36 Étudiant ASPIC
L'avantage d'être étudiant ASPIC, était qu'ils n'étaient pas nombreux. L'inconvénient, c'est qu'il regroupait des élèves de toutes les maisons.
Sirius et James entrèrent dans la classe, et James désigna Severus Rogue. Il se tenait au fond de la classe, en compagnie de Rosier, Dorina Macnair.
Trois Poufsouffle étaient également présent, Margaret Sullivan, Duncan Harrison, et Tom Mulder.
Ils se tenaient à côté d'une quinzaine de Serdaigle.
Sirius fut surpris de ne pas y trouver Meredith parmi eux. Il était pourtant sûr qu'elle serait là.
En revanche, les Gryffondor étaient en nombre. Il y avait là Lily Evans , Alice Fortescue, Mary Macdonald, Dorcas Meadowes, Emmeline Vance, et Marlene Mackinnon, pour les filles, Franc Londubat, Allistair Morgenstein, et les Maraudeurs au grand complet.
Ils étaient tous assis, lorsque la porte s'ouvrit.
Méredith entra, essoufflée. Elle s'excusa de son retard auprès du professeur McGonagall et s'installa à l'écart.
Sirius se sentit soulagé, et en même temps gêné par sa présence.
Regulus était heureux.
Cette année, il passait ses BUSE, et il avait bien l'intention de briller.
Et surtout, il avait Aiden.
Il était devenu très populaire, au sein des Serpentard. Bon nombre d'entre eux ne parlaient que du Seigneur des ténèbres, celui qui allait remettre les sang de bourbe à leur place.
Ils jubilaient déjà comme si la victoire leur était acquise et ne faisait aucun doute.
Regulus et Aiden ne quittaient plus Rosier et sa bande. Certains d'entre eux, avaient redoublés et devaient repasser leurs BUSE.
Cependant, autre chose occupait l'esprit de Régulus. Depuis l'année précédente, une chose intriguait Regulus.
Rogue s'était fait attaquer alors qu'il rodait autour du saule pleureur.
Il avait clairement accusé Potter et Sirius de lui avoir tendu un piège.
Il avait également fait des allusion au fait que Lupin était malade tous les mois à la pleine lune.
Jusque là, Regulus n' avait pas pris la peine d'y penser, mais à présent, cela tournait dans sa tête.
Si les dires de Rogue étaient exact, si Lupin était un loup garou, et que son frère et ses amis, rodaient la nuit dans le parc, alors il avait une chance de les faire renvoyer de Poudlard et le vieux directeur avec.
Sirius n'était pas le seul à connaître les passages secrets menant hors du château.
Regulus en emprunta un lors de la première pleine lune.
Il guetta alors non loin du saule, caché derrière un bosquet.
Il aperçut alors le professeur Mcgonagall et Lupin, ils les virent entrer sous le saule.
Cela confirmait les dires de Rogue. Il attendit encore.
Le professeur sortit du passage, quelques minutes plus tard, et reprit le chemin du château, seule.
Regulus guetta alors, fébrilement, mais rien ne se produisit.
D'ailleurs, il ignorait ce qui était censé se produire.
La bande à Potter étaient certes stupide mais pas cinglée au point de s'approcher d'un loup garou une nuit de pleine lune. Même si celui ci était leur ami.
Au bout d'une demi heure, environ, il décida de rentrer, c'est alors qu'il les aperçut, devant le saule.
Comment avaient ils fait pour arriver jusque là, sans qu'il les voit ?
Devant ses yeux, il vit alors l'incroyable se produire, son frère se métamorphosa en un grand chien noir.
Il le vit s'enfoncer dans le tunel, Pettigrew avait disparut. Mais Potter se métamorphosa à son tour, en un grand cerf.
Regulus était sous le choc. Son frère était un animagus. Cela semblait incroyable, impossible.
Il hésitait entre admiration et colère.
Une fois de plus, Sirius parvenait à produire un exploit digne des plus grands sorciers.
Un sourire étira les lèvres de Régulus. Il le tenait. Cette fois, Sirius et ses amis étaient fichus.
Il vit alors sortir un loup garou.
Il n'en avait jamais vu, et fasciné, il observa la bête.
Un long museau pointu, comme ses oreilles, le corps couvert de fourrure, il marchait sur deux pattes pourvues de griffes.
Le cerf et le chien, l'encadrèrent et le guidèrent jusque dans la forêt, Regulus vit alors un petit rongeur, grimper sur le dos du chien, et bondir sur celui du cerf.
Sûrement Pettigrew.
Il regagna le château et ce soir là, réfléchit au moyen de dénoncer Sirius et ses amis.
- Ou étais tu ? Lui demanda Aiden.
- Dehors, j'avais besoin de prendre l'air.
- Tu aurais pu me le dire, je serais venu avec toi.
Regulus faillit tout lui dire, mais quelque chose le retint. Il n'aurait su dire pourquoi, mais il tenait à garder secret sa découverte.
Cette nuit là, germa l'idée de devenir lui aussi un animagus. Après tout, il n'était pas plus bête que son frère. Si lui y était arrivé, alors lui aussi le pouvait.
Dès lors, il s'y employa, dans le plus grand secret.
La brouille entre Severus et Lily Evans était consumée, pour le plus grand plaisir de James.
Il ne proposait plus de farces, et ne provoquait plus les Serpentard. Il s'efforçait de se rapprocher de Lily en la faisant rire.
La jolie rousse continuait à le repousser, mais il sentait qu'elle ne lui était plus aussi hostile.
Sirius et Méredith se posèrent en rivaux des les premiers cours.
Chacun d'eux était l'occasion de faire montre de ses connaissances.
Le 3 novembre, James organisa un anniversaire surprise à Sirius. Il prépara une grande fête, à laquelle se joignit tous les Gryffondor.
Sirius avait dix sept ans, il était majeur.
- La chance ! S'exclama James. Maintenant tu vas pouvoir apprendre à transplaner.
Sirius sourit.
- Et oui, Jamesie, le privilège de l'âge.
Un peu avant Noël, Sirius apprit le décès de son oncle Alphard.
Ce dernier s'était toujours montré généreux avec lui, et avec Andromeda, il était le seul de sa famille qu'il apréciait.
Son décès le peina terriblement.
Il se rendit aux obsèques.
Dès que Walburga l'aperçut, elle se rua sur lui.
- Va t'en ! Tu n'as rien à faire ici.
- Alphard n'était pas seulement mon oncle, il était mon parrain.
- Mais tu n'es plus rien aujourd'hui. Tu ne fais plus parti de cette famille.
- Je suis toujours un Black.
- Tu n'en as plus que le nom ! Tu salis Alphard en insistant, et tu provoqués un scandale !
Les lèvres serrées, les poings crispés, Sirius promena sur l'assemblée, un regard méprisant.
Il tendit la rose blanche qu'il avait prévu de déposer sur le cercueil à sa mère, d'un geste brusque et fit demi tour.
Il était furieux, et il entra dans un pub.
Lorsqu'il en sortit, il était ivre. Refusant de rentrer chez les Potter dans cet état, il erra, dans les rues de Londres. Jamais il n' avait arpenté les rues seul. Le froid le desennivra, mais la colère ne le quittait pas.
Il se retrouva dans un quartier inconnu.
La nuit était tombée, sans qu'il s'en rende compte.
Il jeta un coup d'oeil autour de lui.
Il se trouvait dans une cité.
Ça et là, des jeunes traînaient, et l'observaient avec méfiance.
Il poursuivit son chemin,
Et se retrouva bientôt face à cinq jeunes entre quinze et dix sept ans.
Sans doute effrayaient ils les moldus qui avaient l'inconscience de se promener par ici, mais il n'était pas un moldu.
- Hey, m'sieur, t'as pas une clope ? Demanda l'un d'eux.
Un garçon à la carrure impressionnante.
- Non, désolé, j'en ai plus. Répondit Sirius en poursuivant son chemin.
- Et du fric, t'en as ? Demanda un autre garçon, plus petit et malingre.
- Non plus.
- Allez, vu ta dégaine, tes fringue de luxe, j'suis sur que t'es plein aux as.
Sirius soupira. Ils commençaient à l'énerver. Il serra ses poings dans ses poches.
- C'est bon Freddy, dit un troisième, lâche le, Monsieur est pressé, tu vois bien.
- C'est vrai ça ? T'es pressé ? Demanda le dénommé Freddy.
- Ouais, lâchez moi les mecs. Répondit Sirius.
- Qu'est ce que tu fous là toi ? L'apostropha in quatrième.
- Tu t'es perdu ? Demanda le cinquième.
- Qu'est ce que ça peut te foutre ? Répliqua vertement Sirius.
- T'es chez nous, mec, et nous on aime pas trop les étrangers par ici.
- Ah ouais ? Et qu'est ce que tu comptes faire hein ? Demanda Sirius.
Le garçon, un grand Black, lui envoya son poing dans la figure.
Sirius l'évita, en de baissant, et riposta par un coup de poing dans l'estomac.
Le garçon se plia en deux, sous la douleur.
- Et maintenant, bande de connard, laissez moi passer.
- T'as dis quoi ? Tu nous as insulté ?
Sirius soupira.
La nuit allait être longue, mais cette courte bagarre lui avait échauffé le sang, et il n'était pas contre une prolongation.
- Vas y Charly, montre à Monsieur qu'on a le sens de l'hospitalité nous.
Sirius arqua un sourcil et fit face à son nouvel adversaire.
Le type était moins impressionnant que le précédent mais à sa façon de se tenir Sirius comprit qu'il savait se battre.
La meilleure défense étant l'attaque il retira son manteau qui entravait ses mouvements et ke déposa avec soin sur in banc.
Puis, sous les regards amusés des autres, il frappa d'un direct à la mâchoire.
L'autre évita le coup, et frappa à son tour.
Il était rapide, Sirius aussi. Tous deux étaient rompus aux bagarres de rue.
Les coups s'enchaînaient avec plus ou moins de succès.
L'arcade sourcilière de Sirius saignait, et le sang qui voulait de la plaie brouillait sa vue.
Ses lèvres étaient ouvertes et tuméfiées.
Son adversaire ne valait guère mieux, un oeil fermé, la bouche enflée, et sanguinolente, il continuait à se battre.
Il aurait pu gagner, mais le sang bouillonnant de rage des Black faisait de Sirius un adversaire que rien ne semblait pouvoir arrêter.
Il lui donna le coup de grâce d'un direct à la mâchoire.
Il y eut un sinistre craquement, et l'homme tomba en arrière, dans la rue boueuse.
Sirius qui s'était retrouvé lui même à terre à plusieurs reprise était couvert de boue.
Le froid mordant le piquait. Son pull était déchiré et tâché.
Il récupéra son manteau, et découvrit qu'on lui avait fait les poches.
Son paquet de cigarettes, son briquet, et sa bourse avaient disparu.
Mais la colère et la rage s'était dissipées. Il se sentait las, et n'avait plus qu'une envie, rentrer et dormir.
Il s'éloigna sans un.mot, et fut de nouveau rattrapé par l'un des garçons
- Et, mec, tu sais te battre. Tu m'as fait perdre cent balle.
Sirius soupira.
- Et alors ?
- Bein, si ça te dit, je connais des gens qui paient des types comme toi pour se battre. Si ça t'interresse, t'as qu'à revenir, et demander Omar. Omar c'est moi. On peut se faire plein de fric.
Sirius haussa les épaules.
- Ça m'intéresse pas, désolé.
- Ah ouais, c'est sûr que toi T'as pas besoin de fric, ça se voit. Tu viens juste te faire démonter la gueule pour le fun. Bein si ça te reprends, n'oublie pas, viens voir Omar, et je te trouverais des adversaires à ta taille.
Sirius hocha la tête et poursuivit son chemin.
La douleur de ses blessures le lançait, à présent.
Il postait contre lui même. Pourquoi n'avait il jamais voulu apprendre de sort de guérison ? C'était une lacune qu'il allait devoir combler.
Il prit le magicobus qui le déposa à Godric's'hollow.
Une fois devant la maison, il grimpa sur le chêne noueux, rampa sur la branche la plus proche de la chambre d'amis que les Potter avaient mis à sa disposition.
D'un coup de baguette il ouvrit les volets, puis la fenêtre et se glissa à l'intérieur. A la lueur du croissant de lune, il aperçut une forme endormie dans son lit.
Les sourcils froncés, il fit jaillir de la lumière de l'extrémité de sa baguette et découvrit James, roulé en boule, les lunettes de travers, profondément endormi.
Sirius sourit, referma les volets et la fenêtre et se rendit dans la salle de bain.
Il grimaça devant son visage enflé, tuméfié, et couvert de sang.
Il se déshabilla, et constata qu'il était couvert d'hématome.
Tout son corps était douloureux.
Il prit une douche chaude.
L'eau ruisselant sur ses blessures, et la douleur était insupportable. Une violente migraine lui vrillait les tempes. Il était épuisé. Il s'essuyea en témponnant son corps dont les bleux viraient au noir, enfila un sleep et s'allongea sur le lit, près de James.
Il ne tarda pas à s'endormir
- T'as une tête épouvantable ! Tu t'es battu contre un cognard récalcitrant ?
Sirius ouvrit péniblement un oeil, l'autre refusant obstinément de s'ouvrir.
James était penché dur lui, l'air goguenard.
- Qu'elle heure est il ? Il grimaça devant sa voix éraillée.
Une dent cassée,lui ecorchait la langue, et sa bouche avait doublée de volume.
- Midi. Mes parents commence à se demander si tu comptes te lever. J'ai réussi à empêcher ma mère de se ruer ici, mais quand elle va voir ta tronche...
Sirius soupira.
Il s'en voulait à présent. La dernière chose qu'il souhaitait, c'était d'inquiéter et de décevoir les parents de James.
- Je suis désolé. Marmonna t'il.
James lui donna une tape sur l'épaule, et Sirius grimaça sous la douleur.
- Pas grave, mais faut que tu te lèves, on a reçu un hibou du ministère, faut que tu te rendes au département des legs.
Sirius fronça les sourcils
- Pourquoi ?
- Rapport à ton oncle, je crois, il t' a sûrement légué quelque chose.
- J'ai été renié et déshérité, ça m'étonnerait qu'ils l'aient autorisé à le léguer quoi que ce soit.
- Bein tu m'as dit qu'il était pas du genre à se préoccuper de sa famille, alors...
Sirius ne répondit pas. Ça ressemblait à Alphard, de briser les interdits de la Famille Black.
Sirius se leva et James sifla.
- Et Bein ! T'es dans un état pire que Lunard après une nuit de pleine lune.
Sirius soupira
- je sais. Qu'est ce que tes parents vont dire ?
- Aucune idée, je ne me suis jamais retrouve dans cet état.
- Tu connais des sorts de guérison ?
- Tu sais bien que non.
Sirius ouvrit son armoire et s'habilla.
- Et l'autre ? Demanda James, il est dans quel état ?
Sirius sourit.
- Pire que moi, il était par terre quand je suis parti.
James sourit.
- Je n'en attendais pas moins de toi.
Ils descendirent et en.ke voyant entrer, Euphémia poussa un cri et porta ses mains à son visage.
- Par le caleçon de Merlin, Sirius, que t'es t'il arrivé ?
- Je suis tombé dans l'escalier Euphémia.
Fleamont éclata d'un grand rire.
- Il avait des poings redoutables ton escalier.
Sirius baissa la tête, mais un sourire étirait ses traits.
- J'espère au moins que l'autre est dans le même état. Poursuivit Fleamont.
- Pire ! Assura Sirius.
- Bien joué mon garçon.
- Fleamont ! Ne l'encourage pas, tu veux !
Allez, regarde moi, que je t'arrange ça.
Elle donna quelques coups de baguette et me visage de Sirius reprit son aspect normal. Il ne subsistait plus aucune trace de sa bagarre
- Voilà ! S'exclama Euphémia. Retire ton pull.
- Quoi ?
Sirius jeta un regard implorant à Fleamont qui leva les bras en signe d'impuissance.
Sirius retira son pull.
Elle soupira, devant l'étendu des bleux, mais ne dit pas un mot.
- C'est bon, tu peux le remettre.
Elle fit apparaître une fiole et la lui tendit.
- Tiens, bois ça.
Sirius prit la fiole,et l'odeur nauséabonde lui donna un haut le coeur.
James et Fleamont étaient hilares.
Sirius soupira et avala une gorgée.
Il grimaça. Le goût étai infect.
- Allez, le pressa Euphémia quand on a le courage de se battre comme un voyou, on peut bien avaler une potion.
Sirius déglutit et avala la potion d'un trait, sous les rires de James et Fleamont.
- Bien, tu ne pouvais quand même pas te rendre au ministère dans cet état.
- Je t'accompagnerais. Assura Fleamont.
- Moi aussi. Renchérit James.
- Bien, et tâchez de bien vous conduire tous les trois. Conclut Euphémia.
Sirius n'avait pas besoin de vérifier, il savait que les bleux avaient disparu.
Il se sentait mieux.
Fleamont transplana avec eux.
Sirius n'était jamais allé au ministère, et il fut imressionné, par l'austerité des lieux.
Des sorciers en robe noires et d'autres en robes aux couleurs et motifs variées, se passaient de part et d'autres de l'énorme statues, représentant deux sorciers, une femme et un homme, assis sur des trônes, aux pieds duquel se massaient des créatures magiques, elfes de maison, centaures.
Des hiboux voletaient, poursuivis par des pelles et des balais, qui nettoyaient leurs plumes et leurs excréments.
Ils prirent l'ascenseur, et Sirius, encourage par Fleamont, entra dans le bureau du département des legs.
Alphard lui avait légué, une grosse somme d'argent sorcier, et son manoir du New Ampshire.
Sirius profita de ces vacances pour se lancer à la recherche d'un appartement, qu'il financerait grâce à l'argent dont il venait d'hériter.
Il trouva son bonheur non loin du ministère, mais suffisemment loin du square Grimmaurd.
L'appartement était situé dans un quartier calme, dans une résidence cossue.
Il se composait d'une chambre de taille modeste, d'une salle de bain, équipée d'une douche et d'un lavabo, une petite cuisine ouverte sur un salon.
Sirius s'employa à le meubler, avec des meubles modernes, et simples. Il posa sur la poutre en bois de la cheminée, une photo de James et ses parents, et une seconde des Maraudeurs.
Il n'eut pas le temps, de profiter de son appartement, les vacances étaient terminées, et il devait rentrer à Poudlard.
- Je pourrais venir dormir chez toi des fois ? Demanda James.
Sirius sourit.
- Tu es chez toi ici, Cornedru.
Euphémia avait bien tenté de convaincre Sirius de rester, mais celui ci, était resté inflexible.
- J'ai suffisemment abusé de votre générosité Euphémia. Mais je vous remercie pour tout ce que vous et votre époux avez fait pour moi.
- Tu reviendras nous voir ?
- Bien sûr ! James et vous êtes ma famille, à présent.
Émue, Euphémia essuya furtivement une larme qui brillait au coin de ses yeux et Sirius peu habitué au démonstration d'affection, déposa un baiser sur sa joue.
Elle tapota affectueusement celle de Sirius.
- Tu es un bon garçon, Sirius, ne laisse personne te laisser croire le contraire.
Ému, Sirius la serra contre lui.
Une fois seul avec James, Sirius lui glissa.
- Tu as des patents extraordinaires James. Tu as beaucoup de chance.
- Une chance que tu partages, maintenant, ils t'adorent.
- C'est réciproque.
Puis, ils montèrent dans le train.
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