20. Maï /!!\
La sonnerie nous rappelle à l'ordre. Nous retournons dans nos classes respectives. Daichi l'accueille avec un sourire désolé. Le soir, le professeur vient leur annoncer qu'ils auront bientôt un match contre Nekoma. Nekoma... Les experts de Tokyo.. Je me demande si Aï les connaît.
A suivre...
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/!\ ATTENTION!! LEMON DANS CE CHAPITRE!!!! JE SUIS RESPONSABLE DE CE QUE J'ÉCRIS, PAS DE CE QUE VOUS LISEZ! /!\
Quand il y aura des lemons dans les chapitres, je mettrais le symbole: /!!\ au cas où j'oublierais de le préciser au début du chapitre.
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Des nouvelles sont arrivées, d'après ce que m'as dit Kiyoko. J'ai été énormément occupé ces derniers jours et je n'ai pas pu me rendre au club de volley. De ce qu'elle aurait compris, il y aurait la petite soeur de Nishinoya et la jumelle de Hinata. Elles seraient amies et reviendrait de France. Elle me les a désigné dans les couloirs du lycée. J'ai hésité à aller les voirs... et puis je me suis raviser. Il faudra bien que je retourne au club de volley. Je les rencontrerai là-bas.
Misère misère. Mon père m'a convoqué le jour du match contre Nekoma, à la fin de la golden week. J'ai un dîner avec le fils du premier ministre. C'est un souhait de son père et comme ni lui, ni moi ne voulions le froisser, nous avons accepter. Nous avons convenue qu'une fois dans le restaurant, je laisserais la place à sa petite copine, qu'il veut demander en mariage ce soir là. Pour éviter de devoir demander à ma cuisinière un repas et de me faire enguirlander parce que.... En fait, je ne sais pas vraiment pourquoi! Je crois juste qu'elle aime beaucoup crier et jurer. Mais bon, elle cuisinait pour notre famille avant de savoir marcher, sa famille étant au service de la mienne depuis longtemps. En plus, elle cuisine bien. Je l'aime bien. Aï m'a invité à manger un hamburger ce soir là. Ce n'est pas du tout le genre de nourriture que je consomme d'habitude, mais je fais confiance à la brune.
En soupirant, j'embrasse Kochi alors qu'il rigole avant de m'ébouriffé les cheveux.
– Tu es fatiguée?
– M'en parles pas, j'en ai marre des rendez vous d'affaire.
– Tu ne peux pas te libérer pour le match contre Nekoma?
– Non, désolé. J'ai un demi repas d'affaire et...
– Un demi?
– Ouais, je dois faire bonne figure devant le père du bonhomme et après je dois partir pour laisser la place à sa fiancée. Et j'ai promis à Iwa de manger avec elle. Désolé, j'avais oublié le match quand j'ai accepté.
– C'est pas grave. On se voit après de toute façon.
– Oui. Par contre je risque d'arriver tard chez toi.
– C'est pas grave. J'avertirai mes parents et on te laissera la porte ouverte.
La sonnerie nous rappela à l'ordre. On se leva, lui avec entrain, essayant de me le communiquer. Pour toute réponse, je réussis a peine à lui sourire. Nous n'aimons pas trop nous affiché au lycée, mais il me prend la main, son expression douce toujours plaqué au visage. Voir son visage ainsi me donne envie de lui faire un câlin, et me redonne de l'énergie. Il m'accompagna jusqu'à ma salle. C'est en soupirant une nouvelle fois que je pris place.
La semaine a été longue et très animé. J'ai rencontré la petite soeur de Nishinoya, sans son amie rousse. Apparemment, elle était rentré plus tôt, avec son frère. Problème de santé ou je ne sais pas trop quoi. J'ai un peu discuté avec elle. Elle est toute mignonne et toute innocente. A chaque fois qu'elle me parle de la soeur de Hinata et qu'elle raconte une anecdote sur les fois où elle a dû se battre au corps à corps, une image d'Iwa ensanglanté, debout, une main sur sa plaie, m'apparaît. Si Hinata et Aï se battait, qui gagnerait? Elle parle aussi d'une chaîne Youtube. Quand je suis rentrée chez moi, j'ai chercher leur nom. C'est une chaîne de musiques. Il y a aussi quelques vidéos nommée "VLOG" où on peut les voir avec deux autres garçons et une autre fille. D'ailleurs, Azhure passait son temps à recaler le premier et à taper sur le deuxième. Nishinoya est derrière la caméra mais on peut l'entendre rire. Elles parlent en français, malgré un accent japonais bien présent, donc je ne comprend pas ce qu'elles disent. Elles semblent pourtant bien s'amuser. Je me rend compte trois jours après qu'il y a les sous-titres japonais. Kochi rigole, étant à côté de moi. Il est allongé dans mon lit. Je finis par fermer mon ordi et me glisser à ses côtés. J'ouvre la bouche pour parler quand on sonne à ma porte, en bas. En soupirant, je me lève et part m'habiller. Je descend rapidement. Un petit sourire fleurit sur mes lèvres quand je découvre le paquet. J'avais oublié que j'avais commander une nouvelle nuisette. Je l'ouvre et la dépli. Elle est magnifique. Je remonte avec et la montre à Kochi. Je vois ses yeux s'emplirent d'étoiles en la voyant. Puis il rougit violemment dans la seconde suivante. Je rit, je suis sûre qu'il m'imagine dedans. Je disparais dans le dressing pour aller la mettre. Quand je ressort, il est juste devant moi, me faisant sursauter. Il se mord la lèvre en me voyant.
J'ai pas le temps de réfléchir qu'il m'embrasse. D'abord avec douceur, puis avec plus de ferveur. Il descend ses mains de mon visage à mes hanches mais je l'arrête. Je le pousse et le fait tomber sur mon lit avant de monter à mon tour, me mettant à cheval au dessus de lui. On s'embrasse encore, plus passionnément. Soudain, il se recule un peu et me reluque en souriant. Si je ne comprend pas sur le moment, la même idée que lui me vient à l'esprit.
– C'est de la triche, tu n'as qu'un simple caleçon. Je râle.
– Je peux arranger ça si tu veux. Murmure-t-il en détachant mon soutient-gorge.
– Vas y montre moi. Je l'incite de ma voix la plus sexy.
Kochi grogne quelque chose que je ne comprends pas. Il déteste quand je fais cette voix car il n'arrive plus à contrôler ses pulsions. Il attendis que j'ai enlevé les bretelles de mon soutient-gorge avant de se venger et d'inverser nos positions. Malgré son air maigrichon, il est fort. Il me bloque les mains au dessus de la tête et commence à lentement tracé une ligne de suçons le long de mon épaule avant de descendre vers mes seins. Il remonte enfin et me sourit de son air sadique. "Et si on s'amusait un peu?" Me chuchote-t-il en descendant une de ses mains le long de ma cuisse, l'autre retenant toujours les miennes au dessus de ma tête. En me tortillant un peu, j'arrives à en dégager une et le fait basculer sur le côté. Je suis à genoux sur le lit, à côté de lui. Il se redresse sur les coudes et me fixe d'un air contrarié. J'adore la tête qu'il fait quand il comprend mes idées. Je recule pour me retrouver plus haut sur le lit. Je n'aime pas m'activer près du bord. Ses prunelles noisettes suivent mes mouvements à la lueur de la lune.
Il remonte à son tour, en s'approchant de moi comme un prédateur, avant de s'arrêter au dessus de moi. Nos nez ne sont qu'à quelques millimètres. Il plonge pour m'embrasser mais je détourne la tête, ses lèvres se posant finalement sur ma joue. A nouveau de mauvaise humeur, il décide de me mordre le cou, juste en dessous la mâchoire. C'est là que je suis la plus sensible. Alors qu'il commence à rapprocher ses mains de mes jambes, un autre grognement lui échappe.
– Ce truc est vraiment de trop. Râle-t-il en me l'enlevant.
– Je suis censé le garder un minimum.
– Je te préfère au naturel.
– Dans ce cas, on va rééquilibrer la balance. Dis je en lui enlevant le caleçon, le faisant basculer sur le dos.
– Tu es vicieuse!
– Et toi effroyablement sexy. Je grogne en me mettant à califourchon sur lui.
Il me reste la culotte mais Kochi ne fais pas de détail et la déchire d'un coup sec, me faisant râler, encore. Il me devras une culotte. Je le pousse pour qu'il s'allonge. Cette fois, c'est à moi de m'amuser. Je descend vers son sexe en l'embrassant, lui laissant des suçons un peu partout. Arriver en bas, je commence par le prendre en main et embrasser ses cuisses, évitant soigneusement la partie sensible. Je commence à faire des allers-retour avec la main. D'abord lentement, puis de plus en plus vite, puis à nouveau lentement. J'adore l'entendre alleté ou grogner tour à tour, ça m'excite. Même si clairement, ce sont ses gémissements quand je le suce qui me provoquent le plus de sensations. Je commence par lui embrasser le gland avant de lui donner un coup de langue. Je le fais glisser avec douceur entre mes lèvres pour l'humidifier. En revanche, je déteste le liquide qui sort quand il est excité comme ça. Je le trouve trop salé. Contrairement à d'habitude, il ne faut pas longtemps pour qu'il jouisse dans ma bouche. J'ai trop fait durer le plaisir. Je décide de recommencer, le faisant hoqueter. J'adore sentir ses cuisses se contractés alors qu'il lutte contre ses pulsions. Il fait ça pour m'emmerder. Mais j'ai un moyen de le faire changer d'avis. Je fais glisser son sexe sur ma peau le long de mon corps et m'arrête juste avant ma partie intime. Elle aussi est toute mouillée et j'ai qu'une envie, c'est de laisser la nature faire son office. Pourtant, j'attends. Kochi se redresse et me fusille du regard. Je l'embrasse alors qu'il me caresse les cuisses. J'oriente son sex puis le lâche. Je joue un peu avec lui mais je dois arrêter quand Kochi me prend par les hanches pour me faire descendre violemment. Je lâche un cris de surprise qui le fait rire. Pour me venger, je recommence à l'embrasser en lui triturant un téton et en bougeant le bassin le plus lentement possible. Contrarié, il me sort un "Tu l'auras voulu" avant de se mettre par dessus moi. Il intensifie le mouvement et la cadence. J'adore quand il fait ça. A chaque coup, je sens ma raison vaciller un peu plus. Sans s'arrêter, il commence à me malaxer un sein. Puis il s'attaque au téton seul en augmentant encore la violence de ses coups de bassins. Je ne peux m'empêcher de crier de plus en plus fort. Ma tour est insonorisé, heureusement. Je m'accroche à son dos comme je peux. Finalement, je jouis un peu avant lui.
Il se laisse tomber à côté de moi et je me tourne pour lui faire face. Nous sommes tous les deux à bout de souffle. Il fait des cercles sur ma hanche avec le doigt, mais je suis trop fatigué pour que cela me fasse quoi que ce soit. Il passe les bras autour de la taille et je remonte la couverture sur nous. Je prendrai la douche demain matin. Je m'endors, la tête contre son torse. Dans la nuit, des bruits toqués à ma fenêtre nous tirent du sommeil. Nous fixons la fenêtre, dans l'espoir d'apercevoir une ombre, mais rien du tout. Ça sent l'Iwa ça. Un caillou, lancé depuis l'arbre, frappe à nouveau ma fenêtre. Je grimace et me lève en catastrophe. Elle va abimé ma vitre à ce rythme là. J'ouvre la fenêtre et dans la seconde, Iwa se pose dessus. Elle est une ombre dans la nuit. Ses yeux sont à peine visible. Je la vois jeter un coup d'oeil à Kochi. Puis elle me fait un clin d'oeil et disparaît. Je soupire. Message reçu, je vais m'habiller.
A suivre...
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