CHAP 14 • Les Murailles S'écroulent
J'ai mis Patty en PLS, pardonneeeez-moooooi... ;_;
Et euh... concernant la fin... (⁄ ⁄•⁄ω⁄•⁄ ⁄)
«Elle était un arc-en-ciel, mais il était daltonien.»
×
PDV de Soul
Inquiet. Voilà qui me décris bien pour cette première journée d'ensoleillement depuis deux semaines.
Trois jours après que Maka et moi nous soyons mis en couple - nous étions donc un mardi -, mon ecchymose s'était déjà estompé grâce aux soins de mon infirmière personnelle qui me sert de copine. Il n'est qu'une ombre à peine perceptible, à présent, si bien que personne ne m'a posé de questions.
Cependant, l'apparence de ma blessure n'est aucunement la raison de mon inquiétude. J'ai découvert durant les deux matins où je me suis réveillé chez ma petite-amie que cette dernière est d'une humeur exécrable lorsqu'on la tire du lit. Pourtant, aujourd'hui, elle s'est levée sans rechigner, s'est préparée et a fait à manger alors que c'était mon tour de cuisiner le déjeuner - une nouvelle règle qui s'est imposée par elle-même. Tout cela, sans même m'adresser un mot ou au moins m'offrir un baiser sur la joue comme elle le fait habituellement au réveil - là encore, une récente habitude. Elle s'est ensuite brossée les dents et m'a attendue dans la voiture, l'atmosphère toujours aussi tendue et pesante.
Attention, je ne suis nullement en manque d'affection, en train de me plaindre ou de me sentir délaissé - loin de moi ces sentiments négatifs -, mais je n'ai jamais vu Maka aussi fatiguée et silencieuse. Certes, il y a eu cette matinée à l'école, après que Kid l'aie complètement démolie en lui rappelant un épisode de son passé, mais le comportement morose qu'elle vivait était justifié.
Pourtant, pour ce qui est d'aujourd'hui, je suis larguée sur le pourquoi de son soudain changement. Nous étions partis nous coucher en même temps, donc je ne crois pas que ce soit de ma faute. Ce doit être à cause d'un élément extérieur. Serait-ce un jour spécifique de son passé? Je suis toujours maussade la date où ma mère est décédée.
Je décide alors de lui en parler en privé à la bibliothèque tandis que nous faisons nos devoirs. Son silence me rend terriblement anxieux. L'unique son qui provient d'elle est le crissement de son crayon à mine sur sa feuille. Je n'aime pas la tension qui règne autour de nous. J'ai l'impression que notre complicité et notre rapprochement ont disparu et cela envoie des noeuds d'angoisse dans mon estomac.
- Hey, je tente d'un ton doux.
- Quoi? me répond-elle aussitôt.
Apparemment, la blonde ne s'attendait pas à son ton brusque, car elle affiche un visage étonné et plaque une paume contre sa bouche, une lueur choquée flottant dans ses prunelles. Quant à moi, ça m'a blessé, même si je sais que ce n'était pas son intention.
Je détourne la tête, mais je ne lâche pas le morceau:
- Tu as l'air tellement abattue depuis ce matin et ça m'attriste que tu ne m'en parles pas. Je croyais qu'on devait tout se dire, non?
Ses traits se crispe sous l'évidente culpabilité qu'elle ressent et elle se frotte les yeux, laissant bruyamment tomber son crayon sur la table. A-t-elle seulement dormi? Pourquoi ne m'a-t-elle pas réveillé? J'aurais été plus que ravi de l'aider à se sentir mieux.
Je tente une faible approche, glissant mon bras jusqu'au sien, prenant doucement sa main dans la mienne, comme pour ne pas l'effaroucher. Maka ne me repousse pas, ce qui dénoue quelques-uns des noeuds d'anxiété dans mon ventre.
- Je suis désolée, Soul, soupire-t-elle d'un ton sincère, entrelaçant nos doigts ensemble. Je n'y pensais plus, mais ça m'est revenu comme un mur de brique ce matin en me réveillant.
Elle me regarde dans le blanc des yeux, avant de baisser la tête et de prendre quelques secondes de silence. Je ne la presse pas; j'ai tout le temps du monde lorsqu'elle est impliquée dans l'équation.
- Quand j'étais au Canada dans une énième famille d'accueil, commence-t-elle, la gorge serrée, je vivais avec une mère, un père et deux soeurs. Les parents étaient de parfaits connards, mais les deux soeurs... je les adorais. Alors que l'une était sérieuse, mature, quoique ridiculement craintive parfois, l'autre était enfantine, joyeuse et positive à souhait. Elles m'ont vraiment aidée à reprendre ma vie en main, ce dont je leur serai éternellement reconnaissante. Leurs noms étaient Liz et Patty. Elles étaient géniales...
Maka ferme ses paupières avec force, comme pour effacer des images horribles qui lui viennent à l'esprit. Impuissant, la seule chose que ce que je peux faire est lui agripper les deux mains et la soutenir avec toute ma volonté - une volonté pathétiquement faible face à sa tristesse.
- C'est arrivé le jour avant que je parte. Les deux parents qui m'accueillaient ne m'aimaient pas, ce qui était réciproque. Ils ont envoyé une plainte à mon nom parce que j'étais rentrée dix minutes après mon couvre-feu. Liz et Patty ont tenté de me défendre, mais tout a dégénéré. Patty...
Maka ravale un sanglot, une larme coulant le long de sa joue, mon coeur se frissurant un peu plus au fur et à mesure qu'elle descend. Ce n'est pas bon signe, ça c'est clair comme de l'eau de roche.
Cela lui prend une bonne minute afin de finalement avouer ce qui la tracasse terriblement depuis son réveil, accompagné de plusieurs autres larmes que je meurs d'envie d'essuyer, mais je ne peux me résoudre à lâcher ses mains.
- Patty a horriblement souffert ce jour-là, annonce-t-elle d'une voix brisée. Elle s'est cassée la colonne vertébrale dans les escaliers. Son père l'y a bousculé accidentellement... mais tous m'ont blâmée pour une raison que j'ignore.
Elle libère une de ses mains et essuie vivement ses larmes, reniflant un bon coup avant de continuer, beaucoup plus calme:
- Je les ai quitté une semaine plus tard que la date prévue après qu'ils aient balancé mes maigres possessions par la fenêtre. Je n'ai même pas pu visiter Patty à l'hôpital... Mais ce qui m'a le plus blessée dans cette histoire est que Liz a pris le parti de ses parents. Je ne suis pas celle qui ait poussé sa soeur, mais son propre père! elle crie dans un murmure, ces yeux cette fois-ci emplis d'injustice et d'incrédulité.
Je reste silencieux, Maka reprenant ma main qu'elle a délaissée, et je les serre fermement comme pour ne plus les relâcher, mes pupilles rivées aux siennes. Après un énième soupir, elle fronce le nez et secoue la tête.
- Aujourd'hui était le jour de l'accident, voilà pourquoi je suis si déprimée depuis ce matin, elle explique en souriant légèrement malgré ses joues irritées et ses iris humides. Je suis désolée de t'avoir parlé d'un ton dur.
Je lui souris en retour, lui signifiant qu'elle est pardonnée. Je résiste à la soudaine envie de lui adresser un "désolé pour ce qu'il lui est arrivé", sachant que ce n'est absolument pas ce que ma copine veut entendre. Alors, je me penche vers elle, au-dessus de la table, et lui embrasse le front, la faisant faiblement glousser.
Cette unique réaction à mon baiser fait battre mon coeur de façon effrénée. C'est complètement ridicule, et pourtant elle est la seule qui puisse me faire réagir au quart de tour. Pour elle, je suis prêt à tout. Même jeter ma stupide image de bad boy par la fenêtre... Jusqu'à endurer une raclée de mon père.
Son sourire timide s'élargit en prenant en compte mes joues cramoisies, mais ses propres pommettes se couvrent d'une couleur rouge. Reniflant à nouveau, ma petite-amie se lève pour aller chercher des mouchoirs sur le comptoir de la bibliothécaire et, tandis que je l'observe s'éloigner, je réalise à quel point je me suis attaché à ce bout de femme, à son sarcasme à trancher du diamant, à son sourire trop souvent cynique, mais magnifique lorsque authentique, et également à tous ses bagages émotionnels qu'elle traîne malgré elle depuis son enfance.
Je crois que je t'aime se transforme lentement, mais sûrement, en je t'aime à chaque jour qui passe. Et cette pensée me fait sourire.
- Le quinze novembre, donc dans deux semaines, c'est l'anniversaire de Patty, annonce Maka en s'installant à côté de moi, rapprochant ses cahiers face à nous. Je vais lui envoyer une carte, je crois. Je suis trop effrayée encore pour la voir face-à-face, alors je vais commencer par cela.
Je hoche la tête, montrant mon accord avec son idée, puis je penche pour lui embrasser la joue, ne pouvant m'opposer physiquement à cette impulsion, et alors que mes lèvres frôlent sa peau, Black Star apparaît soudainement entre deux étagères débordant de livres.
Et nos regards se croisent, à tous les trois.
Star prend aussitôt la poudre d'escampette, mais nous restons assis, abandonnant déjà d'avance de le rattraper.
La raison de sa course est sans doute parce qu'il s'apprête à dire à tous nos amis que Maka et moi sortons ensemble. En effet, nous avions gardé notre nouvelle relation secrète afin nous donner un peu de temps pour nous habituer à la présence de l'autre avant que tout le monde ne s'en mêle.
Apparemment, ce n'était pas dû pour durer.
- Tu leur donnes combien de temps avant qu'ils ne rappliquent? s'enquit avec amusement ma copine.
Je pouffe, secouant la tête avec découragement.
- Tsubaki va probablement se ramener la première, je crois, je parie en souriant, ce qui fait rigoler la blonde.
×
Il s'avère que j'avais raison. Tsubaki débarqua en furie dans la bibliothèque, causant un semblant d'arrêt cardiaque à la pauvre bibliothécaire, et ne nous lâcha pas d'une semelle, même lorsque Archi et Léo arrivèrent, tous deux se jetant sur moi pour m'avertir que si je faisais du mal à Maka, ils allaient me crucifier sur place.
L'idée ne m'enchantant guère, j'ai secoué la tête négativement. Quoique je ne pense pas être capable physiquement et mentalement de la blesser.
Kid ne se montra jamais, tout comme Star, mais nous les croisâmes dans les couloirs en allant à nos cours, Tsu et les deux faux-jumeaux toujours sur notre cas. Les yeux du fils du directeur s'illuminèrent l'espace d'un instant avant qu'il ne détourne la tête et marmonne d'un ton bourru que nous voir ainsi, main dans la main, lui donnait l'envie de vomir.
Archi le traita de tsundere, causant une commotion qui nous offrit, à mon amoureuse et moi, de filer sans un au revoir.
Et nous voilà, à la fin des classes. Nous nous étions cachés entre deux étagères, dans le fond de la bibliothèque, certains que personne ne pourrait nous dénicher. Après tout, qui serait assez fou pour rester au lycée alors qu'il n'y a aucune raison qui les retiennent?
- Alors, que veux-tu faire étant plus vieux? me demande Maka en jouant avec mes doigts.
Nous étions assis face-à-face, nos jambes entremêlés, dans une intimité que nous avions rarement atteinte. Les lumières du fond de la grande pièce étaient fermées, le concierge pensant probablement qu'il n'y a pas d'âmes qui vivent. Nous utilisons nos téléphones pour éclairer un peu l'espèce que nous occupons.
Je songe sérieusement à sa question afin de lui répondre en toute sincérité.
- J'aimerais bien créer ma propre composition et organiser une carrière en direction de la musique. J'apprends vite, j'ajoute, ignorant le commentaire taquin de Maka concernant mes études, alors ce serait facile pour moi de m'instruire à d'autres instruments.
- Si au moins tu montrais autant d'enthousiasme à tes cours... soupire exagérément ma petite-amie en plus de sa remarque d'il y a à peine vingt secondes.
Je lui fais une grimace immature, à laquelle elle répond immédiatement, nous faisant ensuite ricaner comme des gamins. J'aime de plus en plus la complicité qui nous lie, car cela me permet d'agir en enfant, une chose que je n'ai pas eu l'occasion de faire étant, justement, enfant.
- D'accord, à ton tour maintenant, cède Maka en continuant de manipuler mes mains.
- Mh... je vais te renvoyer ta question, je suis curieux, je fais en souriant.
- C'est de la triche, boude-t-elle, mais elle s'incline au jeu. Voyons voir... Je suis pas mal en cuisine...
C'est à mon tour de la couper, me moquant de sa modestie, mais comme moi plus tôt, elle décide de ne pas en tenir compte.
- Peut-être professeure? songe à voix haute ma copine. J'ai laissé tombé le travail que le cosplayer qui nous sert de directeur m'avait offert, dit-elle, me faisant rire sur le passage concernant Shinigami-sama. Il ne me rapportait pas assez et Kid et Star sont des causes perdues...
Mon rire double d'intensité à la mention de mes deux meilleurs amis, mais je me permet de les défendre:
- Hey! Ils ne sont pas si mal...
- Sérieusement? réplique Maka en me faisant des gros yeux. Star ne savait même pas que le soleil est une étoile - et tu sais pourquoi? Parce qu'il n'est pas de la même forme stéréotypée des étoiles. (★) J'ai failli l'étrangler, mais je me suis dis que sa stupidité le faisait déjà assez souffrir, alors j'ai eu pitié.
J'éclate de rire, découragé. Là, je ne peux plus faire grand chose pour Star, il a vraiment déconné sur celle-là!
- Kid, quant à lui, est au plus profond de mon estime, peu importe à quel point il est intelligent, fait ensuite la blonde en souriant légèrement, lâchant mes mains.
Au bout de deux minutes, mon rire finit finalement par se tarir. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai eu autant d'amusement, où j'ai ri le plus - et je remercie télépathiquement Maka car elle me rend heureux, un truc que je n'ai jamais pris pour acquis.
Une raison de plus pour que mon je crois que je t'aime se change en je t'aime, je songe avec solennité.
- Donc, tu veux devenir une prof, je répète d'un ton interrogatif. Dans quelle matière?
- En Anglais, me répond-elle sur-le-champs. Je suis assez à l'aise avec les enfants, alors je vais sans doute enseigner aux plus jeunes.
Nous restons ensuite silencieux quelques minutes, profitant seulement de la présence de l'autre, quand, tout à coup, Maka se penche vers moi et m'embrasse la joue, avant de revenir à la case départ et de baisser les yeux sur ses genoux. Choqué, je ne réagis pas immédiatement, mais lorsque mon regard se fixe sur le visage rouge de ma copine, c'est comme si une digue venait de s'écrouler, déversant les flots qu'elle retenait.
Je m'approche plus doucement qu'elle ne s'était exécutée et enlace timidement sa taille d'un bras, testant les limites, mais Maka ne me repousse pas. Avec soulagement, j'avance mon visage cramoisi vers le sien tout autant flamboyant et colle mes lèvres contre le bas de sa pommette gauche, tâtant les eaux, essayant d'éliminer avec douceur cette barrière de gaucherie qui nous sépare encore.
J'embrasse tendrement sa joue, remontant un peu plus vers le haut, déposant des baisers papillons tout le long de sa figure jusqu'au coin de son oeil, la faisant glousser.
- À moi, murmure-t-elle en posant ses mains de chaque côté de ma figure, reculant ma tête.
Mes paupières se ferment par elles-mêmes à son toucher. C'est très maladroit, mais à la fois naturel. Nous faisons l'expérience de nos premiers baisers et je crois que c'est la l'étape numéro un avant tout le reste - à part se tenir la main et se rapprocher physiquement sans s'enlacer véritablement.
Je sens ses lèvres humides se poser sur mon front et je souris lorsque je sens son sourire contre ma peau. Ma copine se rapproche un peu, à genoux, les posant de chaque côté de mes hanches, appuyant un peu son poids sur mes cuisses. Puis, elle entoure ses bras autour de mon cou, prenant une position beaucoup plus confortable tandis que je m'adosse au rayon de livres dans mon dos, lui laissant l'occasion de coller nos deux torses l'un contre l'autre. Ce rapprochement cause une sensation de brûlure dans mon ventre, ce dernier envahi de papillons, mais j'ai plutôt l'impression qu'au lieu de virevolter
librement, ils me dévorent de l'intérieur.
Nous allons beaucoup trop vite pour le peu de temps que nous avons commencés à se fréquenter, mais je laisse faire Maka malgré tout, ensorcelé par sa présence. Celle-ci est dangereusement proche de mes lèvres et, alors qu'elle est sur le point de sceller les siennes aux miennes, elle s'arrête brusquement, me faisant presque gronder de mécontentement, comme un foutu homme des cavernes.
Nos souffles haletants se mélangent tandis que nous échangons un regard fébrile. Ses yeux verts brillent plus que d'habitude et son visage a perdu un peu de sa rougeur, montrant que notre session - qui a beaucoup trop escaladé en intimidé - a aidé à ériger un pont afin de surpasser notre gêne. Un sourire se met soudainement à grandir sur ses lèvres que j'étais si prêt de goûter et elle commence à rigoler, d'un rire dénudé de tout malaise.
- Je suis désolée, je me suis laissée emporter, s'excuse-t-elle en reprenant son sérieux, rivant ses prunelles aux miennes.
Je n'ai pas ris, ni même souris. Toujours emprisonné par la chaleur de sa proximité, je renforce mon emprise sur sa taille, relevant un peu le menton. Ma voix est rauque lorsque je parle sans hésitation, me surprenant moi-même:
- J'ai vraiment envie de t'embrasser.
Quoique surprise elle aussi, Maka relâche la pression qui s'était installée dans ses membres et resserre ses bras autour de mon cou, s'approchant à nouveau, cette fois-ci avec une détermination presque mignonne dans ses iris.
Finalement, après un faible flottement silencieux de sa part, nos regards encore attachés, sans que je ne la presse - j'ai tout le temps du monde -, mon amoureuse presse ses lèvres aux miennes, mon estomac explosant de milles feux. Comme sur réflexe, mes bras emprisonnent encore plus Maka contre moi et je répond lentement à son baiser incertain.
Pendant un moment, nous bataillons pour essayer d'établir un semblant d'ordre, mais quand nos lèvres se moulent parfaitement ensemble, je sens ma copine fondre dans mon emprise. Nos dents s'entrechoquent lorsque nous sourions, remplissant mon coeur de contentement, pourtant déjà débordant de bonheur et d'amour pour cette blondinette.
Et entre deux baisers exquis, je songe à toutes les souffrances que j'ai vécu, tous les cauchemars qui m'ont forcé à vivre de la manière que je vivais avant Maka, et je réalise à quel point tout a entièrement valu la peine, car ils m'auront mené à cet instant précis.
×
(⁄ ⁄•⁄ω⁄•⁄ ⁄)
Pourquoi j'ai écris un truc pareil... blâmez mon clavier brisé. C'est lui qui a tout écrit! (⁄ ⁄•⁄ω⁄•⁄ ⁄)
No regrets, plus sérieusement. Ça faisait un moment que je pensais écrire un truc plus "osé" que dans mes autres fanfictions... et bah voilà. En plus on m'a demandé si j'allais écrire des lemons.
LAISSEZ DU TEMPS (ou des années) À MON COEUR DE SE RÉTABLIR DE CET EMBARRASSANT PASSAGE OKAY.
Le truc avec les lemons est qu'il faut s'y connaître, ou avoir de l'expérience. Je ne suis pas une sainte, je l'avoue, mais bon, je vais m'y essayer... un jour. Croisez les doigts pour moi afin que ce ne soit pas trop awkward.
(Ça l'est déjà juste à en parler.) Dégage, espèce de voix qui se manifeste aux pires moments. :(
Breeef, j'espère quand même que ce n'était pas trop inconfortable, ahaha... J'ai passé une bonne journée à écrire la fin du chapitre, le polissant et le perfectionnant. Ma mère pensait que je faisais de la fièvre parce que je rougissais, ahahaha. Lame. Je suis peut-être pas innocente, mais je suis prude, ça je ne le cache pas. ¯\_(ツ)_/¯
En tout cas, trêve de bavardage... (*/▽\*)
Sur ce, avant que ça ne dégénère, je vous souhaite une magnifique fin de soirée, ou de matinée ou de journée, damn it, et à la prochaine!
TCHUUUW!! ~~
#ℋ_ℊ
P.S.: presque 3k vues, ayyyye vous êtes géniaux, mes cocos. ♥ j'vous aime fort fort! (/▽\*)。o○♡
P.S.S.: je vais me cacher sous mes couvertures, byebyebye.
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