Chapitre 01: Entrée rocambolesque
Je poste, de suite, le premier chapitre pour que vous ayez une idée du personnage masculin que j'ai créée. J'espère sincèrement que cette nouvelle histoire que j'écris en ce moment (en plus, de l'autre) vous enchantera :)
Bonne lecture~
***
Les rayons solaires pénétraient doucement la pièce et effleuraient le visage endormi de l'adolescent. Ce dernier gémit de mécontentement et d'une main, la passa sur son visage comme si ça allait faire disparaître le soleil. Quelques secondes passèrent qui suivirent ce geste, il tourna son corps pour se mettre dos à la fenêtre afin de gagner quelques secondes de plus de sommeil. Il finit par disparaître sous ses couvertures en grognant quand le réveil sonna 7h00 du matin. Le cri d'un oiseau qui passa près de sa fenêtre légèrement ouverte amplifia celui du réveil et réveilla enfin le jeune homme.
Machinalement, il se redressa, abaissant sa couette bleutée et dévoilant son torse légèrement musclé. Le jeune adolescent passa une main dans ses cheveux noirâtres et sentit ses yeux lui piquer par le réveil. Il sorti du lit et se dirigea vers la salle de bain afin de s'y préparer. En s'y dirigeant, il cogna son pouce d'orteil contre un carton à semi-ouvert et rouspéta. En massant légèrement son pouce d'orteil pour amoindrir la douleur vivifiante qui envahissait tout son corps à ce moment-là, la porte brune en bois massif de sa chambre s'ouvrit laissant la lumière du couloir pénétrer et éclairée sa chambre ainsi que la silhouette d'une femme aux longs cheveux blonds bouclés au regard inquiet l'observer.
—Tout va bien, mon chéri? Demanda-t-elle, je t'ai entendu crier depuis l'autre bout du couloir, ajouta-t-elle.
Le jeune homme regarda sa mère tout en faisant une grimace.
—Oui, tout va bien maman, je me suis juste cogné contre un carton en ne le voyant pas, rassura le jeune homme, esquissant un léger sourire.
Un petit rire vient à ses oreilles.
—Tu fais plutôt une grimace qu'un sourire actuellement fiston, rigola sa génitrice.
Le jeune homme se renfrogna et grogna de mécontentement.
—Allez, va te préparer pour ton premier jour d'école. Si ça continue, tu vas arriver en retard et être en retard pour ton premier jour, n'est pas une bonne impression si tu veux mon avis, déclara sa mère.
Hochant la tête positivement affirmant les propos de sa mère, le jeune homme s'engouffra dans la salle de bain. Sa mère disparu de l'entrebâillement de la porte pour descendre l'escalier de l'étage de leur nouvelle maisonnée pour continuer de préparer le petit-déjeuner étant donné qu'elle avait remontée à l'étage pour chercher son téléphone portable et son agenda qu'elle avait laissée sur la table de chevet de sa chambre. C'est en s'attardant sur une photo de famille accroché sur l'un des murs du couloir qu'elle avait entendue du bruit dans la chambre de son fils.
Elle soupira et se servit enfin de sa tasse de café en se rajoutant deux cubes de sucre qu'elle prit plaisir à regarder s'effriter et se teinter de la couleur de la caféine pour se tarir dans le fond de sa tasse rose pâle aux lignes horizontales violets. Elle regarda l'heur et l'escalier encore vide.
—Arthur ! Tu vas être en retard ! Arthur ! l'appela-t-elle.
Elle déposa sa tasse de café sur le plan de travail de l'îlot centrale de la cuisine lumineuse qu'elle entendit son fils unique courir dans les escaliers.
—On ne court pas dans les escali— commença-t-elle avant qu'elle n'entendît la chute de son fils.
Elle amena une main contre sa joue et l'autre tenant son coude pour regarder, avec exaspération, son fils se relever. Celui-ci donna un coup de poing contre l'avant-dernière marche qu'il avait loupé en courant. En arrivant dans la cuisine, le jeune garçon salua sa mère plus convenablement que tout à l'heure tout en se préparant une tartine de beurre. Plusieurs fois, il regarda l'heure sur l'horloge en bois de la cuisine : stressé d'être en retard pour son premier jour
—Je pars maintenant, je vais manger sur le chemin, prévint le jeune garçon.
—Ce n'est pas une bonne idée, fiston.
—Je n'ai plus le temps. Je vais être en retard. À ce soir.
Le jeune homme embrassa la joue de sa mère et le jeune homme sentit la main chaude de sa mère ébouriffer ses cheveux de jais qu'il venait de coiffer. Il râla en secouant négativement sa tête.
—Maman ! Tu vas tout me décoiffer ! Arrête ! râla-t-il.
—Oh, on ne peut plus s'amuser par ici à ce que je vois ! Tu ne râlais pas petit avant quand je le faisais!
—Ouais, mais j'ai grandi maman. Je ne suis plus un enfant de six ans, râla Arthur.
La mère leva les yeux vers le plafond blanc de la cuisine et entendit son fils sortir précipitamment de la maisonnée.
—Arthur, attend!
Elle se précipita vers la porte brune de la maison et l'ouvrit pour voir son fils courir sur le chemin pour se diriger vers l'arrêt de bus.
—Je voulais t'y emmener vu qu'on allait sur le même chemin, se plaignit la mère avant qu'elle ne voie plus le dos d'Arthur, disparaître au détour du couloir.
Elle soupira de frustration étant donné qu'elle ne pourrait presque plus avoir ce plaisir d'emmener son fils à l'école vu qu'un arrêt de bus n'était pas très loin de chez eux et elle savait que son fils allait le prendre. Toutefois, elle gardait espoir que son fils lui demande de temps en temps de l'emmener. Elle ferma la porte afin de terminer de se préparer à son tour, remontant dans sa chambre après avoir fait la petite vaisselle du matin. Tout comme Arthur, elle ferma la porte de la maison, à clé cette fois-ci et prit sa voiture bleue pour se diriger sur son lieu de travail.
Quant à Arthur, il courrait le long du chemin écolier de la ville profitant de ce moment pour écouter le brouhaha des newyorkais et de voir les hauts immeubles toucher presque le ciel. Arthur mangea sa tartine, la tenant d'une main tandis que l'autre tenait son sac d'école noire et blanc comme le Ying et le Yang. Il se dirigeait rapidement vers l'arrêt de bus et le vit au loin. Il écarquilla les yeux en le voyant s'éloigner et s'engager sur la route. Il se mit à courir et à crier vers le chauffeur.
—Eh! Arrêter ce bus ! Eh ! essaya-t-il.
Il courrait aussi vite qu'il le put. Il suivit le bus à la trace sur le trottoir, slalomant entre les newyorkais qui le regardait bizarrement et en rigolant pour certains. Sa chevelure noire de jais virevoltait au grès du vent et au vu du temps frais de la ville, un halo de fumée blanchâtre s'échappait de sa bouche. La fraîcheur vint s'engouffrer dans ses vêtements le frigorifiant par moment, mais il ressentait que très peu cette froideur puisqu'il courait. L'adrénaline l'empêchant de ressentir plus que cela le froid de la ville.
Arthur se rapprochait, de plus en plus, du bus et il pouvait commencer à taper contre la carrosserie du bus. Il regardait à l'intérieur du bus espérant que quelqu'un daigne faire arrêter le chauffeur. Pour autant, il ne put que voir les élèves rire de lui. Il vit un joueur de football ouvrir la porte et l'observer.
—Tu n'avais qu'à pas arriver en retard, looser ! s'écria-t-il.
Le bus s'éloignait progressivement de sa position, accélérant pour respecter le kilométrage et Arthur dû s'y résigner. Le cœur battant par l'effort physique tôt le matin, Arthur s'arrêta de courir pour reprendre une respiration plus régulière. Il attendit quelques secondes avant de reprendre sa direction, mais cette fois-ci, en marchant puisqu'il ne voyait plus aucun espoir d'y monter.
À l'intérieur du bus, une jeune fille regardait les joueurs de football imiter le jeune homme de l'extérieur en se moquant entièrement de lui. Les élèves à côté d'eux rigolaient tandis que d'autres ne se préoccupaient nullement de cette situation.
—Tu es vraiment qu'un garçon puéril, lâcha-t-elle en secouant la tête de gauche à droite.
Le jeune homme à la chevelure brune arrêta de rigolé et se tourna vers elle.
—Occupe-toi de tes oignons, MJ.
La jeune fille à la chevelure brune bouclés leva les yeux vers le plafond bleu ciel du bus. Elle baissa les yeux vers son bouquin et continua sa lecture qu'elle avait entamée y'a à peine quelques jours.
oOoOoOo
Reprenant une marche tranquille, Arthur vit enfin son établissement scolaire et le rang de marée des étudiants qui parvenaient des bus et des chemins écoliers. Il s'arrêta afin d'admirer la grandeur de son établissement scolaire, il pouvait y lire en grosse lettres blanches : Midtown High Scool.
—Eh, c'était géniale ta course looser ! s'écria un écolier en le saluant de loin.
Arthur leva les yeux vers le ciel en entendant des exclamations de rire parvenir à ses oreilles. De son côté, Arthur pouvait voir des étendues de verdures avec des tables de pique-niques et il pouvait très bien s'y imaginer avec des ami(e)s travailler ou s'amuser sur ces tables. Arthur esquissa un sourire timide faisant relever ses pommettes et il alla se diriger vers l'entrée principale du bâtiment scolaire quand quelqu'un lui rentra dedans, cognant son épaule gauche brutalement. Arthur grogna, s'entremêla dans ses pas, mais ne tombât pas fort heureusement. Arthur grogna de mécontentement et regarda méchamment son interlocuteur qui l'observa tout aussi férocement puisque dans leur rencontre, il avait fait tomber son téléphone dernier cri et ses affaires sur le sol en béton.
—Eh fait attention où est-ce que tu regardes, mec ! Ne reste pas planter comme ça sur le trottoir comme un poteau-électrique ! râla l'inconnu.
—Euh, ouais...désolé, s'excusa Arthur.
—J'espère pour toi qu'il n'est pas cassé, se fâcha l'interlocuteur, sinon je te jure que je vais te le faire payer, menaça-t-il.
Arthur déglutit et soupira de soulagement lorsqu'il vit aucun égratignure sur le téléphone portable de son interlocuteur qui l'épousseta. Celui-ci sourit malicieusement comme s'il regrettait presque le contraire. Son vis-à-vis cogna une de ses mains sur le pectoraux gauche d'Arthur le faisant reculer de quelques pas vers l'arrière et glissant la bretelle droite de son sac-à-dos.
—Tu es chanceux, aujourd'hui, mec ! À plus, le looser ! s'écria celui-ci en s'éloignant.
Qu'est-ce qu'ils avaient tous à l'appeler comme ça ? Il se sentit vexé et Arthur pensât immédiatement que ça allait être compliquer de se faire des amis si ça continuait. Arthur remit son sac sur son épaule, relevant un peu ses épaules dans le mouvement et se dépêcha à rentrer dans l'établissement scolaire puisqu'il était le seul encore à être dehors. À peine avait-il rentrée un pied à l'intérieur que le brouhaha des élèves parvenait à ses oreilles et que la cloche se mit à sonner.
Arthur se dépêcha à trouver le bureau de la secrétaire et par la même occasion, du proviseur pour ses emplois du temps.
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Et voilà, le premier chapitre! J'espère que ça vous plaira :)
Qu'en pensez-vous ?
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