Bout poétique 89
Cœur asséché, rude, cassant
Témoin de souffrances insensées
Un point immense roue de coups
Des corps à présent pantins désarticulés
Il n'y a plus rien que le silence
Les yeux sont des mers sans vagues
L'illusion, c'est de croire au réel
Quand le sens a fuit d'un air gêné, coupable
Sourire, sourire, sourire
Tant que tu as des dents et un visage
Fissure, vie sans âge, plaie béante
LE CRI
Sans souffle, jusqu'au bout
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top