Chapitre 6
Après cet échange ''joyeux'' entre mon amour et cette connasse, je sors de la salle d'eau en trombe. En tenue d'Eve, totalement trempée. J'apperçois Smoker qui s'habille d'un jeans, cherchant désespérément ces cigares.
- Smoker ! Tu-
- Qui a-t-il, la pleureuse ? Demanda-il durement.
- M'enfin, je...
- Tais-toi donc, je te hais quand tu m'cause trop. Répondant sèchement, ne trouvant pas son bien.
- ...
Ne sachant quoi dire, de fines larmes commencèrent à couler le long de mes joues creuses. Il tourna la tête me fixant, il avait un air mesquin et moqueur. Il s'avança jusqu'à moi, me saisissant violement les joues.
- Une vrai sous-merde, tu compte rester dans nos rangs long temps ?
Ma gorge se noua, n'arrivant pas à bouger et encore moins à parler. Il rapprocha son visage du mien, me fixant amuser.
- Un escargophone-caméra, nous a filmer hier soir. Si tu ne souhaite pas être la catin la plus fourrée de la Marine, deviens ma chose. Suis-je assez clair ? Me murmura-t-il aux creux de mes oreilles.
Ecartant les yeux, le seul acte que j'ai réussi à faire s'est d'hocher la tête, de bas en haut. Il ria salement, me relâchant le visage de sa main ferme.
- Suce-moi. M'ordonna-t-il.
- A-Alors... c'est ç-ça... r-rester en <<bon terme>> ?... M'étrangle-je avant d'éclater en sanglot. Je t'aime mon amour, je t'en su-
- Suce. Ordonna-t-il très sèchement.
Sous mes sanglots qui brouille ma vue, n'arrivant à faire le moindre geste, tellement que je tremblai. Il me saisi brusquement le bras me fichant à terre d'un coup sec.
- C'est un ordre ! Hurla-t-il, prenant une grosse poigne, mes cheveux collant mon visage à son entrejambe.
- J-Je... Je refuse ! Hurle-je de peur.
Pris d'énervement il me donna un coup de pied en pleine face, m'échappant un cri de souffrance. Il continua jusqu'à que ma tête soit ensanglanté. Il commença à m'écraser la face contre le sol avec l'aide de son pied.
- Arg... mon amour, s'il te plaît... Grimace-je, le regardant désoler.
- Humpf, pourquoi n'obéis-tu pas ?! Grogna-il. Ta sali mes pompes avec ton sang ! Nettoye ! M'ordone-je en retirant son pied de ma tempe.
Il enleva sa chaussure, pour la déposer juste devant ma tête. Tremblante, je pris la chaussure, voyant du sang bleuté dessus. Interloqué de cette couleur, mais surtout rassuré d'avoir son pardon, je commence à lécher le cuir de la chaussure jusqu'à la moindre trace de sang. Relevant la tête, je lui tends sa chaussure, propre.
- T-Tiens, t-tout est bien maintenant... Dis-je avec un grand sourire, ressemblant à un D.
- Tss, elle est trempée d'bave. Sale conne ! Me l'arrachant des mains, me regardant avec dégoût.
- Comment ?! Demande-je paniqué. J'en s-suis désoler. Je...
- LA FERME ! Hurla-t-il à plein poumons, m'envoyant un coup de pied en plein estomac, m'envoyant valser contre une armoire.
- Arg... J-Je... Grimace-je, retombant au sol me trouvant avec le souffle couper.
Suite à ça, il me cogna de nombreux coups. Je ne pu que me replier contre moi-même, pleurante silencieusement, me faissant battre jusqu'à avoir un immonde goût de fer dans la gorge. J'ai cru que ce jour-là, j'allai rencontrer mon créateur.
Un coup de pied en pleine tête me fis perdre quelques dents, m'échappant un cri sourd. Alors que mes cristaux internes me désorientent complètement, voyant flou... De la glace se forma autour de nous, bloquant le corps de Smoker, car il alla me remettre un coup.
- Sale pleureuse de merde ! Tu-
- Mon ami, tu es bien doux avec une femme...
Cette voix grave et sûr d'elle appartenait à un homme incroyablement grand. Redressant un peu la tête, je pu l'apercevoir à ma gauche, il portait un manteau à épaulettes, un uniforme de soldat blanc. De la glace l'entourait, faissant bouger lentement ces cheveux foncés, bouclé.
- Le faisan bleu... Articule-je faiblement.
Je pense qu'ils ont eu une discussion, malheureusement pour moi, je n'ai pas réussi à l'entendre. A un moment, la glace autour de Smoker, disparu. Mon amour pris ces affaires, son manteau d'officier sous le bras partant de la pièce en claquant la porte.
Difficilement, j'essayai de me mettre assise. Ma respiration me fit atrocement mal ; à chaque souffle, j'avais l'impression qu'on me compresser à la fois, mes poumons et ma cage thoracique. L'utilisateur du fruit du démon avança jusqu'à moi, pour s'accroupir me regardant désoler, et peiné.
- Ola doucement jeune fille, vu votre état je ne bougerai pas d'un pouce. Me conseilla le soldat.
- S... Smoker... Murmure-je d'une voix lointaine.
- Hum... Je ne sais vraiment pas ce que vous lui trouvez. Soupire-il, passant une main sur son visage.
- Pardon... m-mon an... ge. Murmure-je d'un doux sourire, fermant les yeux lentement.
Alors qu'il était abasourdi de cette quantité importante de sang disposé au sol, je perdis connaissance peu à peu. Souriante, mes pensées se tournèrent vers mon amour de jeunesse assez violent soit-il. Je me sentie soulever du sol, d'une grande prudence par Aokiji, avant de partir complètement dans mes songes.
Pendant ce temps, sur la mer d'East Blue...
L'eau était douce et calme. Le clapotement des vagues tapant contre la coque d'un navire bien particulier, celui-ci brandie le drapeau noir. La figure de proue ressemblant à une sorte de monstre à cornes. L'ambiance sur le pont était très festive, des chants, des rires, de la bonne ambiance. L'alcool couler à flot et de la délicieuse nourriture était présente, m'étant du baume au cœur à tous. Pourquoi ? Dans notre monde il y a des gens qui veulent simplement être hors du système, être libre.
- Cap'taine, île à tribord !
- Bien, Yasopp ! Quand nous aurons touché terre, forme un groupe pour une recherche de vivre, pour d'une durée d'un an. Lucky, dirige le navire jusqu'à destination !
- A vos ordres, toute voiles dehors vous autre !
- Par la suite, je vous offre quartier libre d'une semaine. Je ne souhaite pas m'éterniser sur cette mer.
Alors que les membres de cet équipage pirate se démener pour manœuvrer leur navire, leur capitaine parti s'enfermer dans ses quartiers. Son second, Ben Beckman, parti à sa suite, assez inquiet. Il ne se pris pas la peine de toquer, il entra directement dans les quartiers de son capitaine et frère d'armes depuis maintenant de longues années.
Il l'aperçu assis derrière son bureau entrain d'étudier de nombreux documents. Dans ce silence apaisant, mais mauvais à la fois, il s'alluma une cigarette. Fumant quelques bouffés, il finit par entamer un début de conversation.
- C'est rare de t'apercevoir aussi pensif. Quelque chose t'intéresse sur cette île ?
- Pas quelque chose, quelqu'un.
- Alors en fin de compte, capitaine, tu as fini par retrouver sa trace...
- En effet. Ben, reviens me voir quand nous serons arrivés.
- Bien, Shanks.
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