Chapitre 8: Un mépris, douloureux.

Chapitre 8:

Trois jours s'étaient écoulé depuis que les membres de l'équipage au chapeau de paille s'étaient amarré sur " ile bleu". Les habitants de ses terres sublime avaient été tout à fait charmant. Souriant, amicale, et gentil, à n'en pas douter aucun d'eux n'oublieraient l'arrêt qu'ils avaient fait sur cet ilot charmant.

C'était le matin, et comme presque tout les matin, un petit oiseau farceur vient chanter pile sous la fenêtre de la chambre que Zoro et Sanji étaient obligé de partager. Encore pas tout à fait réveillé, le cuisinier arriva à s'extirper du lit, dans lequel il était confortablement installé, et tel un zombi sous morphine, il avança en direction de la fenêtre, qu'il ouvrit lentement.

- Tu m'emmerdes le piafs ! Bougonna t-il la gorge enroué d'avoir un peu trop ronflé...tout les matin tu me fait chier.

L'animal qui visiblement avait atteint son but, sautillait gaiment sur le rebord de la fenêtre en poussant de jolis petits cris joyeux. Mais Sanji était toujours de mauvaise humeur, et d'un geste brusque de la main il voulu le chasser. Le piaf toujours farceur, évita le mouvement et voleta autour de sa tête, semblant s'amuser de cette situation.

- Non, mais tu me cherches ! Râla Sanji, en toisant du regard se microbe volant.

Visiblement, il ne se rendait pas compte du ridicule dans lequel il se trouvait, à se chamailler avec un pauvre petit oiseau. Mais le fait qu'il soit encore en parti endormi ne l'aidait pas non plus à voir les choses clairement. L'oiseau de son côté devait sans doute trouver cette situation amusante, toute fois et peut-être afin d'enquiquiner cet humain amusant, il attrapa l'un des cheveux doré du cuistot en arracha un où deux dans la volé et s'en alla au loin.

-Aïe ....petit con ! S'indigna Sanji et frottant le haut de son crâne.

Retournant dans la pièce, il fouilla dans ses affaires à la recherche de sa montre gousset. Sans grande conviction il ouvrit et poussa un soupire irrité..

- Putain, il n'est que 6 heures....pour une fois que je peux dormir !

En effet si, lorsqu'ils voyageaient Zoro était souvent le dernier couché, Sanji lui était souvent le premier levé. Car préparer un petit déjeuner pour 7 personnes demandait un minimum de temps, mais quand parmi eux se trouvait un être dont l'estomac semblait sans font, le travaille paraissait carrément gargantuesque. Donc, si il pouvait profiter de cette dernière grâce mâtiné, sans se préoccuper de l'estomac de quiconque, il aurait tord de se priver.

D'un pas trainant, le jeune homme se dirigea en direction de son lit. Tout en essayant de retenir un long bâillement de passer ses lèvres. Il avait à peine eu le temps de poser un genoux sur la place qu'il occupait peu de temps au par avant que, Zoro bien qu'endormi s'était déjà étalé et prenait les 3/4 du lit.

Un gros malaise naquit chez le blondinet, lorsque son regard bleu se porta sur la face de laitue endormi. Hier soir, au moment ou le sabreur était rentré, il avait pris le parti de faire semblant de dormir. Bien calé comme il était dans le lit, ainsi il n'avait aucun chance que le Marimo se doute de la supercherie. En agissant de la sorte le jeune homme avait pensé éviter d'autres questions gênant sur ce qui s'était passé la veille entre eux deux. Et au pire, il éviterait de donner à Zoro, l'envie d'un second round buccale. Car Sanji n'avait pas oublié non plus les mains baladeuse que se dernier avait eu à un moment donné, et qui l'avait fait quelques peu paniquer.

Durant la journée, la veille, il y avait pensé et d'ailleurs s'était étonné qu'un type aussi virile et masculin que le vert est été attiré ne serait-ce qu'un quart de seconde par son corps de pure mec.

" Est-ce que  Zoro est g....." il n'avait osé allé au bout de sa questions.

De toute façon, et de manière général, la journée avait été passablement atroce, tout d'abord parce qu'il avait été seul, ses deux chérie, occupaient qu'elles étaient ne lui avaient accordé aucune importance. Et puis, le ravitaillement avait pris un temps considérable, d'autant plus que la chaleur caniculaire, l'avait en grande parti ralenti dans ses mouvements. Lorsqu'il avait fini sa corvée la nuque brulante, le corps bouillant l'esprit tourmenté par ce crétin de Marimo, Sanji avait fini par n'avoir qu'une envie, dormir et ne plus réfléchir. Aussi même durant le repas, il ne s'était pas senti à son aise, tout d'abord parce que ce crétin de Zoro s'était installé à côté de lui. A croire qu'il l'avait fait exprès ce con ? Il fallait dire aussi que le souvenir de leurs ardent baisés n'avaient pas cessé de lui revenir en pleine face. Aussi étais-ce pour cette raison qu'il avait été difficile pour lui de paraitre naturel, et sans doute n'y était-il pas arrivé tout à fait puisque Chopper s'était inquiété de sa santé.

- Bouge de là, sac de muscle ! Gronda le cuistot et tentant de pousser la masse qui était étalé au beau milieu du lit ! Alleeezzzz....gnnn....moi aussi je veux dormir, autant que je veux.

De ses deux mains, le jeune homme essayait de bouger la masse inerte du sabreur, et quand il parvint enfin à le remettre de son côté du lit, un soupire satisfait passa ses lèvres. Sans même attendre, il se cala à nouveau sur le côté tournant le dos à la porte de la chambre, et prit son oreiller entre ses bras.

Hier soir, il l'avait entendu rentrer dans la piece, marcher et aller vers la fenêtre, bien qu'ayant les yeux fermé et faisant semblant de dormir, Sanji avait su à chaque mouvement, où se trouvait le bretteur précisément. Mentalement il avait été reconnaissant à ce dernier lorsqu'il avait fermé la fenêtre, car même si il avait commencé à avoir un peu froid, une franche flemme l'avait empêché de se bouger le derrière. Et puis il y avait eu un cour silence, où il avait senti Zoro s'accroupir non loin de lui. Et là...Là...il l'avant entendu dire, une choses qu'il n'aurait jamais cru entendre, des mots qui n'étaient pas censé sortir de la bouche de cet espèce de brut de combat..des mots doux qu'il aurait voulu entendre de la bouche d'une jolie femme. Même si en son fort intérieur, le cuistot savait qu'à ce sujet, en ce qui concernaient Nami et Robin s'étaient cramer et foutu d'avance, elles ne diraient jamais ça ...

" Pourquoi a t-il fallu que je tombe amoureux de toi crétin de Cook..."

Il ne savait toujours pas comment il avait fait pour ne pas bondir hors du lit, et coller un gros coup de pieds au cul du gorille vert, lorsqu'il avait entendu l'aveu. Immobile dans son lit, Sanji avait attendu le coeur battant que ce crétin dégage dans la salle de bain, avant de pouvoir s'autoriser à bouger et à péter un câble. Et quand il fut enfin libre, un simple cri muet s'était échappé de sa gorge, alors que son visage semblait prendre feu. De toute manière, il n'avait pas besoin de se regarder dans un miroir, il savait très bien qu'il devait être rouge comme une tomate. Choqué, il s'était agité dans le lit avant de cogner avec fureur dans l'oreiller de Zoro, comme si ce dernier devait prendre à la place du bretteur.

-Non, non, non....avait-il murmuré rageusement en se prenant la tête, manquant de s'arracher les cheveux...non putain...pas ça....! C'est pas possible...pas possible.

Et Vlan , à nouveau il s'était acharné sur le coussin comme si tout était de sa fautes. Maudit Renard argenté, maudit Foxy ! Qu'il pourrisse en enfer celui-là ! Tout ce qu'il se passait était de sa faute.

Il s'était bien énervé, bien acharné sur le lit, et lorsqu'il avait senti que Zoro allait revenir dans la chambre sans doute pour se coucher, il avait essayé de son mieux de paraitre toujours endormi et calme. Ce qui avait été passablement difficile au vu de sa respiration rapide.

- Bordel, mais il s'est passé quoi ? Avait dis Zoro en voyant la forme étrange de son coussin de tête complètement difforme.

Et sans réfléchir plus, il s'était couché et endormi en moins de dix secondes. Le sommeil, après ça s'était définitivement barré, et au beau milieux de la nuit, alors que Sanji s'était demandé comment il allait se dépatouiller dans toute cette histoire. Il s'était soudainement mi à genoux dans le lit, les poings sur les hanche et avait fixé Zoro qui dormait la bouche ouverte en ronflent tel un tracteur.

- Tu ne m'aimes pas !!! Avait t-il murmuré , en se disant que peut-être cette simple phrases allait monter dans le cerveau de mousse du marimo, et lui faire comprendre qu'il s'était trompé.

La fatigue avait fini par le saisir, le laissant se reposer jusqu'au petit matin, jusqu'à ce que le piaf le réveille. A présent que Sanji pensait à toute cette histoire , l'envie de dormir s'était complètement barré à nouveau. Avec agacement, il s'installa, dans le lit, et pris une cigarette dans le paquet posé sur la table de nuit. En se fichant éperdument de Zoro, il l'alluma et savoura avec délice cette première dose de nicotine.

- Sans déconner Cook , t'es obligé de fumer de si bon matin ? Râla le vert, un dégout dans la voix.

Tiens ? L'algue était réveillé ? Bien fait pour sa pomme, c'était entièrement de sa faute, si il n'avait pas assez dormi cette nuit. Et puis, il n'avait pas envie de lui parler, il était trop mal à l'aise à l'idée de lui adresser la parole, alors qu'il le savait à présent, Zoro était amoureux de lui ! Rien que de le dire, il se sentait mal, et sentait son ventre s'agiter étrangement.

- Oï, tu m'écoutes, éteint cette putain de clope ça pu.

- Pffiouuuuu ...souffla Sanji en admirant le cercle de fumé, qu'il venait de faire avec l'une de ses narines.

Énervé d'être réveillé avec cette désagréable odeur de tabac, Zoro se releva brutalement dans le lit, et toisa du regard le cuisinier qui sans le regarder, donnait quand même l'impression qu'il le narguait bien comme il faut. Comment pouvait-il être amoureux de ce débile ?

-C'te blague...marmonna t-il à lui même.

Avec rapidité le bretteur tendit le bras, et attrapa le poignet du blond, puis avec brusquerie lui arracha la cigarette des mains qu'il pulvérisa dans sa mains sans même faire attention à la légère brulure que cela lui fit.

-T'es chiant, j'ai eu une nuit de merde, laisse moi fumer.

- Non ! C'est aussi ma chambre, je ne veux pas sentir le tabac.....C'est dégueu..

Sanji l'ignora se disant que lui mettre les nerfs, s'était l'aider à ne plus être amoureux de lui. Il tendit à nouveau le bras en direction, de son paquet de clope, et voulu en prendre une autre, quand Zoro lui sauta dessus pour lui saisir le poignet afin sans doute de l'empêcher de l'empester avec son tabac qui pu.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Putain ! Laisse moi fumer, merde !

- Non ! Pas question, ça schlingue !

Une lutte débuta, Zoro avait gardé serrer dans le creux de ses mains, les poignets du cuistot, qui se débattait comme un poisson hors de l'eau. La situation était explosive et gênante à la fois, et aucun des deux ne voulaient céder, c'était toujours comme ça d'ailleurs, quand ils se disputaient. Excédé le vert finit par bloquer les deux mains du blond au dessus de sa tête, les plaquant contre l'oreiller. Aucun des deux n'eut conscience de leurs positions plus que douteuse en cet instant. Zoro était au dessus du blond qui le fixait méchamment du regard , avant de dévier ses yeux sur le côté....La gêne était à son paroxysme pour le blond.

- Sitôt, comme ça le matin ça pu ! Répéta Zoro.

- Pff...marmonna Sanji, dont l'emballement cardiaque aurait pu être alarment...ça ne t'as pas dérangé hier, quand on s'est embr.....

Rouge de honte le jeune homme n'acheva pas sa phrases! Qu'est-ce qui lui prenait de dire ça tout d'un coup ? Une furieuse envie de s'auto-gifler le saisi.

Zoro, ne disait rien, il était silencieux, et Sanji tentait de son mieux de ne pas céder à la tentation de le regarder. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait l'impression que si il faisait ça ,il serait encore plus perdu, qu'il ne l'avait été cette fois-là. Son souffle était rapide.

- Non, avoua Zoro, d'une voix normal ça ne ma pas gêné, parce que j'étais....le rouge s'empara de ses joues, mais comme toujours il était près à assumer tout ce qu'il disait et faisait. ...parce que j'étais heureux, de savourer tes lèvres.

-En....en...enfoiré ferme-là, bredouilla Sanji, qui avait l'impression que son crâne avait pris feu, en voyant la mine rougissante du Marimo. Pourquoi la vie lui faisait-elle cette mauvaise blague...pourquoi , pourquoi...?

Un silence s'installa, durant lequel le blondinet n'eut même pas le reflex de lui donner un bon coup de pied dans les bijoux de famille. Au bout d'un certain temps cependant il tira sur ses poignets douloureusement bloqué, le position était indécente s'était-il dis. Mais le regard et le visage étonnamment gêné du bretteur le perturba plus que tout, car il le trouvait mignon. Lentement il tourna la tête, et fixa ses iris bleue dans celle du vert, sa respiration s'accéléra et son corps lui donnait l'impression d'être brûlant.

Hypnotisé par cette beauté masculine et blonde, qui lui faisait face, Zoro luttait avec difficulté contre son envie de l'embrasser! Mentalement, il s'engueulait, et se disait qu'il ne devait pas faiblir face au Cook ,ni face à son amour pour lui. Malgré ça, son corps se penchaient de plus en plus en avant, lentement très lentement, ses lèvres s'entrouvrirent près à dévorer d'un baisé cette bouche parfois maussade.

- N..non....souffla faiblement Sanji....Il tirait sur ses bras, afin d'en reprendre possession,

Leurs bouche s'effleurèrent, et leurs lèvres s'entrouvrirent pour laisser passer leurs langues, qui eurent à peine le temps de se frôler.

-...ah....je...je peux pas......s'excusa presque dans un gémissement le cuisinier... je peux pas...répétât-il...

- On la déjà fait pourtant, murmura d'une voix subitement douce Zoro... avant de déposer un baiser sur la joue...

Sanji avait l'impression d'être dans un gouffre, il était perdu et ne savait plus où aller, une peine soudaine semblait lui meurtrir l'âme. Au final même si il l'avait maudit, il ne voulait pas se moquer, ni mépriser l'amour que Zoro avait pour lui...il ne pouvait pas faire ça, se serait trop minable.

- Je ne dormais pas hier....avoua t-il avec honte en cachant son visage dans ses mains à nouveau libre.

- Quoi ?? Demande Zoro, un peu inquiet...

- Je t'ai entendu....c'est pour ça que j'ai mal dormi cette nuit, je t'ai entendu....tu as dis...tu as dis.....

Un bruit étrange sortit de sa bouche, surprit, Zoro qui arrivait par il ne savait quel magie à garder son calme, reprit sa place sur le côté, libérant ainsi son Nakama de son poids, puis incita Sanji à le regarder droit dans les yeux. Son coeur martelait sa poitrine comme un bourrin, encore une fois, le jeune homme aux trois sabres pensait qu'il avait une fois de plus manqué la chance de se taire.

- Tu m'as entendu dire, que j'étais  tombé amoureux de toi ? Demanda le bretteur.

Il avait dis ça avec calme, et tranquillité, comme si le dire le soulageait. Son coeur pourtant faisait des bons, et son cerveau semblait lui hurler qu'il avait fait une monstrueuse boulette. Mais peu importe, Zoro n'était pas le genre d'homme à ne pas assumer ses actes. Grâce à Aimée il le savait, ce crétin de Cook pervers, il l'aimait.... oui, il l'aimait ....Il en souffrirait certainement mais il l'aimait.

C'était comme ça, à point c'est tous.

Sanji, ne sentit pas la boule d'émotion le submerger, ce n'était pas un pleurnichard de nature, et d'ailleurs il lui en fallait un peu plus pour verser des larmes, mais là tout de suite à ce moment précis. Il s'en voulait de tout le cinéma qu'il avait fait la veille à hurler, et à crier que ce n'était pas possible. Tant de mots méprisant avait passé sa bouche, tant de dédain s'était fait sentir chez lui, quand il avait compris que le Marimo l'aimait. Quel manque monstrueux de respect, quel prétention méprisable, comme si il s'était senti trop bien pour lui. Et pourtant Zoro était là, devant lui à assumer malgré sa grande fierté ses sentiments à son égards, alors que ça ne devait pas être simple...

-Je suis désolé, bredouilla t-il en cachant son visage inondé de larmes.... je suis tellement désolé...

- Pourquoi tu t'excuses Cook ? Demanda Zoro en relevant un sourcille tout en tapotant d'un geste un peu maladroit le crâne blond.

- J'ai tellement....tellement méprisé tes sentiments...toute la nuit.....j'ai honte....c'est minable de faire ça ...même à une tête d'algue comme toi.

Zoro força doucement Sanji à retirer ses mains qui cachait son visage. Le spectacle lui parut bouleversant, de grosses larmes cristalline, glissaient sur son pâle visage, ses yeux bleue étaient encore embué de tristesse, et le bout de son nez à force de pleurer était devenu tout rouge. Si mignon pensa simplement Zoro, en se choquant tout seul.

- Je ne te demande rien, lui dit-il afin de le rassurer. Ni réponses, ni effort pour aller vers moi ..rien, tu es libre...

- Mais, tu as dis...

- Oui , que je t'aime ! Mais je sais que s'est à sens unique. J'en ai conscience tu sais ! J'avais....expliqua le vert en passant la main dans ses cheveux...peut-être juste besoin de le dire ! Sans doute pour me prouver que s'était vrai ..que s'était là, continua t-il en plaquant la main de Sanji sur son propre coeur...dans mon coeur.

Les yeux du blondinet s'écarquillèrent, sous ses doigts il pouvait sentir à travers la peau chaude de Zoro, son coeur qui battait à vive allure. Lui aussi était embarrassé ? Lentement, Sanji releva le visage comme , si il découvrait pour la première fois le sabreur.

- Tu ne veux pas de moi. ? S'étonna t-il.. alors que tu m'aimes ?

Pour le coup le bretteur dû prendre fortement, sur lui même pour ne pas le plaquer contre son coeur et lui hurler " putain si j'te veux et tout entier même !". Mais il savait que ça ne servait à rien d'espérer, Sanji était un coureur de jupons, et sans doute le resterait-il à vie. Un pincement se fit dans son coeur...mais il arriva à le dissimuler. Il ferait avec, il était fort..

- Parce que tu veux de moi peut-être ? Finit-il par répondre d'un air faussement amusé, un sourcille relevé.

Aucune réponses ne vient.

- Alors tu vois ? Insista Zoro, en voyant que Sanji semblait toujours profondément triste. Toi qui aimes les gros seins, tu serais mal servi avec moi ! Tentât-il de plaisanter, même si se n'était pas franchement son genre d'humour.

- Idiot ! Bougonna le cuistot en lui donnant un petit coup de poing dans l'épaule. T'es vraiment idiot....

Pour une fois le sabreur ne s'offusqua pas de cette insulte, d'un air qu'il voulait détaché il souriait afin de donner la jolie illusion que tout allait bien. Il tendit la main et ébouriffa les cheveux doré, du cuisinier comme pour l'encourager à aller mieux.

- Ça passera..

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