Amertume


Larmes salées,

Vous qui dévalez mes joues chaque soir,

A l'abri ou dans le noir,

Ressentez-vous ma douleur;

Celle d'être rejetée de la société,

Celle d'être différente des parfaites photocopies que vous êtes,

Assise à l'écart chaque fois,

Encaissant les coups et les insultes pour toi,

Et cette voix qui me dit qu'ils ont tord ...

Et j'ai beau savoir que je suis unique,

Je me sens conne,

Je sens qu'on me bâillonne,

Je ne cesse d'y repenser,

Encore et encore,

Et je tourne en bourrique,

Me voilà qui panique.

Que faire ?

Misère!

Les revoilà...

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