Chapitre 18


- Lilo Lilo Life ! Dit-il en tendant ces pattes avant vers l'oiseau.

Suite à ces mots, ces pattes s'illuminèrent d'une lueur bleue qui celle-ci, s'enveloppa autour des blessures du corps du piaf. Mon ami le soigna jusqu'à qu'il batte des ailes ; voulant voler, mais sans aucunes plumes, aucun résultats fus offert au petit oiseau jaune.

- Tu la sauvé, trop bien Happy ! Souriant grandement, le prenant dans mes bras.

- Oi... h-h-hun... Sourit-il fatigué, posant sa tête poilue sur mon buste.

- Aller, allons trouver des armes maintenant ! Vivivivivivi. Ris-je.

En me redressant, j'avais Happy contre moi, accroché. Je pris l'oiseau dans mes bras, faisant attention à mes ''griffes'' pour ne pas le blesser. J'avançai jusqu'à sa cage, hésitant de le remettre à l'intérieur.

- Et si... cette timbrée ressort des produits chimiques entre-temps ? Pense-je, relevant le regard vers les conduits d'aérations.

- Lucky... ? Demanda Happy, fatigué.

- Oi ! Je me dépêche, un instant.

- O-Oook...

Je reposai l'oiseau dans sa cage défoncée, après l'avoir remis en état rapidement. Et d'avoir posé des plumes d'oie à l'intérieur, lui créent un nid douillet.

- Je reviens vite avec Soka, je te le promet p'tit piaf. Dis-je en souriant.

- Cui Cui...

- Vivivivivivi. Ris-je. Non, je n'espère pas qu'elle te tape une crise de nerfs ! Après ma leçon de moral que je lui ai faite, tu sais !

- Cui Cui...

- Ah ? Oui, je fonce ! Je dois juste sécuriser la chambre avant !

Je regardai la pièce, jusqu'à voir la couette rose du lit déchirée au sol. Je la pris et d'un mouvement souple, je l'enfournai dans le conduit d'aération. Elle était assez grosse pour le boucher complètement.

- Bien. En route. Dis-je déterminé.

Je courre dans les couloirs faisant attention aux personnes et aux Escargophones de Surveillances se trouvant aux différents endroits des murs. J'avais demandé à Happy de se taire, pour ne pas attirer l'attention aux autres personnes dans la base.

- Mais où est ce placard à balai ?! Pense-je.

- Ah, mais stop ! Cris une voix féminine. Quand je vous dis que j'la connais pas ! AAAAAAAAH !!!!!

Je m'arrête dans ma course, sous ce cri de souffrance à faire pâlir un mort.

- C-C'était quoi ça ?!! Cria Happy, paniqué.

- ... Soka ! Dis-je. Ça venait vers là !

Je courrai jusqu'à une porte, où j'envois d'un coup rapide mon pied contre. Elle s'explosa en grand fracas. Bon je vous l'accorde, tant pis pour la discrétion.

- Sokaaaaaaaaaaaaaaaaa ?!!! Cris-je.

En face de moi, j'avais trois scientifiques tenant fermement la fille anarchiste contre un mur, à moitié nue. Elle avait son maquillage sur le long de ces joues, le noir déferlant sur ces pommettes. Les trois hommes me regardaient plus que sous le choc. Je grognai d'énervement, envoyant une tuile en pleine tête d'un scientifique. Avec une puissance telle, qu'elle rentra dans son crâne, le tuant en un instant. Son corps tomba raide mort au sol, sur le ventre.

Alors qu'Happy fonça sur un autre, le frappant sans s'arrêter ; jusqu'à qu'il soit au sol ne bougent pu. Je ne compris pas mon geste mais d'un mouvement souple j'égorgeai le troisième d'énervement. Montant sur lui, lui lacérant le visage avec mes ongles jusqu'à... qu'il ne reste plus rien de son visage.

Mes cristaux internes me firent un mal de chien. On me tira d'un coup sec en arrière, alors que je me débattais en criant. Cette personne se laissa tomber en arrière, s'assoient brusquement au sol, se jetant presque m'emportant dans sa chute.

- Lucky ! Lucky ! Lucky ! Lucky ! LUCKY !! Hurla cette personne.

- Ah ?! A-Ah n-non, non no-... Sursaute-je, revenant à moi, ne bougent pu.

- Chuut... je vais bien, crois-moi... ç-ça va... Me serrant contre elle.

- ... S-Soka, ça va hein ?... Susurre-je choqué de moi-même.

- O-O... oui, oui tout va bien. Merci... Lucky.

Lentement, je réalisai mon acte. J'avais tué un homme, bestialement, sans pouvoir m'arrêter, prise d'une rage folle. Regardant mes mains jusqu'à mes bras ensanglantés, de mes ongles immaculés de sangs rougeâtres, dégoulinant ; des gouttes tombèrent sur le sol, mon visage ou mes vêtements.

Entendant ma respiration, puis entendre une alarme résonnait en répétait dans la base. J'avais sentie une petite boule de poile bleutée, allant contre moi, me serrant la taille, pleurant. Sous le choc, je réalise lentement que Soka et Happy me serrent contre eux, par peur de me perdre. Je les avais traumatisés ce jour-là. Mais surtout, peinés.

- I-Il faut abattre leur chef, détruire cette base. Murmure-je d'une voix sauve.

- O-Oui... Allons-y... H-h-hun ! Reniflant le chat bleu, me relâchant lentement.

Happy se redressa lentement le pas maladroit, là, je vois son uniforme blanc tâché de sang, de cause d'être allé dans mes bras. Il renifla me regardant avec courage, la morve au nez et les yeux rougi par les larmes ; les pattes avant, serrées entre elle, les jointures blanches.

- Quel petit chaton courageux, à la fin de cette histoire... il en sortira changer, c'est certain. Pense-je.

 - Quant à moi, j'vais vous aider. Me relâchant délicatement, sa voix était brisée par la peine. Ils ont commis un acte impardonnable !

- S... Sora ? Dis-je très surprise, tournant la tête vers elle, assise entre ces cuisses.

- I-Ils m'ont... Retenant ses sanglots, serrant ses lèvres jusqu'à sangs. O-On doit ga... gner !Cria-elle de rage.

- Bien sûr, j'te l'promets. Hoche-je la tête, sérieusement.

En me redressant, je me tournai vers elle t'entendant ma main droite griffue et ensanglanté. Malgré que je sois tâchée de sangs, je lui lançai un immense sourire, ressemblant à une demi-lune. Elle hocha la tête, déterminée, avant de me saisir la main se relevant avec mon aide.

- Intrus repérés au trentième étage ! Cria un scientifique, avant qu'il se prenne une tuile en pleine tête, tombant raide mort au sol.

Il ne me resta plus qu'une tuile. Alors qu'une armada de soldats de la marine ne sortent de nulle part, arrivant vers nous. Une lumière au plafond violine, partout éclairant les couloirs de la base se trouva présentes alors. D'un mouvement je courue dans le tas, lâchant un cri de rage et de bataille, ma main droite en avant et ouverte, très vite suivi par Happy et Soka.

Je pense que c'est là... que notre histoire deviens intéressantes. Et, que je ruine ma vie, pour de bon.

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