Chapitre 5

  La ville de Miami

L'affaire Williams était dans toutes les bouches, les journaux et à la télévision.
MARCK était soupçonné de la mort de sa femme Elizabeth ; personne n'aurait pu imaginer ça de MARCK.
Sa voiture était toujours dans son garage et ses vêtements n'avaient pas bougé de chez lui.
Où pourrait-il bien être ? Et pourquoi tuer sa femme ? Elle avec qui ils avaient partagé les trente plus belles années de leur vie ? Pourquoi la tuer ainsi pour s'enfuir avec une autre ? Il n'était plus si jeune que ça ; telles étaient les questions que se posait l'agent Altamiro.

Vingt heures trente

L'agent Altamiro, toujours dans son bureau, s'apprêtait à rentrer chez lui.
Il descendit au parking pour récupérer sa voiture et surprit le capitaine avec un homme bizarre.
Avant qu'il n'ait pu entendre quoi que ce soit, les deux hommes l'avaient remarqué et il y eut un silence ; Il fit un signe de loin, puis prit sa Mercedes.
En partant, il vit l'homme passer une enveloppe au capitaine, c'était de l'argent ! Pourquoi cet homme a-t-il donné de l'argent au capitaine ?

Il fit un détour chez les Williams, depuis que "j'ai laissé le message à Serena, elle n'a toujours pas appelé", se dit-il.
Il appela Biazi pour lui dire de le rejoindre dans la maison des Williams.
- Allô ! T'es où comme ça ? demanda l'agent Altamiro.
- Je suis devant mon appartement, répondit l'agent Biazi.
- Rejoins-moi chez les Williams, j'ai quelque chose à te dire.
- D'accord j'arrive chef !

L'agent Altamiro arriva chez les Williams, il remarqua que la porte avait été forcée.
Comme si une personne était revenue pour prendre quelque chose, ou pour s'assurer de n'avoir rien laissé comme preuve, car dans le dossier d'expertise qu'Altamiro tenait, la porte n'avait pas été forcée.
L'agent Biazi arriva à son tour.
- As-tu des nouvelles de MARCK ? demanda l'agent Altamiro à Biazi.
- Pas grand-chose, répondit l'agent Biazi, juste qu'une semaine avant sa disparition et la mort de sa femme, MARCK s'était acheté une arme à feu et le jour de la mort du jeune homme, on l'a vu dans un bar en train de se saouler. Demain, nous devons nous rendre au bar dès la première heure pour avoir plus d'informations.

Il y eut une pause, puis Biazi prit la parole.
- Tu crois vraiment que MARCK pourrait avoir tué sa femme ? demanda-t-il à l'agent Altamiro.
- Je ne sais pas trop, car beaucoup parlent de lui en bien.

- Si la vie n'est, selon Sénèque, qu'une longue méditation sur la mort, dit l'agent Biazi.
- Quelle conclusion en tirer ; est-ce de l'orgueil ou de l'inquiétude, le sentiment qui conduit l'homme au meurtre, interrogea l'agent Altamiro
- Mais l'homme est exigeant, l'espoir ne lui suffit plus, il veut la gloire, le pouvoir et une certitude absolue, continua Biazi.

- Aujourd'hui, j'ai vu le capitaine avec un homme bizarre et l'homme lui a passé une enveloppe. Je ne sais vraiment pas pourquoi ? Quand ils m'ont vu, ils ont directement arrêté de discuter.
- Tu penses que le capitaine est corrompu ? demanda l'agent Biazi.
- Je ne sais vraiment pas quoi dire, répondit Altamiro.
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Chacun prit sa voiture et partit dans des directions différentes. L'agent Joyce s'arrêta dans un bar pour prendre un verre et se défouler.
Arrivé au comptoir, l'agent Altamiro demanda une bouteille de Red Label et le barman la lui passa.
L'agent n'était plus cet homme calme et tout le reste.

- Comment tu t'appelles ? demanda l'agent Altamiro à la personne à sa droite.
- Je m'appelle Erick Lee et vous ?
- Joyce Altamiro, tu peux me tutoyer.
- Enchanté de faire ta connaissance.
- Moi de même.
- Que fais-tu ici ? Une peine de cœur ? demanda Erick Lee.
- Non, trop de travail, je voulais juste me défouler et prendre du bon temps.
- Ah d'accord.
- Il est déjà vingt-deux heures, dit Lee.
- Où vas-tu après ici ? demanda l'agent Altamiro à Lee.

*           *
*
État du Texas, vingt heures
Serena rangeait ses affaires dans sa valise en vue de son voyage de demain pour Miami lorsque la sonnerie retentit dans son appartement.
Elle se leva pour voir qui pouvait bien la déranger à cette heure ! Arrivée devant la porte, elle l'ouvrit et, à son plus grand étonnement, vit que c'était Tyler Cooper.
Elle ne s'attendait vraiment pas à cette visite.

- Bonsoir Serena, dit Tyler.
- Que viens-tu chercher ici ? demanda Serena sans répondre à la salutation de Tyler Cooper.
- Désolé si je te dérange, je suis juste venu récupérer mes affaires qui sont chez toi.
- D'accord, tu connais le chemin.

Serena ne voulait pas montrer sa souffrance ; au fond, elle aimait toujours Tyler, même si elle voulait croire le contraire, ses sentiments étaient toujours les mêmes.

- Serena, tu sais bien que je t'aime, mais il n'y avait plus cette flamme et j'en suis vraiment désolé.
- Tyler, arrête s'il te plaît ; arrête ! Je n'ai vraiment pas la tête à toutes tes bêtises et tes explications. Tu as décidé que nous deux, c'était fini. D'accord, je n'ai rien dit, alors prends tes affaires et sors de chez moi.

Tyler prit ses affaires et se dirigea vers la porte, et avant que Serena ait pu fermer la porte, Tyler lui dit : « Désolé pour ta mère, désolé pour tout ».
Serena ferma la porte, glissa dos contre la porte et se mit à pleurer.
Elle ne voulait plus avoir affaire avec lui ! C'était un salaud de la dernière espèce comme tous les autres hommes.
Elle essuya ses larmes ; trop, c'est trop !
Elle prit une boîte de cachets sur la table de nuit et but le contenu pour se détendre.

Le vol de Serena était à six heures, elle aurait déjà dû être debout.
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La Ville de Miami

- Tu aimes cette musique ? demanda l'agent Altamiro.
- Oui, répondit Erick Lee.
- Allons alors danser sur la piste, proposa l'agent Altamiro.
- D'accord, répondit Lee.

Ils allèrent danser sur la piste, puis au bout d'un moment, ils abandonnèrent.

- Tu as aimé la danse ? interrogea Lee.
- Oui, je n'ai jamais dansé comme ça avant.
- On bouge dans mon appartement ? proposa Lee.
- Pourquoi pas ? répondit l'agent Altamiro.

Ils payèrent l'addition et sortirent du bar.
L'agent Altamiro passa la clé de sa Mercedes à Lee, car il n'était pas en état de conduire.
"Est-ce que je te dérange si je suis juste venu récupérer mes affaires chez toi ?" dit Tyler Cooper."
"ETA pour le Texas : cinq heures vingt-cinq."
Le klaxon du taxi la fit sursauter. "Putain, il est déjà cinq heures vingt-six ! Je serais en retard pour mon vol !"
Serena prit une douche à toute vitesse et enfila une combinaison juste après. "Il sera six heures dans dix-sept minutes d'après ma montre." Son taxi était déjà là pour l'accompagner à l'aéroport.
Tellement pressée, elle heurta un homme sans le faire exprès. Avant même qu'elle ne puisse dire quelque chose ou se retourner, elle entendit une voix : "Les voyageurs en destination de Miami sont priés d'être à bord de l'avion."

- Madame ! Madame ! Vous avez fait tomber votre roman, dit l'homme.
- Monsieur, y a-t-il un problème ? interrogea l'homme de main du monsieur.
- Cette dame a laissé tomber son roman quand elle m'a heurté, elle n'a pas remarqué que c'était tombé, répondit-il.
- Monsieur, votre jet est prêt, lui annonça son pilote.
- D'accord, ben," répondit le monsieur, en tenant toujours le roman entre ses mains.

"Ouf ! Une seconde de plus et j'aurais raté mon vol, satané comprimé!" se dit Serena. "J'avais vraiment envie de tout oublier ! Mais, où est-ce que j'ai mis ce roman ? J'étais sûr de l'avoir avec moi, mince!"
Elle se leva du siège où elle était pour le chercher dans une de ses valises mais toujours rien. Après quelques minutes, elle se rappela qu'avant d'entrer dans l'avion, elle avait cogné un homme et elle avait le roman sur elle. Il a dû tomber au contact avec cet homme à l'aéroport.

*

"Joli titre ! 'Pourquoi pas toi', Mlle-Akashi-1 -Akashi-1," se dit le monsieur.

Il ouvrit le roman à la première  page et il vu " j'appartiens à Serena Williams " et y'avait son adresse dessus personne ne comprenait l'importance qu'il avait pour cette  femme et son roman.

-monsieur,  avez réunion avec les membres de la communauté commercial de la boîte à dix heures, après vous avez dîné avec  un actionnaire à dix-sept heures , en suite vous êtes attendu au domicile de vos parents lui dit son assistante.

-Trouve moi des informations sur cette femme dit le monsieur
- d'accord monsieur répondît l'assistante
- et tu achète des fleurs pour ma mère ce soir 
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Désolé  pour le retard  je pense  que  le chapitre  vous plaira et n'oubliez pas de mettre une étoile  merci
                                                        Ranonymes ❤️✨

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