéder à une seconde porte, qui celle-ci permettait de pénétrer dans une salle remplie d'équipement scientifique pour les animaux. Peter n'arrivait pas à imaginer les expériences que le centre scientifique pouvait effectuer, camoufler aux yeux du monde entier. Était-ce seulement cela là, une partie de la vérité derrière l'explosion ? Avec de simples hypothèses et de réflexion, Peter n'en était pas certain à cent pour cent. Il devait pénétrer cet entrepôt pour pouvoir être confiant dans ce qu'il avançait.



Peter souffla d'exaspération et attendit avant qu'on ouvre une nouvelle fois la porte métallique, qui s'était fermé dès que le camion avait pénétré l'entrepôt. Il dût attendre trois minutes pour entendre la porte grillagée s'ouvrir de nouveau pour laisser sortit un autre camion, qui surprit Peter. S'en était un autre. Combien de camion y avait-il ? Deux ? Neuf ? Une vingtaine ? Peter ne pouvait le constater. Il se mordit la lèvre inférieure par cette remarque et suivit des yeux le camion avant d'agir aussitôt qu'il entendit un bruit assourdissant provenir des portes. Il remarqua rapidement que les portes se refermaient aussitôt que le camion en était hors de sa portée.


PeterenfinSpiderman descendit d'un geste abrupte du toit dont il était perché. Le sol sous ses pieds fit voltiger la poussière des cailloux et de la saleté s'évaporant dans les airs. Spiderman se mit à courir pour se cacher contre un rabat d'un mur, avant de se faire repérer et il regarda autour de lui. Ne voyant nullement une trace d'un employé, à sa grande surprise, il sorti de sa cachette qui se trouvait non loin de la porte et à la dernière minute, Peter se projeta au sol pour se laisser traîner par une toile qu'il tira de sa main droite à l'aveugle pour pénétrer l'enceinte de l'entrepôt avant que la porte métallique ne se referme à son passage.


Allongé au sol bitumeux de l'entrepôt qui ressemblait à vaste garage, il sut immédiatement qu'il avait réussi à pénétrer l'enceinte de l'aile Est, se laissant d'une certaine manière être pris au piège puisqu'il n'avait pas pensé à un plan B pour sortir. Il allait, enfin, chercher des réponses à ses interrogations !!


Spiderman regarda autour de lui, scrutant avec attention ce qui l'entourait afin de ne perdre aucun détail. Les lumières étaient éblouissantes et tellement puissantes, qu'elles ne laissaient aucune trace d'ombre dans le petit garage. Les murs étaient gris mat et en plus, d'avoir un espace pour stationner des camions, sur le côté gauche, un espace d'étagère y était installé. Dessus, quelques cartons et boîtes-à-outils y étaient posés ne laissant que quelques espaces de centimètres séparer chaque objets de l'étagère. En-dessous, des sacs ressemblant à des sac de blé longeaient le sol froid blanc du hall d'entrepôt. Le jeune super-héros scrutait le sol avec une attention particulière et s'abaissa devant des traces noires fumées sur le sol. Il toucha, à peine, du bout des doigts les traces, les effleurant et en suivit le tracer jusqu'à relever la main pour pointer la porte métallique.


Ils doivent venir ici très régulièrement pour laisser autant de traces de roues, constata Peter dans un souffle.


Le jeune homme se redressa et vit, du coin de son champ de vision droit, une porte noire et un petit perron menant à celle-ci. Il accourra vers le perron et y escalada les mini-escaliers. Il colla son corps contre la porte et colla son oreille droite pour écouter de l'autre côté, s'assurant ainsi le silence ou du bruit qui se passerait au revers de la porte. Il attendit plusieurs secondes avant de soupirer et d'actionner la poignée de porte. Ouvrant celle-ci et pénétrant dans la nouvelle salle, il vit qu'il était dans un espace plus petit et étroit que le hall de l'entrepôt. 


En levant les yeux, au ciel, il vit quelques petites fenêtres qui laissaient passer un minimum d'éclat de lumière naturelle. Toutefois, cela laissait l'obscurité prendre le contrôle du couloir. En effet, Peter pouvait constater qu'il ne voyait pas en détail ce qui l'entourait, la noirceur l'en empêchant tout simplement. De plus, le silence régnait en collaboration avec la noirceur. De ce fait, ses pas s'entendaient avec une sonorité frappante et angoissante comme s'il était seul au monde dans cet endroit maudit.


Soufflant d'angoisse, le super-héros finit par buter contre un obstacle et il grogna en sentant un point appuyer fortement le côté droit du muscle de son ventre. Il se recula et tâtonna le mur jusqu'un cliquetis parvint à ses oreilles. Il malaxa ce nouvel emplacement et réussit à l'actionner, l'ouvrant. C'était une porte...une fois de plus. Soulagé en voyant la lumière de l'autre côté, il rabattit brusquement la porte en entendant des bruits de pas. Toutefois, il laissa un espace ouvert pour qu'il puisse observer. 


De loin, on ne pouvait concevoir qu'un observateur intrépide et d'ininvitable. Ainsi, Peter put voir deux scientifiques et un agent de sécurité passer près de lui, discutant de l'actualité du centre scientifique. En revanche, seulement des bribes de la conversation provenant d'une jeune femme et d'un jeune homme parvenaient maladroitement aux oreilles de Peter. Les mots « Aile Est », « Explosion », « Expériences » et « Salle des machines » ainsi qu'un dernier mot qu'il lui glaça le sang « intrus » a pu parvenir jusqu'à lui.


Avait-il été repéré ? Ou est-ce qu'ils parlaient de son effraction des semaines précédentes ? Ou alors, parlaient-ils d'autres choses dont il n'avait pas conscience, pour le moment ? De nouvelles questions sans réelles réponses envahissaient l'esprit déjà bien rempli d'interrogation de Peter.


Ce dernier soupira lorsqu'il vit les employés s'éloigner et il pénétra dans la gigantesque salle. On aurait dit presqu'une salle des machines, seulement, ce ne fut pas le cas. Le sol était gris comme les murs du hall de l'entrepôt de l'aile Est, donnant un air opaque et plus angoissant. Était-il entrée par derrière ? Ou était la salle d'ingénierie et de science ? Ici, l'air était plus froid correspondant parfaitement aux infrastructures métalliques qui surplombaient autant chaque centimètres du milieu que la hauteur de taille de Peter. Ce dernier, se pensât irrémédiablement petit devant ces infrastructures métalliques. Des petites lumières éclairaient la gigantesque salle de rayonnages de l'entrepôt, vacillant parfois et donnant encore plus un air horrifique. Peter avait hâte de quitter cet espace, qui lui donnait la chair de poule, à sa grande surprise. Après tout, il savait très bien qu'il détestait les films d'horreur et Ned le charriait beaucoup pour cela.


Secouant la tête et les épaules comme pour congédier les mauvais esprits, il finit par avancer entre les allées de ces infrastructures métalliques. Certaines contenaient plus de boîtes que d'autres, semblant donner une certaine organisation internes et essentielle dans la gestion de l'entreprise. Il ne sut dire si les boîtes contenaient du traitement de documents d'archives et des produits chimiques ou alors, commerciaux.


En entendant, un bruit assourdissant comme si on déplaçait une immense cargaison de bibelot métallique, il sut discerner que c'était un objet qu'on poussait et qui glissait sur le sol gris de la salle de stockage de l'entreprise. Il se hâta à se cacher et vagabonda dans les rayonnages, s'éloignant le plus possible de l'employé qui venait vers lui. Il entendait, de plus en plus fort, les bruits de roulettes qu'on râclait sur le sol pour faire avancer le chariot parvenir jusqu'à lui. Sa respiration s'accélérait en même temps que sa course. Seulement cette fois, il remercia les cours d'athlétisme en sport. Ainsi, il put arriver à une troisième porte en un temps record et le plus important, avant l'employé. En revanche, il aurait pu tisser des toiles pour aller plus vite, mais il voulait rester discret et il ne connaissait pas l'endroit, avec son peu de maladresse qu'il avait et de l'ignorance de l'espace et la capacité d'accrochage des infrastructures métalliques, il avait préféré éviter de tisser; prenant ainsi le naturel pour avancer dans son enquête.


Épongeant ses pensées et sa respiration, il actionna la porte et sursauta en voyant un jeune homme aux yeux noir l'observer avec surprise. Ils se scrutaient et avant que le scientifique ne puisse héler quelqu'un, Spiderman tissa une immense toile opaque qu'il fixa aussitôt sur la bouche du scientifique avant de l'assommer en le prenant par les pieds, le faisant tomber. Son geste ne fit aucun bruit assourdissant et il soupira. En revanche, il devait s'occuper de ce malotru. Il ne pouvait pas le laisser ici en sachant qu'il était à la vue de tout le monde et qu'ils sonneraient l'alarme. De plus, l'employé qu'il essayait de fuir était juste derrière lui, il pouvait encore entendre les grinçantes roulettes qui râclaient sol se rapprocher de sa position. Il n'avait pas le choix que de l'emmener avec lui pendant un petit temps pour trouver une meilleure cachette.


En conséquence, il sut grâce aux scientifiques qui vagabondaient ici et là, qu'il était dans la bonne direction, ce qui le soulageait un tant soit peu. Sur le badge de l'employé, il put y voire un nom écrit en minuscule lettre noire : « Léon ». Il ne donnait pas plus de vingt-sept ans à ce jeune homme. Le soulevant pour le mettre sur son dos maladroitement, Peter geignit de douleur et lâcha une plainte.


Qu'est-ce qu'il est lourd, souffla-t-il en grognant.


Il le haussa de nouveau sur son dos et continua sa route, la traçant aussi vite qu'il le pouvait. Toutefois, un tintement métallique le fit s'arrêter et baisser les yeux sur le plancher vert, cette fois-ci. Il haussa un sourcil en voyant une carte magnétique accroché à un fil bleu. Il se pencha difficilement et d'une main gauche, il attrapa le magnet.


Sa carte d'identité! J'en aurais probablement besoin par ici...


Il se souvenait que dans l'aile ouest, il n'en avait pas besoin pour ouvrir les portes, mais si cet aile est était plus importante et colossale que l'aile ouest, les portes devaient être plus hautement gardé par un système de sécurité numérique démesurée et dernier cri. Il soupira et accrocha la corde bleue à son cou, laissant pendouiller grossièrement la carte magnétique sur son torse.


Il rabattit le jeune homme contre son dos, le maintenant par les fesses et il soupira de frustration, scrutant chaque allée et ne trouvant aucune nouvelle porte pouvant lui venir en aide. Il devait se faire à l'idée, mais le super-héros ne voulait pas se trimballer un lourdaud pareille pendant encore longtemps !


Agacé, il finit par le déposer sur le sol contre un mur. Il haussa ses épaules afin d'enlever la douleur musculaire de son dos et de ses épaules qui le traversaient depuis plusieurs minutes, déjà. Il écarta les bras et croisa ses mains avant de s'étirer.


Enfin, libre ! se dit-il avant de porter son regard autour de lui.


Il avait que très peu de temps pour se dévergonder les jambes et se reposer, ainsi. Encore une fois, très peu d'espace dans ce couloir qui pourrait lui être utile pour cacher le scientifique qu'il avait emporté et assommé. Cet inconvénient l'angoissait et le ralentissait dans sa démarche. À moins, pouvait-il l'interroger ? Non...Ça serait trop risquer. Mais, ça faciliterait ses recherches et ses questions qui attendaient une éternelle réponse. Que devait-il faire, maintenant qu'il y pensait ? Après tout, qui lui disait qu'il ne s'échapperait pas de sa cachette lorsqu'il se réveillerait de son sommeil de plomb ? Spiderman était embêté. Il était coincé comme pris dans un nouveau piège imprévu, cette fois-ci.


Spiderman scruta les alentours et se résolût à l'emmener encore quelques pas avec lui. Il reprit son fardeau et marcha lentement jusqu'à ce qu'une nouvelle porte s'ouvre à lui. Durant le trajet, le silence et sa respiration saccadée par l'effort physique remplissaient seulement l'espace du couloir se répercutant sur les parois grisâtres de celui-ci.


Une fois qu'il eut ouvert la nouvelle porte, il soupira d'aise en posant Léon contre un mur et il s'étira pour enlever la douleur musculaire qui refaisait un tant soit peu surface. Ensuite, il put observer autour de lui et essayait d'analyser l'endroit dans lequel il se trouvait.


Il devait être au deuxième étage de l'aile Est. La salle était de taille moyenne et presque plongée dans le noir puisque des faisceaux lumineux brisait la noirceur la plus totale. Spiderman s'approcha et se retourna pour s'assurer que Leon était bien appuyer contre le mur près de la porte, entouré de sa toile pour éviter sa fuite probable lors de son réveil. Il reporta son attention sur ce qui l'entourait et il s'approcha d'un pan de travail pour vérifier la provenance d'une des lumières bleutés qui s'en dégageaient. 


Il remarqua que c'étaient des ordinateurs qui se trouvaient sur les pans de travail. Trois rangées parallèles avec le même nombre d'ordinateur : trois par tables. Quelques-uns étaient en veille d'où la provenance bleuté que Spiderman avait aperçu en se retournant. Et il se pencha sur l'un d'eux. Il vit la souris et la mania en cercle pour faire apparaître sur l'écran le dernier fichier paru sur le serveur de cet ordinateur de travail. Spiderman, toujours aussi silencieux, passa son regard parmi les nombreux fichiers qui s'ouvraient un à la suite l'autre à la vitesse de la lumière comme si un raz-de-marée engloutissait une ville.





Et Spiderman écarquilla les yeux devant sa découverte.


*** 

Notes:

Pas d'Arthy ni de Jasmin en vue pour ce chapitre, hélas! Peut-être dans le prochain, qui sait ? ;)

On revoit, malgré tout, Peter et son rôle en tant que Spiderman dans ce chapitre. Il faut bien! Le mystère est toujours irrésolu. Qu'est-ce qu'il attend, Peter ? XD 

Toutefois, on remarque bien dans ce chapitre que Peter est tiraillé par la relation ambiguë qu'entretiennent Jasmin et d'Arthur. 

J'espère que vous aviez aimé ce chapitre ! L'action est plus présente dans celui-ci que dans les précédents chapitres où c'était un peu plus romancer.

Je me demandais aussi, est-ce que cela vous dérange que je jongle entre « Peter » et « Spiderman » quand je fais rentrer en scène le super-héros ? Vous préférez que j'écrive tout le temps « Spiderman » ou que je laisse les deux ? J'aimerais savoir pour voir si je modifie dans le prochain  chapitre. 

Merci pour votre enthousiasme ! Ça fait plaisir ! 🥰


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