Quand on veut écrire une histoire, il y a toujours beaucoup de réflexion derrière.

Moi ça me prend la nuit, avant de m'endormir. Mon cerveau se met en marche, et... top chrono! Ça commence à carburer là haut. Les idées, les réflexions passent. Il faut en saisir une au passage avant qu'elle ne disparaisse. Tout est mélangé, embrouillé. Le bon comme le mauvais. On réfléchit à des petits détails qui sont parfois importants. Ou alors c'est l'inverse, je réfléchis à l'ensemble, au gros de l'histoire. Je pense à des milliards de choses. Certaines reviennent en boucle, et ça tourne, et ça tourne...

Quand je me réveille le matin, j'en ai oublié le tiers. La nuit suivante, ça re-cogite dans tous les sens. Parfois des idées complètement inverses arrivent. Je n'ai même pas une seule histoire en tête. Je ne me fixe sur rien, des trames, des idées pour plusieurs livres apparaissent. Certaines idées se recyclent, reviennent en boucle, mais parfois, je n'arrive pas à faire le tri.

Malgré tout, je pense que le pire, c'est quand on a pas d'idées. Rien. Page blanche. Le vide.