Coucouuuuu, excusez-moi de cette loooooongue attente que je vous ai fais subir sans faire exprès UwU  Voici enfin le chapitre 9 que vous attendiez ! La suite reprend, j'ai enfin pris le temps d'écrire les paragraphes pour les prochains chapitres après mures réflexion pour  les événements futures hihihi J'ai hâte de tout vous poster.  J'espère juste ne pas rentrer trop les clichés et que ce soit innovateur, c'est tout ce que j'espère avec cette fanfic. 

Bonne lecture 📖✨

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Il se dépêcha en empruntant le couloir devant lui où l'attendait Ned et Peter en plein milieu. Dans le rabat inférieur du couloir, vers sa gauche, Arthur se rappela que c'étaient les bureaux des professeurs de sport et à sa droite, il entendait les élèves nager dans la salle de piscine en plus d'un sifflet qui retentissait contre les parois de la salle de natation. Arthur, Peter et Ned longèrent le mur vitré du couloir qui donnait sur la cours centrale et interne du bahut. Arthur scrutait rapidement les posters des joueurs de l'équipe sportif de l'établissement scolaire. En effet, les posters représentaient certains joueurs ou joueuses dans différents domaines sportifs, par exemple : le foot, l'athlétisme, de tennis ou le basketball.

Ils dépassèrent une double porte et immédiatement, l'odeur de la sueur parvinrent rapidement à leur narines ainsi que des cris d'encouragements qui provenaient des salles au fond du couloir. Arthur vit un employé au comptoir d'emprunt à sa droite, donnant une tenue sportif à un jeune étudiant. De ce qu'Arthur voyait, l'employé sermonnait et encourageait en même temps l'étudiant. Ils arrivèrent rapidement dans les vestiaires de leur cursus et pénétrèrent rapidement dans le vestiaire où encore une fois, ils sentirent l'odeur masculine à plein nez étant donné qu'elle était plus forte et omniprésente dans cette pièce que dans les couloirs. Cette fois, Arthur ne put s'empêcher de pincer son nez sous les rires de Ned.

—Ne rit pas, Ned ! Je suis vraiment sensible aux odeurs nauséabondes, se défendit Arthur en les rejoignant dans leur rangée de casier.

—Désolé, mec, s'excusa Ned tout en lâchant un dernier rire.

—Vu que tu n'as pas encore de casier puisque tu es nouveau, tu peux mettre tes affaires avec les miennes, signala Peter en montrant du doigt son casier situé à droite de la rangée du milieu.

—Merci, remercia Arthur.

—Que tu es trop aimable, Pete', rigola Ned.

Peter leva les yeux au ciel tout en donnant une mini-gifle sur le bras de son meilleur ami qui fit semblant d'avoir mal. Peter sourit amusée de cette réaction et commença à se changer tout en secouant négativement la tête. Du coin de l'œil, Arthur vit Ned à sa gauche, ouvrir un casier et commencer à son tour, de se changer. Par le fait même, Arthur suivit le mouvement de ses deux comparses et commença à enlever chaussures et chaussettes avant son pantalon noir. Son haut était assez grand pour cacher légèrement son boxer puisqu'Arthur était légèrement timide. En effet, en ayant vu qu'il avait sport aujourd'hui et ne voulant pas répéter les mêmes erreurs qu'autrefois, Arthur avait tout prévu à l'avance le matin même.

De ce fait, il se retrouva vite fait en boxer gris sous son grand haut avant que ses amis ne voient sa carrure. Arthur pouvait voir encore des marques sur ses cuisses et le bas de son dos. La mine tantôt heureuse sur le visage de l'étudiant changea brusquement et Arthur enfila rapidement son short sportif et empoigna ses affaires pour les mettre sur le banc derrière lui, les pliant afin qu'ils puissent le mettre dans le casier de Peter quand ce dernier aura fini afin de ne prendre pas trop de place dans le compartiment de son nouvel ami.

Quant à Ned, il avait enlevé sa casquette, son haut rose et son jaser bleu-orange se retrouvant torse nu tout comme Peter. Alors que Peter, était toujours en pantalon, Arthur se redressa et son regard ne put s'empêcher de se focusser sur les mouvements de Peter qui commençait à enlever son haut, dévoilant sa musculature dorsale. Arthur senti le picotement revenir et ses joues rosirent. Rapidement, il détourna le regard avant que Peter ou Ned ne le prenne en flagrant délit.

Quelques minutes plus tard, les trois nouveaux amis sortirent des vestiaires habillés d'un short bleu et d'un haut bleu aux manches courtes jaunes où le blason de l'école se retrouvait sur leur buste droit.

—Que pensez-vous qu'on va faire aujourd'hui? demanda Ned

—Je ne sais pas, qu'est-ce que vous avez fait auparavant? rétorqua Arthur.

—On a déjà fait athlétisme, tennis et basket, répondit Peter en énumérant les sports collectifs et individuels qu'ils ont réalisés depuis le début de l'année sur le bout de ses doigts.

—Oh la chance! Dans mon ancien lycée, on a juste pratiqué le foot et de la course, je suis partit juste après les cours d'athlétisme.

—C'est nul ! s'exclama Ned, écoutant le moindre mot et détail de ce que disait Arthur sur ses anciens cours de sports de son précédent lycée quand ils marchèrent vers le couloir droit pour se diriger vers le gymnase du fond.

—Je ne te le fais pas dire...

—Quand j'ai changé d'établissement, ils allaient faire du volley-ball, dans les prochains cours, informa Arthur.

—T'a le seum?

—Pas qu'un peu! Le volley-ball c'est trop bien, Peter !

Ce dernier sourit en voyant l'excitation d'Arthur à ce sport.

—On va p'têtre en faire, aujourd'hui alors, signala Ned.

—Qu'est-ce qui te fait dire ça ? demanda Peter en se tournant vers Ned.

Ned montra tout simplement le gymnase où plusieurs petits filets divisaient le gymnase en quatre petits terrains comme préparant un futur tournoi entre les élèves.

—Cool! s'extasia Peter, sentant l'excitation monter en lui.

Peter adorait les tournois! Quant à Arthur, l'étudiant observait la grandeur du gymnase. Il était immense et à la fois, petit selon la perspective de là où ils pourraient se trouver. Les gradins prenaient toute la largeur et la hauteur du côté droit, informant à Arthur subtilement que des réunions de grandes envergures pourraient lui faire face dans le futur.

—Pourquoi y'a personne ? intervint Ned quand ils pénétrèrent dans le gymnase.

—C'est généralement mauvais signe, non ? déclara Peter.

Peter hocha positivement la tête s'imaginant déjà le pire des scénarios possibles dans sa tête. Était-ce une invasion extra-terrestre ? Ou encore un vilain dont il ne connaissait pas son fonctionnement et son pouvoir aurait surgi de nulle part et enlever tout le monde ? Où est-ce que c'est eux-mêmes qui avaient, par-il-ne-sait-quel-miracle traverser un portail magique qui les auraient transportés dans un monde parallèle, mais sans vie humaine ? Ou serait-ce le tour d'un démon? Le cerveau de Peter bouillonnait et essayait de comprendre le pourquoi-du-comment de cette situation plus qu'étrange jusqu'à ce que Ned prenne la parole et coupe le monologue intérieur de son cerveau.

—On est les premiers ? C'est étrange, parce qu'avec Peter on est toujours en retard, dit Ned.

—Il ne faut pas s'en vanter, lâcha Peter, las.

Ned leva les yeux au ciel tandis qu'Arthur esquissa un léger sourire sur son visage. Arthur pouvait deviner que Peter réfléchissait à leur situation. En effet, ce dernier avait passé une main sur sa hanche droite et l'autre dans sa chevelure blonde, la décoiffant quelque peu tout en balayant du regard le gymnase totalement vide. Ce n'est que quelques minutes plus tard, que le grincement d'une porte qui vient de s'ouvrir parvint à leurs oreilles et qu'ils aperçurent une silhouette pénétrer le gymnase les fit se tourner vers celle-ci et vint évaporer tous les soupçons loufoques de l'esprit de Peter qui s'étaient imaginés quelques secondes plutôt le pire des scénarios de films hollywoodien possible. Ils s'avancèrent progressivement vers la silhouette qui se trouvait tout au fond du gymnase, dans le rabattement à gauche de la pièce.

—Oh, vous êtes là ? Le professeur vous cherchait.

—Non, c'est nous qui vous cherchons ! Ou êtes-vous ? réfuta Ned.

L'étudiant rigola devant la réponse de Ned et montra la porte de derrière.

—On est sur les terrains extérieurs pour aujourd'hui.

—Et les filets de Volley-ball ?

—Oh, ça ! C'est pour le prochain groupe du professeur! On fera le Volley-ball à partir de la semaine prochaine pour nous, informa l'étudiant.

—Oh, c'est trop dommage, j'aurais aimée en faire aujourd'hui ! S'écria Ned dépité faisant sourire Arthur.

Malgré tout, Arthur était peiné de cette information de la part de cet étudiant lui aussi.

—Allons-y. Le cours a commencé y'a déjà une bonne dizaine de minutes. Vous venez de manquer l'échauffement, les gars, informa l'étudiant.

—Et toi, pourquoi tu es là ? demanda Arthur.

—Je venais chercher ma bouteille d'eau, je l'ai oublié sur le banc.

L'étudiant montra son trésor qu'il était venu chercher aux garçons et effectivement, Arthur pouvait y voir une bouteille d'eau blanche aux rayures bleues trôner fièrement sur un des bancs de l'immense gradin du gymnase. L'étudiant se dirigea vers sa bouteille d'eau et la prit avant de faire le chemin inverse.

—Venez!

Le trio se regarda et soupirèrent avec lassitude avant de rejoindre leur camarade de classe.

—Et comment tu t'appelles ? demanda Arthur, voulant lancer la conversation.

—Charley, enchanté.

—Oh c'est peu commun.

—Ouais, mes parents voulaient un prénom qui sortait de tous les autres prénoms communs.

—Ils sont inventifs, en tout cas, complimenta Arthur.

—Merci, je leur en ferais part. Et toi, tu es le nouveau...Arthy ? Archie ?

—Arthur, Arthur Olligan, se présenta-t-il en pouffant de l'écorchage de son prénom.

—Désolé, j'ai dû mal avec les prénoms surtout s'ils sont nouveaux. Il faut que je m'y habitue, un temps soit peu avant. On t'a déjà fait visiter le lycée ?

—Ouais, Peter s'en soit chargée.

L'étudiant regarda derrière lui et croisa le regard de Peter avant de lui sourire tandis que Peter détournait le regard, gêné.

—Eh bien, qu'en penses-tu de notre établissement ? demanda Charley.

—Différent de toutes les écoles que j'ai pu faire. C'est un vrai labyrinthe! C'est fou à quel point tout les couloirs mènent vers quelque part et débouche sur un autre !

—Tu t'y feras ! Je m'y perdais souvent aussi au début, confia Charley.

—Tu es un ancien nouvel élève ? demanda Arthur, intéressé.

—Ouais, je suis arrivée y'a un an déjà. C'est le travail de ma mère qui nous a mené ici, à New York.

—Oh je vois, moi aussi. Enfin, les deux plutôt.

—Que font tes parents ? demanda Charley, curieux.

—Oh pas grand-chose de grandiose, mais mon père est scientifique et ma mère—

Une autre voix masculine plus forte et suave les interrompit alors qu'Arthur sentit, enfin, l'air frais caresser sa peau. Arthur arrêta de marcher quand il s'était rendu compte qu'il allait dévoiler le métier de sa mère à cet inconnu sorti de nulle part alors qu'il voulait garder ça, secret. Quel bourde ! Il était idiot. Un imbécile ! Il secoua la tête négativement tout en se traitant d'idiot sans cesse quand la voix masculine se rapprocha d'eux et le fit couper ses pensées. Il croisa le regard perçant de l'adulte et se mordilla la lèvre inférieure : c'était leur enseignant de sport !

—Ah, voilà les retardataires ! Merci Charley de me les avoir apportés ! Je vois que tu as trouvé aussi ta bouteille d'eau, c'est bien ! Tu peux commencer l'exercice !

—Oui, Monsieur.

Arthur regarda Charley répondre avec énergie à son professeur de sport avant de se tourner vers lui.

—On se retrouve plus tard, Arthy ! s'exclama Charley.

—C'est Arthu—...Arthur, finit-il tout bas lorsqu'il vit que Charley ne l'avait pas entendu rectifier son prénom.

Arthur souffla et il sentit la main de Peter sur son épaule gauche.

—T'inquiète pas, laisse-le.

—Ouais, Arthy c'est bien comme surnom ! On va t'appeler comme ça dorénavant ! rigola Ned.

Un toussotement les fit se taire et se concentrer, à nouveau, sur leur enseignant sportif. Ils baissèrent la tête, honteusement, regardant le sol caillouteux et rempli de mauvais herbes attendant le verdict de leur professeur de sport.

—En cinq ans, je n'ai jamais vu autant de minutes s'écouler aussi vite que l'éclair pour un retard peu importe sa raison. Messieurs, avant que vous rejoigniez vos camarades, j'aimerais que vous vous réchauffer et plus que les autres ! Vous me ferez : vingt flexions de dos, quinze rotations des hanches, des poignets, de la tête et de chevilles. Vous me ferez trente jumping jack, dix montées de genoux, cinq gainages, quinze squats, dix pompes et enfin, vous me ferez trois tours de terrains.

—Mais vous voulez nous tuer ? Tout ça pour juste quoi dix minutes de retard ? s'offusqua Ned.

—Vous me ferez cinq tours de terrains en plus !

—Quoi ? s'indigna Ned.

—Vous voulez que je vous en rajoute ? Vos camarades de classe non pas râler et ont fait la moitié de ce que vous aller faire. L'échauffement est important avant tout exercice. Sachez cela, messieurs, informa l'enseignant.

Peter, Ned et Arthur se lancèrent des œillades intrigués par cette punition, qui leur semblait, certes, fatigante de prime abord, mais qui leur avantageait sans nulle doute.

—Pourquoi vous êtes encore là ? Vous n'aviez pas mieux à faire ? Vous voulez restez ici encore jusqu'à l'aube demain matin ? demanda l'enseignant.

—Euh, non, Monsieur. On y va, dit Peter en donnant une tape amicale dans le dos de Ned et sur l'épaule d'Arthur.

Le professeur soupira et retourna auprès des autres étudiants qui faisaient des courses d'obstacles tandis que les retardataires commencèrent leurs punition avec agacement et contre leur volonté. 

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Le chapitre 10 arrivera soit ce week-end ou vers le milieu de la semaine prochaine. Il faut juste que je le peaufine un peu :)  

Que pensez-vous de ce chapitre ?