Bout poétique 95

Longue chute en spirale
Le souffle s'échappe
Le temps rayonne comme un quasar
Les Parques se rassemblent au coin de l'œil
Derrière soi, il n'y a que des ruines sanglantes
Les religions se délitent sous des yeux aveugles
Regarder derrière soi, c'est tout perdre
Les portes de l'au-delà s'ouvrent en grinçant
Rêves et cauchemars rendus réels
S'affrontent dans de grands coups de tonnerre
La fin s'approche et, plus loin, le vide à combler
Prend vie

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