XXXVII. En silence [ Lemon ]

ATTENTION :

Ce chapitre contient des descriptions précises d'un rapport s€xuel entre deux hommes.

Si ce thème vous dérange, veuillez sauter le chapitre, il n'est pas utile pour la suite de l'histoire.

Sur ce, bonne lecture !

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PDV Kylian :

Nous avions regardé un film après le repas et j'avais pu sentir Olivier moins sûr de ses gestes.
Normalement quand on regardait la télévision, mon copain avait toujours une main sur moi, soit sur ma jambe,mes épaules ou encore ma taille.

Je soupira, les mains d'Olivier me manquaient. Depuis l'arrivée de mon frère, c'était à peine si il osait respirer ou me regarder.
J'avais fait exprès de porter son pull et de laisser mes jambes visibles, je voulais qu'Olivier me regarde, autant qu'avant.

Il était minuit passé quand le film se termina. Mon frère nous souhaita bonne nuit avant de partir dans sa chambre. Olivier se leva à son tour et partit dans la cuisine, sûrement boire.
Je me dirigea dans l'entrée pour fermer à clef l'appartement.

J'entendis la porte de notre chambre se fermer, m'indiquant qu'Olivier était dans la chambre.
Je me dirigea vers la chambre occupée par Ethan. J'ouvris doucement la porte et je vis mon frère, dormant déjà, son casque sur les oreilles et son téléphone à côté de lui.

Je referma la porte et me dirigea dans ma chambre. J'entra et je me colla contre la porte, la fermant par la même occasion. Olivier était entrain d'enlever son pull, relevant son tee-shirt me permettant de voir son ventre et quelques un de ses poils pubiens.

Je souria avant de m'éloigner de la porte pour me rapprocher de mon partenaire. Olivier ouvrit ses bras et je mis glissa, mon visage contre son torse. Il posa, enfin, ses mains dans le bas de mon dos et je me sentis frissonner.

Je releva la tête, nos yeux se rencontrèrent et une bulle se créa autour de nous. Son regard glissa sur mes lèvres, il y avait un doux silence dans la chambre que seul les battements de nos cœurs brisaient.

La distance entre nos lèvres se réduisait, je posa une de mes mains sur sa nuque et il glissa ses mains sous mon pull. Je sentais mes joues chauffer, il se rapprocha un peu plus et je posa mes lèvres sur les siennes.

Une multitude de papillons s'envolèrent dans mon estomac.
Ses lèvres m'avaient manqué, on se sépara mais je repris immédiatement possession de sa bouche. Il passa ses mains sous mon tee-shirt et un frisson parcouru mon échine.

Je mordilla sa lèvre inférieure, et il ouvrit doucement sa bouche, permettant à nos langues de se rencontrer. Je sentis la chaleur se propager dans mon bas-ventre, je voulais plus que de simples baisers.

Je bouscula Olivier sur le lit avant de venir m'asseoir sur son bassin.
Je laissa une traînée de sa mâchoire avant de revenir poser mes lèvres sur les siennes, mon bassin bougea presque instinctivement et commença des mouvements circulaires sur lui.

Il se redressa et posa une main dans mon cou, me reculant légèrement. Il avait les joues rougis, la bouche entre-ouverte et ses cheveux en bataille :

Olivier : - À quoi tu joues ?

Kylian : - Je ne joue pas.

Olivier : - Je ne vais pas tenir si tu continues.

Kylian : - Personne ne te demande de te retenir.

Olivier : - Il y a ton frère à côté. Un simple mur nous sépare je te rappelle.

Je releva mon bassin pour revenir m'asseoir plus précisément sur son entre-jambe. Il grogna et posa sa tête sur mon épaule. Je me pencha et murmura dans son oreille :

Kylian : - S'il te plaît Olivier..fais moi l'amour..

Olivier me regarda et je pus voir dans ses yeux une flamme de désir s'enflammer.
Il passa ses mains sous mon pull et mon tee-shirt d'un seul coup, il me rapprocha de son torse et je posa mes bras sur ses épaules.

Il embrassa mon cou, d'abord doucement mais ses baisers s'intensifèrent et Olivier mordilla ma peau. Je gémissa au contact de sa bouche sur ma peau et il resserra son emprise autour de ma taille.

Il rapprocha sa bouche de mon oreille et la mordilla me faisant gémir un peu plus :

Olivier : - D'abord mes parents puis maintenant ton frère,tu veux vraiment que tout le monde sache que tu gémis aussi fort ?

Kylian : - Non..Pas mon frère..

Olivier : - Silence alors.

Mon corps entier me brûlait, j'avais la sensation de fondre sous ses doigts. Ses mains descendirent sur mes fesses puis sur mes cuisses avant d'inverser les positions, je me retrouva sous lui.

Olivier était au dessus de moi et je pouvais voir ses yeux bleus détailler tout les traits de mon visage. Il passa ses mains sous mon tee-shirt et commença à caresser mon torse, frôlant parfois mes tétons.

Il m'embrassa langoureusement, je profita pleinement de la saveur de ses lèvres et de la maîtrise de ses mains sur mon torse. Nos bouches se séparèrent mais Olivier me regarda, semblant réfléchir :

Olivier : - Enlève ce haut.

Je frissonna face à son ton, plus suave, plus grave que d'ordinaire.
Je retira mon pull, entraînant mon tee-shirt avec, et mon short.
Je pouvais sentir le regard d'Olivier me dévorer.

Soudain il s'arrêta sur mon érection et posa un doigt dessus créant une pression dessus. Je grogna et je remarqua un sourire carnassier sur ses lèvres. Je referma les jambes et essaya de cacher du mieux que je pouvais mon excitation.

Olivier attrapa ferment mes cuisses pour les ouvrir,un hoquet de surprise m'échappa. Il posa un doigt sur ma peau et traça une ligne imaginaire, du haut de mon genou jusqu'à mon intimité.
Je soupira et il posa enfin ses lèvres sur ma peau.

Ma respiration était saccadée et mon souffle se coupa quand il embrassa mon pénis à travers mon sous-vêtement. Je gémissa et il glissa un doigt dans mon caleçon, jouant avec son élastique.

Il embrassa mon bas-ventre avant de me regarder de caresser l'intérieur de mes cuisses avec son autre main :

Olivier : - Je peux te l'enlever ?

Kylian : - F-fais ce que tu veux..

Il embrassa mon ventre avant de retourner à sa tâche. Il plaça ses deux mains à chaque extrémités de mon sous-vêtement, et le fit glisser en bas de mes jambes. Mon érection, enfin libéré de sa prison de tissus, me frappa le ventre.

J'étais le seul à être nu alors qu'Olivier était encore habillé. Je me redressa et tira doucement son tee-shirt, voulant lui faire comprendre. Il me souria et quitta le lit. Mon copain enleva son pull puis son tee-shirt et il fit enfin descendre son short. Je pouvais voir une belle bosse déjà présente dans son sous-vêtement.

Il partit fouiller dans sa table de nuit et me rejoigna sur le lit, avec une boîte de préservatifs et un tube de lubrifiant. Je serrais les cuisses, sachant déjà la suite du programme.

Olivier s'approcha et me força à me rallonger, il prit mes cuisses et les écarta, je ferma les yeux mais j'entendis soudain le bruit du sachet d'une capote. Un éclair de panique me traversa, il n'allait quand même pas me pénétrer sans préparation ?!

J'ouvris les yeux et je vis Olivier mettre le préservatif sur mon pénis et je le regarda étonné.
Il me sourira,se pencha au dessus de mon intimité et posa un rapide baiser sur la tête de mon gland avant d'empoigner la base de mon intimité.

Je frissonna, il commença à embrasser ma longueur, son pouce appuyant sur mon gland. Ma tête commençait à tourner quand il prit mon engin en bouche, mes orteils se crispèrent et je soupira, un peu fort.

Olivier commença à faire des vas-et-viens sur ma verge avant de rajouter sa langue dans l'affaire. Je sentais que je perdais pieds. Je glissa une main dans les cheveux d'Olivier et les tira légèrement pour qu'il relève la tête :

Kylian : - At-Attends, je vais ve-venir.

Olivier baissa la tête et recommença ce qu'il faisait, mes jambes tremblaient sous ses coups de langue. Il sortit ma longueur de sa bouche et me regarda dans les yeux, me faisait frissonner :

Olivier : - Si tu viens maintenant, je te prendrais assez fort pour que tu ne puisses plus marcher de la semaine.

Sa phrase eu l'effet d'un brasier, tout mon corps s'enflamma. Mon copain me souria avant de s'atteler de nouveau à sa tâche.
Je tremblais de tout mon long et je savais que je n'allais pas tenir, il empoigna plus fort la base de mon pénis pour faire des vas-et-viens avec sa main et sa bouche, en même temps.

Trop de sensations me parvenaient, je me sentais perdre pieds et je savais que j'allais bientôt venir. Tout mes muscles se contractèrent et dans un murmure indescriptible, j'éjacula.

Je tremblais à cause de l'orgasme que je venais d'avoir mais je sentis la capote quitter ma chair et je supposa qu'elle venait d'être jetée. Je reprenais mon souffle quand Olivier se pencha à mon oreille :

Olivier : - Qu'est ce que je t'avais dit ?

Son ton était dur et suave. Je me sentis frissonner, sa main caressa mon torse et il se pencha à nouveau et il embrassa ma tempe :

Olivier : - À quatre pattes. Maintenant.

Je le regarda et l'embrassa rapidement. J'aimais la sensation de ses lèvres sur les miennes.
Je me tourna, à quatre pattes, dos à lui.

Je sentais le matelas s'affaisser quand il bougeait, soudain un liquide froid coula sur ma raie, je gémissa avant de sentir son doigt jouer avec mon entrée, je soupira, gémissant, voulant plus.

Il entra enfin son premier doigt, voyant que je ne réagissais pas, il en entra un deuxième qui me fit frissonner. Il commença à faire un mouvement de ciseaux pour détendre les chairs. Je ne savais pas si c'était dû à mon premier orgasme, mais je me sentais plus sensible que d'habitude.

Olivier embrassait, mordillait, suçotait ma peau. Mes bras tremblaient et j'avais du mal à tenir. Il entra un troisième doigt et je m'éffondra, mon torse contre le matelas mais mon postérieur en l'air. Ses doigts faisait un mouvement de vas-et-viens en moi et je me sentais durcir de nouveau, j'allais éjaculer une nouvelle mais mon copain retira ses doigts d'un coup, m'arrachant un gémissement.

J'entendis du mouvement derrière moi, un bruit de tissus touchant le sol, un papier se déchirant et le tube s'ouvrir.
Je voulais rester dans la position initiale mais mes bras tremblaient trop.

Je sentis l'érection épaisse d'Olivier contre moi, il se frottait contre mon intimité mais n'entrait pas, je gémissa. Il aimait toujours me frustrer :

Kylian : - Prends moi Olivier..

Olivier : - De quoi ?

Kylian : - S'il te plaît..

Il embrassa ma clavicule et entra doucement en moi. Je gémissa plus fort que je ne l'aurais voulu et Olivier ne bougea plus, attendant que je m'habitue à sa présence.

Je bougea après quelques minutes, l'enfonçant davantage en moi. Il posa ses mains sur ma taille et commença ses vas-et-viens rapides. Je gémissais vraiment fort et Olivier le remarqua.

Il attrapa mes poignets avec une de ses mains et les plaça devant la tête, sur le matelas. Olivier frappait de plus en plus profondément. Des larmes perlaient au coin de mes yeux quand j'entendis la porte de la chambre voisin s'ouvrir.

Mon frère était réveillé et dans l'appartement, à quelques mètres de nous. Olivier accéléra le rythme, frappant plus fort et plus profondément. Je tentais d'étouffer mes gémissements dans ma couette mais mon copain venait de trouver ma prostate et il s'amusait à la pilonner.

Je me tentais de me gérer mais la pression sur mes poignets et Olivier en moi, me faisait tremblait de plaisir. On entendit des pas puis une porte se fermer, Ethan était enfin dans sa chambre.

Mon partenaire fit des mouvements plus lents mais toujours aussi précis. Je sentais que ma fin était proche et il le sentit aussi vu que sa main sur ma taille resserra sa prise.
Après quelques coups de reins, Olivier jouissa dans le préservatif et j'eus un deuxième orgasme.

Je m'écroula complément sur le matelas et on resta comme ça, le temps de reprendre notre souffle. Quelques minutes plus tard, il se retira et retira le préservatif, fit un nœud et le jeta.

J'entendis des vêtements bouger sur le sol, puis la porte s'ouvrir et des bruits de pas dans le couloir. Mes poignets me chauffaient et je sentais encore la pression de la main d'Olivier sur ma taille.

Je m'endormais quand j'entendis quelqu'un revenir dans la chambre et un gant passer sur ma peau, je compris qu'Olivier me nettoyait. Je voulais le remercier mais je n'en avais pas l'énergie. Je me sentis propre et un drap recouvra mon corps.

Olivier était un petit-ami vraiment attentionné. Il faisait attention et prenait soin de moi. Je souriais tout en m'endormant. Je sentis un poids s'allonger à côté de moi et deux bras entourer ma taille.

Je m'endormis, le souffle d'Olivier dans mon cou et son torse contre mon dos. Je sentais que le réveil le lendemain allait être compliqué.

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Fin du chapitre 37 :

Comment allez vous ?
( Supporters du PSG on est là..)

J'ai pas relu désolée

Prenez soin de vous, biz biz <3

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